[PDF] Lucienne FELIX





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Géométrie élémentaire. Démonstration des propriétés des

inscriptible au cercle. THÉORÈME III. Dans tout quadrilatère inscrit le rectangle des diagonales est égal à la somme des rectangles des côtés.



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Propriété : Si un quadrilatère est un parallélogramme alors ses Donc le triangle ABC est inscrit dans le cercle de diamètre son hypoténuse [BC] 

  • Comment démontrer qu'un quadrilatère est inscriptible ?

    Une façon de prouver qu'un quadrilatère est inscriptible est de démontrer que la mesure d'un angle formé par une diagonale et un côté est égale à la mesure de l'angle formé par l'autre diagonale et le côté opposé. Un losange est un quadrilatère dont les quatre côtés sont de même longueur.
  • Comment inscrire un quadrilatère dans un cercle ?

    Comme la somme des mesures de ses angles opposés est égale à 1 8 0 ? , le quadrilatère est inscriptible et ses quatre sommets peuvent donc être inscrits dans un cercle. Remarquez que nous n'avons pas besoin de prouver que la somme des mesures des deux autres angles opposés est égale à 1 8 0 ? .
  • En résumé, on a 3 sortes de quadrilatère : croisé : les 2 diagonales sont à l'extérieur. convexe : les 2 diagonales sont à l'intérieur. concave : une diagonale est à l'intérieur, l'autre est à l'extérieur.
4

UNIVERSITE DE BORDEAUX.IIREM DE BORDEAUX

Lucienne FELIX

UN AIP]ERCU DtrS }v{IBTHODES

EN GEOÀ/flffiRm EILENfiBNIIAIR'IE

2 ûextes de réllllexiorns didaatiques

mars 1991

Prêface

Lucienne FELIX me fait lhonneur de me demander de préfacercet "aperçu sur les méthodes utilisées en géométrie élémentaire".

on ne .présente- plus Lucienne FELIX aux professeurs deMathématiques, sinon aux débutants.

Pour amglo1qr {enseignement des mathématiques, dans la voietracée par Henri LEBESGUE dont elle a été I'assistante â Sèures entre lesdeux- guelres (elle a d'ailleurs recueilli et achevé son ouvrage posthumesur les constructions géométriques), Lrrcienne FELIX i fublié denombreux ouvrages de réfleiion, de culture mathémâtique etd'innovation, ainsi que des manuels très originaux pour les différentsniveaux de I'enseignement secondaire. Ses livies ont été ut, uppui décisifpour certains

amoureux des mathématiques de ma génération àt sur leurengagement au service d'une rénovation des pratiquei de I'enseignement.

Elle a publié un hommage à Henri LEBESGUE où ellerassemble les citations les plus significatives du grand mathématicien ausujel de I'enseignement. Elles constituent de trèi intéressants sujets deméditation pour les professeuru.

Mais ce n'est pas moi gui peux la présenter puisque c,est elle, aucontraire, qui .m'a tenu

sur les -fonds baptismaux des études surI'enseignement à la GIEAEM en 1960, et qui m'a, par la suiae, luidé etaidé dans ce domaine.

. A qugl titre, a}tre que celui d'une amitié et de ma part d'uneadmiration profonde et si anciènne, puis-je assumer cet honneur'?

Il me semble y distinguer une raison (qui vaudra le crédit quevous voudrez bien lui accorder) disons de relégitimation.

:^_-_ ^ , tr "f, partout question, aujourdhui, de didactique et du rôle que Joue ce domaine dans la réorganisation de fa formation des professeurs.

Quelle place tiennent dans ce nouveau secteur les activités"anciennes" des professeurs de mathématiques ?

,L II

L'art de fabriquer des problèmes par exemple : ce champ de"méthodel'- qui permettait de réorganiser les èonnaissances à enseignËr enune, problématique où les élèves pouvaient, sur les talons dà leursprofesseurs, goûter aux plaisirs (transposés, scolarisés, modélisés, maisréels) de la chasse aux questions mathématiques.

L'art de fabriquer avec les résultats épars de recherchesmathématiques,-.parf-oiq pénibles et obscures, un eiposé séduisant quipermet soudain I'accès fulgurant à un domaine nouveau.

L'art de réorganiser en une vaste synthèse les connaissancesmathématiques nécessaires pour la communauié qui permette à la fois lemaintien d'une cohésion culturelle suffisante et la préparation des élèves àdes métiers fort différents.

