De Molière (1622-1673) Un spectacle de Macha Makeïeff
26 nov. 2021 il le fait dans L'Ecole des femmes où la lecture des maximes diffuse ... sur tout l'habit » selon Molière dans le Second Placet de Molière.
Lycée Fresnel Caen Seconde 9 2015-2016 Abécédaire franco
http://www.assistancescolaire.com/eleve/2nde/francais/reviser-le-cours/les-caracteristiques- Exemple : Arnolphe dans Molière L'Ecole des Femmes
De Molière (1622-1673) Un spectacle de Macha Makeïeff
26 nov. 2021 il le fait dans L'Ecole des femmes où la lecture des maximes diffuse ... sur tout l'habit » selon Molière dans le Second Placet de Molière.
PHÈDRE TRAGÉDIE
Leur théâtre était une école où la vertu n'était pas moins bien enseignée que dans les écoles des Oenone et ne suis point de ces femmes hardies
Documents pour lhistoire du français langue étrangère ou seconde
1 janv. 2018 La culture dans l'enseignement du français langue ... Nadéjda Kriajeva « Les langues vivantes à l'école russe après la réforme de 1871 ...
Lenfant lecole et la lecture
dans les pays catholiques. Second outil l'ABC
Art de Yasmina Reza (Fiche de lecture)
Yasmina Reza est aujourd'hui l'auteur français contemporain le plus joué dans le monde. enterrement lui vaut le « Molière » du meilleur auteur en 1987.
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1 juin 2012 écoles de jeunes filles en Hongrie au tournant du XIXe et sur l'École Nouvelle (1914-1949). Helga Zsák. Femmes et traduction.
Ce document est le fruit dun long travail approuvé par le jury de
La littérature en langue française est riche de plusieurs espaces Hautes Etudes (EPHE) et l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS).
Le dialogue éducatif des Lumières: innovations permanences et
6 nov. 2017 français. L'audace des écoles de Port-Royal et des collèges de l'Oratoire se ramène à augmenter la part des mathématiques et de l'histoire ...
Documents pour l'histoire du français langue
étrangère ou seconde
47-48 | 2012
Voix Féminines. Ève et les langues dans l'Europe moderneÉdition
électronique
URL : https://journals.openedition.org/dhfles/3112DOI : 10.4000/dhfles.3112
ISSN : 2221-4038
Éditeur
Société Internationale pour l'Histoire du Français Langue Étrangère ou SecondeÉdition
impriméeDate de publication : 1 juin 2012
ISSN : 0992-7654
Référence
électronique
Documents pour l'histoire du français langue étrangère ou seconde , 47-482012, "
Voix Féminines. Ève et
les langues dans l'Europe moderne » [En ligne], mis en ligne le 25 novembre 2015, consulté le 25 mars2023. URL
: https://journals.openedition.org/dhfles/3112 ; DOI : https://doi.org/10.4000/dhfles.3112 Ce document a été généré automatiquement le 25 mars 2023.Tous droits réservés
NOTE DE LA RÉDACTIONNuméro coordonné par Irene FINOTTI et Nadia MINERVA Responsable de l'édition en ligne: Javier Suso López Documents pour l'histoire du français langue étrangère ou seconde, 47-48 | 20121SOMMAIREPrésentationPrésentationIrene Finotti et Nadia MinervaLa grammaire des damesÀ propos d'une histoire des " Grammaires des Dames ». Réflexions théoriques et approchesempiriquesGabriele Beck-BusseAvec quels ouvrages les femmes apprenaient (et enseignaient) les langues ? Bibliographieraisonnée(XVe-XIXe siècles)
Maria Eugenia Fernández Fraile
Le rôle des Grammaires destinées aux dames dans la disciplinarisation du français (XVIIIe siècle)Javier Suso López
Femmes grammairiennes ? Les Lettres de Mademoiselle*** à Monsieur*** Professeur de Rhetorique [...] sur la Langue Françoise (1756)Nadia Minerva
Représentations du féminin
Liber iste vocatur femina... Le français et les dames dans l'Angleterre du XVe siècleMaria Colombo Timelli et & Giovanni Iamartino
Représentations du féminin dans les ouvrages pour l'enseignement du français aux Pays-Bas (XVIe-XIXe siècles) : les élèvesMadeleine Van Strien-Chardonneau
