Toponymie : les noms de lieux en France - Glossaire de termes
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TOPONYMIE DES LIEUX–DITS INVENTAIRE DES RUES
TOPONYMIE DES LIEUX–DITS. INVENTAIRE DES RUES. Groupe des « Mémoires de SANVIGNES ». Recherches de Marie CARTA et Michel BILLARD.
TOPONYMIE NOM DES HAMEAUX ET DES LIEUX-DITS À SAINT
TOPONYMIE. NOM DES HAMEAUX ET DES LIEUX-DITS À SAINT JULIEN DU GUA toponyme évoque peut-être un endroit où le bétail venait s'abreuver.
TOPONYMIE: NOM DES HAMEAUX ET DES LIEUX-DITS À SAINT
TOPONYMIE: NOM DES HAMEAUX ET DES LIEUX-DITS. À SAINT JULIEN DU GUA. Ces notes ont été recueillies dans les ouvrages référencés ; Merci à tous les lecteurs
Charte de toponymie du territoire français
DEFINITION DES TERMES TECHNIQUES LIES A LA TOPONYMIE. les lieux-dits les zones boisées ou occupées par des cultures pérennes (vigne
Les Noms de Lieux Bretons toponymie descriptive
toponymie bretonne a plus de chances d'avoir continué sans interruption comme dans les microtoponymes (qualifiés ici de lieux-dits en abrégé 1.d.).
Les noms de lieux signalant des bois des landes
https://journals.openedition.org/abpo/pdf/891
COMMUNE DE PONTIVY ETUDE NORMATIVE DES TOPONYMES
(Le Roch). Page 33. Ofis ar Brezhoneg – Office de la Langue Bretonne. 31. O. Autres informations sur le sens du toponyme : Lieu-dit situé sur la commune de
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TOPONYMIE: NOM DES HAMEAUX ET DES LIEUX-DITS
À SAINT JULIEN DU GUA
Ces notes ont été recueillies dans les ouvrages référencés ; Merci à tous les lecteurs en possession d'autres
informations de se manifester auprès du secrétariat de la mairie pour les mettre sur le site de la commune et
enrichir ainsi nos connaissances.1/Textes extraits de " La petite histoire du nom des villages et autres lieux de l'Ardèche » de Jean-Marie
Cassagne et Mariola Korsak , à Septéditions 2014Le bachas: Ce nom dérive probablement du gaulois bacco(=abreuvoir, auge), à comparer avec l'occitan alpin
bachas, qui désigne un petit abreuvoir où coule l'eau d'une fontaine; le toponyme évoque peut-être un endroit où
le bétail venait s'abreuver. On sait cependant qu'en toponymie française, il faut souvent donner à ce terme un
sens métaphorique et qu'il fait référence à un creux de terrain. En Ubaye et en Provence, on appelle bachas une
mare plus ou moins bourbeuse, une dépression qui retient l'eau.La Baraque: Ce toponyme est extrêmement répandu en France, surtout dans le Sud: plus de cent villages et
hameaux portent ce nom.Le mot baraque n'est cependant pas ici à prendre exactement à son sens actuel. Il pouvait en effet désigner,
autrefois, outre une maisonnette, un abri temporaire(pour les bergers ou les travailleurs des champs) ou une
petite auberge rustique, située sur un axe de communication. Le nom a souvent aussi désigné des relais de poste.