La didactique des mathématiques est-elle lhéritière des effortsde tous les mathématiciens qui se sont attachés à la diffusion de leurdisc_ipline ("populaire" comme STEVIN, ou non) et de tous les

Plofesseurs qui ont "naïvement", dirait-ont aujourdhui, consacré leursefforts à maintenir vivante une aventure qul d'aucuns déclarent siaustère?

ou les rejette-t-elle définitivement dans la préhistoire et dansI'amateurisme ?

La didactiqu,e g-st-elle cette intrusion d'une méthodologiebureaucraliqgt venue d'ailleurs que certains se plaisent à présenter? iupeut-elle in1égrer, comprendre, critiquer, exploiter, dépasser, aider uneactivité mathématique des professeurs ?

A travers ma personne, je crois que Lucienne FELIX pose cettequestion à tous les didacticiens et à tous lesprofesseurs.

Elle le fait à sa manière, comme toujours, par I'exemple : Ellepreld- sa plume et écrit ce qui lui paraît être le plus tlpique de I'activitémathématique d'un professeur.

Je donnerai une réponse plus étayée dans un autre texte, mais je

suppose que vous entrcvoyezma position. Iae jour où ce genre de texte, nivraiment scientifique, ni pédagogique, ni didactique, n'airra plus d'intérêtpour nous sera bien proche du jour où I'on ne fera plus de mâthématiquesnulle part.

Guy BROUSSEAU

2

INTBODUCTION

ll y a une quarantaine d'années, à la première rencontre de la clEAEM, on évoqua la formule de Ptolémée. Un collègue anglais, devenue depuis un ami, Owen

storer, présenta ce théorème comme le type même dont la solution doit être apprisepar coeur, trop astucieuse pour être retrouvée (je ne sais plus laquelle il proposa,

peut-être du type de la 5ème ci-après : un point miraculeusement introduit en est la clef !).

Je m'indignai et, à l'époque, bien entraînée à résoudre des problèmes degéométrie élémentaire, je proposai immédiatement plusieurs solutions. Mais la

vieillesse m'ayant privée de mémoire, je me trouve dépourvue et, refusant de faire appel aux documents qui ne manquent pas, je fais face à la situation. Je comprends autrement la réflexion de mon collègue : Devant un champ trop riche de connaissances variées mais sans voies tracées vers te but, quels chemins prendre ?

D'où partir ?

Au départ, il faut préciser de quoi il s'agit. On demande de découvrir ou, à la rigueur, de vérifier des relations métriques conséquences de I'inscriptibilité dans un cercle d'un quadrilatère convexe (4 côtés et 2 diagonales). Ma première idée fie ne prétends pas que c'est la meilleure l) fut de faire appel aux théorèmes sur les angles inscrits ou sur les couples d'angles opposés supplémentaires. D'autres voies d,accès furent envisagées ensuite, et les questions des réciproques se présentèrent. Nous exposons ici des démonstrations du théorème direct. Leur variété pose des questions dont nous faisons ensuite l'étude dans la deuxième partie.

JUSTIFICATION DE L'ETUDE

La question posée est simple et claire.

"Démontrer que, dans tout quadrilatère convexe inscriptible dans un cercle, le produit des diagonales est égal à la somme des produits des côtés opposés" (formule dite de Ptolémée). Tous les cours de géométrie classique, depuis I'enseignement des Jésuites au XVllème siècle, proposent une démonstration (sinon plusieurs), tel le manuel "La

géométrie des dames" publié vers 1790, jusqu'aux traités de notre siècle (tel celui qui

fut le'plus réputé aux environs de 1900, rédigé par Hadamard, dans la collection dirigée par Darboux de mathématiques élémentaires). Cette célébrité s'explique par I'importance historique de la formule en question : Les progrès de I'astronomie, en relation avec ceux de la navigation ont conduit Ptolémée, vers 150 apr. J.C., à créer le "théorème des cordes" pour l'étude des angles et arcs de cercle et de la sphère. Prolongeant les résultats d'Hipparque, la construction de la "table des cordes" est, pour nous, la table des sinus des angles aigus et le théorème, objet de notre étude, est la clef de ce que deviendra, avec I'introduction des tangentes des angles, notre trigonométrie plane et sphérique. Mais notre étude ne concerne pas cet historique. En quoi, alors, le théorème

nous intéresse-t-il? En feuilletant les traités et manuels, on est frappé par la diversité

des démonstrations, diversité telle que la formule est devenue inutile, simple remarque depuis I'introduction des puissantes théories : transformations géométriques, trigonométrie, géométrie analytique, nombres complexes, mais elle est I'occasion d'une recherche sur les méthodes de géométrie élémentaire : position du problème (il s'agit de deux formules!), réciproques, extension des propriétés d'une figure à tout le plan, comparaison des voies d'exploitation d'une situation, etc...