Les discours de et sur la femme éducatrice dans les ouvrages pour l'enseignement du français aux Pays-Bas (XVIe-XIXe siècles)Marie-Christine Kok Escalle
Le modèle éducatif et les langues
Femmes lectrices / femmes apprenantes : le rôle et la place de la femme dans l'enseignement du français en Espagne aux XVIIIe et XIXe sièclesAlicia Piquer Desvaux
Enseignement féminin et apprentissage du français en Grèce au XIXe siècleDespina Provata
Documents pour l'histoire du français langue étrangère ou seconde, 47-48 | 20122 L'enseignement du français au féminin au Portugal au XIXe siècleAna Clara Santos
L'éducation de l'élite féminine dans l'Empire Ottoman au XIXe siècle : Le Pensionnat de filles
de Notre-Dame de Sion d'Istanbul (1856)Suna Timur Agildere
Littérature, féminisme et connaissance de langues : à propos d'Emilia Pardo BazánJuan Francisco García Bascuñana
Méthodes au féminin
Quelle " méthode » pour enseigner le français aux jeunes filles flamandes dans les Pays-Bas autrichiens ? Les choix de l'abbé Taffin dans sa Grammaire française de 1727Michel Berré
Les cahiers d'exercices de français de la grande-duchesse Marie-Caroline de Habsbourg-Lorraine
Maria Luisa Cappello
Influence des méthodologies françaises et suisses sur l'enseignement des langues dans les écoles de jeunes filles en Hongrie au tournant du XIXe et sur l'École Nouvelle (1914-1949)Helga Zsák
Femmes et traduction
Femme et bilinguisme : La Institutione di una fanciulla nata nobilmente / L'institution d'une fille de noble maison (Anvers, 1555)Irene Finotti
Poil de Carotte et ses traductions italiennes au féminin : l'évolution d'un classique littéraireChiara Elefante
Femmes et lexicographie
Les dénominations de la femme dans la lexicographie francophone du XIX e siècle (Suisse etBelgique)
Cristina Brancaglion
L'image de la femme à travers des portraits de femmes dans le Grand Dictionnaire Français-Italien et Italien-Français de C. Ferrari et J. Caccia (1874)Michela Murano
Femmes lexicographes dans la première moitié du XXe siècleJacqueline Lillo
Documents pour l'histoire du français langue étrangère ou seconde, 47-48 | 20123Présentation
Documents pour l'histoire du français langue étrangère ou seconde, 47-48 | 20124PrésentationIrene Finotti et Nadia Minerva
1 Quelles ont été les compétences linguistiques des femmes ? Quelles modalités
d'enseignement de la langue maternelle ou des langues étrangères ont été conçues pour elles ? Quelles ont été les finalités implicites ou explicites de cet apprentissage ? Dans quels lieux (couvents, collèges, institutions publiques ou privées) ont-elles été formées ? Quels manuels ont été spécialement élaborés pour elles ? Et, comment ces textes ont-ils véhiculé et accentué les stéréotypes sur les femmes ?... Autant de questions qui ont animé les journées d'étude de Gargnano dont ce numéro double de Documents réunit la plupart des communications, ainsi qu'une conférence plénière, ayant trait au français.2 Ce Colloque international - " Voix féminines : femmes et langues étrangères dans
l'Europe moderne » - s'est tenu les 6-8 juin 2011. Il a été organisé conjointement par le
Département d'études linguistiques et littératures comparées de l'Université de Milan et le CIRSIL (Centro Interuniversitario di Ricerca sulla Storia degli InsegnamentiLinguistici), en collaboration avec la SIHFLES
et d'autres associations soeurs faisant partie du réseau de recherche sur l'histoire de l'enseignement/apprentissage des langues étrangères en Europe : le PHG néerlandais, l'APHELLE portugaise et la SEHEL espagnole.3 Les femmes en tant qu'apprenantes, locutrices ou professionnelles de la langue
