Les effectifs détudiants dans le supérieur en 2011 : les étudiants n
Les STS sont en forte hausse les plus fortes augmentations d'effectifs. ... dans le supérieur en 2009 : la plus forte progression depuis 1993 » ...
Table de spécification de lépreuve de mathématiques
EFFECTIFS D'ELEVES EN FORMATIONS GENERALE ET. PROFESSIONNELLE . adaptations la plus importante étant la réforme EVM (Ecole Vaudoise en Mutation).
Organisation de coopération et de développement économiques
En 2009 l'activité économique s'est fortement détériorée en Suisse. Le recul de l'activité éco- plus d'étrangers par rapport à leur population totale.
Les effectifs détudiants dans le supérieur en 2014-2015 en forte
La proportion d'étudiantes n'a ensuite que très modérément progressé. (+ 07 point depuis 2000). La progression est la plus importante dans les formations d'
Perspectives scolaires Evolution estimée de la démographie
res) ont été conçues pour pouvoir être lues de manière indépendante d'où Les Suisses quant à eux sont plus nombreux à quitter le canton depuis. 1993.
Formations artistiques culturelles et en communication en 2009
Les effectifs d'étudiants dans le supérieur en 2009 : la plus forte progression depuis 1993 » Note d'information enseignement supérieur et recherche 10.08
Les effectifs détudiants dans le supérieur en 2019-2020 en
Cet accrois- sement est nettement supérieur à celui observé sur les cinq années précédentes avec 154 000 étudiants de plus entre 2009 et 2014. Augmentation d'
état du sup 2009.indd
proportion d'étrangers la plus forte de l'enseignement supérieur (164 %). Cette part a progressé de 7
Les étudiants africains dans lenseignement supérieur suisse Pays d
5 Nov 2018 nombre d'étudiants africains en Suisse durant ces dernières années les ... plus forte augmentation étant enregistrée entre 2010 et 2014.
Repères et références statistiques édition 2021 - Chapitre 6
À la rentrée 2020 on recense 2 785 000 inscriptions d'étudiants dans l'enseignement supérieur en France métropolitaine et dans les dROM
France métropolitaine et dans les dépar-
tements d'outre-mer (DOM) (tableau 1).Le nombre d'étudiants inscrits dans l'en-
seignement supérieur en France a aug- menté pour la troisième année consécutive (+ 1,2 %, soit 28 180 étudiants de plus qu'en 2010)les étudiants n'ont jamais été aussi nombreux en France.
Un af?ux de nouveaux
bacheliers professionnelsPlus d'un tiers de cette croissance est dû
aux bacheliers professionnels de la ses- sion 2011 (tableau 2). Plus nombreux que les années précédentes suite à la réforme de ce baccalauréat, ils sont aussi plus nombreux, en proportion, à s'engager dans des études supérieures, même si leur taux de poursuite est très inférieur à celui des bacheliers technologiques et généraux.Au ?nal, le nombre de bacheliers profes-
sionnels qui sont entrés dans l'enseigne- ment supérieur a augmenté de 12 700 en2011. Dans le même temps, le nombre de
nouveaux bacheliers dans l'enseignement supérieur issus des séries générales est resté stable et celui des bacheliers techno- logiques a diminué.28,5 % des bacheliers professionnels de
2011 ont entrepris des études supérieures
(hors alternance). Les sections de techni-ciens supérieurs (STS) constituent la ?lière qui accueille la plus grande part des bache-
liers professionnels (18,8 % de ces bache- liers), avant les disciplines générales de l'université hors instituts universitaires de technologie (IUT) (7,8 %).Les STS sont en forte hausse,
les CPGE progressent faiblement et les IUT continuent leur baisseL'effectif des STS augmente plus forte-
ment qu'en 2010 avec une progression de1,6 % (dont 0,2 point en raison de l'inclu-
sion de Mayotte). Les STS et assimilés restent majoritairement fréquentées par les bacheliers technologiques, même si leur part est en légère baisse (- 3,2 points) : i ls représentent 41,5 % des effectifs totaux des entrants alors qu'ils constituent seu- lement 22,7 % des admis au baccalauréat2011. La part des bacheliers professionnels
augmente nettement par rapport à 201021,7 % contre 16,6 %. Celle des bacheliers
généraux diminue (- 0,8 point) et est désor- mais inférieure de 2,8 points à celle des bacheliers professionnels.Pour la troisième année consécutive, le
nombre d'étudiants inscrits en diplôme uni- versitaire de technologie (DUT) diminue, très légèrement cette année (- 0,6 %) 1 , confor-Enseignement supérieur & Recherche
note d'Les effectifs d'étudiants dans le supérieur en 2011 les étudiants n'ont jamais été aussi nombreux en France 12.14DÉCEMBRE
Les étudiants dans l'enseignement
supérieur en France métropolitaine et dans les départements d'outre-mer n'ont jamais été aussi nombreux : près de 2 350000
à la rentrée 2011. Leur nombre a
continué à progresser (+ 1,2 %), en particulier grâce à un af?ux de nouveaux bacheliers.L'augmentation des effectifs
demeure particulièrement élevée pour les écoles de commerce reconnues à diplôme visé et lesécoles d'ingénieurs. La diminution
des effectifs amorcée l'an dernier pour les instituts universitaires de technologie et pour les entrants en classes préparatoires se con?rme. L'enseignement privé se renforce encore et représente plus d'un étudiant sur six.Les femmes demeurent
plus souvent diplômées de l'enseignement supérieur que les hommes.Le nombre d'étudiants étrangers
progresse (+ 1,3 %) dans la même proportion que celui des étudiants français : les étudiants étrangers représentent un étudiant sur huit. Le nombre d'étudiants chinois est reparti légèrementà la hausse
2 %. Les trois
quarts des académies gagnent des étudiants. 1.Y compris université de Lorraine.
