[PDF] Le point sur la pratique infirmière avancée





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Réglementation de lexercice de linfirmière de pratique avancée

29 Oct 2012 Résumé et motifs justifiant une réglementation particulière/spécifique. Une réforme du système de santé suisse s'impose en raison de ...



pratique infirmière avancée ou pratique infirmière spécialisée

25 Sept 2017 résumés et motifs justifiant une réglementation particulière/spécifique. ... Pas de législation sur la formation post-grade.



Présentation PowerPoint

(2012) Réglementation de la pratique d'infirmière de pratique avancée APN : résumés et motifs justifiant une réglementation particulière/spécifique.



Infirmière spécialiste clinique en prévention et contrôle de linfection

Réglementation de l'exercice de l'infirmière de pratique avancée APN: Résumé et motifs justifiant une réglementation particulière/spécifique. 2012. Berne.



La pratique infirmière avancée

16 Jul 2014 Résumé. But : Proposer des recommandations pour optimiser l'intégration du ... motifs justifiant une réglementation particulière/spécifique.



Le point sur la pratique infirmière avancée

l'exercice de l'infirmière de pratique avancée APN: Résumé et motifs justi- fiant une réglementation particulière/ spécifique. Dans ce document (5: p.1).



Le point sur la pratique infirmière avancée

l'exercice de l'infirmière de pratique avancée APN: Résumé et motifs justi- fiant une réglementation particulière/ spécifique. Dans ce document (5: p.1).



RÈGLEMENT (UE) 2016/ 679 DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU

4 May 2016 interdite pour des motifs liés à la protection des personnes physiques à ... spécifique à savoir la directive (UE) 2016/680 du Parlement ...



Guide douanier de préparation au Brexit

28 Sept 2020 Page 16. Ajout de la catégorie «Produits industriels» dans les marchandises saisies à réglementation particulière. • Page 18.



Règlement (UE) 2018/1725 du Parlement européen et du Conseil

23 Oct 2018 En particulier les finalités spécifiques du traitement des données à ... l'existence d'un motif valable justifiant le traitement licite des ...

êtreles plus efficaces possible, avec un

rapport coût - efficacité optimal. D"ail- leurs, en Suisse, l"article 32 de la LaMal oblige les professionnels de la santé à of- frir des prestations efficaces, appropriées et économiques. Ce plaidoyer n"est pas récent: en 1972 déjà, Archibald Cochra- ne publie un important ouvrage dans lequel il explicite que les ressources dis- ponibles pour les soins de santé seront K rankenpflegeISoins infirmiersICure infermieristiche 5/2015 72

Profession

Enjeux de santé et pratiques de soins complexes

Les raisons principales pour lesquelles la

pratique avancée a été développée relè- ventprincipalement d"une approche de santé publique qui considère que dans nos sociétés,le vieillissement de la popu- lation, la présence accrue de maladies chroniques, l"importance accordée aux soins de santé et les coûts des soins exer- cent une forte pression sur les systèmes de santé. Ainsi, les interventions doivent Par cet article, les auteurs souhaitent contribuer à la réflexio n concernant la pratique infir- mièreavancée. Ils proposent d"examiner attentivement le contenu de cette pratique et de discuter du fait qu"elle doit se positionner bien sûr dans le cont exte suisse, mais que pour être crédible, elle doit aussi être configurée selon des normes de niveau international.

Texte:Diane Morin, Maya Shaha, Jean-Marie Januel, André Laubscher,Hélène Brioschi Levi, Françoise Ninane, Marie-José Roulin,

Anne-Sylvie Ramelet /

Photos:Martin Glauser

toujourslimitées et qu"en conséquence, elles devraient être utilisées pour offrir des soins dont l"efficacité clinique a été démontrée par la recherche.

Un savoir à transférer

dans la pratique

Cette prise de conscience invite tous les

professionnels à s"intéresser davantage à la mise en relation des coûts que leurs

Le point sur la pratiqueinfirmièreavancée

7373
www.sbk-asi.ch>Pratique avancée >Recherche >Formation universitaire soins engendrent face aux bénéfices qu"ils procur ent. Cette approche inclut unecomposante scientifique qui prend simultanément en compte que l"évolu- tion des connaissances se fait d"une ma- nière tellement accélérée qu"il faut des professionnels capables de rapidement adapter, traduire et implanter ces nou- velles connaissances dans la pratique clinique. Les instituts de recherche en santé aux États-Unis et au Royaume-Uni supportent actuellement des initiatives pour le développement d"intermédiaires ou traducteurs du savoir (knowledge brokers ou knowledge translators) et des programmes de partenariat entre univer- sités et établissements de soins sont mis en place pour faciliter le transfert et l"échange des connaissances (knowled- ge transfer and exchange) [1]

Ce n"est donc pas seulement la pertinen-

cequi est le moteur de cette innovation mais aussi l"urgence de transformer les soins afin de les rendre plus efficaces et plus efficients. Aujourd"hui, plusieurs facteurs invitent au développement de partenariats interprofessionnels au-delà dela classique délégation médicale.

