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de développer les cultures maraichères au point que dans son 6ème Le Sénegal se trouve entièrement dans la zone tropicale de Côte d' Ivoire

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Les cultures maraîchères

au

Bilan des activith de 1972-1985 du

CENTRE POUR LE DEVELOPPEMENT DE L'HORTICULTURE

(3DH

Projet conjoint

:Institut Sénégalais de Recherches Agricoles Assistance technique: Organisation des Nations Unies pour

1'Alimentation et l'Agriculture

Financement extérieur :

Administration Générale de la Coopération au Dévelop- pement. Royaume de Belgique

B.P. 3120 ISRA

- COH

B.P.154 PNUD - FAO

Dakar SénégalAoût 1986

TABLE DES MATIERES

Liste et nom latin des légumes étudiés à Cambérènei

Répertoire des abréviationsii

Avant propos1Le Centre pour le Développement de 1'HorticultureQuelques données climatologiques de base du Sénégal

5

Chapitre 1 :Economie et Commercialsation

9

Objectifs

Introduction

91.1. Evolution de la production de légumes dans le temps

11

1.2. La consommation de légumes13

1.3. La commercialisation1.4. Aspects économiques de la production des légumes

1':Chapitre 2 :Prévulgarisation et formation

21

Objectifs21

Introduction

2.1. Connaissance du milieu traditionnel

z!2.2. Le transfert des acquis de la recherche

252.3. Retour vers le CDH des problèmes rencontrés par la

vulgarisation29

Chapitre 3 :

La protection des végétaux

31
Chapitre 4 :Expérimentation et amélioration33

AilAsperge

AubergineAubergine du Bénin

Bisap

CarotteChou

cabus

Chou de Chïne

Chou fleur

Concombre

Cornichon

CourgetteEchalotte

FraisierGombo

Haricot nain

Haricot à rames

Jaxatu

Laitue

Manioc

Melon 34
3: 44:
4352
65
70
74
;3 fi: 96
105
107
116
124
130

Patate douce163

Piment

177

Pois à écosser

184

Poivron

186

Pomme de terre

192

Tomate

231

Principales publications du CDH261

iLISTE ET NOM LATIN DES LEGUMES ETUDIES A CAMBERENE Ail

Asperge

AubergineAubergine locale ou du Bënin

BaselleBisap ou roselle ou oseille de

Guinée

CarotteChou cabus

Chou de Chine

Chou fleur

Concombre

Cornichon

Courge

Courgette

Echalotte

Fraisier

Gombo

Haricot nain

Haricot à rames

Jaxatu ou tomate amère

Laitue

Manioc

Melon

Navet chinois

Oignon

Pastèque

Patate douce

Piment

Pois

Poivron

Pomme de terre

Potiron

TomateAllium sativum

Asparagus officinalisSolanum melongena

Solarium macrocarponBasella alba

Hibiscus sabdariffa

Daucus

carotaBrassica oleracea var capitata

Brassica campestris subsp.

pekinensisBrassica oleracea var botrytis

Cucumis sativus

Cucumis sativusCucurbita mixta

Cucurbita pepoAllium ascalonicum

Fragaria ananassaHibiscus esculentus = Abelmoschus esculentus

Phaseolus vulgaris

Phaseolus vulgaris

Solarium aethiopicum

Lactuca sativaManihot esculenta

Cucumis me10

Raphanus sativusAllium

cepa

Citrullus vulgaris

Ipomoea batatasCapsicum frutescens, Capsicum

chinense

Pisum sativumCapsicum

annuumSolarium tuberosum

Cucurbita maxima

Lycopersicum esculentum

iiREPERTOIRE

DES ABREVIATIONS

ASEPAS

BDPA CAT CEFOH CETAD CIP DGPA GEPAS IITA IRPA ISRA ITA MAC MDR ONCAD ONG PIDAC SAED

SENPRIM

SODEVA

SOMIVAC

SONAR

STNAssociation des Exportateurs des Produc%ions

Agricoles du SénégalBureau pour le Développement de ya Production Agricole

Centre

d'Appui Technique

Centre de formation Horticole

Centre

d'Etude Technique et d'Appui au Développement

Centra International de la Papa

Direction Générale de la

Production Agricole du MDR

Groupement des Exportateurs de Produits Agricoles du SénégalInternational Institute of Tropical Agriculture

Inspection Régionale de la Production Agricole

Institut %négalais de Recherches Agricoles

Institut de Technologie

AlimentajreMission Agricole Chinoise

Minist@re du Développement RuralOffice National de Coopération et d'Assistance pour le

DéveloppementOrganisation Non Gouvernementale

Projet Intégré de Déve'loppement Agricole en Casamance

Sociét@ dIAménagement et d'exploitation du Delta et dela Vallée du fleuve Sénégal.Senégalaise des Primeurs

