Sans titre
L'intersection de deux évènements A et B est la partie commune aux deux ensembles 1.3) Probabilités conditionnelles et formule des probabilités totales.
Chapitre 2: Les généralités du calcul des probabilités.
formule de l'intersection permet de calculer des probabilités sans avoir à faire référence explicitement à l'espace (?J
NOTIONS DE PROBABILITÉS
se réalise notée
Ch 1. Ensembles et dénombrement I. Ensembles II. Cardinaux
Cette formule n'est valable que lorsque les événe- peut calculer la probabilité de leur intersection en condi- tionnant successivement grâce `a la ...
Chapitre 3 Évènements et probabilités
que l'on dispose d'une formule exprimant PpEq en fonction des PpEnq. Le calcul de probabilités de réunions ou d'intersections est une question cruciale.
.1 - Utilisation des tableaux de probabilités
La probabilité d'un événement A se note P(A) ; c'est un nombre positif compris Intersection et Réunion : ... On les calculera alors avec la formule :.
Cours de probabilités discr`etes
Dans le calcul de probabilité d'une intersection. (formule des probabilités composées) la probabilité conditonnelle appara?tra le condition- nement qui ...
Probabilités et variables aléatoires
alors intéressant de calculer la probabilité qu'un 0 ait été émis C'est l'intersection ... (formule des probabilités totales) Soit (Ai)i?I une fa-.
Probabilités
IV - Intersection de 2 évènements A et B noté A ? B
Cours de mathématiques Partie IV – Probabilités MPSI 4
9 mai 2019 Formule des probabilités composées . ... Tout sous-ensemble de ? est intersection au plus dénombrable de ses singletons.
[PDF] Calcul de probabilités - I) Intersection et réunion dévénements
Soit deux événements A et B d'un même univers sur lequel on a défini une loi de probabilité p Pour tout A et tout B on a p ( A ? B) + p ( A ? B ) = p ( A ) +
[PDF] Cours de Probabilités
Cette formule permet de calculer la probabilité d'un événement B en le décomposant suivant un système complet d'événements (En effet B est égal à la
[PDF] Vocabulaire et propriétés 2 - Utilisation des tableaux de probabilités
Intersection et Réunion : A ? B = "A inter B" se réalise quand les événements A ET B se réalisent ensemble ("simultanément") A ? B = "A union B" se réalise
[PDF] Formulaire de Probabilités et Statistique - Christophe Chesneau
pdf ? Éléments de cours de Probabilités de Jean-François Marckert : intersection de A et B Formule des probabilités composées (à l'ordre 3) :
[PDF] NOTIONS DE PROBABILITÉS
Si un espace échantillonnal est fondamental alors la probabilité qu'un événement ? se réalise notée est obtenue de la formule suivante :
[PDF] Comment calculer une probabilité dintersection - CoursMathsAixfr
Il ne faut pas confondre ces phrases avec celles des probabilités conditionnelles La formule générale est : P(FMS) = P(F) x PF (S)
[PDF] PROBABILITÉS CONDITIONNELLES - maths et tiques
Méthode : Calculer une probabilité conditionnelle à l'aide de la formule On calcule les probabilités d'intersections :
[PDF] Cours de probabilités et statistiques
intersection de A et B A et B Ac ou A complémentaire de A événement contraire de A A ? B = ? A et B disjoints A et B incompatibles 1 3 Probabilité
[PDF] Chapitre 2: Les généralités du calcul des probabilités - LMPT
formule de l'intersection permet de calculer des probabilités sans avoir à faire référence explicitement à l'espace (?JP) qui modélise l'expé-
[PDF] Probabilités sur les ensembles finis
Enfin dans le cas général d'une union de deux événements on a : Propriété 3 : P(A ? B) = P(A) + P(B) ? P(A ? B) Et pour l'intersection A ? B
Comment calculer l'intersection Proba ?
