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19 avr 2018 · Le texte complet de cet article est disponible en PDF Mots clés : confiance relation soignant soin Keywords : care caregiver relationship 

  • C'est quoi la relation de confiance ?

    La relation de confiance est ici un système faillible et interpersonnel. Cette approche interactionnelle n'est pas anodine. Sans être systématiquement thérapeutique, la relation de confiance est une dynamique créatrice de lien, de sens, pour anticiper, gérer, éviter une situation de crise, de confusion émotionnelle.
  • Comment se construit la relation de confiance ?

    La confiance va se construire, se renforcer ou diminuer en fonction des actes de l'autre. C'est le fait d'avoir un minimum de confiance dans l'autre qui me permet de m'ouvrir à lui, de me rapprocher de lui, de construire un « nous », d'échanger et de bâtir un projet commun.
  • Qu'est-ce que la relation de confiance soignant-soigné ?

    Dans la relation soignant/soigné, la confiance de l'un est liée à la confiance de l'autre. Elle s'inscrit dans ce mouvement de réciprocité et d'engagement de part et d'autre. Le patient accorde sa confiance au soignant qui l'accepte et qui doit l'honorer autant que possible.
  • La relation, quand elle est de qualité, c'est-à-dire que la confiance est installée, permet de travailler (aider à acheter) plus vite, plus facilement, et sans doute plus. Quand la confiance est installée avec le prospect, cela lui permet : de vous accorder plus facilement du temps.
n° 144 > juin 2012 >

La con?ance en marketing

La con?ance en marketing est

un concept transverse qui se trouve au coeur de la ré?exion et de la démarche marketing.

Ses manifestations et ses

domaines d'application sont nombreux et font l'objet de recherches novatrices.

Auteur

Héla Cherif-Benmiled

Maître de conférences, université Paris 1 Panthéon-Sorbonne

Le concept de con?ance en

gestion trouve ses origines dans la théorie des organisations par le biais des notions de confiance pour les négociateurs, pour les managers... La confiance s'intègre dans la straté- gie de marketing mix, au niveau du cinquième P -

People (les personnes)

- et du sixième P -

Politics (le fait

politique au sens large du terme, à savoir les aspects réglementaires et institutionnels) - tels que dé?ni par

Kotler. Il ne faut pas non plus négliger

son importance au niveau des quatre autres politiques du marketing mix.

La con?ance empêche les dysfonc

tionnements au sein d'un groupe, procure une certaine satisfaction dans le travail et dans les décisions, accroît l'implication du salarié dans la perfor mance et crée une meilleure cohésion de l'organisation. Le marketing s'est certainement inspiré de ces aspects (gestion et structure de la force de vente, négociation commerciale, fidélisation des consommateurs...).

Le paradigme de l'échange s'est ainsi

inscrit au centre de la réflexion en marketing. Il permet d'aborder le rôle essentiel de la con?ance dans le déve loppement et le maintien de relations de confiance entre les partenaires d'un réseau de distribution, dans les relations clients-vendeurs ou les ser vices, montrant ainsi la diversité de ses domaines d'application. Par ailleurs, la con?ance apparaît comme pluridisci- plinaire faisant de larges emprunts à l'économie, la sociologie, la psycho- logie... Cela peut être expliqué par le fait que, d'une part, la con?ance est un continuum (con?ance vs absence de confiance) et que, d'autre part, elle est accordée dé?nitivement au partenaire suite à une longue relation d'échange. Deux aspects sont omis et doivent être adoptés dans la pratique des entreprises : > la confiance peut être accor- dée suite à une relation d'échange récente ; > en cas d'absence de con?ance ou de trahison, on peut rétablir la con?ance (the repair of trust) entre celui qui fait con?ance ( the trustor) et celui

à qui on accorde sa con?ance (the

trustee) (Simon, 2007).

