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FICHE DE LECTURE PRESENTATION GENERALE. « La sociologie des organisations ». Philippe Bernoux



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  • Qu'est-ce que la sociologie des organisations PDF ?

    La sociologie des organisations est traduite dans le cas présent comme l'étude de celles-ci comme jeux de pouvoirs et systèmes d'acteurs. Tout d'abord P. BERNOUX décrit les premières organisations de la société industrielle. II.
  • Quel est le but de la sociologie des organisations ?

    La sociologie des organisations est une branche de la sociologie qui étudie comment les membres d'une organisation (les acteurs) construisent et coordonnent des activités collectives organisées.
  • Quels sont les 3 grands courants théoriques pour l'étude sociologique des organisations ?

    Postulats des courants en sociologie des organisations
    ?ole de la contingence. Théorie de l'acteur stratégique. Théorie de la régulation sociale.
  • L'organisation bureaucratique, une organisation rationnelle. Max Weber (1864-1920) est considéré comme le père de la sociologie des organisations dans la mesure où, en menant une réflexion sur le pouvoir, il débouche sur une analyse des modes de fonctionnement des organisations humaines.
1

FICHE DE LECTURE PRESENTATION GENERALE.

" La sociologie des organisations », Philippe Bernoux, Collection POINTS ESSAIS, Editions du SEUIL, 5 e

Edition, 379 pages, 1985

Auteur et bibliographie

Philippe Bernoux Sociologue, Docteur d'État, Directeur Honoraire de Recherches au CNRS. Il a

mené de nombreuses recherches dans les entreprises, sur leur création, leur organisation, l'effet des

nouvelles technologies. Il est membre du Groupe Lyonnais de Sociologie Industrielle, CNRS -

Université Lyon 2, qu'il a fondé et dirigé pendant douze ans. Il a longtemps enseigné à l'Université

et dans des écoles d'ingénieurs ainsi que dans des centres de formations continue et dans de nombreuses entreprises.

Il est notamment l'auteur de :

La Sociologie des entreprises (Seuil, coll. " Points Essais "). La Sociologie du changement des entreprises et des organisations Les Nouvelles Approches sociologiques des organisations (Seuil, coll. " Points Essais "). En collaboration avec Henri Amblard. P.Bernoux a utilisé de nombreuses références : Sur l'analyse stratégique et la sociologie des organisation - Michel Crozier et Erhard Friedberg, L'acteur et le Système, Paris, Ed. Du Seuil, 1977. - Erhard Friedberg, " L'analyse sociologique des organisations », revue Pour, 1972. - Erhard Friedberg, Le pouvoir et la Règle, Paris, Ed. Du Seuil, 1993. - J.G. March et H.A. Simon, les organisations, Paris, Dunod, 1964. - Pierre Morin, Le Développement des organisations, Paris, Dunod, Col. " La vie des entreprises », 1971. - David Silverman, La Théorie des organisations, Paris, Dunod, 1973. - F. Séguin, J-F. Chanlat, L'analyse des organisations. Une anthologie sociologique. tome

1,1983.

Sur la sociologie du travail

- Georges Friedmann, Problèmes humains du machinisme industriel, Paris, Gallimard, 1946. - J.A.C Brown, The Social Psychology of Industry, Londres, Penguin Books, 1954. 2

Sur la sociologie générale

- Henri Mendras, Elément de sociologie, Paris, Colin, 1979. - Jean-Pierre Durand, Robert Weil, Sociologie contemporaine, Paris, ED. Vigot, 1989. - Raymond Aron, Les Etapes de la pensée sociologique, Paris, Gallimard, 1967. - Raymond Boudon et François Bourricaud, Dictionnaire critique de la sociologie, Paris,

PUF, 1982.

Divers

- Michel Bonetti, Vincent de Gaulejac, Daniel Descendre, L'emprise de l'organisation, Paris,

PUF, 1979.

- Renaud Sainsaulieu, Pierre-Eric Tixier et Marie-Odile Marty, La Démocratie en organisation, Paris, Librairie des Méridiens, 1983.

DEMARCHE UTILISEE PAR L'AUTEUR.

Ce livre est composé de deux parties :

La première aborde l'historique des organisations, les différents concepts et les

problématiques. Il met l'accent sur l'importance des évolutions et sur la nécessité d'adapter

différentes stratégies en fonction des événements et des individus. Soucieux de faire passer

le message, il utilise la méthodologie de l'exemple. P.Bernoux fait aussi beaucoup de " feed back » afin que le lecteur ne se perde pas.

