[PDF] Épistémologie de la psychologie : une approche logique





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Épistémologie de la psychologie : une approche logique

4 https://epistemo.hypotheses.org/3470 ; à vous d'étudier l'article en question ainsi que les exercices de logique sur IRIS pour vous familiariser avec les 



de lépistémologie génétique de Jean Piaget aux savoirs critiques

24 Kas 2015 Mots-clés : Epistémologie génétique Philosophie de la connaissance et de ... puisque ce n'est plus le discours lié à l'exercice de pouvoir.

1 Dans un premier temps, il n'eut d'autre ambition que d'inculquer à ces hommes les bases élémentaires qui leur permettraient de devenir les interlocuteurs qu'il recherchait. Il fallait leur enseigner tant de choses avant d'envisager sérieusement de les entraîner dans un débat sur les questions qui l'agitaient ! Abron ne savait pas grand-chose, mais, sur la base de ce qu'il savait, il était capable de développer une réflexion étonnamment personnelle. Il vous fixait de ses yeux sombres et impénétrables et, avec l'intelligence simple et directe de l'enfance, il pouvait mettre à jour les failles d'un raisonnement et poser les questions qui touchaient au coeur même du problème. Andreas Eschbach, Des milliards de tapis de cheveux.

Épistémologie de la psychologie : une

approche logique

Ce cours présente quelques éléments conceptuels pertinents lorsqu'on s'intéresse à l'épistémologie.

D'autres éléments pourraient être mobilisés. Le point de vue que je propose témoigne nécessairement de la manière dont je construis ma propre idée de la scientificité.

1. Introduction

Le mot " épistémologie » peut avoir une signification globalisante, pour référer alors à quelque chose

comme la " théorie de la connaissance » (Kant, Piaget, etc.) ou encore la " philosophie des sciences »

(Bachelard, Carnap, Duhem, Popper, etc.), qui renvoient à l'histoire des sciences et des idées

(Crombie, Foucault, etc.). Ou bien le mot " épistémologie » peut avoir une signification restrictive. Ici

nous considérerons l'épistémologie de manière restrictive selon la définition qu'en donne

Piaget (1967) : " l'étude de la constitution des connaissances valables » (p. 6).

D'où, avant d'analyser la signification de " valable », une question préliminaire : que désignent " les

connaissances » ? Les connaissances scientifiques ont pour condition de possibilité les connaissances

vécues (qui intéressent au premier chef la psychologie et la phénoménologie). Soit un poisson rouge

dans une baignoire qui se vide de son eau. Le poisson connaît le phénomène en train de se produire

puisqu'il réagit aux changements de son milieu. Mais il ne connaît pas la situation dans laquelle nous

l'avons placé, qui pour nous se décrit comme l'expérience-du-poisson-dans-la-baignoire (laquelle

description repose sur un problème de spécification dans un ensemble de possibilités), parce que par

exemple il ne dispose pas du mot ni du concept " baignoire » et que par conséquent " se trouver

dans une baignoire » est un vécu impossible dans son mode de vie.

Nous restreindrons l'acception du terme " connaissance » à des connaissances exprimables dans un

langage humain. Cette restriction permet aussi de préciser la fonction prescriptive ou encore 2

méthodologique de l'épistémologie. À quoi tient la valeur des connaissances scientifiques et en

particulier, puisque ce cours est au programme d'une licence de psychologie, la valeur des connaissances de la psychologie dite scientifique? Pour nous donner un critère de valeur, nous pourrions envisager l'utilité des connaissances

scientifiques. La voie utilitariste soulève d'emblée la question de savoir à qui et pour quel but une

connaissance serait utile et répondre à une telle question, comme à n'importe quelle autre question,

présuppose l'arbitrage de la vérité - parce que si pas de vérité attendue, quelle est l'utilité de poser

la question ?

Nous devons donc considérer d'abord le critère de la vérité. Une description qui se fiche d'être vraie

n'a pas de valeur scientifique (ce qui n'empêche pas qu'elle ait une valeur technique ni qu'elle soit

jugée bonne ou mauvaise, utile ou nuisible). Encore faut-il construire la vérité comme propriété du

discours. Le premier chapitre présente la vérité logique, à charge pour le lecteur de s'exercer au

maniement de l'implication1. Celle-ci est le levier hypothético-déductif du test expérimental des

théories scientifiques. L'observation étant une source d'apprentissage théorique via le test logique

d'une hypothèse, nous poserons dans le second chapitre le problème de la description objective des

phénomènes. Il faudra définir ce qu'est décrire. Nous adopterons la base conceptuelle que la théorie

des probabilités nomme une algèbre d'événements. L'explication des phénomènes sera définie

comme une description en forme d'implication logique.

