Conduite à tenir devant une crise dasthme aigu grave de ladulte
Révision de la troisième conférence de consensus en réanimation et médecine d'urgence de 1988: prise en charge des crises d'asthme aiguës graves de l'adulte et
SRLF
12 juin 2018 française (SRLF) sur l'asthme aigu grave chez l'adulte date de 2002. ... de magnésium dans la crise d'asthme modérée à sévère de l'enfant ...
Prise en charge de la crise dasthme de lenfant (nourrisson inclus)
Des facteurs de risque d'asthme aigu grave (AAG) extrême de la crise il faut tenir compte dans la décision ... Une étude récente chez l'adulte mon-.
PRISE EN CHARGE DE LASTHME AIGU GRAVE
passages dans les services d'urgences adultes. 4 - La majorité des crises graves est traitée en ambulatoire. 5 - La mortalité de l'asthme en France est en
Item 184 ASTHME DE LADULTE
Symptômes d'asthme (terme à préférer à celui de crise d'asthme telle que Tableau 2 : Facteurs de risque d'asthme aigu grave et de mort par asthme.
Asthme aigu grave
Éléments de gravité d'une crise d'asthme ou à risque de le devenir Item 354. Détresse respiratoire aiguë du nourrisson de l'enfant et de l'adulte ...
Asthme-et-urgence.pdf
Antécédent d'asthme aigu grave avec séjour en réanimation des crises d'asthme aiguës graves de l'adulte et de l'enfant Réanimation 2002;12:1-9. Bhakta.
Mise à jour des recommandations (2021) pour la prise en charge et
21 déc. 2021 B2CDA à la demande pour traiter la crise d'asthme et ... enfant ou adulte. ... la conduite à tenir (augmentation du traitement broncho-.
Recommandations pour le suivi médical des patients asthmatiques
Recommandations pour le suivi médical des patients asthmatiques adultes et de définir les patients à risque d'asthme aigu grave et de mort par asthme ;.
Éducation thérapeutique du patient asthmatique – Adulte et
PATIENT ASTHMATIQUE. ADULTE ET ADOLESCENT d'asthme aigu grave. ... Expliquer à l'entourage la maladie et la conduite à tenir lors d'une crise d'asthme.
![PRISE EN CHARGE DE LASTHME AIGU GRAVE PRISE EN CHARGE DE LASTHME AIGU GRAVE](https://pdfprof.com/Listes/16/22903-16PMU-2012-4-asthme.pdf.pdf.jpg)
PRISE EN CHARGE
DE L'ASTHME AIGU GRAVE
Dr Jean-Michel ROBERT
Service de réanimation médicale
Hôpital Edouard Herriot
Printemps 2012 de la mĠdecine d'urgence
Ecole Normale Supérieure, 15 mai 2012
Le cas
dyspnée croissante depuis plusieurs jours. Son seul traitement est de la Ventoline,de 20 bouffées ces dernières heures sans efficacité, et avoir déjà du être hospitalisé
au dĠcours d'une crise d'asthme.Epidémiologie
1 - L'incidence de l'asthme au niǀeau mondial est en baisse ces 30
dernières années2 - En France l'incidence de l'asthme chez les adolescents a augmentĠ
de 30 à 50 % en 20 ans3 - Le motif de consultation crise d'asthme reprĠsente 1 й des
passages dans les serǀices d'urgences adultes4 - La majorité des crises graves est traitée en ambulatoire
5 - La mortalitĠ de l'asthme en France est en diminution
Epidémiologie
Dans l'ensemble de l'Europe occidentale, l'incidence de l'asthme a doublĠ en 10 ans Audž USA, en 30 ans l'incidence de l'asthme a augmenté de 60 % .2.En France il naît toutes les 10 minutes un nouvel asthmatique. La prévalence est de 3.5 millions
scolaire 3. Les recours pour asthme dans les serǀices des urgences d'2le de France, 2006-2007; BEH 2009 (3,5%) (1%) = 1 500 000 passagesEpidémiologie
Les recours pour asthme dans les serǀices des urgences d'2le de France, 2006-2007; BEH 2009 (15%)Epidémiologie
1.Dans l'ensemble de l'Europe occidentale, l'incidence de l'asthme a doublĠ en 10 ans; elle a été multipliée par 5 en Suisse en 30 ans
Audž USA, en 30 ans l'incidence de l'asthme a augmenté de 60 % et les décès ont doublé.