C'est ce que nous allons tenter d'explorer.

ELEMENTS INTRODUITSDANS L'ETUDE DU

4

QUADRILATERE CONVEXE

1) Notations

A générales

Cercle

Diagonales

Côtés

Longueurs

4 r-\ Anoles y+ô+T1*ô1=ae f =y, ô'=ô, ^lt= \, ô', = ôl , centre O, rayon R

AB et CD se coupant en E

AC, CB , BD, DA

AC=c,AD=d,AB=a

BD=c',CB=d',CD=a'

BAC = y ADC = y1 BDC = y' ABD = y',

BAD = ô ACD = ôt BCD = ô' ABC = ô',CAD=1=y+ô ADB=1=Tff

CBD = Ê=/r+ ô'r ACB = ô = ôr+ ô'

Les angles satisfont à

rE =y+ô+yt+ôt = y+ô'+ n/r+ô'1 =T+lt+ô1 +ô'- ôt*ô'1 * \+^l ff =y+ô, Ê =t'r*ô'r^C =ô*ô", D=Tt+Y"

Triangles :

Degré de liberté du système. Sur les 12 angles, on peut en choisir 4 indépendants qui permettent de construire la figure. Par exemple à partir de AC on porte (Y, ô, ôr , ô' ). ll y a donc un système de I équations indépendantes déterminant les B autres angles. Le degré de liberté est 4.

2) Conditions d'inscriptibitité

Les propriétés du cercle prouvent qu'une égalité telle que y = | (angles inscrits découpant le même arc) entraîne I'inscriptibilité d'où 3 angles arbitraires. La situation correspond maintenant au système de 9 relations :

Longueurs L'inscriptibilité entraîne "l'homologie des sinusc = ô = c' = d' ---?--- "'= l.=2Rlsin y, sin ôr sin ô sin y sin ô sin Â

L - -''r

Les 6 longueurs des côtés et diagnonales sont liées par 5 équations homogènes déterminées par 3 paramètres angulaires indépendants. Ainsi 2 relations homogènes métriques indépendantes lient les 6 rongueurs du quadrilatère inscriptible. Le couple le plus simple est celui des deux relations de Ptolémée, objet de l'étude.

Remarque : Cas de figure du

5 point de vue de la comparaison des angles à 1 droit.

La somme des 4 angles du quadrilatère

convexe est égale à 4 droits, donc au moins un des angles est obtus.

Soit B > droit

La comparaison à 1

tracer

Cxt J- CB

Dx, J- BD

La comparaison Oe  à 1 droit fait tracer

le cercle de diamètre CD, ^et celle de A à ae - B fait tracer le cercle circonscrit à CBD. droit de C et de D fait

Nous obtenons 9 régions :

B est obtus

L'étude fait considérer aussi le

I'inscriptibilité. ll sépare les régions

(4) cercle ensemble des (3) et (5) et les régions points correspondant (3') et (5'). agu

AcDRégion

obtusobtusobtus argu(z',) aguobtus(z',) aigu(1 ) aiguobtusobtus(6) aigu(3) et (s) aguobtus(3') et (5')

PREMIERE DEMONSTRATION -

L'inscriptibilité résulte de Â

Dans les triangles CDA et C

f^ donc, avec cor â = - cos Â, (c.d

Conclusion : Enoncés des formules de ptolémée :(Pl ) : Dans un quadrilatère convexe inscriptible dans un cercte, le produit des

(P2)

diagonares est égar à ra somme des produits des côtés opposés.: Dans un quadriratère convexe inscriptibte, re rapport des diagonares estégal au rapport des sommes des produits des côtés aboutissant auxextrémités de cette diagonale.

