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UMOA - COMMISSION BANCAIRE RAPPORT ANNUEL 2007 - BCEAO
La Commission Bancaire de l’UMOA oeuvrera comme par le passé à contribuer à la préservation de la sta-bilité financière C’est le lieu de rendre hommage à mes illustres prédécesseurs dans la fonction de Gouver-neur de la BCEAO Président de la Commission Bancaire et aux Commissaires pour leurs actions respectives
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Qu'est-ce que la crise bancaire ?
- Crises bancaires (bank run => faillites des déposants). Crise systémique: rupture dans le fonctionnement des services financiers causée par la dégradation de tout ou partie du système financier et ayant un impact sur l’économie réelle. (J-F.Lepetit, 2010) ==> crise du syst fi.
Quels sont les différents types de crises financières ?
- Des crises financières multiples (quelques exemples): 1637: crise de la Tulipe aux P-B (spéculation => bulle => effondrement). Crise asiatique de 1997. Crise « dot.com » en 2000. Crise des subprimes en 2007-2008 (cf dossier associé). En France et en Angleterre.
Qu'est-ce que les crises financières ?
- I. Les crises financières: origines, déroulement et conséquences. Allocation inégale des ressources financières sur la planète. Instabilité financière (=> crises). Krachs boursiers (effondrement de la valeur des actifs boursiers). Crises de change (attaque spéculative => chute du cours des monnaies)
MALINIGER
BURKINA
TOGOBENINCÔTE
D'IVOIRESENEGAL
GUINEE-BISSAU
UNION MONETAIRE OUEST AFRICAINE
RAPPORT ANNUEL 2007U.M.O.A. - COMMISSION BANCAIRE RAPPORT ANNUEL 2007Commission Bancaire de l'UMOA
Secrétariat Général
Av. Terrason de Fougères - 01 BP 7125 Abidjan - Côte d'Ivoire Tél. : (225) 20 25 57 57 - Fax : (225) 20 22 45 52 Site web : www.bceao.int - E-mail : courrier.sg@cb.bceao.intCOMMISSION BANCAIRE
UNION MONETAIRE OUEST AFRICAINE
COMMISSION BANCAIRE
RAPPORT ANNUEL 2007
Siège du Secrétariat Général de la Commission Bancaire àAbidjan (Côte dIvoire)
Rapport Annuel de la Commission Bancaire de lUMOA - 20073 A publication du rapport de la Commission Bancaire de lUMOA, au titr e de lannée 2007, moffre l'op- portunité de réitérer mes remerciements à la communauté b ancaire de lUnion et à nos partenaires internationaux, pour les messages de félicitations qui m'ont été adressés suite à ma nomination aux fonctions de Gouverneur de la Banque Centrale des Etats de lAfrique de lOuest (BCEAO). Lannée 2007 a constitué une étape importante pour notre Uni on, avec ladoption par la Conférence des Chefs dEtat et de gouvernement, le 20 janvier, des textes relatifs à la réforme institutionnelle de lUMOA et de la BCEAO. La mise en oeuvre de celle-ci offrira un nouveau cadre d exercice de la politique monétaire et induira particulièrement une refonte de lenvironnement régl ementaire régissant la Commission Bancaire ainsi que lactivité des banques et établissements financiers. Tenant compte des profondes mutations intervenues sur le plan internatio nal, en particulier dans le domaine de la supervision bancaire, les Autorités de lUnion entendent amé liorer le cadre dexercice et de surveil- lance des établissements de crédit, en tirant profit du bilan de d ix-sept années de fonctionnement de la Commission Bancaire, en vue de lui assurer une plus grande efficacité dans lexécution de sa mission. Les ré- sultats de lévaluation du secteur financier de la zone, effectué e au cours du dernier trimestre 2007, démon- trent, à bien des égards, la pertinence de la réforme, qui abou tira à une meilleure protection des déposants et une plus grande intégrité du système bancaire et