Parmi ces facteurs,citons l"évolution des

besoins de la population suisse en ma- KrankenpflegeISoins infirmiersICure infermieristiche 5/2015

Prof. Diane Morin, Professeure ordi-

nair e, Institut universitaire de forma- tion et de recherche en soins, Centre hospitalier universitaire vaudois et

Université de Lausanne

Diane.Morin@unil.ch

Dre Maya Shaha, Maître d"enseigne-

ment et de recher che 1, IUFRS, CHUV et Université de Lausanne. Collabora- trice scientifique, Direction des soins,

Inselspital, Hôpital universitairede

Berne

Maya.Shaha@unil.ch

Dr Jean-Marie Januel, Maîtred"en-

seignement et de r echerche 1, IUFRS,

CHUV et Université de Lausanne

Jean-Marie.Januel@unil.ch

M. André Laubscher, Directeur des

soins, Hôpitaux universitair es de

Genève

Andre.Laubscher@hcuge.ch

M me

Hélène Brioschi Levi, Directrice

des soins (jusqu"au 30 juin 2014), CHUV

Helene.Brioschi@gmail.com

M me

Françoise Ninane, Directrice ad-

jointe des soins, CHUV . Directrice des soins de Département, Policlinique médicale universitaire, Lausanne

Francoise.Ninane@chuv.ch

Dre Marie José Roulin, Directrice

adjointe des soins, HUG

Marie-Jose.Roulin@hcuge.ch

Prof. Anne-Sylvie Ramelet, Profes-

seur e ordinaire et Directrice, IUFRS,

CHUV et Université de Lausanne

Anne-Sylvie.Ramelet@unil.ch

Les auteurs

L"encadrement et le

conseil aux équipes font partie des tâches-clefs des infirmières de prati- que avancée. La pratique avancée participe à un système de santé efficient et r enouvelé avec les autres professions de la santé, et à travers le monde.» t ière de santé, la complexité des enjeux de santé, les expériences internationales démontrant le lien entre une collabo- ration interdisciplinaire et l"accessibilité des soins. Ce sont les raisons principales q ui ont fait en sorte que la Suisse aléma- nique propose depuis 2000 et la Suisse romande depuis 2009, des formations universitaires post-graduées de calibre international (master et doctorat) pour habiliter les infirmières à oeuvrer en pra- tique avancée. Pour illustrer encore plus la dynamique suisse de ce mouvement d"innovation, des réflexions et travaux sont en cours pour établir comment ac- célérer le développement des pratiques avancées dans toutes les professions non médicales de la santé mais notrepropos se concentrera ici sur la pratique infir- mière avancée.

Des précisions de taille

Le terme de pratique avancée est une

expression qui est actuellement un peu galvaudée. On l"utilise pour désigner toutes les initiatives d"amélioration ou d"innovation en soins avec ou sans dé- marche scientifique ou évidence basée sur des preuves. Selon plusieurs au- teurs, dont Hamric et al. 2] ou DiCen- so 3] ,ce terme devrait pourtant êtreuti- lisé de manière plus restrictive comme une expression décrivant un niveau avancé de la pratique des soins infir- miers,qui maximise l"utilisation de connaissances acquises aux études uni- versitaires de master, d"un savoir infir- mier approfondi et d"une compétence et d"un leadership clinique confirmés au service des besoins de santé des per- sonnes,des familles,des groupes,et des communautés. La recherche mon- treen effet que les études de master permettent d"être mieux outillé pour disséminer les résultats de recherche dans la pratique, actualiser les pra- tiques,développer de nouvelles inter- ventions de soins répondant aux be- soins des patients et que les infirmières et infirmiersformés à ce niveau sont plus efficaces dans les activités de co- ordination interdisciplinaire. Notons par ailleurs que le terme de pra- tique avancée renvoie à différentes réa- lités. Cette avancée indique d"abord une

étendue des pratiques infirmières sur

la base d"évidences scientifiques dans ladiscipline. On parle alors d"infirmiè- res cliniciennes spécialisées (ICLS) ou d"infirmières spécialistes cliniques (ISC).