La deuxième partie est consacrée à des cas concrets pouvant se retrouver dans différentes

organisations permettant d'illustrer les apports théoriques vus en première partie. P.Bernoux utilise à la fois le questionnement et la réflexion.

MISE EN EVIDENCE DES CONCEPTS.

L'intégration

L'interaction

La relation

La collaboration

La rationalisation

Le pouvoir

La communication

La psychologie

Le positionnement de l'acteur

L'organisation

2

RESUME.

I. LA THEORIE DES ORGANISATIONS.

a. la question de départ. Définition de la sociologie : " étude des faits sociaux »

Cette définition apparaît simple, pouvant servir de modèle mais insuffisante pour les sociologues

expérimentés qui critiqueront la théorie durkheimienne. Il apparaît nécessaire de commencer par

l'observation et les questions qui en découlent ; D'où la définition La sociologie selon DURKHEIM correspondant à la question

qu'il se pose par rapport au fait de garder la société unie : " fait social, transcendant chaque

individu et résidant dans le groupe. » Dans cet ouvrage P. BERNOUX se propose d'étudier les comportements des individus et/ou des groupes dans des organisations. Il montre combien les relations individu/individu et individu/groupe sont impliquées dans le fonctionnement de l'organisation. b. explications.

Dans tout groupe il y a des normes de comportements et chaque individu doit se soumettre à celles-

ci sous peine d'exclusion (exemple de la fainéantise et du freinage). Il existe un phénomène culturel

qui influe sur le comportement des individus de même que d'autres facteurs tels que l'âge, le sexe.

Le caractère et le tempérament sont propres à chaque individu. Ces déterminants collectifs et individuels apparaissent insuffisants pour expliquer les comportements. La notion de motivation semble intervenir dans l'explication de ceux-ci en tenant

compte du rôle attribué à l'individu dans l'entreprise ou l'organisation et du contexte social.

Les normes de comportements ne s'acquièrent que dans la situation où se trouve l'individu. Ces normes résultent donc de l'interaction entre l'individu et divers groupes sociaux. L'individu

détermine son comportement en fonction de ses propres intérêts et les opportunités que peut lui

offrir l'entreprise. Pour atteindre son but il va adopter un stratégie adaptée, mais c'est le groupe qui

définira la stratégie globale : c'est " une logique d'acteur ». Cette logique se traduit au sein d'une entreprise comme des relations de pouvoir. Celles-ci sont

d'origine organisationnelles mais aussi culturelles liées à l'histoire de l'entreprise et au respect de

ses valeurs Ces normes de comportements se constituent en fonction de ces relations de pouvoir. Des facteurs internes comme les pressions et les contraintes résiduelles, ou externes comme l'environnement peuvent venir modifier ces normes et influencer les logiques d'acteur. 3c.

Le modèle interactionniste.

Il existe trois types d'explications :

Le déterminisme individuel : " Le comportement doit être expliqué à partir de variables caractérisant l'environnement de l'individu » 1 Le réalisme totalitaire : "le comportement est conçu comme le produit des structures sociales caractérisant les sociétés dans leur totalité » 2 Le modèle interactionniste : " les comportements sont interprétés comme des actions entreprises en vue d'obtenir certaines fins » 3

Les individus doivent se fixer des objectifs à atteindre. Le choix s'est porté sur cette dernière pour

expliquer les phénomènes en question. La sociologie des organisations est traduite dans le cas

présent comme l'étude de celles-ci comme jeux de pouvoirs et systèmes d'acteurs. Tout d'abord P.

BERNOUX décrit les premières organisations de la société industrielle. II. LES PREMIERES ORGANISATION DE LA SOCIETE INDUSTRIELLE.