financier. Ainsi, les innovations apportées à la loi bancaire et à la Conv ention régissant la Commission Bancaire favori- seront, grâce à diverses mesures, une meilleure gouvernance des é tablissements de crédit, un renforcement des pouvoirs et une mise en oeuvre plus diligente des décisions de lAutorité de contrôle, en étroite collabo- ration avec les Ministères chargés des Finances. Au delà de la réforme institutionnelle, dont la mise en oeuvre c onstituera une de nos priorités au cours des mois à venir, le développement du secteur financier devra sappuyer sur une plus grande solidité des banques et établissements financiers, dont les niveaux de capital social minimum ont été relevés respectivement de un (1) milliard à dix (10) milliards et de trois-cent (300) millio ns à un (1) milliard, par le Conseil des Ministres de lUnion, en septembre 2007.UNION MONETAIRE OUEST AFRICAINE
COMMISSION BANCAIRE
Abidjan, le 8 août 2008
Le Président
L Rapport Annuel de la Commission Bancaire de lUMOA - 20075 Cette révision des règles dexercice traduit une fois de plus l a volonté de nos Autorités de créer les conditions favorables à une participation effective des établissements de cré dit, au financement harmonieux des éco- nomies et à lélargissement de laccès des populations au x services bancaires et financiers. La mise en confor- mité des banques et établissements financiers à cette nouvelle règle se fera de façon progressive. Il appartiendra donc aux acteurs du secteur bancaire de prendre à leu r niveau les mesures idoines pour re- médier à la faiblesse de lintermédiation bancaire et financ ière, qui constitue une entrave au développe- ment de lactivité économique. En complément aux actions de renforcement des fonds propres, il est attendu une incitation de la clientèle à un recours accru aux moyens moder nes de paiement, que la Banque Cen- trale a contribué à promouvoir, de manière active, au cours des dernières années. Nous comptons appuyer ces démarches en privilégiant une approche participative et concer tée avec les différents intervenants. Cette concertation concernera également ladaptation du cadre ré glementaire de lactivité bancaire aux mutations internationales en cours, notamment les réflexions en vue d e la mise en oeuvre de Bâle II, des normes comptables internationales IAS-IFRS et de procédures efficientes de l utte contre la criminalité financière. Ces chantiers simposent au regard de la globalisation financière, qui induit une présence plus importante dac- teurs étrangers sur nos marchés, mais également une propension des investisseurs de notre zone à exercer une activité bancaire internationale. Ces mutations qui marquent certes u n attrait de notre système bancaire et financier, nous interpellent surtout sur la nécessité de poursuiv re la modernisation de nos outils de contrôle, en vue de faire face à lémergence possible de nouveaux risques . Limprévisibilité de la crise financière mon- diale, consécutive à leffondrement des marchés hypothéca ires à risques aux Etats-Unis, démontre limpé- rieuse nécessité de veiller en permanence à comprendre le fonct ionnement des marchés et à faire évoluer en conséquence les méthodes de surveillance. La Commission Bancaire de lUMOA oeuvrera, comme par le passé, à contribuer à la préservation de la sta- bilité financière. Cest le lieu de rendre hommage à mes ill ustres prédécesseurs dans la fonction de Gouver- neur de la BCEAO, Président de la Commission Bancaire, et aux Commiss aires pour leurs actions respectives qui ont forgé la crédibilité de lInstitution et sa respecta bilité au plan international.6Rapport Annuel de la Commission Bancaire de lUMOA - 2007