Société de Développement et de Vulgarisation Agricole

Société de Mise en Valeur de la Casamance

Société Nationale pour l'Approvisionnement Rural

Société des Terres Neuves

.t iCdii !Si sahé,o - soudanien___--- _----v--v___- ,'SoudanO- Sah,+,n -guinée 1

AVANT-PROPOS

Les valeurs nutritive,

thérapeutique et socio-économique des légumes sont bien connues et inséparables dans la vie quotidienne ; elles expliquent l'importance croissante que ces cultures prennent dans l'économie agricole des pays développés. Dans les pays en voie de développement, par contre, leur importance est encore faible, hormis peut-étre le cas des légumes amylacés : manioc, pomme de terre, patate douce,...mais qui sont du point de vue nutritionnel nettement moins intéressants vu leur pauvreté en protéines et en

éléments minéraux.Il était donc normal que le gouvernement du Sénégal se préoccupe

de développer les cultures

maraichères au point que dans son 6èmePlan de Développement Economique et Social 1981-1985, il considère le

secteur maraîcher comme un des secteurs prioritaires. En effet, ces cultures permettent :de diversifier rapidement la production agricole,d'améliorer l'ëquilibre nutritionnel de la population, d'augmenter les revenus des agriculteurs et par là d'améliorer les conditions de vie du monde rural, de réduire le déficit de la balance des paiements.Mais les cultures maraîchères sont une spéculation difficile et délicate tant dans leur production que dans le cheminement des produits après la récolte.Les .difficultés de production sont notamment: la diversité des espèces qui entrent en ligne de compte, la nécessité d'interventions rapides et fréquentes comme pour l'irrigation, pour lutter contre les maladies et ravageurs, pour les nombreux passages à la récolte qui s'étale souvent sur plusieurs semaines ;la croissance rapide et le poids souvent important qui est produit (jusque 50 t/ha et plus) peuvent entraîner des exportations massives d'éléments minéraux nécessitant la restitution de ceux-ci à plus ou moins wève échéance selon la fertilité du sol. Les difficultés après la récolte ne sont pas moindres. Contrairement auxautresspéculationsvégétales àgraines,céréales ou légumineuses, les légumes sont délicats, turgescents, fragiles aux chocs etde ce fait rapidement périssables. Ceci implique : une manutention prudente 'déjà pendant la récolte et surtout après celle-ci,un écoulement rapide du champ vers les centres de

conditionnement, decommercialisation, destockage ou detransformation.Conscient à la fois de l'intërët de ces cultures mais aussi des

difficultés enumërëes

ci-dessus,nécessitant àla foisuneorganisation dynamique et une grande technicité, le gouvernement du

Sénégal sollicite en 1969 la collaboration du PNUD. En janvier 1972, le Centre pour le Développement de l'liorticulture est créé ; il devient fonctionnel dès octobre de la même année.

2Cet ouvrage présente le bilan des activités de ce Centre depuis

sa création jusqu'à la fin 1985. Il peut paraitre utopique de vouloir condenser en quelques 300 pages, les résultats de 13 années d'activités d'une douzaine de chercheurs en moyenne. Aussi ce fascicule ne peut que rapportrer tres succinctement le travail réalisé, les principaux resultats obtenus, les expériences vécues, les connaissances acquisses. Il est le fruit de la collaboration de tous les chercheurs présents au Centre fin 1985, chacun s'étant attelé à la synthèse des principales données accumulées concernant une à quatre cultures, selon leur importance, en puisant dans les rapports d'activités publiés,les cahiers et registres des essais, leur expérience personnelle...pour en extraire l'essence ; c'est dire

aussi combien de données sont restées dans l'ombre, disponibles pourdes recherches approfondies et plus spécifiques,Certes,tous les problèmes du

maraichage au Sénégal ne sont pas résolus, mais le Centre met à la disposition du gouvernement les outilstechniques pourlui permettre d' assurerd'abordl'autosuffisance en légumes et d'exporter ensuite ; outils qui sont : des variétés, des méthodes culturales, s.l., des semences améliorées, un calendrier pour l'~Ualement de la production... Loin de croire cependant que la mise au point de ces technologies appropriées est un aboutissement. Ce n'est qu'un cofmnencement ; la recherche ne peut pas s'arrêter car dès que la production des légumes sera en plein essor,de nouveaux problemes imprévisibles, plus difficiles surgiront, qui justifieront plus que jamais un CDH fort. Les personnes qui ont collaboré à l'élaboration de ce dossier, en acceptant de rédiger l'un ou l'autre chapitre ou paragraphe concernant des cultures, notamment : Madame A. Ba Diallo, Messieurs T.G.8. Ba, J. Beniest, E.V. Colly, G. De Lannoy, L. De Maeyer, M. Ly, A. Seck, 0. Seck, P.A. Seck, A. Thiam, G. Vand!eplas, H. Yanderveken et R. Verdonck sont vivement remerciées de leur aide.

Meyer J.A.

3LE CENTRE POUR LE DEVELOPPEMENT DE L'HORTICULTURE

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