Pour calculer P(G), on peut se rappeler que "la probabilité d'une intersection est le produit des probabilités rencontrées sur le chemin". Ainsi, à l'aide de l'arbre, P(G?I)=P(G)×PG(I).Comment calculer à ? B ?
P[A ? B] = P[A] × P[B]. Dans ce cas P[AB] = P[A] et P[BA] = P[B].Comment lire p A ? B ?
Cas des événements indépendants : A et B sont 2 événements indépendants si et seulement si P(A) = PB(A) ou P(A ? B) = P(A) × P(B) . Autrement dit la probabilité de l'événement A ne change pas quand l'événement B est réalisé.- L'intersection de A et de l'ensemble vide est toujours égale à l'ensemble vide. Si on a 3 ensembles A,B,C A , B , C , on peut faire les intersections dans n'importe quel ordre : (A?B)?C=A?(B?C) ( A ? B ) ? C = A ? ( B ? C ) .
![Chapitre 3 Évènements et probabilités Chapitre 3 Évènements et probabilités](https://pdfprof.com/Listes/17/22851-17ChapIII_PEIP_16.pdf.pdf.jpg)
Chapitre 3Évènements et probabilités3.1 Modéliser l"aléatoire3.1.1 Notion d"expérience aléatoire
La théorie des probabilités fournit des modèles mathématiques permettant l"étuded"expériences dont le résultat ne peut être prévu avec une totale certitude. Le tableau 3.1
en donne quelques exemples.ExpérienceRésultat observable
Lancer d"un déUn entierkP v1,6w
Prélèvement denobjets en sortieNombre d"objets défectueux d"une chaîne de productiondans l"échantillon Questionnaire à 100 questionsSuiteωde 100 réponses binairesωP toui,nonu100 Lancer d"une pièce jusqu"à laUn entierkPN: le temps première obtention de piled"attente du premier succèsMise en service d"une ampouleDurée de vieTPR`
Lancer d"une fléchette sur une ciblePoint d"impact Mouvement d"un grain de pollenUne fonction continue : dans un liquidela trajectoire Mélange de deux gazRépartition spatiale de deux types de molécules Table3.1 - Quelques expériences aléatoires typiquesBien que le résultat précis de chacune de ces expériences soit imprévisible, l"observation
et l"intuition nous amènent à penser que ces phénomènes obéissent à certaines lois. Par
exemple si on jette 6000 fois un dé, on s"attend à ce que le nombre d"apparitions de la face " 3 » soitvoisinde 1000. Si on met en service 100 ampoules, leurs durées de vie observées serontconcentréesautour d"une certaine valeur moyenne. La théorie des probabilités permet de donner un sens précis à ces considérations un peu vagues. Lastatistiquepermet de confronter les modèles probabilistes avec la réalité observée afin de les valider ou de les invalider. Par exemple si quelqu"un a 60 bonnesréponses sur 100 à un questionnaire, est-il légitime de considérer qu"il a " mieux fait »
que le hasard? Sur lesnobjets prélevés en sortie de chaîne,ksont défectueux. Peut-on en déduire quelque chose sur la qualité de la production globale?48Chapitre 3. Évènements et probabilités
3.1.2 Évènements
La théorie moderne des probabilités utilise le langage des ensembles pour modéliserune expérience aléatoire. Nous noterons Ω un ensemble dont les éléments représentent tous
les résultats possibles ouévènements élémentairesd"une expérience aléatoire donnée. Les
évènements(ou évènements composés) seront représentés par des parties (sous-ensembles)
de Ω. Il n"est pas toujours facile de trouver un ensemble Ω permettant de modéliser l"expé-rience aléatoire. Voici une règle pratique pour y arriver : les évènements élémentaires sont