Philippe-Henri DACOURY-TABLEY
Gouverneur de la Banque Centrale
des Etats de lAfrique de lOuest,Président de la Commission
Bancaire de lUMOA
7Rapport Annuel de la Commission Bancaire de lUMOA - 2007
Philippe-Henri DACOURY-TABLEY
Gouverneur de la Banque Centrale
des Etats de lAfrique de lOuest, Président de la Commission Bancaire de lUMOA8Rapport Annuel de la Commission Bancaire de lUMOA - 2007
LISTE DES MEMBRES DE LA COMMISSION BANCAIRE
AU 31 DECEMBRE 2007
Président (par intérim) : M. Damo Justin BAROVice-Gouverneur de la BCEAO
MEMBRES REPRESENTANT
LES ETATS
Mme Viviane HOUENOU KANEHO
Directrice des Affaires Monétaires
et Financières au Ministère des Finances et de l"Economie du BéninM. Moumounou GNANKAMBARY
Directeur Général du Trésor
et de la Comptabilité Publique du BurkinaM. Lami BLE
Directeur des Institutions de Finances (DIF)
Direction Générale du Trésor et de la
Comptabilité Publique de la Côte d"Ivoire
M. Emmanuel Benito Santos COSTA
Directeur de la Monnaie, du Crédit
et du Marché Financier Régional au Ministère de l"Economie et des Finances de la Guinée-BissauM. Aboubacar Alhousseyni TOURE
Directeur National du Trésor
et de la Comptabilité Publique du MaliM. Ibrahim GARBA
Directeur de la Monnaie, du Crédit
et de l"Epargne au Ministère de l"Economie et des Finances du NigerMme Oulimata DIOP
Directeur de la Monnaie et du Crédit
au Ministère de l"Economie et des Finances du SénégalM. Mongo AHARH-KPESSOU
Directeur de l"Economie au Ministère
de l"Economie, des Finances et des Privatisations du TogoM. Serge TOMASI
Conseiller Financier pour l"Afrique
Direction Générale du Trésor
et de la Politique Economique ... FranceMme Ismath MAMADOUMagistratM. Fidèle HIEN
Ancien Directeur Central à la BCEAO
M. Georges VANGHA EKRA
Ingénieur agronome, diplômé du CEFEB
M. Ibrahima MAKANGUILE
Conseil Fiscal
M. Ibrahim KOUSSOU
Inspecteur du Trésor, diplômé de l"ITB
M. Seydina Oumar SY
Economiste et Diplomate ... Consultant
M. Henri Koudjolou DOGO
Economiste ... Administrateur Civil
à la retraite
M. Jean BONNARDIN
Médiateur de la Banque de France
MEMBRES NOMMES PAR
LE CONSEIL DES MINISTRES
Secrétaire Général : M. Eric EKUE
9Rapport Annuel de la Commission Bancaire de lUMOA - 2007
a crise des crédits hypothécaires à risque (" subprimes » de l"actualité économique et financière en 2007 au plan inte rnational, au regard des turbulences qu"elle a induites sur les marchés financiers et des c onséquences sur la sphère réelle. L"envolée des prix des matières premières, notamm ent du pétrole dont le cours a atteint des niveaux records, ainsi que la persistance de la baisse du do llar des Etats-Unis d"Amé- rique face à l"euro, ont également retenu l"attention durant l"année écoulée. Dans ce contexte, la croissance des pays membres de l"Union Monétaire Ouest Africain e s"est stabilisée à 3,0%, sur fond de tensions inflationnistes dans certains Etats. Cependant, la situ ation monétaire d"ensemble est demeurée confortable et la situation des finances publiques s"est améliorée. Le paysage bancaire continue à s"élargir, avec une augmentation du nombre d"établissements de crédit agréés, de 116 à 121 unités, à la veille de l"entrée en vigueur le 1er janvier 2008, de nouveaux seuils de capital social pour les banques et les établisseme nts financiers de l"Union. Le total des bilans de ces institutions s"est accru de 19,1% sur l" année, pour évoluer de 7.605 Mds à 9.066 Mds. Parallèlement, les points d"accès se sont multi pliés à la faveur d"une plus grande concurrence, le nombre de guichets et celui de comptes augmentant respec tivement de 23% et de 14,4%. Le taux de bancarisation, tenant compte du nombre de comptes e t de la population ac- tive, est estimé à environ 5,7%. Les emplois nets ont augmenté de 17,7% pour atteindre 7.106 Mds. Les crédits à la clientèle en constituent la principale composante, à hauteur de 75,4%. Le risque d e contrepartie demeure prépondérant dans le portefeuille des établissements de créd it, dont la qualité s"est légèrement améliorée. Ainsi, le taux brut de dégradation a reculé à18,9% en 2007, contre 20,5% en 2006,