étrangère ont été au coeur de ce Colloque. Et, un des résultats que nous tenons à anticiper est que les femmes ont contribué de manière essentielle à la francisation de leur milieu familial et social.4 Les femmes ont toujours été considérées comme particulièrement douées pour leslangues, à un tel point que les compétences linguistiques sont devenues un attribut de
la féminité. Dans la sphère féminine un rôle de premier plan a été joué par l'oralité dans
les dynamiques sociales ; et sur l'oral miseront les stratégies d'enseignement/ apprentissage : les femmes ont appris et parfait les langues par imitation, en parlant, sur les genoux de leurs mères ou de leurs gouvernantes, en jouant, en se promenant, en les pratiquant dans les salons, où la femme est recherchée pour ses aimables entretiens. Ce type d'apprentissage avait pour but de leur fournir une éducation/formation convenable, correspondant au standard requis par le milieu social d'appartenance : une Documents pour l'histoire du français langue étrangère ou seconde, 47-48 | 20125 bonne connaissance des langues étrangères était un ornement nécessaire pour une vie mondaine réussie. C'est ainsi que la connaissance du français devient un signe d'appartenance sociale. Plus tard, un autre modèle s'impose : la facilité de parole et lebon goût qui leur permettent de briller en société ne suffit plus. Bientôt, on reconnaîtra
qu'elles nécessitent d'une éducation linguistique formelle, et, se méfiant du
spontanéisme qui leur avait valu l'appréciation des grammairiens du XVIIe siècle, on leur apprendra la grammaire.5 Si des textes de pédagogie linguistique qui ont des femmes pour destinatairesexistent
déjà à partir du XIV e siècle - que ces femmes soient elles-mêmes les apprenantes envisagées ou qu'elles soient les enseignantes de leurs enfants - c'est surtout aux XVIIe- XVIII e siècles que leur nombre devient considérable. À cette époque, naît le genre appelé " grammaire des dames » qui vise à soulager leur apprentissage - dans un cadre sécurisant où est banni tout pédantisme, ennemi de la légèreté, vertu majeure des femmes. Habile dosage d'expédients commerciaux et de qualités particulières ayant trait à la forme et au contenu, la grammaire des dames propose une sorte d'élagage des aspects " savants », en misant, plutôt que sur le technicisme grammatical, sur la communication et la sociabilité, domaines où, comme on sait, la femme excelle.6 Mais faisons un pas en arrière. On s'est interrogé d'abord sur le droit des femmes aux
études. Est-il convenable d'embarrasser leur raison avec un bagage culturel inapproprié à leur faiblesse d'esprit et probablement déstabilisant ? Peu à peu l'éducation des femmes se met en place. Un tournant se situe aux XVII e-XVIIIe siècles lorsqu'elle est au coeur des préoccupations des pédagogues et la germination des idées suscite un vif débat : tout en mettant en avant les devoirs du foyer, on aspire à en faire aussi des êtres suffisamment cultivés pour devenir de bonnes institutrices pour leurs enfants et pour briller en société, et plus tard dans un but professionnel, pour les employer dans l'enseignement. Mais, au préalable, il a fallu définir leurs dispositions naturelles etétablir le rôle que la femme est appelée à jouer dans la société. On s'est demandé
quelles seraient les disciplines ou les activités propres à former de bonnes mères, des épouses habiles à conduire les ménages, à secourir utilement les hommes dans leurs occupations. Parmi les activités proprement féminines, il y a, bien sûr, les travaux d'aiguille, mais aussi la langue maternelle et les langues étrangères, domaine où se définit le rapport monde féminin / langues. L'éducation linguistique est rarement dissociée de l'éducation morale et sociale, voire religieuse. Ainsi, le " doux troupeau » aura-t-il ses maîtres, ses grammaires, ses livres de lecture. L'utile et l'agréable, formule chère aux pédagogues de l'adolescence du XIX e siècle, sont préconisés partout. Si les textes sur les femmes s'adressent souvent, mais pas forcément, à elles-mêmes, ils ne sont que rarement rédigés par des femmes. D'ailleurs, des listes de textes convenables ou interdits aux filles circulaient déjà depuis le Moyen Âge par les soins d'instituteurs et pédagogues.7 L'éducation féminine n'est évidemment pas sans rapport avec l'image que chaque
