Bourgeois et ouvriers au 19ème siècle
Ils travaillent de 12h à 15h pendant 6jours environ 72h par semaine
La condition ouvrière au XIXe siècle (documents)
99. (Coll. Histoire du mouvement ouvrier en Belgique). Doc. 17. Doc. 18. Doc. 19
Les ouvriers Les ouvriers travaillent dans des usines avec des
LES ouvriers au 19ème siècle sans vacances dans des conditions extrêmes. ... Les dépenses annuelles d'une famille ouvrière parisienne (4 personnes dont ...
le creusot symbole de la ville industrielle au xix° siècle
-Les ouvriers aux conditions de vie et de travail très difficiles. Même si la famille Schneider s'est montrée « paternaliste » envers ses ouvriers construisant
Les maladies professionnelles et la condition ouvrière au XVIIIe siècle
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CONDITIONS DE TRAVAIL
CONDITIONS DE TRAVAIL ET MOUVEMENT OUVRIER (1876-1918). Francis Hordern* Pourtant rien n'est fait au cours du XIXème siècle (5). Il.
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Exercice 4 : la condition ouvrière au XIX° siècle. Quelles sont les conditions de travail des ouvriers au XIX° siècle. Consignes : Répondre en reprenant la
Lapparition de la classe ouvrière au XIXème siècle
Au XIXe siècle l'apparition des usines crée un nouveau type de travailleurs : l'ouvrier. Les ouvriers connaissent des conditions de vie très dures qu'ils
histoire-géographie Thème 2 LEurope et le monde au XIXe siècle
26 nov. 2015 jusqu'au milieu du siècle ce qui explique les révoltes ouvrières de 1848 en France. Par la suite
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LA CONDITION OUVRIÈRE AU XIX e SIÈCLE Contexte historique Face aux récents événements qui viennent de secouer la Belgique le chef de Cabinet
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L'ouvrier marié et père de famille doit faire travailler femmes et enfants qui sont très peu rémunérés Une loi de 1841 interdit le travail des enfants de
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Malgré leurs heures de travail ils ont de bas salaires des logements humides et mal- chauffés Au 19ème siècle les ouvriers d'usines et de mines travaillent
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A la fin du XIXème siècle la durée du travail est très longue Dans la petite industrie et le travail à domicile elle est de 12 à 14 heures par jour voire
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Au XIXe siècle l'apparition des usines crée un nouveau type de travailleurs : l'ouvrier Les ouvriers connaissent des conditions de vie très dures qu'ils
Une enquête ouvrière au XIXe siècle : la Commission du travail
Une telle lecture ne retiendrait que les passages les plus scandaleux pour mettre en évidence les mauvaises conditions de travail et de vie de la classe
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Exercice 4 : la condition ouvrière au XIX° siècle Quelles sont les conditions de travail des ouvriers au XIX° siècle Consignes : Répondre en reprenant la
La question ouvrière au XIXe siècle (2e éd) / par Paul Leroy-Beaulieu
La question ouvrière au XIXe siècle (2e éd ) / par Paul Leroy-Beaulieu Leroy-Beaulieu Paul (1843-1916) Auteur du texte Ce document est disponible en mode
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Le XIXe est le siècle de la lutte des classes : on y voit se con- solider l'organisation du mouvement on y prend conscience du scandale de la condition
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11 fév 2015 · Si le XVIIIe siècle est bien loin d'être le moment de l'émergence d'un droit des ouvriers à défendre leur cause à exiger des conditions
Quelles sont les conditions de vie des ouvriers au 19ème siècle ?
La classe ouvrière travaille dans des usines malpropres, peu éclairées et rarement chauffées. De plus, les machines avec lesquelles les ouvriers travaillent ne sont pas sécuritaires : elles mènent souvent à des blessures et parfois même à la mort de certains travailleurs.Comment vivaient les ouvriers au XIX siècle ?
Au XIX ème si?le, les ouvriers sont très mal payés, les conditions de travail sont très dures, certains gémissent sous le poids de l'exploitation sans cesse accrue : privés d'argent, affamés, ils manquent de logements, et vivent dans une horrible promiscuité.Quelles sont les caractéristiques de la classe ouvrière ?