L"organisation SwissANP considère qu"en

Suisse, entre 1% et 3% des infirmières

devraient être formées pour exercer cette forme de pratique. Il y a aussi un consensus en Suisse et au niveau inter- national sur le fait que le master univer- sitaire est le niveau requis pour le déve- loppement de compétences nécessaires

àla désignation au titre d"infirmière de

p ratique avancée. Une étude faite en

Romandie auprès d"experts de la clini-

que et de l"enseignement universitaire a d"ailleurs permis d"établir les compé- tences prioritaires souhaitées pour ce g enre de pratique 4]

Ce terme renvoie également au fait que

l"infirmière peut "avancer» collabora- tivement dans le champ de pratique d"autres professionnels notamment d ans le champ de la médecine, comme peuvent le faire la catégorie d"infir- mières désignées dans la littérature comme les infirmières praticiennes spé- cialisées (IPS). Chaque type d"avancée exige des formations spécifiques qui doivent rester centrées sur les besoins des patients et de leurs familles. En au- cun cas, elles ne doivent être centrées sur l"unique motivation de la substitu- tion professionnelle singulièreet contex- tuelle liée à la pénurie de médecins. Exa- minons maintenant un peu plus en pro- fondeur deux de ces nouveaux rôles de pratique avancée.

Clinicienne spécialisée ou

spécialiste clinique

Cette vision de pratique avancée est ac-

tuellement étendue en Suisse. Elle rejoint certaines des compétences centrales du modèle de Hamric et al. [2] (voir encadré page 76). De plus en plus d"études dé- montrent que les infirmières cliniciennes spécialisées ou spécialistes cliniques peu- vent améliorer, pour les clients et le sys- tème de santé, les résultats qui ont trait à l"état de santé, à l"état fonctionnel, à la qualité de vie, àla satisfaction à l"égard des soins et à l"efficience des coûts. De ré- centes revues systématiques concluent à leur plus-value en termes d"efficacité et d"efficience. C"est le cas dans le suivi de personnes souffrant de maladies chro- niques telles que l"hypertension, les ma- ladies pulmonaires obstructives ou le dia-bète. Plus globalement, le niveau de for- mation des infirmières est associé avec une diminution du risque de décès à l "intérieur de trente jours d"admission. Le rôle de clinicienne spécialisée est à l"oeuvre depuis plus de dix ans en Suisse alémanique, et depuis 2006 ans en Suis- se romande, dans différents contextes de s oins. Il permet de renforcer l"expertise clinique, de proposer des innovations dans le domaine des soins, appuyées sur des résultats de recherche, et sur des méthodes d"implantation rigoureuses et s cientifiquement démontrées.

Praticienne spécialisée

L"infirmière praticienne spécialisée (IPS) est une infirmière d"abord diplômée du bachelor et dont l"expérience clinique dans une discipline médicale particulière fait d"elle une experte en soins spéciali- sés. Sa formation de master comprend à la fois une formation dans la discipline infirmièreet en spécialité médicale.En plus d"avoir les compétences d"une clini- cienne ou spécialiste clinique, elle incor- pore trois rôles additionnels (voir encadré page 75) dans un domaine de spécialité médicale, le tout en collaboration avec les équipes médicales.Le rôle de cette praticienne spécialisée est un mariage entredes connaissances pratiques et théoriques de nature infirmière et médi- cale, mais rassemblées dans un cadre de soins mettant l"accent sur le holisme, la promotion de la santé et la collaboration entreles individus et les familles,ainsi que les communautés. Ausein d"une

équipe dirigée par un médecin traitant

(de médecine de famille ou de spécialité), l"IPS assure des soins infirmiers et des soins médicaux aux personnes diagnosti- quées dont l"état de santé est stable mais qui consultent dans le cadrede suivis ré- guliers. Ces rôles lui sont attribués sur une base permanente suite à une certifi- cation au titred"IPS. Il ne s"agit donc pas ici de délégations temporaires ou circons- tancielles mais de nouveaux rôles en-

Profession

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K rankenpflegeISoins infirmiersICure infermieristiche 5/2015

Ce n"est pas seulement la pertinence qui

est le moteur de cette innovation mais aussi l"urgence de tr ansformer les soins afin de les rendre plus efficaces et plus efficients.»