La confiance pourrait donc se

former, être trahie et être rétablie (Kim, Dirks et Cooper, 2009). Nous allons nous intéresser à la dé?nition du concept de con?ance et à ses dif férentes mesures. Nous présenterons ensuite ses principaux déterminants puis nous aborderons ses manifesta tions et ses domaines d'application en marketing. Nous terminerons en?n par les voies de recherches. Mais com mençons par montrer la diversité de ce concept (tableau 1).

Taxonomie

des dé?nitions en marketing

La profusion des définitions en

marketing nous amène à essayer d'en proposer une classi?cation. Le concept est dé?ni soit par ses déter minants (comme une présomption, une attente, une croyance ou une volonté), soit par ses manifestations (comme un comportement). Deux conceptions s'opposent (Chouk,

2005) : la première assimile la

con?ance " à une attente cognitive ou un sentiment affectif », alors que la seconde induit un " comportement de prise de risque ou d'une volonté de s'engager dans un tel comporte ment » (schéma 1).

Variable psychologique :

cognitive et affective

Cette conception consiste en

un état psychologique qui se situe en amont de cette intention et qui peut se traduire par une présomp tion (Gurviez, 1999, 2000 ; Gurviez et

Korchia, 2002 ; Bidault et Jarillo,

1995), une attente (Sirdeshmukh,

Singh et Sahol, 2002 ; Perrien

et al. , 1999) ou une croyance à l'égard du partenaire de l'échange (Frisou,

Un concept pluridisciplinaire et transverse

Tableau 1. Les différentes conceptions disciplinaires du concept de con?ance Discipline/ThéorieConception de la con?anceAuteurs

Théorie économique

Théorie du coût

de transaction

Théorie de l'agence

Théorie des jeuxOpportunisme ou confiance

calculée

Asymétrie d'information, diver-

gence d'intérêt et incomplétude des contrats

Coopération

ou non-coopérationWilliamson (1975, 1993)

Jensen et Meckling (1976)

Sirdeshmukh, Singh et Sabol

(2002)

Neumann et Morgenstern

(1944), Schmidt (2001) SociologieEncastrement social : con?ance sociale, mutuelleGranovetter (1985)

ManagementApprentissage : alliances et coopérationsBarney et Hansen (1994), Koenig (1999), Mendez (2001)

PsychologiePropension à faire con?ance : sentiment/caractéristique personnelleRotter (1967,1971, 1980)

Psychologie socialeAttribution de certains traits ou motivations au partenaire, " prédictibilité », " dépendabi-

lité » et foi, incertitude et vul

nérabilité des individusButler (1986), Rempel, Holmes et Zanna (1985), Rempel et Homes (2001) Lewicki et Bun-ker (1995)

Théorie

en marketingApproche relationnelleSirieix et Dubois (1999),

Aurier, Benavent et N'Goala,

(2001), Gurviez et Korchia (2002), Aurier et N'Goala (2010), N'Goala, Cases et

Munier (2010)

Schéma 1. Taxonomie des dé?nitions de la con?ance en marketing

Source : Chouk, 2005.

Con?ance

Variable

psychologique comportementale

Dimensions

cognitives et affectivesDimensionsconatives > La con?ance en marketing n° 144 juin 2012

2000 ; Sirieix et Dubois, 1999 ; Gane

san, 1994 ; Anderson et Narus, 1990 ;

Anderson et Weitz, 1989). L'affectif se

traduit par un état émotionnel repré senté par la bienveillance, c'est-à-dire la prise en compte des intérêts et du bien-être de l'autre partie (Ganesan,

1994).

Deux types de confiance sont

identi?és : une con?ance naturelle qui correspond à une tendance spon tanée à croire les autres individus et qui varie en fonction des attitudes, de la personnalité et des expériences passées. Elle est donc spécifique à chaque individu et évolue dans le temps. Le second type de con?ance est contextuel. La con?ance intègre

également une dimension sociale qui

suppose que les individus sont sou mis à certaines règles, normes, us et coutumes qu'ils vont intégrer dans leurs relations. Ils réagissent selon des valeurs partagées.