ceux qui contiennentl"information maximalequ"il est possible d"obtenir de l"expérience. Par exemple si on jette un dé, l"évènementA: " obtention d"un chiffre pair » n"est pasélémentaire. Il est composé des trois évènements élémentaires 2, 4, 6 :A" t2,4,6u. Ici
Ω" t1,2,3,4,5,6u. De même si on lance trois fois une pièce de monnaie, les évènements élémentaires sont des triplets comme (p,f,p) indiquant le résultat précis de chacun des trois lancers. Ici Ω" tf,pu3. L"évènementB" obtention de pile au deuxième des trois lancers » est composé :B" tpf,p,fq;pf,p,pq;pp,p,fq;pp,p,pqu. Avec ce mode de représentation, les opérations logiques sur les évènements : " et »," ou », " négation » se traduisent par des opérations ensemblistes : intersection, réunion,
passage au complémentaire. Le tableau 3.2 page 48 présente la correspondance entre les deux langages. NotationsVocabulaire ensemblisteVocabulaire probabilisteHensemble videévènement impossible
Ωensemble pleinévènement certain
ωélément de Ωévènement élémentaireAsous-ensemble de Ωévènement
ωPAωappartient àALe résultatωest une des réalisations possibles deAAĂBAinclus dansBAimpliqueB
AYBréunion deAetBAouB
AXBintersection deAetBAetB
Accomplémentaire deAévènement contraire deA dans ΩAXB" HAetBsont disjointsAetBsont incompatibles
Table3.2 - Langage ensembliste - langage probabiliste Les opérations logiques sur les évènements peuvent bien sûr faire intervenir plus de deux évènements. Ainsi, siA1,...,Ansont des évènements, n i"1A i"A1YA2Y ¨¨¨ YAn est l"ensemble desωqui sont dansl"un au moinsdesAi. C"est donc l"évènement " réali- n i"1A i"A1XA2¨¨¨ XAn3.1. Modéliser l"aléatoire49
est l"ensemble desωqui sont danstouslesAi. C"est donc l"évènement " réalisation de d"évènements : iPN°Ai" tréalisation de l"un au moins desAi,iPN°u, iPN°Ai" tréalisation de tous lesAi,iPN°u. Ces opérations logiques sur des suites d"évènements sont très utiles pour analyser desévènements complexes à l"aide d"évènements plus simples et, comme nous le verrons plus
tard, calculer ainsi des probabilités.3.1.3 Un exemple informel
Voici une façon simple de générer un nombre entier au hasard sans le limitera priori en taille : on lance un dé jusqu"à la première obtention du six et on note le nombre de lancers ainsi réalisés. Pour tout entierně1, notonsEnl"évènement : E n" tla première apparition du six a lieu lors dunelanceru.Nous n"avons pas précisé l"ensemble Ω des évènements élémentaires associés à cette ex-
périence, mais il est clair que si,nétant fixé, on veut attribuer une probabilitéPnpEnq à l"évènementEn, il faut se placer dans un Ω permettant de modéliser au moins lesn premiers lancers. A minima, on pourrait prendre :Dans cette modélisation,ukreprésente le numéro entre 1 et 6 sorti aukelancer et l"évè-
nementEns"écrit : EFaisons l"hypothèse d"équiprobabilité de tous les évènements élémentairesω" pu1,...,unq,
ce qui revient ici à supposer que le dé est " équilibré », c"est-à-dire que lors d"un lancer,
chaque face a même probabilité d"apparition 1{6. Alors la probabilitéPnpEnqse calcule en faisant du dénombrement : P npEnq "cardEn cardΩn"5n´116n"56 n´116. Bien entendu la modélisation ci-dessus n"est pas satisfaisante car on ne sait pasa priori de combien de lancers on aura besoin pour une première apparition du six et on voudrait donc pouvoir calculer la probabilité deEnpour toute valeur den. Ceci nous amène naturellement à remplacer Ω npar l"ensemble Ω des suitesinfiniesd"entiers compris entre1 et 6 :
Ω" tpukqkPN°;ukP v1,6w,@kPN°u.