tandis que le taux net s"est replié de 8% à 7,4%, malgré une stabilité à 66% du taux de couverture des créances en souffrance par des provisions. Les ressources collectées se sont également accrues de 17,1%, cont re 10,1% en 2006. Elles sont chiffrées à 8.079 Mds, dont 83,6% de dépôts et emprunts. Le niveau global des fonds propres nets bénéficie des entrées en activité et de l"effort de capit alisation de certaines unités, permettant d"atteindre un montant global de 752 Mds, contre 700 Mds un an aupara vant. Les établissements de crédit ont amélioré leur rentabilité durant l"année 2007. Le bénéfice net provisoire a augmenté de 69,8% pour ressortir à 75 Mds, après u n recul de 4,2% observé en 2006. Le coefficient net d"exploitation se dégrade néanmoins, en atte ignant 70,6%. Dans le cadre de la surveillance prudentielle renforcée, la Commissio n Bancaire a pris les mesures qu"appelle la situation de certains établissements. La mis e en uvre de mesures administratives ou disciplinaires a été ainsi requise, après co nstat d"infractions à la réglementation bancaire. Le ratio moyen de solvabilité des banques de l"Union, s" est replié de 11,8% à 10,3%, pour un minimum généralement admis de 8%. Le Secrétariat Général de la Commission Bancaire poursuit des a ctions de coopération, en vue d"une meilleure réactivité, concernant notamment l"activité transfrontière des banques. Il continue également la préparation des futurs défis, à traver s une participation active à différents forums et un renforcement de la formation du personnel aux évolutions majeures intervenues au plan international, dans le domaine de la supervision bancaire.RESUMERESUME
L11Rapport Annuel de la Commission Bancaire de lUMOA - 2007
S O M M A I R E
PAGES I - LENVIRONNEMENT DE LACTIVITE BANCAIRE131 - Environnement économique et financier international13
2 - Environnement économique et financier des pays de l"UMOA
173 - Evolution du cadre réglementaire21
II - LACTIVITE BANCAIRE DANS LUMOA 23
1 - Paysage bancaire23
2 - Evolution de l"activité et des résultats
30III - LA SURVEILLANCE DES ETABLISSEMENTS DE CREDIT87
1 - Fonctionnement de la Commission Bancaire et du Secrétariat Gén
éral87
2 - Suivi du dispositif prudentiel
933 - Actes et mesures98
IV ... ACTIONS DE COOPERATION ET DE FORMATION115
1 ... Groupes régionaux de superviseurs115
2 ... Instances bâloises116
3 ... Autres Institutions Financières Internationales
1164 ... Séminaires et rencontres116
5 ... Autres activités117
CONCLUSION119
LISTE DES ENCADRES
Encadré n°1 : La crise mondiale des " subprimes » 16 Encadré n°2 : Le relèvement du capital social minimum dans l" UMOA 22Encadré n°3 : La finance islamique111
ANNEXES121SOMMAIRE
ENVIRONNEMENT ECONOMIQUE ET FINANCIER INTERNATIONAL13Rapport Annuel de la Commission Bancaire de lUMOA - 2007
I - LENVIRONNEMENT DE LACTIVITE BANCAIRE
1. ENVIRONNEMENT ECONOMIQUE ET FINANCIER INTERNATIONAL
