Which Catharsis Do They Mean? Aristotle Moreno
https://journals.sagepub.com/doi/pdf/10.1177/0170840604042415
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https://www.jstor.org/stable/23021846
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"Mimésis et catharsis" De gauche à droite : Bertolt BRECHT Pierre CORNEILLE Antonin ARTAUD ARISTOTE Dario FO Denis DIDEROT
[PDF] La catharsis : un pont entre théâtre et psychanalyse - Séverine Chave
Séverine Chave Art Psychanalyse Prof Themelis Diamantis La catharsis : un pont entre théâtre et psychanalyse TABLE DES MATIERES 1 Introduction
Théâtre - Quest-ce que la catharsis? Fiche de révisions
La catharsis est un terme lié à l'étude du théâtre et notamment de la tragédie Il s'agit de la purification des passions qui se produit lors d'une
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ont considéré le théâtre de leur temps et c'est bien à ce théâtre Commentaire d'Anne Ubersfeld Lire le théâtre (1977) : Catharsis et libération
[PDF] la catharsis tragique - Bibliothèque et Archives Canada
LA REDEFINITION DE LA CATHARSIS ou DE LA TRAGI-COMEDIE A LA TRAGEDIE PATHETIQUE Chapitre I — Le theatre comme revelateur du monde
Catharsis : tentative de légitimer la fiction théâtrale au XVIIe siècle
PDF The article deals with French views on tragic emotions and their Chacun sait que le débat sur le théâtre et tout particulièrement sur la tragédie
Mimesis Et Catharsis PDF Poétique (Aristote) Théâtre - Scribd
COMPLÉMENTS sur MIMESIS et CATHARSIS I/ LA MIMESIS Définition de la mimesis selon Aristote La Poétique d'Aristote définit le théâtre comme une “imitation”
[PDF] Racine-et-la-catharsis-1998pdf
morale du théâtre sérieux Au XVIIe siècle encore le discours sur la tragédie était largement influencé par la Poétique d'Aristote lue à travers les
Qu'est-ce que la catharsis au théâtre ?
1. Purification de l'âme ou purgation des passions du spectateur par la terreur et la pitié qu'il éprouve devant le spectacle d'une destinée tragique.Quel est le but de la catharsis ?
La Katharsis lie la purification à la séparation et à la purge, tant dans le domaine religieux, politique que médical. En tant que rem?, la Katharsis implique plus précisément l'idée de médecine homéopathique : il s'agit, avec la purgation, de guérir le mal par le mal.Quel est le synonyme de catharsis ?
Synon. méthode cathartique, défoulement, abréaction.- Littéralement, la catharsis désigne une purification. Il peut s'agir d'une purification religieuse selon un rite adapté : la seconde occurrence de la Poétique a exactement ce sens. Mais le plus souvent, chez Aristote, la purification est d'ordre physiologique.
Table ronde sur
"Mimésis et catharsis"De gauche à droite :
Bertolt BRECHT, Pierre CORNEILLE, Antonin ARTAUD, ARISTOTE, Dario FO, Denis DIDEROT. (Gordon CRAIG a dû repartir avant la photo officielle.)Voici le compte rendu d'une Table ronde fort improbable qui a réuni sept théoriciens
majeurs de la scène sur les notions de mimésis et de catharsis. Un exercice fort risqué vu la
brièveté des "prises de parole" et la complexité du sujet. L'objectif est double : il est de
partager et de susciter le plaisir de la (re)lecture de ces grands maîtres mais aussi de
repréciser brièvement deux notions fondatrices et pérennes du théâtre occidental. Cette
modeste contribution ne saurait toutefois remplacer la découverte des textes originaux qui, seule, permettrait d'appréhender ces pensées dans toute la richesse et la profondeur de leurs nuances.ARISTOTE - "Pour moi, l'art est une imitation de la réalité. Mais alors que l'épopée imite par
la narration, le théâtre imite les gens en train d'agir, Attention cependant : qui dit imitation
ne dit pas copie. C'est la " mimésis », une création, une transposition faite pour provoquer
une catharsis (purgation) chez le spectateur : le plaisir à ressentir crainte et pitié. Et pour
cela rien de tel qu'une tragédie où chaque acte découle nécessairement du précédent, avec
vraisemblance et sans digression, dans une belle unité d'action. Le texte doit se suffire à lui-
même et pouvoir se passer de représentation." Libre adaptation de " La Poétique »Pierre CORNEILLE - "Je suis d'accord avec Aristote sur la catharsis. Mais elle n'est pas
seulement un plaisir, elle est aussi utile : elle doit nous dégoûter des passions, les
" déraciner » (Lol) sans discours moralisateurs, par l'exemple singulier des personnages. Ouià l'unité d'action dans la tragédie mais avec plus de souplesse. Il peut y avoir des actions
secondaires pour peu qu'elles servent la tension générale : le héros va-t-il tenir ou céder ?