Cette main d'œuvre est composée de la classe ouvrière composée des mineurs et des ouvriers. Ceux-ci subissent des conditions de travail et de vie extrêmement difficiles : salaires très faibles malgré des temps de travail très longs, dangerosité des t?hes, pénibilité du travail et vie très précaire.- À l'échelle des si?les, le temps de travail a très fortement diminué. On estime ainsi qu'en 1836, les ouvriers travaillaient en moyenne 3300 heures par an, c'est-à-dire deux fois plus qu'aujourd'hui
Dossier pédagogique
La révolution industrielle
Centre Touristique de la Laine et de la Mode - rue de la Chapelle 30 - 4800 VERVIERSTable des matières
1. La révolution industrielle, c'est quoi ?
a. Définition et concept b. La machine remplace l'homme, la mécanisation et l'industrialisation. c. Pourquoi en Belgique ? d. les grandes dates2. La révolution industrielle dans le textile
a. Verviers et sa révolution a. les grands noms et inventions3. Les impacts de l'industrialisation
a. Ligne du temps : la révolution industrielle dans le textile4. La condition ouvrière : a.
la vie de tous les jours b. les conditions de travail c. le travail des femmes d. le travail des enfants e. les mouvements ouvriers4. Conclusions (HG)
5. Animation à réaliser au CTLM en rapport avec la condition ouvrière
(détail en rapport avec les programmes scolaires) Centre Touristique de la Laine et de la Mode - rue de la Chapelle 30 - 4800 VERVIERS 1.1.1.1.
LALALALA RÉVOLUTION INDUSTRIELLE C"EST RÉVOLUTION INDUSTRIELLE C"EST RÉVOLUTION INDUSTRIELLE C"EST RÉVOLUTION INDUSTRIELLE C"EST
QUOIQUOIQUOIQUOI ????
a. Définition et concept On appelle révolution industrielle la période de l"histoire pendant laquelle surviennent plusieurs innovations techniques qui changent l"aspect de la société. Cette mutation sociale explique la dénomination " révolution ». C"est l"un des évènements les plus importants de la civilisation moderne. À la fin du XVIIIe siècle, ce moment charnière de l"histoire a considérablement fait changer la société : Des transformations techniques, ( exemple)Des transformations sociales
Des transformations économiques.
Depuis la révolution industrielle, plusieurs aspects se sont radicalement modifiés : modes de production, définition du travail, moyens de transport, organisation de la société et de l"économie. Elle commence en 1770 en Angleterre, puis s"est graduellement imposée aux autres pays d"Europe comme la Belgique et jusqu"en Amérique. b. L"industrialisationAvant la révolution industrielle
Au début du 18e siècle, les activités commerciales étaient concentrées là où il y avait la
main d"oeuvre : dans les milieux ruraux. Il n"y a que peu de demande pour les textiles et la métallurgie. En effet, la population des campagnes fabriquait tout ce dont elle avait besoin uniquement selon ses besoins.Dans les villes, à la même époque, la production est liée au textile ou à la métallurgie
était limitée. Les artisans travaillaient surtout pour la noblesse. • La Proto - industrialisation. On appelle ainsi la période qui a précédé l"industrialisation. Cette période, qui marque la transition entre la société d"artisans et la société industrielle, s"est faite dans plusieurs pays d"Europe, dont l"Angleterre et la Belgique. Vers le milieu du 18e siècle, la situation change et la demande liée au textile et à la métallurgie augmente considérablement. Le vieux système de production ne convenait plus aux nouveaux besoins.3 facteurs : - l"augmentation de la population (grâce à la révolution agricole).
- la fabrication de produits pour les colonies. (premières exportations) - la professionnalisation de l"armée (obligation pour chaque pays de vêtir et armé ses soldats). Un nouveau rôle apparaît dans la société : celui du marchand-fabricant, il propse diverses marchandises qu"il revendra par après. Il fait appel à plusieurs artisans qui devront fabriquer chez eux avec leurs propres outils ces marchandises. Centre Touristique de la Laine et de la Mode - rue de la Chapelle 30 - 4800 VERVIERS L"un des aspects les plus importants de la Révolution industrielle est sans doute l"industrialisation, qui représente la généralisation de la mécanisation et une forte augmentation du travail en manufacture et en usine. Avant la Révolution industrielle, il y avait déjà quelques tâches qui étaient mécanisées, toutefois, cette mécanisation ne se retrouvait pas dans toutes les villes, ni dans toutes les productions. Il est alors important de retenir que l"on parle réellement d"industrialisation lorsque cette mécanisation est généralisée. - les manufactures : Avant l"arrivée des machines et du travail mécanisé, plusieurs marchands ont mis sur pied le Factory System. Cette organisation de la production implique de regrouper tous les artisans dans un seul et même bâtiment. Ces artisans accomplissent leur travail sous la supervision du même patron. Il est important de retenir que les gens qui travaillent dans ces manufactures sont des artisans, s"est à dire qu"ils créent encore des objets de leurs mains, grâce à leurs outils. - les usines : les usines font leur apparition en même temps que les machines. Les propriétaires de manufactures ont peu à peu intégré des machines mécanisées. Ces machines effectuent une partie du travail que les artisans faisaient par eux-mêmes. Les employés des usines ne fabriquent plus, ils deviennent responsables de surveiller et d"alimenter les machines. - La révolution industrielle en Belgique : cette révolution touche principalement la Wallonie, pariculièrement les bassins de la Meuse et de la Sambre dès le XVIIIème siècle. Grâce au potentiel naturel de ces régions, la Belgique extrait vers 1870, huit fois plus de charbon par habitant que la France et ¼ de moins que l"Angleterre, ses 2 principaux concurrents. Si cette révolution touche le charbon, elle concerne également les secteurs de la pierre du fer ou de la laine.B. Les machines remplacent l'homme
Produire, fabriquer...