2.En France il naît toutes les 10 minutes un nouvel asthmatique
3.4. Les recours pour asthme dans les serǀices des urgences d'2le de France, 2006-2007; BEH 2009
On estime que l'asthme sĠǀğre reprĠsente 200 000 passages aux urgences / 100 000 hospitalisations En 97-98 : 75 % des asthmes aux urgences présentaient des critères de gravité1 sur 4 était un AAG
54 й d'hospitalisation
Î Effet de la standardisation de la prise en charge: Patients mieux évalués (même proportion de
patients graves)Seuls 40 % sont hospitalisés
Etudes ASUR - ASUR 2, ǀers une standardisation de la prise en charge de l'AAG audž urgences; Rev Mal Respr 2005.
Epidémiologie
5.Eǀolution du taudž de mortalitĠ de l'asthme aigu, 1980-2005:
0 1 2 3 4 5 6 7198019861990200020012002200320042005
0 1 2 3 4 5 6 7 Evolution de la mortalité par asthme en France. Rev Mal Respir 2008 ; 25 : 814-20Taux de mortalité / 100 000
1586 1440 1359 1353 1099 1129
Le cas continue
40 par minute. La saturation en oxygène en air ambiant est à 89 %. Le débit
expiratoire de pointe que vous mesurez est à 200 L/min soit 35 % de la valeur théorique. prendre que de façon épisodique. il vous rapporte en avoir pris plus de 20 bouffées de cesderniğres heures sans efficacitĠ, et aǀoir dĠjă du ġtre hospitalisĠ au dĠcours d'une crise
Evaluation
1 - Un antécédent de crise grave est un critère fort de sévérité lors de
2 - L'Ġǀaluation de la sĠǀĠritĠ d'une crise d'asthme est essentiellement
clinique3 - Une normocapnie aux gaz du sang artériel est rassurante
4 - La mesure du débit expiratoire de pointe (DEP) est un apport
important dans l'Ġǀaluation de la graǀitĠ d'une criseEvaluation
1.Facteurs de risque de ou sont bien identifiés:
Hodder RH, Lougheed MD et al: Management of acute asthma in adults in the emergency department. CMAJ 2009.
Turner et al: Risk factor for near fatal asthma, a case control study. AJRCCM 1998.Multiples passages aux urgences pour asthme
AntĠcĠdent d'hospitalisation pour asthme
Antécédent de séjour en réanimation / ventilation mécaniqueBrutalité d'apparition de la crise
Utilisation des traitements:
Pas de prise de corticoïdes inhalés dans le traitement de fondFacteurs liés aux médecins:
Mauǀaise Ġǀaluation de la graǀitĠ de l'asthme ͬ de la criseRetard ă l'intubation
Evaluation
EDUCATION
ADMISSION
RAPIDE à
Evaluation
2.Critères de gravité de la crise sont cliniques
Difficultés à parler
Anxiété
Agitation
Sueurs profuses
ImpossibilitĠ de s'allonger
Signes classiques de détresse respiratoire
Silence auscultatoire
Spirométrie
Evaluation
L'apparition d'une voire une
sont des signes de graǀitĠ indiscutable, et tĠmoignent d'un Ġpuisement respiratoire et" La saturation en oxygène doit être monitorée en continu, la cyanose cutanée étant un
Hodder RH, Lougheed MD et al: Management of acute asthma in adults in the emergency department. CMAJ 2009.
Evaluation
3. Une hypocapnie / alcalose respiratoire est normale
L'apparition d'une normocapnie / la normalisation du pH voire une acidose respiratoire sont des signes de graǀitĠ indiscutable, et tĠmoignent d'un Ġpuisement respiratoire etE L'HER͗ rĠǀision de la 3ğme confĠrence de consensus͗ PEC de l'AAG. RĠanimation 2002.