Nous n"expliciterons pas ici la familleFd"évènements observables1, mais il est clair qu"elle doit contenirau moinstous les évènements dont la réalisation ne dépend que desn premiers lancers (commeEn), et ce pour toute valeur de l"entierně1. Une autre condition1. En fait il n"est pas judicieux ici de prendre comme évènements observablestousles sous-ensembles
de Ω, mais l"expliquer proprement nous emmènerait bien au delà du niveau de ce cours.50Chapitre 3. Évènements et probabilités
naturelle à imposer au modèle est que la probabilité de réalisation deEnne dépende pas
du nombre de lancers, pourvu qu"il soit au moins égal àn. Autrement dit, on poseraPpEnq "PnpEnq " p5{6qn´1p1{6qpour toutně1.
Considérons maintenant l"évènement
E" tle sixfinit par sortiru.
CommeEse décompose en réunion desEn:
nPN°En, on aimerait pouvoir calculer sa probabilité à partir des probabilités desEn. Pour cela, nous avons besoin de deux choses : - queEsoit lui-même unévènement observable, autrement dit qu"on puisse lui at- tribuer une probabilité; - que l"on dispose d"une formule exprimantPpEqen fonction desPpEnq. Pour la première condition, il suffit de convenir qu"une famille d"évènements obser- vables doit êtrestablepar réunion desuitesd"évènements observables (donc ici comme les E nsont tous dansFetEest la réunion de la suite desEn,Eappartient lui aussi àF). Pour la deuxième condition, en procédant par analogie avec le cas d"une réunion finie d"évènementsdeux à deux incompatibles, et lesEnle sont (pourquoi?), on a bien envie d"écrire : nPN°En "`8ÿ n"1PpEnq.Admettons que ceci soit légitime. Alors la probabilité ainsi attribuée àEse calcule comme
la somme de la série géométrique de raison 5{6 (donc convergente) et de premier terme 1{6 :PpEq "`8ÿ
n"1PpEnq "1 6`8 n"1 56n´1 "16`8 k"0 56
k "1611´5{6"1.
AinsiPpEq "1, ce qui est conforme à l"intuition : si le dé est équilibré, on est sûr que le
six finira bien par sortir. Regardons maintenant l"évènement complémentaireEc: E c" tle six ne sortjamaisu. Naturellement,PpEcq "1´PpEq "1´1"0. Mais attention à ne pas en déduire queEcest l"ensemble vide. Bien au contraire, il contient une infinité d"évènements élémentaires :
E c" tpukqkPN°;ukP v1,5w,@kPN°u.Avant de passer à la théorie, listons quelques idées à retenir de cet exemple étudié de
manière informelle.1. Quand l"ensemble des évènements élémentaires est infini, il n"est pas toujours facile
d"expliciter le choix de la familleFd"évènements observables. On devra parfois se contenter d"admettre qu"elle contient au moins les évènements auxquels on s"inté- resse vraiment.2. Cette familleFdevrait être stable par réunion des suites d"évènements observables
