[PDF] ELEVAGE BOVINS a l'engraissement - Fellah trade





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Document de travail - France Stratégie

13 août 2020 Mais l'agroécologie est-elle rentable pour les agriculteurs ? Cette ... polyculture élevage viande bovine de Bourgogne et de Franche-Comté.



COMPÉTITIVITÉ DE LA FILIÈRE FRANÇAISE BOVIN

25 juin 2021 a diminué de moitié entre 2010 et 2018 tandis que la part de la France dans les exportations mondiales de viande bovine est stable depuis ...



ÉTUDE DE FAISABILITÉ DUN PROJET ÉLEVAGE

possèdent des volailles 98% d'entre elles ne sont pas gérées et ont une productivité de développement concernent les grandes stations d'élevage bovin.



REFERENTIEL TECHNICO-ECONOMIQUE DE LEMBOUCHEBOVINE

Les bâtiments d'élevage en embouche bovine de limiter le poids de l'amortissement sur le coût de production (obligation de rentabilité).



Coût de production des filières animales et végétales

A l'inverse un élevage « marginal » peut être rentable même avec des coûts de production élevés si le calcul lui affecte des charges qui de toute façon 



La rentabilité des systèmes bovins viande 10 bovins viande 10sur10

Groupe de travail thématique : « maîtrise des coûts de production Source Réseaux d'élevage



Analyse stratégique de la filière bovine française par bassins de

Parallèlement à la baisse de la production la consommation française de viande bovine s'est réduite de 3 % entre 1990 et 2010. Avec le développement de la 



Coût de production en élevage bovin lait

Le principal intérêt d'un coût de production est la comparaison entre exploitations ou entre groupes France au travers de l'Institut de l'Elevage.



BOVINS En 2020 la production bovine se maintient à l

Les exportations de bovins finis diminuent de 51 sur un an et de 152 par rapport à la moyenne quinquennale; celles d’animaux d’élevage fléchissent moins sur un an (- 06 ) et augmentent même de 79 par rapport au nombre moyen d’animaux expédiés sur la période 2015-2019



Élevage bovin et environnement LES CHIFFRES-CLÉS

secteur bovin entre 1990 et 2015 (en kt de NH 3) u En France l’agriculture représente 98 des émissions d’ammoniac u Principaux postes d’émission d’ammoniac en élevage bovin en France (en ) u Répartition des émissions directes d’ammoniac par secteur en France en 2015 u soit 664 kt de onH 3 1 2 3 56 42 2



Coûts de production en viande bovine

La rentabilitéde la production bovin viande est la combinaison d’une bonne productivité d’un bon équilibre coût / produit : reproduction efficacitéalimentaire poids de vente 10 Pays participants 2010 Pays avec réseau national Pays avec réseau méthode agri benchmark 70 cas « e ngraisseurs » 46 cas « n aisseurs » Panel des coûts



Coût de production en élevage bovin lait - Idelefr

Coût de production en élevage bovin lait Manuel de référence de la méthode proposée par l’Institut de l’Elevage Octobre 2012 Compte rendu 00 12 50 028 Département Actions Régionales Jean-Luc Reuillon Jocelyn Fagon Thierry Charroin Monique Laurent Institut de l'Élevage collection résultats



L’ÉLEVAGE BOVIN LAIT - France

porte sur les engrais Le coût total des aliments a très peu diminué (-4 € aux 1 000 litres) La maîtrise de ce poste est primordiale dans la réussite de ces élevages Pour les charges fixes la hausse se chiffre à +4 Au final l’EBE progresse mais le taux de rentabilité demeure modeste (27 )



Résultats techniques et économiques comparés de deux

Le coût du travail induit un avantage important pour les élevages robotisés (-20 €/1000 l) en lien avec le supplément de productivité du travail permis par cette technologie : de l’ordre de 100 000 l de lait produit en plus par travailleur affecté à l’atelier bovin laitier



ELEVAGE BOVINS a l'engraissement - Fellah trade

ELEVAGE BOVINS A L’ENGRAISSEMENT Introduction L’évolution de la production des viandes rouges entre 1990 et 2006 a été marquée par un équilibre entre l’offre et la demande exprimée se traduisant par une augmentation moyenne de 1 par an pour atteindre 350 000 tonnes environ