'6r e' "*EYLLENAE,PJtn;TLE Dhverse's ûÉmonstro,tfnns des lornutzs û.e. "tDrétnûe *Ê-r,, donc cosÊ=-cosÂ

DB, nous utilisons ta formule

'2 = c2 * d2 -2 cd cos  [c,dJ = c'2 + d,2 - zc,d,cos Ê i "o j + c'.d') a'2 = (c2 + 62) c'd'+ (6,2 + d,2) cd = (cc'+ dd') (cd,+ dc,) Ainsi o,2_(cc, + dd,) ( cd,+ dc,)-ffi de même (Pr) (9 par suite aa'= CC' + dd' et cd+c'd'=-cd'+ dc' P's' : nous disons ici "côté" pour "tongueur des côtés". DE'XTEME DEMoNSTRATToN - (Jgarité des angres inscrits = simititude)

6B=6È=T, équivalantà'ffi =ffi =ô

exprime I'inscriPtibilité d,2= a2+&-2accosT =à'2+C2 -2dC cosY donc, éliminant cos Y, (ac - a'C) d' 2 = (à'2 + c'z) ac - (a2 + c2) a'C = (aa - cC) (ac - ac) ..2 (aa' - cc') (a'c - ca')u=ac- a'c' et, de même d2 = donc donc (aa' - cc') (ac - a'c') a'c - c'a (dd')2= (aa' - cc')2, ($,)'= [|||1J' ll est nécessaire, pour supprimer les carrés, d'étudier les signes des différences

4.,=ââ'-cc' , L2=âG'-a'c , Â3=ac-â'c'

en remarquant que, d'après la formule donnant 6'2 (ou celle qui donne d2 )' ^1

A2 q est Positif.

L'étude des produits de côtés consécutifs fait songer aux surfaces des triangles. supposons, par exemple, c > c'. L'égalité des angles y, déjà utilisée, prouve similitude des triangles AEC et DEB , le rapport de similitude étant ffi=t oon.' t

Les surfaces vérifient alors

s(EAc)>S(EDB)+s(DAc)>s(DAB)d'oùa'c>ac'+ S (BCA) > S (BCD) d'où ac > a'c' Ainsi c>C entraîne ^2>O et Agt0,doncaussi Àrt0' D'oùlesconclusions ( oo'= aa'- cc' ( ^^'= cc'+ dd' (P l) {o_ac-a,cl ' équivalantà 1+=1ry (F2)trt-ffi \a' cd'+d I TROISIEME DEMONSTRATION - (Trigonométrie. Homologie des sinus) Dans un cercle. les sinus des angles inscrits sont proportionnels aux cordes découpées. Etudions donc ces sinus. Les angles inscrits Y, Y1 , ô , ô, sont tels que ï+ Tr +ô+ô' =rr, Â=1+ô, Ê=ae-A=Y1 * ô1

ô=ô+ô1 , ô=r-Ç=T+Tt

D'où, parexemple, Â-ô =Y-ôr, Â*ô =ae+(y', -ô) donc

Nous posons

1) Produits de côtés

A

0 = ô+Tr = r- (Y+ ôt), angle des diagonales

opposés sin y sin O., = l[cos (y- ô.,) + cos e] sin y' sin ô =;[""r (yr - ô) - cos e] sin y sin ô., + sin y1 sin A = |[cos (y- ôr) + cos Cy., - ô)] = .]-["or (A - c) + cos (n + c)] = sin  sin ô (II r) donc cc' + 616l' = ââ' (Pt )

2) Produits de côtés consécutifs

sin y sin ô+ sin y., sin U' = ;[ cos (y-ô) - cos (r+ ô) + cos (yr - ôr) - cos (v1 * ô,)]

mais cos (Y+ ô) = - cos (Yt + ô 1) donc siny sin ô+sinï1sinu.,=lIcos1y-ô) +cos (t.r-ô.r )] ^=sinô sin0 sin y sin ô., + sin y., sin ô = sin  sin â sin y sin ô + sin y' sin ô., _ sin Q (nz) sin y sinô, + sin 1.' sin ô sin A d'c'+Cd a rtîtainsi ;ffi=i (P2, de même donc I QUATRIEME DEMONSTRATION - (Le croisiilon des diagonates)

D'après la similitude des triangles

{E3B er {Eâ3 donnenr

1) La formule de Chasles

U+V=à, U'+V'=a' dOnne

[ "=u'ç1*$) avec l=Ë \"'=utË*oq, i=:*ffi (u u' c| -=_=_lv' v c'1u v'd| -=_=_\u' v d' d'où donc a cd+c'd' ,= tpz)a' cd'+ c'd \