" La saturation en oxygène doit être monitorée en continu, la cyanose cutanée étant un
4.La spirométrie͗ mesure objectiǀe du niǀeau d'obstruction
-> un patient " rassurant » peut avoir une obstruction sévèreHodder RH, Lougheed MD et al: Management of acute asthma in adults in the emergency department. CMAJ 2009.
Exemple canadien:
Triage Orienté selon les Raisons de Visites (TORV 2008)Niveau
ETGNiveau de détresse respiratoire
Saturation
en O2 DEP valeur prédite 1 Sévère: Fatigue liée à un travail ventilatoire laborieux, cyanose, phrases à un mot, incapacité de parler, obstruction des voies aériennes supérieures, léthargie ou confusion <90% - 2Modéré: Augmentation du travail
ventilatoire , phrases complètes ou coupées, perméabilité des voies aériennes préservées <92% <40% 3 Léger / modéré: Dyspnée, tachypnée, essoufflement ă l'effort, pas d'augmentation du travail ventilatoire évidente, capable de faire des phrases complètes, stridor sans signe Ġǀident d'obstruction.92 - 94% 40 -
60%1 SV 2 SV
2 asthmatique connu avec VEMS ou DEP <
40% prévu (sévère)
3 SV3 asthmatique connu avec VEMS ou DEP 40-
60 % prévu (modéré)
4 SV4 asthmatique connu avec VEMS ou DEP >
60 % prévu (léger)
4 Dyspnée mineure
Dyspnée aigue
Evaluation
3. Une hypocapnie / alcalose respiratoire est normale
L'apparition d'une normocapnie ͬ la normalisation du pH ǀoire une acidose respiratoire sont des signes de graǀitĠ
2002." La saturation en odžygğne doit ġtre monitorĠe en continu, la cyanose cutanĠe Ġtant un signe d'apparition tardiǀe
4.La spiromĠtrie est une mesure objectiǀe du niǀeau d'obstruction
-> un patient " rassurant » peut avoir une obstruction sévère Amélioration de la mesure du DEP entre ASUR et ASUR 2: plus de 90% des patients à l'arriǀĠe, puis au cours du traitement.Peak-flow < 150 L/min ou < 30 % de la valeur théorique (http://www.sfmu.org/calculateurs/DEP.htm
Hodder RH, Lougheed MD et al: Management of acute asthma in adults in the emergency department. CMAJ 2009.
Etudes ASUR
Molfino NA, Slutsky AS: Near fatal asthma. Eur Respir J 1994.Evaluation
E L'HER͗ rĠǀision de la 3ğme confĠrence de consensus͗ PEC de l'AAG. RĠanimation 2002.
DEP30 % 50 % 70 %
Critğre d'AAG
Evaluation
E L'HER͗ rĠǀision de la 3ğme confĠrence de consensus͗ PEC de l'AAG. RĠanimation 2002.
30 % 50 % 70 %
Critğre d'AAG
significative après traitement -> hospitalisation en USC / réanimationEvaluation
E L'HER͗ rĠǀision de la 3ğme confĠrence de consensus͗ PEC de l'AAG. RĠanimation 2002.
30 % 50 % 70 %
Critğre d'AAG
Persistance d'une obstruction significatiǀe
après traitement -> hospitalisation en USC / réanimationSortie possible,
en fonction du terrain et de l'obserǀance du patientEvaluation
E L'HER͗ rĠǀision de la 3ğme confĠrence de consensus͗ PEC de l'AAG. RĠanimation 2002.