Ce petit modèle épistémologique, le modèle " vérité - description - explication implicative », nous

servira à identifier deux problèmes menaçant la valeur du discours de la psychologie dite scientifique. Le premier se pose quand on ignore que [B et (A => B)] n'implique pas A. C'est le cas lorsqu'on teste une hypothèse en essayant non pas de la falsifier mais de la confirmer ou, plus subtilement, lorsqu'on exibe une hypothèse vraisemblable pour interpréter une description en termes de cause possible. Le second problème concerne les conséquences du mode de construction

d'une probabilité. Les probabilités empiriques (estimées à partir de données empiriques) d'une

expérience aléatoire décrivent l'objet qu'elle construit, pas nécessairement d'autres objets auxquels

on voudrait les appliquer.

2. La vérité logique

Je présenterai la logique comme une théorie informatique de la vérité. La logique ne définit pas

l'ultime vérité, elle dit comment fonctionnent le vrai et le faux dans le discours. La règle du jeu de la

vérité logique est remarquable parce qu'elle détermine, entre autres facteurs, notre civilisation (pas

de domestication de l'énergie électrique donc pas d'internet sans règles logiques par exemple).

La logique régule la circulation de la vérité dans les propositions (par exemple, si ceci est un cygne,

alors ce n'est pas un non-cygne). Le discours est un assemblage de propositions, que nous noterons

par des lettres comme p ou P. Par exemple, " il pleut » est une proposition (p). " Il est vrai qu'il

pleut » (p est vraie : P) est aussi une proposition. " Non » n'est pas une proposition, sauf si elle est

1 Les exercices d'entraînement utilisés en TD sont disponibles sur IRIS.

3

l'abrégé de " Je ne suis pas d'accord ». Une composition logique de plusieurs propositions est une

proposition (par exemple " p et P » est une proposition). Convention. Admettre une proposition P signifie qu'on admet que P est vraie. En codant vrai et faux par 1 et 0 respectivement, P est l'abrégé de V(P) = 1 (valeur de vérité de P = vrai)2.

Implication. Considérons la proposition " si A alors B » (notée A => B, qu'on appelle l'implication

logique). Admettons A. Devons-nous logiquement admettre B ? Non parce que considérer une proposition n'implique pas l'accepter. Décider d'admettre A => B

relève de notre responsabilité critique (de jugement)3. Si nous avons admis d'autres vérités qui

nécessitent (impliquent) A => B et si nous avons décidé d'être logiques, nous devons décider

d'admettre A => B. Sinon la décision est libre (ou arbitraire, relevant de notre " libre arbitre »).

1. A => B et A (nous admettons A => B d'une part et A d'autre part). Devons-nous logiquement

admettre B ? Si nous acceptons les règles de cohérence logique alors nous devons admettre B.

2. A => B et non-B. Devons-nous logiquement admettre A ?

Si nous acceptons les règles de cohérence logique alors nous devons admettre non-A. À l'envers : si nous acceptons A alors nous acceptons B parce que A => B or nous rejetons B.

3. A => B et B : que devons-nous déduire concernant A ?

La logique nous contraint à admettre que A n'est pas nécessaire. Nous devons admettre la proposition " A ou non-A ».

Les règles de la logique sont présentées sur mon blog et ailleurs sur internet et il est inutile de les

recopier ici4.

Cette petite présentation devrait permettre au lecteur peu familier avec les règles logiques de mieux

percevoir l'opportunité d'analyser un discours donné comme un réseau logique de propositions. En

cherchant à ranger d'un côté les prémisses (" axiomes ») qu'on accepte sans examen logique et de

l'autre côté les conclusions (" théorèmes ») qui en découlent logiquement, on peut détecter des

conclusions fausses ou découvrir la nécessité de modifier les prémisses (e.g., 2.9). C'est ainsi je crois

que va le discours de la physique, des mathématiques, de l'informatique etc. la rationalité

scientifique. Le pouvoir éclairant d'un discours logiquement structuré est qu'il falsifie des phrases

possibles étant données ses prémisses. La limite de cet éclairage est que la vérité des prémisses est

2 Qui est l'abrégé de V[V(P) = 1] = 1 qui est l'abrégé de V{V[V(P) = 1] = 1} = 1 etc. (régression à l'infini).

3 On peut définir un jugement critique simplement : c'est un jugement de vérité, ou encore un positionnement

dont résulte une position, position qui par définition peut être vraie ou fausse en tant qu'énoncé logiquement

relié à d'autres énoncés.