Les baraques étaient généralement construites en planches.Le mot baraque apparaît en français vers le XV° siècle; il nous est parvenu par l'italien baracca, emprunté à
l'espagnol barraca (= hutte en torchis); ce dernier mot est lui_même issu de l'ibère barro (= limon), via le
gaulois .A rapprocher de l'Occitan barraca, qui désignait à l'origine une petite cabane, une habitation précaire faite de
feuillages ou de torchis ou une construction en planches.Bel-Air: Le toponyme Bel-Air,qui date des XVIII°-XIX° siècle, est très répandu en France (surtout dans
l'Ouest) puisque plus de 200 villages portent ce nom; celui-ci était généralement appliqué à l'origine à un
manoir, une maison d'agrément ou une grande propriété foncière.Il faut cependant se méfier car, dans de nombreux cas, Bel-Air représente en réalité une corruption de Bel-Herm,
ce dernier mot signifiant au Moyen Âge " lande, terre où rien ne pousse ».Charbonnière:Le nom du village lui-même constitue le meilleur témoignage de son histoire. Il est en effet aisé
de voir qu'il fut fondé autour d'anciennes charbonnières ou charbonneries. Le terme désignait au Moyen Âge la
clairière d'une forêt (que l'on avait parfois défrichée) où des ouvriers fabriquaient du charbon de bois. Celui-ci
était utilisé pour le chauffage et l'alimentation en combustible des forges et des fonderies de fer; les cendres
servaient à la fabrication du verre ou au lavage des tissus.On produisait le charbon dans des meules charbonnières; on entassait des meules de bois de 8 à 30 stères par lits
superposés, on les recouvrait de terre et on les faisait ensuite brûler pendant plusieurs jours; une lente
combustion réduisait le bois en charbon. Après carbonisation, un stère donnait 80Kg de charbon.
Les premières habitations du village étaient les cabanes des ouvriers des charbonneries qui avaient édifié
quelques huttes sur leur lieu de travail.Le mot vient du latin carbo/carbonis (= charbon)
La Grésière:Le toponyme vient d'une forme latine gresaria; de gresum (= terrain rocailleux, caillouteux) +
suffixe -aria (= étendue, espace).On peut le rapprocher du terme français grès qui avait au Moyen Âge le sens de " roche, gravier »(l'acception
moderne date de la Renaissance) ou du mot régional grez/gres qui désigne un terrain pierreux sur un côteau. En
Occitan, le terme gresa ou gresal signifie " terrain pierreux » mais aussi " friche ». En Provence, ce genre de
nom de lieu évoque une terre caillouteuse, une terre d'érosion où on trouve des cailloux arrachés à la colline.
Le tout vient d'un thème gr-/gl-, degré zéro de la racine pré indo-européenne kar/kal-(pierre, rocher)
Le Gua: Gua ou ga constitue la variante en langue d'oc du français " gué ».Il faut se souvenir que, jusqu'au XIII° siècle,les ponts étaient fort rares et que les gués revêtaient donc une
importance considérable pour les communications. Ils constituaient, avec les bacs, les seuls moyens de faire
franchir une rivière aux hommes et aux marchandises.Parfois, pour faciliter la traversée, on construisait des gués empierrés, avec des dalles, des briques ou des galets
retenus par des troncs d'arbres.Les gués très fréquentés faisaient souvent l'objet d'un péage établi par le seigneur local.
Les Révolutionnaires rebaptisèrent l'endroit de Saint Julien du Gua en Le Gua.Intres ou Intras: Comprendre " l'entrée »; le nom doit indiquer que les maisons se trouvaient à l'entrée de ?
Laye: aux V°-VI° siècle, les germaniques introduisirent en Gaule le mot haga qui désignait proprement l'orée
d'un bois ou la partie qui reste d'un bois ayant été partie défriché pour créer de nouvelles terres arables .
Nos ancêtres en firent l'haga ou laga ou laia qui, mal compris par la population rurale, devint au Moyen Âge
la haie.A cette époque, le mot voulait dire " bois » et avait souvent le sens plus spécifique de " bois entouré de haies ».
Une haia était cependant plus petite qu'une forêt ; Le village s'est donc construit à l'emplacement d'une forêt qui
avait été défrichée pour créer de nouvelles terres cultivables.Lichessol: On ignore l'origine de ce nom; Un rapport avec le mot régional liche (= abreuvoir pour bêtes
sauvages) semble peu probable.La Pervenche: le village tire son nom de la végétation qui poussait sur le terrain où il a été construit
La Riaille, ce genre de nom vient du latin rivale (=petit cours d'eau) et désigne généralement un torrent, un gros
ruisseau (parfois asséché à certaines saisons). Rieu= vient de rivus qui désigne normalement une rivière mais
aussi des cours d'eau de moindre importance, des ruisseaux (ceux qui les baptisaient n'ayant pas toujours de
point de comparaison pour savoir si ce qu'ils appelaient rivière en était réellement une).La Rouvière, équivalent français du t d'une forme roboria (la terre où pousse le chêne)
Les Sagnes: Le nom du village indique quelle était la nature du terrain où se sont édifiées les premières
habitations.Il renvoie en effet au mot d'ancien français sagne (sanha en patois) qui désignait autrefois un pré marécageux
ou une terre grasse et humide. Celui-ci est issu du latin sania(=marais bourbeux) et du gaulois san (= terre
humide)Les Suels: on retrouve ici l'occitan suelh(=seuil); le mot possède le sens métaphorique de " plateau, espace
plat ».Mais le nom pourrait aussi évoquer un hameau habité par des membres de la famille Suel. Ce type de toponyme
pose toujours problème car, faute de posséder des formes très anciennes du nom, on a du mal à savoir si on a
affaire directement à un nom de lieu ou à un patronyme dérivé lui-même d'un nom de lieu.