L'Histoire et son crédit inhérent doivent l'emporter sur la vraisemblance. Libre adaptation des
Trois discours
Denis DIDEROT - "Pour moi aussi le théâtre est mimésis. Mais il faut être plus vrai dansl'imitation : le drame bourgeois est plus " vrai » que la tragédie. Mes personnages y sont plus
proches des spectateurs. Ils s'expriment en prose. Un effet de miroir peut s'y opérer. Lepathétique se substitue à la catharsis. La leçon de morale, de vertu, passe par l'émotion.
Mais, pour autant, la "vérité" du théâtre n'est pas dans la copie du réel : les pleurs sur scène
et dans un salon ne peuvent être les mêmes.L'acteur convaincant est celui qui est capable
d'exprimer une émotion qu'il ne ressent pas. C'est le paradoxe : moins on sent, plus on faitsentir. Enfin je trouve qu'on parle trop au théâtre : je veux y développer les jeux de scène, la
pantomime ». Libre adaptation de " Le Paradoxe du comédien » / " Entretiens sur le fils naturel ». Gordon CRAIG - "Je suis contre la mimésis. Non au réalisme tant dans le décor que dans lejeu de l'acteur. Le théâtre n'est pas pour moi dans la représentation de la réalité quotidienne
et sociale mais dans la révélation de l'invisible. Le théâtre, c'est l'accès à une essence de la vie
qui ne peut être trouvée qu'au bord de la mort. La tâche de l'acteur n'est pas de personnifier
des individualités psychologiques mais de représenter des forces par des signes visibles :mouvements et gestes chargés de toute leur valeur symbolique. Le décor est schématisé et la
lumière est utilisée pour créer un univers pictural." Libre adaptation de " L'art du Théâtre"
Bertolt BRECHT - "Je voudrais également revenir sur le concept de " Mimésis ». Le théâtre
ne doit pas être une copie, une " illusion » du réel, comme il l'a été, ces siècles derniers.
Cette illusion est un " leurre ». Il faut rendre le spectateur conscient qu'il ne s'agit pas duréel mais d'un discours sur le réel vis-à-vis duquel il doit prendre position. Et loin de
reconnaître la distinction d'Aristote entre théâtre et épopée, je parlerais de " Théâtre
épique », fait d'action et de narration (projections, discours au public, pancartes...) pour
opérer une " distanciation » avec le réel, briser l'illusion et rendre le spectateur critique et
" productif ». Le but du théâtre n'est pas tant de provoquer une catharsis comme ce quej'appelle le théâtre " dramatique » mais d'inciter le public à modifier les rapports sociaux. Je
défends un théâtre " didactique ». Je m'insurge également contre cette unité d'action
imposée par Aristote. Elle nous présente un homme écrasé par une fatalité inéluctable et
dominé par des forces transcendantes. Le spectateur du théâtre dramatique dit : Oui, cela, je
l'ai éprouvé, moi aussi. - C'est ainsi que je suis. - C'est une chose bien naturelle. - Il en sera
toujours ainsi. - La douleur de cet être me bouleverse parce qu'il n'y a pas d'issue pour lui. -C'est là du grand art : tout se comprend tout seul. - Je pleure avec celui qui pleure, je ris avec
celui qui rit. Le spectateur du théâtre épique ou didactique dit : Je n'aurais jamais imaginé
une chose pareille. - On n'a pas le droit d'agir ainsi. - Voilà qui est insolite, c'est à n'en pas
croire ses yeux. - Il faut que cela cesse. - La douleur de cet être me bouleverse parce qu'il yaurait tout de même une issue pour lui. - C'est là du grand art : rien ne se comprend tout seul.