Cette approche est utile pour

étudier le rôle de la con?ance dans

la relation consommateur-marque (Sirieix et Dubois, 1999, Chaudhuri et Holbrook, 2001, Delgado-Ballester,

2004 ; Frisou, 2000 ; Gurviez et Kor

chia, 2002 ; Gurviez, 2000 ; Sirieix et Dubois, 1999). Il repose sur des approches relationnelles de la marque et sur une hypothèse commune de l'existence d'une " chaîne logique du marketing relationnel » (Aurier,

Benavent et N'Goala, 2001) : elle

suppose l'existence de relations posi tives entre la qualité perçue, la valeur perçue, la satisfaction, la con?ance et l'engagement envers la marque.

Sans con?ance il ne peut y avoir de

relation stable entre la marque et le consommateur.

Elle repose sur les relations à la

marque et sur une hypothèse com mune de l'existence d'une " chaîne logique du marketing relationnel » (Aurier, Benavent et N'Goala, 2001) : elle suppose l'existence de relations positives entre la qualité perçue, la valeur perçue, la satisfaction, la

con?ance et l'engagement envers la marque. Sans confiance, il ne peut y avoir de relation stable entre la marque et le consommateur.

Variable comportementale

ou conative

Cette conception se fonde sur

l'hypothèse que l'intention ne doit pas

être intégrée dans la con?ance mais

en résulte (Morgan et Hunt, 1994).

Elle se traduit soit par des actions

(Deutsch, 1962), soit par des inten tions comportementales (Mayer, Davis et Schoorman, 1995). Les actions se

manifestent par des comportements confiants (Smith et Barclay, 1997), alors que les intentions s'expri-ment par une volonté de vulnéra-bilité face à l'autre partie (Mayer, Davis et Schoorman, 1995) ou par une volonté de compter sur le par-tenaire de l'échange (Chaudhuri et Holbrook, 2001), entraînant une cer-taine vulnérabilité mais également une incertitude (possibilité d'être lésé)

(tableau 2).

À partir de ces dé?nitions, nous

pouvons identifier trois types de con?ance : > une confiance interpersonnelle qui est omniprésente dans toutes les Tableau 2. Quelques dé?nitions du concept de con?ance en marketing

AuteursDé?nition

Moorman, Deshpandé,

Zaltman (1992)Une volonté de compter sur le partenaire dans l'échange.

Ganesan (1994)Une croyance, un sentiment ou une attente vis-à-vis d'un par-tenaire à l'échange, qui résulte de son expertise, de sa ?abilité et de son intentionnalité.

Morgan et Hunt (1994)L'ensemble des activités ayant pour objectif d'établir, de déve- lopper et de maintenir des échanges relationnels performants.

Doney et Cannon

(1997)Le construit de con?ance implique un processus calculé, basé sur la capacité d'un objet ou d'un partenaire (par ex. une marque) à continuer de remplir ses obligations et sur une estimation du rap-

port coûts/béné?ces de rester dans la relation [...]. La con?ance implique d'inférer la bienveillance de la ?rme à agir dans le meilleur intérêt du client étant donné les valeurs et les objectifs partagés. Guibert (1999)Un état psychologique plus ou moins prégnant, assimilable à un sentiment de sécurité, soit individuel, soit perceptible globalement et ressenti, consciemment ou non, vis-à-vis d'un partenaire (indi vidu, organisation ou marque) dans une situation d'échange en dépit des risques actuels et potentiels susceptibles d'en décou ler. Gurviez (1999)Présomption du consommateur que la marque, en tant qu'en- tité personni?ée, s'engage à avoir une réaction prévisible et conforme à ses attentes, et à maintenir avec bienveillance cette orientation dans la durée.

Sirieix et Dubois (1999)Croyance vis-à-vis de la marque en amont de l'intention de com-portement d'achat. Elle repose d'une part sur la crédibilité de l'entreprise détenant cette marque, et d'autre part sur l'intérêt

qu'elle porte à la satisfaction de ses clients (ses bonnes intentquotesdbs_dbs43.pdfusesText_43
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