n 2007, léconomie mondiale, portée notamment par le dynamisme des pays émergents, a poursuivi son expansion, en dépit du tassement de lactivité aux Etats-Unis, de lenvolée des prix des matières, notam- ment énergétiques et alimentaires ainsi que de la crise sur le mar ché des crédits hypothécaires à risque (" subprimes ») et de se s répercussions sur les marchés financiers. Le taux de progression du produit intérieur br ut (PIB) mondial se situerait autour de 5%. Aux Etats Unis, le rythme de progression de lactivité économiq ue a été ainsi à nouveau freiné, en particulier par la faiblesse de la demande in térieure induite par la réduction des investissements des ménages en logeme nts. Toutefois, les dépenses de consommation ont continué dalimente r la croissance économique. Le taux de croissance devrait être ramené de 2,9% en 2006 à 2,2% au terme de la période sous revue. Dans la zone euro, le rythme de croissance du PIB a légèrement dim inué en2007, en revenant à 2,6% après avoir atteint 2,9% en 2006. Cette e
xpansion est tributaire notamment de la demande intérieure. La croissance écono mique devrait se fixer à 2,6%, 1,9% et 3,8% respectivement en Allemagne, enFrance
et en Espagne, contre 3,1%, 2,2% et 3,9% en 2006. La progression de l activité a été en particulier plus soutenue dans les pays de lUnion eur opéenne non membres de la zone euro, hormis le Danemark et la Hongrie. En dépit dun léger recul par rapport à 2006, la croissanceéconomique
amorcée au Japon depuis 2003 sest poursuivie, à un taux de 1,9 %, sous limpulsion de la bonne tenue des investissements et des exportations nettes. Le secteur extérieur a notamment profité de la faiblesse du yen et de la forte progression de la demande émanant des pays émergents de lAsie. La Chine a une fois de plus confirmé sa réputation de locomotive d e léconomie mondiale en enregistrant un rythme dexpansion de l activité économique estimé à 11,6%. Outre limpact favorable des inve stissements, cette progression est portée par les exportations nettes, sous le ffet combiné du développement des marchés à lexportation et de la condui te dune politique volontariste de substitution aux importations qui a par ailleu rs dopé la demande intérieure. Tirée par lindustrie notamment manufacturière, la biotechnolog ie ainsi que la sous-traitance informatique, léconomie indienne a encore affic hé des La croissance mondiale se main- tient à 5% , malgré les effets de laLa croissance de la zone euro est
en repli, à 2,6%.La Chine maintient quant à elle,
un taux de croissance à deux chiffres. ELa hausse des cours des matières
premières, renforce la production de richesse en Afrique où la croissance devrait atteindre 6,8%.La monnaie européenne sest
encore appréciée face aux principales devises.LENVIRONNEMENT DE LACTIVITE BANCAIRE
Rapport Annuel de la Commission Bancaire de lUMOA - 200714 performances remarquables, avec un taux de croissance du PIB de l"ord re de 9,4%. En Asie du sud-est, l"activité économique enregistrerait une cr oissance de5,7%. En Malaisie, en Thaïlande et au Vietnam, le rythme de progressi
on se situerait respectivement à 6%, 4,5% et 8,3% en 2007, contre 5,9%, 4,9 % et 8,2% en 2006. En Amérique latine, la bonne performance économique devrait se pou rsuivre au regard de l"évolution de l"activité dans les principaleséconomies de la
zone. En Argentine, le taux de croissance du PIB progresserait de 8% en 2006à 10% en 2007. Il se situerait à 5% au Brésil contre 3% en 2006 . Il se stabiliserait
à 3,3% au Mexique.
La persistance de la montée des cours des matières premières a permis à l"Afrique de maintenir pour la quatrième année consécutive, une croissance vigoureuse. Le PIB augmenterait de 6,8%, soit 1,3 point de pourcentage d e plus que 2006. Les pays exportateurs de pétrole et de minerais sont l es princi-quotesdbs_dbs17.pdfusesText_23[PDF] effort à l'exportation définition
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