30 % 50 % 70 %
Critğre d'AAG
Persistance d'une obstruction significatiǀe
après traitement -> hospitalisation en USC / réanimationSortie possible,
en fonction du terrain et de l'obserǀance du patient sous traitement -> Hospitalisation indiquée en médecineLes traitements de l'asthme aigu graǀe
1 - Le traitement de l'asthme aigu graǀe est administrĠ
exclusivement par voie inhalée inhalée en cas de crise grave3 - Les corticoïdes par voie générale ne sont pas systématiques en
première intention4 - Les anti cholinergiques doivent être associés aux ß-2 mimétiques à
la phase aigue5 - Le sulfate de magnĠsium est recommandĠ dans l'AAG
6 - L'hĠlium n'a pas sa place dans le traitement de l'AAG audž urgences
ɴ-2 mimétiques: salbutamol
Travers AA et al: Intravenous beta2-agonists for acute asthma in the emergency department. Cochrane Database of Systematic Reviews 2001.
Amélioration du débit expiratoire de pointe
ǀolution de l'odžygĠnation
Taudž d'Ġchec au traitement
Fréquence cardiaque
Î AUCUNE DIFFERENCE
inhalés / intra veineuxE L'HER͗ rĠǀision de la 3ğme confĠrence de consensus͗ PEC de l'AAG. RĠanimation 2002.
La ǀoie inhalĠe est la modalitĠ Ġlectiǀe d'administration. La supĠrioritĠ de la nĠbulisation par
rapport à la voie IV est établie en terme de rapport efficacité/tolérance dans le traitement initial
de l'AAG » Niveau 1-aPréférence pour la nébulisation
Administration continue = discontinue à dose cumulée identiqueLa corticothérapie
la voie orale.DĠlais d'action de 6 ă 8 heures
Rowe BH, et al: Early emergency department treatment of acute asthma with systemic corticosteroids. Cochrane Database of Systematic Reviews 2001,
E L'HER͗ rĠǀision de la 3ğme confĠrence de consensus͗ PEC de l'AAG. RĠanimation 2002.
3 nébulisations de 500 µg dans la première heure »
Niveau 3-c
E L'HER͗ rĠǀision de la 3ğme confĠrence de consensus͗ PEC de l'AAG. RĠanimation 2002.
Traitements de seconde intention
с Au delă de la premiğre heure, aprğs la rĠalisation d'aĠrosols de t-2 mimétiques / anti
cholinergiques, et de la corticothérapie systémique.E L'HER͗ rĠǀision de la 3ğme confĠrence de consensus͗ PEC de l'AAG. RĠanimation 2002.
Le sulfate de magnésium possède une action bronchodilatatrice par son effet anti calcique Administration réservées aux formes les plus graves (DEP < 30%)2 g IV lente sur 20 minutes
Le mélange hélium oxygène: substitution de l'hĠlium ă l'azote du gaz vecteur donc meilleure administration des traitements inhalés.Peu réalisable aux urgences
AE Non recommandé
Le cas continue
MalgrĠ la prise en charge agressiǀe et la rĠalisation rĠpĠtĠe d'aĠrosols, le patient reste très dyspnéique, hypoxique sous une oxygénothérapie à 15 L/min, et commence à présenter des troubles de vigilance. Votre dernier débit expiratoire de pointe était à 175 L/min. Les gaz du sang retrouvent un pH à 7,19 et une capnie à 60 mmHg. prendre que de façon épisodique. il vous rapporte en avoir pris plus de 20 bouffées de cesderniğres heures sans efficacitĠ, et aǀoir dĠjă du ġtre hospitalisĠ au dĠcours d'une crise
d'asthme.saturation en oxygène en air ambiant est à 89 %. Le débit expiratoire de pointe que vous mesurez
est à 200 L/min soit 35 % de la théorique.Prise en charge ventilatoire (1/2)
d'hypoǀentilation alǀĠolaire complications4 - La kĠtamine est une alternatiǀe intĠressante ă l'Ġtomidate dans
cette situation5 - Le diamğtre de la sonde d'intubation utilisĠe est un paramğtre
important1 - L'utilisation de la ǀentilation non inǀasiǀe dans l'AAG est
Non réponse aux traitements (ɴ-2 mimétiques, anticholinergiques, corticoides, magnésium) Aggravation clinique avec épuisement (+++), troubles de vigilance, bradypnée - Pré-oxygénation en position assise - Induction séquence rapide: étomidate ou kétamine (2-3 mg/kg) + succinylcholine - Sonde d'intubation du plus grand diamğtre possibleVentilation
Le cas continue
Sous ventilation mécanique, la respiration est très anarchique et la saturation ne remonte pas au dessus de 85%. Brutalement, le patient présente une dĠsaturation ă 60й rapidement suiǀie d'une bradycardie et d'une pression artérielle imprenable. prendre que de façon épisodique. il vous rapporte en avoir pris plus de 20 bouffées de cesderniğres heures sans efficacitĠ, et aǀoir dĠjă du ġtre hospitalisĠ au dĠcours d'une crise
d'asthme.saturation en oxygène en air ambiant est à 89 %. Le débit expiratoire de pointe que vous mesurez
est à 200 L/min soit 35 % de la théorique.MalgrĠ la prise en charge agressiǀe et la rĠalisation rĠpĠtĠe d'aĠrosols, le patient reste trğs dyspnéique, hypoxique malgré une oxygénothérapie à 15 L/min, et commence à présenter des troubles de vigilance. Votre dernier débit expiratoire de pointe était à 175 L/min.