- Je ris de celui qui pleure, je pleure sur celui qui rit."Libre adaptation de " Le petit organon »
Antonin ARTAUD - " Moi je suis contre le concept de " Mimésis » d'Aristote et de sa
postérité. Le théâtre n'est pas mimesis d'un événement, mais événement lui-même, il n'est
pas représentation de la vie mais manière de vivre, "vraie" vie au-delà de ce que le langage
peut concevoir et exprimer. Je vois, par exemple, dans le langage scénique du théâtre
balinais, physique et spatial, non un langage de représentation mais un rituel d'évocation, de provocation des forces magiques qui mènent le monde. Le théâtre met l'acteur et, par cetintermédiaire, le spectateur, en relation avec la force essentielle des grands mythes de
l'humanité et cela ne peut se faire par le texte seul. Non à la primauté du texte défendue par
Aristote et le théâtre occidental ! Le théâtre est avant tout un spectacle qui s'adresse aux
sens pour exprimer une vision du monde. Par contre je souscris tout à fait à la notion de " Catharsis » mais dans une autre acception. Pour moi, l'homme est agi par un inconscientempli de violence, qu'il ne maîtrise pas... Le théâtre doit être libérateur à la façon des rêves.
Freud dit que le rêve a pour fonction principale de permettre la réalisation sur le plan
symbolique de désirs perçus comme incompatibles avec la personnalité de l'individu et/ou lavie sociale. Je dirais que le théâtre doit fournir au spectateur des " précipités véridiques de
rêves ». Tout ce qui agit est cruauté. C'est sur cette idée d'action poussée à bout et extrême
que le théâtre doit se renouveler.Pas de psychologie, pas de texte trop littéraire, mais une action intense, révélatrice parce que
puisant dans l'arsenal du symbolisme des rêves... Le théâtre doit osciller toujours entre
volonté de susciter l'adhésion et nécessité de styliser, de créer la distance. » Libre adaptation
de " Le théâtre de la cruauté » Dario FO - " Moi je m'insurge d'abord contre le précepte d'Aristote qui veut que le texte sesuffise à lui-même et puisse se passer de représentation. Une oeuvre théâtrale valable,
paradoxalement, devrait ne pas plaire à la lecture et ne révéler sa valeur qu'à la réalisation
scénique. On me dira ce qu'on voudra : c'est en voyant jouer sur les planches Dom Juan ou le Tartuffe de Molière que ces pièces me sont apparues comme des chefs-d'oeuvre. Par contre je reconnais des vertus catharsiques au théâtre mais par le rire, pourtant si rabaissé par lethéâtre occidental. L'obscénité, liée aux manifestations les plus triviales du corps, présente,
pour moi, un pouvoir de libération des plus efficaces. Elle permet de lutter contre le
sentiment de la faute, la honte et l'angoisse du péché et de combattre cette angoisse par lerire. Mais je rejoins aussi Bertolt Brecht lorsqu'il parle de théâtre épique. Dans la jonglerie de
La Résurrection de Lazare où, seul en scène, je joue une foule de personnages, avec des démultiplications extrêmement rapides et des adresses au public : on est résolument dans une forme de théâtre épique. Allusif et condensé, le spectacle sollicite constamment l"attention du spectateur sans l"ennuyer, selon la grande tradition épique populaire. Et dès lors, pour moi aussi, le théâtre a un rôle éminemment social et politique . L'éclat de rire révèle le sens critique, la fantaisie, l'intelligence, le refus de tout fanatisme. Quand il s'exprime, le petit peuple, les gens simples ne peuvent s'empêcher, même dans les histoires tragiques, d'introduire l'humour, le sarcasme, le paradoxe comique. Le comique crée ainsi une distancecritique, il instaure dans les situations dramatiques ou tragiques, " sérieuses », un
contrepoint qui propose une vision dialectisée de la réalité et qui fait appel au sens critique
du public ». Libre adaptation de "Le Gai savoir de l'acteur »Patrick EVEN (janvier 2017)
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