ELEVAGE BOVIN EN WALLONIE - Awenet

La création de la première coopérative wallonne d’éleveurs bovins dénommée « En direct de mon élevage » qui permet une vente directe de la viande bovine de l’éleveur aux distributeurs sans passer par les intermédiaires traditionnels de la filière



ÉTUDE DE FAISABILITÉ D'UN PROJET ÉLEVAGE - CIRAD

3 - COÛT DU PROJET ET DÉTAIL DES INVESTISSEMENTS: Le montant total du projet s'élève à 9 000 000 VT dont: 1 °- Poulailler de reproducteurs: 928 000 VT 2° Bâtiment commun au couvoir et à la fabrique d'aliment:: 1 503 000 VT 3° Accouvage et élevage des poussins: 1 188 000 VT 4 - Fabrique d'aliments: 3 680 000 VT



Evaluation de la valeur économique directe de l’élevage bovin

Au terme de l’évaluation la valeur économique totale de la production bovine dans le bassin de la Donga représentée par les productions d’animaux sur pied de viande et de lait est de un milliard neuf millions quatre cent mille (1 009 400 000) francs CFA



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illustrant la diversité des situations d’élevage bovin laitier dans le périmètre irrigué du Tadla (Maroc) Un diagnostic initial de gestion de l’élevage (alimentation et reproduction) et de ses répercussions sur la productivité et la rentabilité des troupeaux bovins a été réalisé dans chaque étable Des manques à gagner

ELEVAGE BOVINS A L'ENGRAISSEMENT

Introduction

L'évolution de la production des viandes rouges entre 1990 et 2006 a été marquée par un équilibre entre l'offre et la demande exprimée, se traduisant par une augmentation moyenne de 1% par an pour atteindre 350.000 tonnes environ. Selon la stratégie d'élevage élaborée pour l'horizon 2020, la production de viande rouge devrait connaître un amélioration à un rythme plus élevé (1,16% par an) pour atteindre 440.000 tonnes en l'an 2020. Face à cette situation, le secteur de production de viandes rouges notamment bovines devrait connaître un développement important basé sur une transformation des élevages existants en unités d'engraissement rationnelles assurant une meilleure productivité et par conséquent, une amélioration de la consommation à travers la diminution des prix de revient du Kilogramme de viande produite. La présente étude se propose de mettre en relief la rentabilité financière d'un élevage de 100 taurillons dans des conditions rationnelles. L'exemple traité permet de tester 3 rations d'engraissement.

I.1 ASPECTS TECHNIQUES

I.1.1 Choix des animaux

L'effectif à engraisser est de 100 taurillons par an répartis en deux bandes de 50 taurillons chacune. Les dates d'entrée et de sortie des animaux seront déterminées en fonction de la conjoncture du marché. Le choix de l'âge et du poids à l'entrée de l'atelier d'embouche est un élément capital pouvant influencer la rentabilité de l'élevage. En effet, cette dernière doit théoriquement augmenter en parallèle avec l'efficacité alimentaire. Donc , l'objectif recherché est d'optimiser l'efficacité alimentaire à travers le choix approprié de l'âge, du poids et de la conduite technique de l'atelier, lequel choix

est dicté par les paramètres liés à l'évolution de la croissance des animaux : poids et

gain de poids journalier. En effet, pour ces paramètres, il conviendrait de rappeler les

éléments suivants (figure 1) :

I.1.1.1 La courbe de croissance

Cette courbe de croissance laisse distinguer 2 phases

1- Une croissance accélérée pendant le jeune âge de l'animal ;

2- Une croissance retardée aboutissant au poids adulte.

Figure 1 : Evolution théorique du poids vif des animaux

I.1.1.2 Le croit journalier

Le gain moyen quotidien (GMQ) exprimé en kg de poids vif /jour, traduit la vitesse d'augmentation du poids en fonction du temps. L'allure de sa courbe présente 2 phases principales : Figure 2:Evolution théorique du poids vif des animaux La première allant jusqu'à la puberté au cours de laquelle le potentiel de croissance est élevé. Durant cette phase le croit moyen quotidien augmente avec le temps. La deuxième après la puberté où la croissance diminue. Le croit journalier diminue avec le temps. C'est pourquoi, il est recommandé d'opter pour : Des animaux maigres achetés de race croisée à un poids vif moyen de 200

Kg environ ;

Un âge à l'abattage de 15 à 18 mois ;

Une alimentation de concentration énergétique élevée, donné à volonté à l'auge, pouvant assurer une croissance continue proche du potentiel des animaux. La présente étude se base sur l'hypothèse d'un GMQ avoisinant 1 Kg/j ; soit un poids final de 400 kg environ. D'où la nécessité de suivre de prés, la courbe de croissance des animaux à l'aide de rubans zoométriques. Ce poids permettrait d'obtenir des carcasses très recherchées au moment de la commercialisation.