4 https://epistemo.hypotheses.org/3470 ; à vous d'étudier l'article en question ainsi que les exercices de

logique sur IRIS pour vous familiariser avec les tables de vérité et les diagrammes de Venn. 4

conventionnelle. Le caractère créatif de la pensée scientifique tient au fait que rien n'interdit

d'imaginer toutes les prémisses qu'on peut.

2.1. Algèbre d'événements : aperçu

Un discours scientifique porte sur des choses, entités, objets, décrits par des aspects5 possibles. Par

exemple, les aspects a et b figurant dans le diagramme de Venn ci-dessous (fig. 1) différencient quatre choses possibles : une chose d'aspect w, une chose d'aspect x, etc. Figure 1. Une algèbre à deux aspects et quatre événements élémentaires.

Utilisons le " modèle probabiliste » (théorie des probabilités) que présentent par exemple Jacquard

(1974) ou Saporta (1990) sans nous occuper des probabilités. Une proposition concernant les aspects

possibles des objets d'une part, un événement dans l'univers des événements possibles d'autre part,

sont synonymes. Par exemple, " quelque chose est un a et pas un b » (A et non-B) est une proposition et aussi un événement ou, dirons-nous aussi pour aller vite, un aspect ou une description.

L'univers des événements possibles, noté (Oméga), forme une algèbre d'événements. Le mot

" algèbre » signifie que tout événement de est défini par calcul d'événements élémentaires via les

opérations d'intersection (et), de réunion (ou) et de complémentation (non). Par exemple : a = {w} {x} = {w, x} = w ou x ( signifie la réunion d'ensembles), a et b = {w, x} {x, y} = {x} ( signifie l'intersection d'ensembles), {z} = non-(a ou b) = ni a ni b. Exercice. Définissez les événements élémentaires w, x, y, z en fonction de a et b.

Corrigé. w est un a et un non-b (noté 10 qui sont des coordonnées dans = a b) ; x est un a et un b

(noté 11) ; y est un non-a et un b (noté 01) ; z est un non-a et un non-b (noté 00). Explicitez l'événement " quelque chose est un a ».

5 Aspects, propriétés, états, paramètres, attributs, dimensions, etc. sont synonymes.

5 Corrigé. Quelque chose est un w ou un x, ou encore quelque chose est un a et b ou un a et non-b.

Deux événements sont incompatibles (contradictoires) si leur intersection est vide ou, de façon

équivalente, s'ils ne peuvent pas être vrais conjointement. Deux événements élémentaires sont

incompatibles. Des événements forment un système complet si leur réunion est .

2.2. Événements logiquement indépendants

Deux événements sont logiquement indépendants si aucun n'implique l'autre ou la négation de

l'autre. Deux événements sont logiquement dépendants si au moins l'un des deux implique l'autre

ou sa négation. Exercice. (1) Deux événements incompatibles sont-ils logiquement indépendants ? (2) Dans la fig. 1, a et b sont-ils logiquement indépendants ? (3) Construisez une algèbre d'événements telle que a et b soient logiquement dépendants. (4) Telle que A => non-B.

(5) Donnez un exemple de deux événements logiquement indépendants, puis de deux événements

logiquement dépendants. Corrigé. (1) Non car l'un implique la négation de l'autre. (2) Oui. A n'implique pas B car w est possible. B n'implique pas A car y est possible. (3) Par exemple il suffit que a soit strictement inclus dans b (A => B). (4) Il suffit que A B = (cf. fig. 3). (5) La minceur et la taille des gens sont des grandeurs logiquement indépendantes

(quoiqu'empiriquement corrélées, c'est-à-dire non-orthogonales pour les gens qui raisonnent en

termes de géométrie - algèbre matricielle) ; respire => vivant.

2.3. " Plus faux que »

Deux événements incompatibles sont contraires s'ils forment un système complet.