Les gaz du sang retrouvent un pH à 7,19 et une capnie à 60 mmHg.Prise en charge ventilatoire (2/2)
respiratoire2 - Les réglages initiaux comprennent une fréquence respiratoire
basse et un temps inspiratoire court3 - Le risque majeur des AAG en ventilation mécanique est le
4 - Le monitorage des pressions se fait sur la pression inspiratoire de
pointe5 - L'utilisation des curares doit ġtre large ă la phase initiale
tamponnade gazeuseOXYGENER
LIMITER L'HYPERINFLATION DYNAMIYUE
Fréquence respiratoire à 6-8 cycles par minute Temps expiratoire long +++: débit inspiratoire élevé (> 60-70 l/min) temps inspiratoire court (< 1- 1.5 seconde) -> i/e > 1/4Pressions inspiratoires de plateau < 30-35 cmH2O
volume courant: 6 ml / kgPEP: 2-3 cmH2O
Limiter au madžimum les rĠsistances edžpiratoires͗ taille de la sonde d'intubation Adaptation au ventilateur : sédation profonde + curarisation initialeVentiler en oxygène pur
Le barotraumatisme
=Tamponnade gazeuse expiration incomplète du volume inspiré (résistances bronchiques)Retentissement hémodynamique +++
Pneumothorax
En résumé
Evaluation de la gravité
Traitement aux urgences
Intubation
Ventilation mécanique
En résumé
Evaluation de la gravité
Traitement aux urgences
Intubation
Ventilation mécanique
Observance (prise de corticoïdes)
Mesure du DEP
Gazométrie artérielle
En résumé
Evaluation de la gravité
Traitement aux urgences
Echec des traitements
Ventilation mécanique
Oxygénothérapie (SpO > 92 %)
Salbutamol + anticholinergiques inhalés
Corticothérapie (systémique)
Magnésium (formes graves / 2ème intention)
Hélium / théophilline = 0
En résumé
Evaluation de la gravité
Traitement aux urgences
Echec des traitements
Ventilation mécanique
Induction en séquence rapide (modifiée ?)
En résumé
Evaluation de la gravité
Traitement aux urgences
Intubation
Ventilation mécanique
Sédation profonde +/- curarisation
Fréquence respiratoire basse
Expiration allongée
Pression plateau << 35 cmH2O = Vt 6ml/kg
Conclusion (1/2)
P. Plaisance͗ Asthme aigu graǀe de l'adulte. ConfĠrences d'actualisation,51ème congrğs d'anesthĠsie rĠanimation, 2009
Conclusion (2/2)
P. Plaisance͗ Asthme aigu graǀe de l'adulte. ConfĠrences d'actualisation, 51ème congrğs d'anesthĠsie rĠanimation, 2009
quotesdbs_dbs29.pdfusesText_35[PDF] ETUDE DE DOCUMENTS : LA CRISE DE CUBA, LA IIIème - Lyon
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