et par passage au complémentaire.3.2. Le modèle probabiliste51
3. Les séries jouent un rôle essentiel lorsque Ω est infini.
4. La propriété d"additivité des probabilités (la probabilité d"une réunion finie d"évène-
ments deux à deux incompatibles est égale à la somme de leurs probabilités) devrait pouvoir s"étendre auxsuitesinfinies d"évènements deux à deux incompatibles en remplaçant " somme » par " série convergente ».3.2 Le modèle probabiliste
LaprobabilitéP, telle que nous allons la définir ci-dessous, est une fonction qui, à un évènement, associe un nombre compris entre 0 et 1 et censé mesurer les chances de réalisation de cet évènement. Pour des raisons sortant du cadre de ce cours, il n"est pas toujours possible d"attribuer ainsi de manière cohérente une probabilité àchaque partie de Ω. En d"autres termes,Pne peut pas être considérée comme uneapplicationde PpΩq Ñ r0,1s, oùPpΩqest l"ensemble de toutes les parties de Ω, mais comme unefonction ayant pour domaine de définition une familleFde sous-ensembles de Ω, généralement plus petite quePpΩq. Cette familleFest appelée famille des évènements observables ou tribu.Pour mériter ce nom, elle doit vérifier certaines propriétés données dans la définition
suivante. Définition 3.1(tribu).Une familleFde parties deΩest appeléetribusurΩsi elle a) possède l"ensemble vide :H PF; b) est stable par passage au complémentaire :@APF,AcPF; iPN°AiPF. On vérifie à partir de cette définition qu"une tribu est stable par unions finies (prendre tous lesAivides à partir d"un certain rang), intersections finies et par intersections dé- nombrables (combiner b) et c)). Remarque 3.2.La définition générale d"une tribuFne suppose pas que tous les single-tonstωusoient des éléments deF. Donc un " évènement élémentaire » n"est pas toujours
un évènement observable. Néanmoins dans la plupart des exemples que nous étudierons, la tribu possèdera les singletons. Voici trois exemples simples de tribu, nous en verrons d"autres par la suite. - La tribu triviale sur Ω estF" tΩ,Hu. - L"ensemblePpΩqde toutes les parties de Ω est une tribu. - SiAest une partie de Ω, alorsF:" tΩ,H,A,Acuest une tribu. C"est laplus petitetribu possédantAcomme élément, au sens où toute tribuGtelle queAPG contientF. On dit queFest la tribuengendréeparA. Définition 3.3.SoitΩun ensemble etFune tribu surΩ. On appelle probabilité sur pΩ,Fqtoute applicationPdeFdansr0,1svérifiant : piqPpΩq "1. piiqσ-additivité : pour toute suitepAjqjě1d"évènements deFdeux à deux disjoints (incompatibles), jPN°Aj¯ "`8ÿ j"1PpAjq. Le tripletpΩ,F,Pqs"appelle espace probabilisé.52Chapitre 3. Évènements et probabilités
Définir une probabilité surpΩ,Fqc"est en quelque sorte attribuer une " masse » àchaque évènement observable, avec par convention une masse totale égale à 1 pour l"évè-
nement certain Ω. Nous donnons maintenant sept propriétés importantes d"une probabilité qui se dé- duisent de la définition 3.3. Il faut les connaître pour pouvoir faire du calcul des probabi- lités. La connaissance de la démonstration est facultative. Proposition 3.4(propriétés générales d"une probabilité). Toute probabilitéPsurpΩ,Fqvérifie les propriétés suivantes :1.PpHq "0.
2. Additivité.
a) SiAXB" H,PpAYBq "PpAq `PpBq. i"1Ai"řn i"1PpAiq.3.@APF,PpAcq "1´PpAq.
5.@APF,@BPF,PpAYBq "PpAq `PpBq ´PpAXBq.
6. Continuité monotone séquentielle.
a) SipBnqně0est une suite croissante d"évènements deFconvergente2versBPF, alorsPpBq "limnÑ`8PpBnq, en notation abrégée : B nÒBñPpBnq ÒPpBq pnÑ `8q. b) SipCnqně0est une suite décroissante d"évènements deFconvergente3versCP F, alorsPpCq "limnÑ`8PpCnqen notation abrégée : C nÓCñPpCnq ÓPpCq pnÑ `8q.7. Sous-additivité et sous-σ-additivité.
i"1PpAiq. i"1PpAiq. Preuve.Soit une fonction d"ensemblesP:FÑ r0,1ssatisfaisant aux conditionspiqet piiqde la définition 3.3, il s"agit de démontrer quePvérifie les propriétés 1 à 7. Preuve de 1.CommePpAjq ě0 pour toutAjPF, on a toujours jPN°PpAjq ěPpA1q `PpA2q, le premier membre pouvant être égal à`8. En choisissantAj" Hpour toutjPN°et en utilisant laσ-additivitépiiq, on en déduit : jPN°Aj¯ "`8ÿ j"1PpAjq ěPpHq `PpHq.quotesdbs_dbs29.pdfusesText_35[PDF] diviser des puissances de 10
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