Puisque vrai et faux sont des événements contraires dans le référentiel {vrai, faux}, quel sens cela a-t-

il de dire que telle phrase est plus fausse (ou vraie) qu'une autre phrase ? Exercice. Soient p1, p2, ..., p5 cinq propositions vraies. Soient p6 la conjonction (non-p1 et p2 et p3 et p4 et p5), p7 la conjonction (non-p1 et non-p2 et p3 et p4 et p5). En quel sens peut-on dire que p6 est moins fausse (donc plus vraie) que p7 ? 6 Corrigé. On sait compter le nombre de propositions vraies dans p6 et p7, respectivement quatre et

trois. Il suffit de décréter (convention, " axiome ») que la vérité d'une phrase de cardinal 5 (le

nombre de propositions qui la composent) est, sur une échelle en six points de 0 à 5, le nombre de

propositions vraies la constituant. Mais attention, ce score est une vérité bis parce que la vérité

logique n'est pas une quantité mais un bit d'information (0/1, faux/vrai). Ainsi, le score de vérité bis

de p6 vaut 4 tandis que celle de p7 vaut 3. Quand bien même p6 et p7 sont fausses.

Ne confondons pas " valeur de vérité logique » d'une proposition, qui se trouve dans l'ensemble

{faux, vrai}, et " évaluation de la vérité » de cette proposition dans une échelle de mesure ad hoc, ici

l'ensemble ordonné (0, 1, ..., 5). La vérité bis est ad hoc tant qu'on ne dispose pas d'une théorie

générale de l'évaluation (quantitative) de la vérité - qui suppose, dès qu'on utiliserait des scores, que

la vérité soit additive, or elle ne l'est pas puisque ce n'est pas une quantité mais une information, une

impulsion ou encore un signal innervant un réseau logique.

2.4. Vérité-correspondance (à prendre avec des pincettes parce que

je ne maîtrise pas l'article de Tarski)

La vérité-correspondance (Tarski, 1972) est souvent présentée de la manière suivante : la proposition

" la neige est blanche » est vraie si la neige est blanche (voir aussi Popper, 1991; Searle, 1995). S'agit-

il d'une correspondance avec la réalité ?

Tout le problème est de s'entendre sur ce qu'on appelle " réalité ». Si la réalité est ce qui est censé

exister indépendamment de nous ou hors de notre expérience6, comment pouvons-nous en

connaître les aspects ? Songeons à la neige qui serait blanche hors de toute expérience humaine.

Le réalisme naïf consiste à considérer la blancheur de la neige comme un fait réel ou encore brut,

sans se rendre compte que la perspective qui est la nôtre est projetée (anthropocentrisme ?) sur la

" profondeur sans fond du réel » (Bimbenet, 2011, p. 208). Si nous appelons " réalité » notre

conviction (subjectivité) que la neige est blanche, laquelle s'énonce aisément (la neige est blanche),

alors nous pouvons distinguer : (i) le langage que nous manipulons de manière logique (" la neige est blanche » est une proposition vraie ou fausse par définition) et (ii) le langage que nous manipulons comme nous respirons, sans distanciation logique, la

neige est blanche (et si elle n'est pas blanche, elle est souillée, teintée... ce n'est plus la

neige " pure » et bla bla bla).

Comme nous jugeons que la proposition que nous voulons doter d'une valeur de vérité correspond à

la proposition affirmée sans distance logique, " la neige est blanche » est vraie parce que la neige est

blanche ; c'est-à-dire " la neige est blanche » est vraie parce que la proposition correspond à ce que

nous prenons comme un fait ou encore une évidence que la neige soit blanche. La vérité-

6 Avec le problème de savoir si le non-être est réel, auquel cas il n'est pas le non-être puisque s'il est réel alors

il existe... 7 correspondance se fonde sur des affirmations factuelles sans se préoccuper du réalisme de la factualité ; elle n'exige pas qu'une phrase vraie corresponde au réel7.

Conséquence : on peut poursuivre le but de construire des conclusions vraies arrimées de manière

non-contradictoire à nos convictions ou axiomes les plus chers, sans nourrir l'espoir que ce discours

corresponde au réel - un exemple patent étant le discours mathématique qui crée un monde auto-

suffisant auquel on accède via des propositions soigneusement, c'est-à-dire logiquement,

construites. Et nous pouvons aussi abandonner l'idée (inutile ?) qu'un fait corresponde au réel, cela

n'impacte pas la quête d'un discours théoriquement et empiriquement valable.

2.5. Implication

Exercice. Référez-vous à la fig. 1 (p. 4). (1) Quelles lettres parmi w, x, y, z, satisfont B => A ? (2) Est-il

nécessaire, lorsqu'on admet B => A, que l'ensemble b soit non-vide ?

Corrigé. (1) Toutes les lettres sauf celle qui correspond à " être un b et ne pas être un a ». (2) Non : B

=> A est une inclusion d'ensembles, elle ne dit rien sur ce que contiennent ces ensembles.quotesdbs_dbs1.pdfusesText_1
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