époque et chaque société se font de la femme. Victimes d'un déterminisme naturel et social, les femmes, bonnes ménagères, épouses vertueuses, maîtresses de maison impeccables, tendres mères, accèdent partout assez tard à une formation culturelle complète.8 Les allusions explicites aux apprenantes dans les intitulés ou à l'intérieur des préfaces
des manuels qui leur sont destinés renvoient à un public certainement ample et varié : des demoiselles pensionnaires dans des collèges religieux des régions francophones aux Documents pour l'histoire du français langue étrangère ou seconde, 47-48 | 20126 étudiantes des High Schools aux États-Unis ; bien sûr, des jeunes filles de différentes langues maternelles et de niveaux scolaires distincts, mais il reste le fait que lesméthodes pour les femmes se démarquent de celles qui étaient consacrées à
l'apprentissage de la langue française de la part des condisciples hommes. Pourcontinuer à sonder ce terrain, il faut alors considérer et définir les spécificités de ce
type d'enseignement aux différentes époques et latitudes. Il suffit de rappeler par exemple que l'Europe de la seconde moitié du XIX e siècle préférait destiner aux femmes la méthode naturelle, alors que les hommes continuaient à suivre traditionnellement l'ancienne méthode grammaire-traduction. Si l'une des questions fondamentales est de comprendre pourquoi nos prédécesseurs enseignaient le français langue étrangère aux jeunes filles, il ne faut pas oublier que ce problème est intimement lié à celui de la scolarisation.9 De même, le côté pédagogique est aussi très souvent l'enjeu de la traduction au féminin.
Les traductions sur les femmes, pour les femmes et des femmes, parfois se mélangeant dans leur visée éducatrice plus ou moins cachée, ne forment pas en revanche un domaine fermé à l'homme. Lorsque les traductions n'ont pas été l'oeuvre directe d'une femme, elles ont été souvent commanditées par l'une d'entre elles : des dédicaces, des lettres, des attestations de payement témoignent de l'intérêt de grandes dames pour la circulation de certaines traductions littéraires, dont par exemple celles des romans chevaleresques ou sentimentaux. Doit-on enfin revenir à la conclusion que certains genres, et donc certaines traductions, correspondent davantage aux femmes qu'aux hommes ? Si encore aujourd'hui l'on confie souvent aux traductrices des textes qui leur 'ressemblent' ou qui leur 'appartiennent', dans une logique de partage d'une certaine sensibilité, où se trouve la limite entre traduction de femmes, traduction au féminin et traduction féministe ? Et par conséquent, éternelle question : jusqu'à quel point la personnalité du traducteur - dans ce cas, de la traductrice - a le droit de conditionner, voire d'altérer le texte de départ ?10 Si, dans le domaine de l'éducation et de la traduction, la femme s'est frayé un chemin,
la lexicographie, elle, est restée l'apanage des hommes (sauf dans de rares cas), d'où les représentations traditionnelles de la femme - reflet des stéréotypes idéologiques et culturels en vigueur - relevables dans les analyses dictionnairiques : dans la plupart desquotesdbs_dbs42.pdfusesText_42[PDF] Abecedaire sur l'il au tresors 6ème Français
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