Au XIXème siècle l'usine le lieu symbolique de la création de richesses mais l'usine et ses ateliers

ne vont pas de paires. De ce fait certains changements vont s'opérer. L'organisation des sociétés

industrielles d'aujourd'hui descend directement de ces changements et des théories qui en découlent.

a. Les nouveaux modèles. l'accumulation du capital ou la théorie de Max Weber (professeur dans diverses universités allemandes XIXème siècle) En réfléchissant sur les circonstances du développement de la société industrielle et en observant les groupes sociaux qui sont à la tête des affaires et notamment les leaders il leur trouvera un point commun : la religion . Selon Max Weber " les chefs entreprise et les détenteurs de capitaux, aussi bien que les représentants des couches supérieures qualifiées de la main- d'oeuvre et, plus encore, le personnel technique et commerciale hautement qualifiés des entreprises modernes, sont en grande majorité protestants » 4 Max Weber fort de cette constatation relate deux faits : L'esprit du capitalisme : c'est un système qui repose sur l'entreprise industrielle dont le but est de faire un maximum de profits et d'accumuler 1

Proposé par R.Boudon, s'inspirant lui-même de J.Piaget dans " les limites des schémas déterministes dans

l'explication sociologique », in G.Busino ( Ed ), les sciences sociales avec et après J.Piaget. Hommage publié à

l'occasion du 80 anniversaire de J.Piaget, Genève, Droz, 1976 p417-435 ; 2 Ibid 3

R.Boudon, art.cité

4 Max Weber, l'éthique protestante est l'esprit du capitalisme, Paris, Plon, 1964, p.33 4 sans limite ni relâche. Il suppose l'organisation rationnelle du travail et de la production. L'éthique protestante : la réussite privée mais surtout professionnelle apparaît nécessaire voire obligatoire pourrait être élu de leur Dieu. Cette réussite constitue alors un signe de leur élection divine. Mais intervient un autre aspect de la théologie de Calvin, c'est le péché. Donc l'accumulation de richesses doit se faire dans le respect d'une morale puritaine privilégiant l'épargne plutôt que la consommation synonyme de jouissance. De plus ceci développe l'esprit d'individualisme car chacun est seul face à Dieu. Dans son analyse de l'éthique protestante et de l'esprit du capitalisme, Max Weber démontre qu'il y a une interaction entre ces deux modèles car le désir de profit maximal ne se fait pas dans le but de jouir des bienfaits de l'existence mais d'être satisfait de produire plus : ceci explique la naissance de la société industrielle sous forme de capitalisme.

La naissance des valeurs bourgeoises

Karl Marx s'est intéressé au conflit que cette accumulation de richesses pouvait engendrer entre les exploitants ( entrepreneurs) et les exploités (ouvriers). Par ce besoin d'accumulation du capital, la bourgeoisie devient classe révolutionnaire. La naissance du capitalisme s'est faite grâce aux changements de mentalité, de système de valeurs, de structures sociales et politiques permettant la création de la société industrielle introduisant un ordre nouveau dans les domaines de la vie sociale.

L'individu et la raison

L'organisation de la société du XVIIIe siècle précédant l'ère industrielle présente deux analogies celle du corps humain et du contrat social, chacun occupant une fonction particulière et devant s'y tenir. Au XVIII ème siècle, l'homme prend conscience qu'il existe au sein de la société, qu'il a une culture propre et qu'il a sa place dan son entreprise. L'idée du contrat social sera une tentative de laïcisation de cette société. Deux courants de pensée se développent avec l'industrie du XIXème siècle :

L' individualisme et l' hédonisme

La société industrielle développe l'individualisme avec un esprit de compétition libre et totale où seuls les meilleurs persistent, c'est la loi de l'équilibre naturel. La théorie de Darwin sur les espèces devient alors un 5 modèle dans les milieux industriels : les meilleurs gagnent et les faibles persistent. Jeremy Bentham, philosophe anglais, pense que toutes les actions humaines sont intéressées et que chaque individu cherche à tirer des avantages de toute situation, c'est " l'égoïsme éclairé ». Le travail apparaît comme une nécessité pénible et déplaisante que l'homme cherche à éviter.

Le scientisme et la rationalisation

Au XIXème siècle se développe un courant de pensées qui fait l'éloge de la science faisant le lien avec son développement et celui du progrès des sociétés. Cette apogée de la science triomphe par la rationalisation. Taylor, en pionnier, mettra en place cette dernière dans l'organisation du travail. b. L'évolution du travail en entreprise. Le travail ouvrier subit de grandes transformations, décrites en trois phases : La phase A: c'est la phase initiale dite de la machine outil. On assiste au système de professionnalisation du travail. Le rapport à la hiérarchie est le retranchement professionnel. Le pouvoir technique est détenu dans l'atelier par les ouvriers.quotesdbs_dbs4.pdfusesText_8
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