Le Théron:
On retrouve dans ce nom le mot occitan touron ou teron (= source). Le terme désigne plus particulièrement une
source, généralement aménagée avec un ouvrage de maçonnerie, qui ne tarit jamais. On sait quelle importance
pouvait revêtir autrefois la présence d'une source d'eau potable dans le choix du site d'implantation d'un
village.A l'origine, le nom désignait un tronc d'arbre évidé dans lequel on faisait couler de l'eau, un tuyau; par
extension, le terme en est venu à désigner une source. L'idée générale est celle d'eau qui court;
La Trappe:
Ce type de toponyme est très répandu en France, mais il est toujours à prendre avec précaution.
Il peut provenir de la racine gauloise treb(= demeure) passée en occitan sous la forme trap. Le mot désignait à
l'origine une sorte de cabane ou de tente, un abri provisoire; par extension de sens, il est devenu synonyme de
" maison, habitation ».Souvent, cependant, le toponyme a simplement le sens de " piège » et évoque une activité de chasse.
Mais il faut savoir aussi que, dans la France rurale d'autrefois, on appelait trappe une volée de marches
permettant d'accéder à un étang; c'est le cas quand c'est situé à côté de plans d'eau
Le Vernas: voir la Vernade, Vergnes
Le toponyme Vergnes ou Verne représente l'héritage français du mot gaulois vernos (= aulne); cet arbre ne
pousse que dans les endroits très humides; l'aulne possédait également un statut spécial pour les gaulois: il
faisait partie des 7 arbres du bosquet sacré des druides et symbolisait les éléments du feu et de l'eau.
La Vignasse: voir Le Vignal
Le nom du village indique quelle était l'activité de ses premiers habitants. Il faut donc imaginer, à l'époque
médiévale, un groupe de maisons entourées de vignobles, prpbablement étagés sur de petits coteaux bien
exposés au soleil. Le toponyme dérive d'une ancienne forme latine Vinealum du radical Vinea (= vigne).Le suffixe -asse, issu du latin -acia ou -aceum, est souvent à valeur dépréciative, plus rarement augmentative.
2/ D'autres pistes sont trouvées ailleurs (entre autres, "Glossaire du parler des Boutières" d'Etienne
Gamonnet
Arkobü: pontet
Auzène, Auzenet: racine pré-celtique signifiant "le cours d'eau, la source" Blache: endroit où poussent des chênes blancs, pubescentsLes Coins= endroits où une route coupe un bois, lieu retiré, peu fréquenté, dérobé au regard;
Les Farges: lieu ou fut un forgeron (à l'écart du village au Moyen Âge)Les Gerles = cuves, gouffre dans un ruisseau
Peyroulé= petit chaudron, d'où gouffre dans un ruisseau (aux Farges)Intres: Vent du Nord pour Frédéric Mistral
La Pervenche: ce nom ne viendrait pas de la fleur mais de "propinqua"qui signifie "terre proche de la maison"!
Pounard: vient de Pounedou (provençal)= panier où pondent les poules La Pra= prairie généralement près d'un ruisseau, grande et pas trop en penteSerre, Serret= crête en dos d'âne, croupe
La Tranchée= terme ancien ayant signifié "chemin dans la forêt"quotesdbs_dbs43.pdfusesText_43[PDF] toponymie noms de lieux en france
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