I.1.2 Les bâtiments d'élevage

Pour le logement de finition, la supériorité de la stabulation libre pour les bovins en croissance et à l'engraissement a été démontrée ; les principaux avantages apparaissent au niveau de l'investissement, du coût de la main d'oeuvre et des performances zootechniques. Les normes dimensionnelles pour les bovins à l'engraissement sont :

Age /Poids Aire paillée

(Superficie couverte) Aire bétonnée Total

12-18 Mois

(200-400 kg) 3.5m² 2 m² 5.5 m² Tableau 1 : Normes dimensionnelles pour les bovins à l'engraissement (Direction d'élevage, 2006) Les besoins dimensionnels totaux pour l'exploitation seront :

Aire paillée (superficie couverte) : 175 m²

Aire bétonnée : 100 m² Total : 275 m²

I.1.3 Le stockage des aliments

Les besoins en termes d'infrastructures de stockage sont : Un réservoir de mélasse d'une capacité de 60 m 3 Un bâtiment de stockages des aliments concentrés d'une superficie de 10 m² ; Un silo d'ensilage : l'amortissement du silo est de comptabilisé dans le coût de production de l'ensilage de maïs.

I.1.4 La conduite alimentaire du troupeau

Trois rations sont retenues pour tester la rentabilité financière. Ces rations peuvent être modifiées selon les possibilités offertes par l'exploitation et sa localisation par rapport aux points d'approvisionnement des aliments de détail. Le rationnement des taurillons est raisonné en trois phases caractérisés par des poids et des capacités d'ingestion différents et par voie de conséquence, par des rations à densités énergétiques et protéiques différentes. Il est à préciser que les trois rations ont été déterminées par la technique de formulation à moindre coût. Ration 1 : Proposé dans le cas des élevages où l'alimentation est basé principalement sur l'apport des concentrés conventionnels.

Tableau 2 : Composition de la ration 1

(Direction d'élevage, 2006)

Ingrédients Phase I Phase II Phase III

Poids initial (Kg) 200 300 350

Poids final (Kg) 300 350 400

GMQ (g/j) 900 1000 1100

Durées d'engraissement (jour) 100 50 50

Quantité d'aliments consommés

(kg/j/animal) *T. tournesol 0.63 0.58 1 *Orge 2 2.63 2 *Son 1.17 1.34 1.87 *PSB 0.21 1.17 1.67 *CMV 80 g/j 120 g/j 130 g/j *Paille 1.5 2 2 Coût de la ration (en Dh/kg de gain) 8.33 11.72 13.32 Ration 2 : c'est une ration à base de mélasse proposée dans les régions proches des usines sucrières

Tableau 3 : Composition de la ration 2

(Direction d'élevage, 2006)

Ingrédients Phase I Phase II Phase III

Poids initial (Kg) 200 250 300

Poids final (Kg) 250 300 400

GMQ (g/j) 900 1000 1100

Durées d'engraissement (jour) 100 50 50

Quantité d'aliments consommés

(kg/j/animal) *Mélasse 2 2.6 4 *Paille 1 1.5 2 *Orge concassée 1.7 1.8 2 *TT 0.8 0.8 0.8 *CMV 0.1 0.1 0.1 Coût de la ration (en Dh/kg de gain) 7.59 8.61 10.61 Ration 3 : c'est une ration à base d'ensilage de maïs .C'est une ration donnée à titre indicatif pour lesquelles exploitations pouvant recourir à ce type de d'alimentation.