2) La formule de Stewart (1)

appliquée à (A,C,E,D ) s'écrit C v'+ d2 u'= â'(u2 + u'v') or, le premier membre peut s'écrire I I le deuxième membre s'écrit donc l'égalité s'écrit c (cv') + d (du') = c (c'v') + d (d'u) = u. (cc' + dd') "'[ , t, . # )]= "', (u + v) = uââ' cc'+dd'=aa' (Pt)

(1) Cette formule classique liant les distances mutuelles des 3 sommets d'un t1angle et d'un point situé

sur un de ses côtés sera étudiée en fin de la seconde partie. 10

Faisons apparaître

dénominateurs dans obtenir une suite de

Ain si,

Nous obtenons la suite

Ajoutons numérateur et

u+v u'+v' dc + d'c' cd'+ c'd 'c'est-à-dire a = â'cd + c'd' cd'+ c'd'

Pour (Pr ),

opposés. (1) s'écrit sous la forme cc'+dd'=l1"tu,+d2u,)

Or, la formule de Stewart donne

c2v' + d2u' = u2 a, + u'v,a, = donc, en conclusion

à' (u2 + v'u') = a'au

(Pr)

4 bis: AUTRE PRESENTATTON - (res simirituoes oo l

(1) [i=i:j (3) ["=;] (z',) [:=r,J G) ["o=;J les produits de côtés consécutifs en chaque égalité par un même nombre rapports égaux. uu' dc =db d'égalités :uu'vv'=-dc d'c d'c' - dc' (1) (2) (3) dénominateur convenables : la même idée, faisonsapparaître les produits des côtés uu'uv' -=r- I -dd' d'z cc' c,2 multipliant les z bien choisi pour (P z) cc' + dd'= aa' 11

CINQUIEME DEMONSTRATION -Illn-,0ointstile)

^ ^ ^ .^Puisque BAC = CDB et CBA = CDB , il existe un point L de AB, construit pa m. = aeÈ qui assure les 2 similitudes (b,â3 er

AL=x, BL=y,CL=2,xczvd'z

45-;-c'a'd'da'c

cc' dd' cd't=?,y=T,==T ( L,B,c fR,D,c

Posons

ona c'est-à-dire - Laformule de Chasles, X * y = a donne aa' =cc' + dd' (Pl ) - La formule de Stewart , donne dans ABC avec L sur AB,

éY*d'2x=a(22+ry'1

a'lC dd'+ d'2 cCl = al& d'2 + cc'dd'l a' (cd + c'd') = â (cd'+ dc')a cd + c'd'il=ae11ae? donc donc

C'est-à-dire(9 z,

,12

SIXIEME DEMONSTRATTON - (une droire urile)

Puisque ô et ô sont supplémentaires, toute droite x' x te l l e que (BA, X') = iCB, CA) , assure aussi (BA, X) = (DB, DA) Menons cette droite X'X par B . Elle coupe respectivement les droites AC et AD en F et G , formant 2 couples de triangles semblables fîË,5 , l?=T=i\ /iA,B,c. \ C=Ac=BG 1IA,D,B' \d a c',l

AGADd[P= AF =6

l2I nr=â .gr=3d'lcc \^" ={,ro =+ d'où la similitude des triangles

A,F,G AF AG FGA,D,C' î-=T=E-

- La formule de Chasles donne

2donc FG-a a'

ad

FG = BF + BG = "td'= âd' * âc'cdcd

aa'= cc'+ dd' (Pl )d'où - La formule de Stewart

AF2. BG + AG2. BF = ( Ree + BG . BF). FG

donne as(cg'.tdd'=+ *aa ?'c;d' donc a (cd,+ dc,) = â,(cd + cd,)c d cd "'d' c'est-à-dire + = !q,* t,d, (P ")- a] cd'+dc' 13

SEPnEilE DEMONSTRATION' (inversion)

L'inversion est la transformation ponctuelle qui, étant choisi un pôle (ici, puissance p (ici positive), transforme tout point M en M1 Sur la demi-droite distance AMt =;k- Transformons les points C, B, D en C1, 81, D1

AB1=9, AC1=3,OO.'=$

c,1 Bt La figure présente 3 couples de triangles semblablesquotesdbs_dbs13.pdfusesText_19
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