Registre profession-

nel indispensable

Développement en Suisse

Les profils suisses d"infirmière de

pratique avancée APN sont en déve- loppement. Après des discussions a pprofondies, quatre organisations suisses (ASI, Swiss ANP, APSI/VfP,

IUFRS) ont présenté en 2012 un pre-

mier document de positionnement in- titulé: Réglementation de l"exercice del"infirmière de pratique avancée

APN.Les compétences clefs d"une

infirmièrede pratique avancée APN sont les suivantes: la pratique cli- nique directe, le coaching en tant qu"experte, la consultation/guidance, le processus de prise de décision

éthique, la collaboration interdiscipli-

naire, le leadership clinique et spécia- lisé et les compétences en matière de recherche.Êtretitulaired"un master en sciences infirmières (d"au mini- mum 90 ECTS) avec un focus en pratique infirmière avancée (APN) et avoir des compétences cliniques confirmées préparespécifiquement à un exercice professionnel avancé et

élargi.

Pour garantir des soins au patient de

haute qualité sur une longue durée, un registre professionnel actif pour les infirmières de pratique avancée

APN s"avère indispensable. Le rôle de

l"infirmière de pratique avancée APN doit être réglementé et son titre pro- tégé pour des raisons de sécurité du patient, de qualité et d'effectivité.

Pour cela, un cadrelégal spécifique

doit être créé et un financement adé- quat assuré.

Roswitha Koch, responsable du département

Développement professionnel, ASI.

www.sbk-asi.ch>Sexualité >EMS >Professionnalisme 75
KrankenpflegeISoins infirmiersICure infermieristiche 5/2015 châssés dans une législation consé- quente. Elle aura recours à l"expertise médicale pour répondre aux besoins de la clientèle lorsque les compétences re- quises dépassent son champ d"exercice.

Dans ces cas, elle consultera le médecin

et conviendra avec ce dernier de la con- duite à tenir. Ainsi, selon la situation, le médecin pourraémettreune recomman- dation ou une opinion, prendre en char- ge le client concerné, référer le patient ou, au besoin, proposer un suivi conjoint du client. En Suisse, on retrouve des exemples de ce genre de pratique avan- cée,mais faute de réglementation, ces expérimentations restent locales et mal- heureusement peu connues.

Les enjeux dans le contexte suisse

Actuellement en Suisse, quatre organisa-

tions (ASI, Swiss ANP, APSI/VfP, IUFRS) ont présenté un document de position- nement intitulé: Réglementation de l"exercice de l"infirmière de pratique avancée APN: Résumé et motifs justi- fiant une réglementation particulière/spécifique.Dans ce document (5: p.1), on adhère au fait que les compétences clés des infirmières de pratique avancée soient: la pratique clinique directe, le coaching en tant qu"expert, la consulta- tion/guidance, le processus de la prise de décision éthique,la collaboration in- terdisciplinaire, le leadership clinique et spécifiquement infirmier,les compé- tences en matière de recherche, notam- ment par l"augmentation de l"efficience grâce à la capacité d"intégrer des résul- tats de recherche dans la pratique. On y confirme aussi que les infirmières de pratique avancée doivent êtrecapables, dans des situations les plus diverses, de se charger de rôles avancés et élargis, qu"elles assument sous leur propre res- ponsabilité au sein d"une équipe inter- professionnelle.

Il est important de mentionner que le

consensus sur l"introduction de la pra- tique avancée dans les systèmes de santé n"est pas nécessairement acquis dans tous les pays.En effet, certaines ins- tances de la santé expriment ouverte-

Le processus de décision

éthique, par exemple

dans les situations de fin de vie, requiert des com- pétences et des connais- sances approfondies.

En lien avec

la médecine

Rôles de IPS

En plus d"avoir les compétences

d"une infirmièreclinicienne spéciali- sée ou infirmière spécialiste clinique, l"infirmièrepraticienne spécialisée collabore avec un ou des médecins et est autorisée par la loi médicale et par la loi sur les professions non médi- cales de la santé à exercer trois formes d"activités dans une spécialité médi- cale (incluant la médecine de premier recours): •prescriredes examens diagnostiques et les interpréter. •prescrire des médicaments et autressubstances, ainsi qu"adapter les do-ses. •réaliser certains traitements médi- caux. ment que la pratique infirmièreavancée représente une menace pour la profession médicale et l"expriment ouvertement [5]

Néanmoins, plusieurs études randomi-

sées, méta-analyses ou revues de syn- thèses mettent en évidence que l"intro- duction de ce genre de rôle procure des effets favorables en termes de résultats de santé, d"utilisation des services de santé et de satisfaction des patients, de même que de satisfaction des médecins et des infirmières [6] .Il est important de mention- nerque les pays ayant développé et mis en place de la pratique avancée notam- ment par les rôles de praticienne spécia- lisée, un cadre législatif et réglementaire aété adopté. Cela est vu comme essentiel pour protéger le public,pour protéger le titre de pratique avancée,pour confirmer le cadrede compétences de base, pourquotesdbs_dbs35.pdfusesText_40
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