Tableau 4:Composition de la ration 3

(Direction d'élevage, 2006)

Ingrédients Phase I Phase II Phase III

Poids initial (Kg) 200 300 350

Poids final (Kg) 300 350 400

GMQ (g/j) 900 1000 1100

Durées d'engraissement (jour) 100 50 50

Quantité d'aliments consommés

(kg/j/animal) *Ensilage de maïs 4.5 5 5.5 *foin d'avoine 0.5 1.5 1.5 *T. tournesol 0.5 0.72 0.8 *Orge 1.5 2.4 3.15 *Son 1.2 0.8 0.45 *CMV 70 80 90 Coût de la ration (en Dh/kg de gain) 7.16 9.37 10.46 Tableau 5 : Besoins globaux en aliments d'une bande de 50 taurillons

Ingrédients Ration I Ration II Ration III

-Mélasse 26 500 -Ensilage de maïs 48 750 -Foin d'avoine 10 000 -Paille 17 500 13 750 -T. tournesol 7 100 8 000 6 300 -Orge 21 575 18 000 21 375 -Son 13 875 9 125 -PSB 8 150 -CMV 1 025 1000 775

I.1.5 Encadrement sanitaire

Afin d'éviter l'apparition d'éventuels problèmes sanitaires, il est recommandé : De choisir à l'achat, des animaux en bon état de santé ; De faire un test de tuberculination et vacciner les animaux contre les maladies légalement contagieuses ; De procéder au déparasitage interne et externe des animaux.

I.2 ASPECTS FINANCIERS

I.2.1 Les investissements

Tableau 6 : Les investissements pour un élevage bovin engraissement (Direction d'élevage, 2006)

Objet Coût (Dh)

Bâtiments 62.500

Puits+château d'eau+canalisation 60.000

Autres équipement d'étable (petit matériel...) 80.000

Besoins en fonds de roulement 475.000

Total investissement 677.500

L'investissement total s'élève à 677 500 dirhams dont 70 % pour les besoins en fond de roulement nécessaires pour le démarrage des activités de l'exploitation avant les premières recettes. Dans le cas de ce projet, les besoins en fonds de roulement correspondent aux charges directes d'exploitations de la première bande de taurillons. Les autres équipement (le petit matériel) englobent un petite mélangeur à gasoil équipé de deux broyeurs, l'un pour la paille et l'autre pour les grains ; pesant, brouette..Etc.) Pour l'équipement, il sera procédé à un réinvestissement dans les mêmes conditions, après leur amortissement sur 7 ans. I.2.2 Les frais d'exploitation : charges variables Les charges variables de cette exploitation ont été déterminées sur la base des hypothèses suivantes : *Le fourrage est comptabilisé au coût de production qui tient compte de toutes les charges afférentes à la composante " exploitation agricole » pour une année normale ; -Paille : 0.5 Dh/kg -ensilage de maïs : 0.4 Dh/kg -Foin d'avoine : 1 Dh/kg *Les prix retenus pour les aliments concentrés sont ceux enregistrés du marché de Casablanca ; -Tourteau de tournesol : 1.95 Dh/kg -Orge : 1.7 Dh/kg -Son : 1.6 Dh/kg -PSB : 1.8 Dh/kg -Mélasse : 1.1 Dh/kg *Le CMV est comptabilisé au prix de 6 Dh/kg ; *Les animaux seront achetés au prix de 30 Dh/kg vif, soit 6 000 dirhams par taurillon, dans une conjoncture normale du marché. Les soins vétérinaires, médicaments et interventions sont estimés à 100

Dh/taurillon.

I.2.3 Charges fixes

-La main d'oeuvre nécessaire se présente comme suit : *Un technicien gérant : 4 000 Dh/mois ; *2 Ouvriers payés 1 500 Dh/mois ;

1 Gardien payé 1 500 Dh/mois.

-Frais divers : ils regroupent eau, électricité, transport... etc.

I.2.4 Les recettes de l'exploitation

L'estimation des recettes de l'unité a été faite en tenant compte des hypothèses suivantes : *Vente : -Taurillons : 27 Dh/kg vif ; soit 10 800 dirhams/taurillon ; -Fumier : le produit servira à l'achat de la paille utilisée comme litière. *Effectif vendu : L'effectif de taurillons mis en vente est de 98 taurillons par an si on suppose que le risque de mortalité est de 2%.

I.2.5 Le compte d'exploitation prévisionnel

Les comptes d'exploitations prévisionnels correspondant aux rations n° 1, 2 et 3 sont présentés dans le tableau suivant (Tableau 7). Tableau 7 : Compte d'exploitation prévisionnel pour une année

Objet Prix unitaire en

Dh Ration1 Ration2 Ration3

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