Plus de nouveaux
bacheliers à l'université dans les disciplines généralesL'université (hors IUT et formations d'in-
génieurs) voit ses effectifs diminuer de2,3 % (1 269 600 étudiants en 2011, contre
1 299 800 en 2010)
(graphique 1 ). Cette baisse des effectifs universitaires est due note d'information 12.14 Page 2TABLEAU 2 - Les principales contributions aux évolutions entre 2010 et 2011 (France métropolitaine + DOM)
Formations du supérieur 2010 2011Évolution
2011/2010
absolueÉvolution2011/2010
relative (en %)Contribution absolue (2) T otal universités1437 104
1400 387
-36 717-2,6 -1,6 dont filières générales des universités (hors form ations d'ingénieurs et formations de santé)1
096 847
1070 550
-26 297-2,4 -1,1 dont formations de santé universitaires (1)202 916
199
076
-3 840
-1,9 -0,2
Filières écoles et grands
établissements
353789
407
551
53
762
15,2 2,3
IUT et STS358
723356
554
-2 169
-0,6 -0,1
Autres formations307
352314
076
6 724
2,2 0,3
Ensemble du supérieur 2
319 627
2347 807
28180
1,2 1,2
- dont nouveaux bacheliers 414 817424
346
9 529
2,3 0,4
- dont étudiants étrangers 284 945288
544
3 599
1,3 0,2
(1) Seulement les étudiants préparant un diplôme habilité nationalement.(2) La contribution absolue correspond au rapport entre l'évolution 2011/2010 et l'ensemble des effectifs du supérieur en 2010.
Sources : MESR-DGESIP-DGRI-SIES et MEN-MESR-DEPP
tant cependant la baisse plus marquée de la rentrée 2010 (- 1,4 %). Cette baisse concerne surtout le secteur " Pr oduction - 1,3 %), alors que le secteur " Se rvices r este stable (- 0,1 %).Le nombre d'étudiants progresse de 0,7 %
en classes préparatoires aux grandesécoles (CPGE). L'augmentation des effec-
tifs en classes préparatoires s'observe dans toutes les filières. La hausse se ressent essentiellement en seconde année (+ 0,9 % par rapport à 2010), alors que les inscrip- tions en première année baissent (- 0,6 %).Écoles d'ingénieurs
et de commerce toujours attractivesComme en 2010-2011, ce sont les écoles
de commerce reconnues à diplôme visé (+ 5,6 %) et les écoles d'ingénieurs non universitaires (+ 5,2 %) qui enregistrent les plus fortes augmentations d'effectifs.Entre 2010 et 2011, les inscriptions dans les
formations d'ingénieurs ont augmenté de3,9 %. Depuis les années quatre-vingt-dix,
elles ont connu une progression importante (+ 127 % entre 1990 et 2011). À la rentrée2011, le nombre d'étudiants augmente for-
tement dans les établissements d'ensei- gnement universitaire privés (+ 7,1 %), et les écoles de commerce, gestion, vente et comptabilité (+ 6,7 %). Comme les forma- tions d'ingénieurs, les écoles de commerce et de gestion ont connu un essor important depuis les années quatre-vingt-dix (+ 174 % entre 1990 et 2011). TABLEAU 1 - Effectifs de l'enseignement supérieur (France métropolitaine + DOM)Type d'établissementEffectifsPart des
femmes 1990-1991 1995-
19962005-
20062006-
20072007-
20082008-
20092009-
20102010-
20112011-
20122011-
2012Universités (y compris IUT et
formations d'ingénieurs)1 159 937 1458 715
1421 719
1399 177
1363 750
1404 376
1444 583
1437 104
1400 38757,2
dont disciplines générales et de santé (hors IUT , IUFM et formations d'ingénieurs) 1075 064
1338 091
1283 516
1259 425
1221 113
1203 288
1247 627
1299 763
1269 62658,7
- dont IUFM62 54458
518
Écoles normales d'instituteurs (post-bac), CREPS16 500
IUFM total (1) 86
06881
565
74
161
70
100
64
037
59
953
IUT (2)74
328103
092
112
597
113
769
116
223
118
115
118
139
116
476
110
52939,9
STS et assimilés199
333226
254
230
403
228
329
230
877
234
164
240
322
242
247
246
02551,1
Écoles paramédicales et sociales hors université (3)74 43590
658
131
654
131
100
134
407
137
165
136
164
137
370
137
37083,3
Formations d'ingénieurs (4)57
65379
780
108
057
108
846
108
773
114
086
121
398
126
156
131
01526,8
- universitaires10 54517 532
25
606
25
983
26
414
20 429
20 299
20 865
20
23227,0
- non universitaires47 10862
248
82
451
82
quotesdbs_dbs33.pdfusesText_39
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