Plus, encore plus. Plus vite, encore plus vite !
L'homme perfectionne sans cesse ses outils pour y parvenir. Il y a un peu plus de deux siècles, une machine révolutionna le monde : La machine à vapeur.A la fin du XVIIIème siècle
La machine à vapeur révolutionne le travail. Avant, l'homme n'avait que ses bras, les leviers, la puissance des animaux, du vent et de l'eau pour produire de l'énergie.Avec la machine à vapeur, tout s'accélère et peut être fabriqué très vite et en grand
nombre. Les usines peuvent naître... La machine à vapeur a été inventée au XVIIIème siècle. Elle marqua le début d'une
nouvelle époque : l'industrialisation. En 1784, l'ingénieur écossais James WATT perfectionne la pompe à feu créée par Newcomen en 1712, Ce fut l'une des plus grandes inventions du XVIIIème siècle. Centre Touristique de la Laine et de la Mode - rue de la Chapelle 30 - 4800 VERVIERS Désormais, l'homme ne dépend plus de la force des animaux, de l'eau ou du vent pour actionner les machines. La nouvelle machine à vapeur de WATT a été installée dans les filatures de coton. Les métiers à tisser produisaient beaucoup plus de fils en même temps. On a aussi fabriqué de gigantesques métiers à tisser, qui tissaient beaucoup plus d'étoffes en beaucoup moins de temps. Au début du XIXème siècle la machine à vapeur actionnait couramment toutes sortes de machines. On construisait des usines partout. Mais la révolution industrielle repose aussi sur l'utilisation d'une nouvelle source d'énergie : le charbon. • En traversant le parcours-spectacle, tu as certainement aperçu des reproductions de machines à vapeur. Jadis, dans les usines en bordure de Vesdre, il y avait bon nombre de ces machines. Une d'entre elles est d'ailleurs visible dans la cour du Centre Touristique de la Laine et de la Mode. Comment la machine à double effet de WATT fonctionnait-elle ? Le principe d'une pompe est d'aspirer et refouler un fluide, ici la chaleur. Avant la machine avapeur, les besoins économiques étaient satisfaits par la croissance démographique qui fournissait
une main-d'oeuvre bon marché et par les moulins (à eau ou à vent, selon les pays), qui restaient le
principal moyen de production d'énergie. L'explosion démographique dans la deuxième partie du XVIIIe siècle obligea l'outil de production à se mécaniserDans la machine de WATT, la condensation
se fait hors du cylindre, ce qui améliore leRendement.
Dans un premier temps, la vapeur est
Admise à gauche, tandis qu'elle s'échappe àDroite. Un système automatique ferme donc
Les soupapes A et A', et ouvre B et B' ; du
Coup, la vapeur est admise à droite, et
S'échappe à gauche. Le piston est animé d'unMouvement de va-et-vient très rapide.
La machine a désormais deux moteurs, elle fonctionne en continu. En outre, WATT a ajouté un système de bielle manivelle qui lui permet de transformer un mouvement linéaire alternatif, en mouvement rotatif continu. La machine cesse d'être seulement une pompe à feu, elle peut être utilisée comme moteur actionnant, par l'intermédiaire de courroies, de poulies, ... , toutes les nouvelles machines.Maquette de la
machine de James Watt Centre Touristique de la Laine et de la Mode - rue de la Chapelle 30 - 4800 VERVIERSAujourd'hui
Dans un atelier de montage, on assemble des pièces pour en faire un tout. Les ouvriers ou les robots montent les pièces. Pour faire une voiture, par exemple. Les entreprises veulent produire de plus en plus, de plus en plus vite et de moins en moins cher.Verviers et la révolution industrielle.
On produisait de la laine à Verviers avant la révolution industrielle, l'essor de cette industrie est favorisé par l'absence de réglementation corporative et le régime absolude la libre entreprise. Mais surtout grâce à la qualité de l'eau de sa rivière la Vesdre,
qui permettait un lavage optimal de la laine. Ainsi, la révolution industrielle s'y opèredéjà au XVIIIème siècle. Grâce à la mécanisation, l'arrivée de William Cockerill et la
concentration des entreprises très rapide au début du XIXe siècle, l'industrie lainière verviétoise connaît son âge d'or de 1850 à 1914, date du début d'un long déclin. Aujourd'hui, Verviers compte de nombreux vestiges de cette industrie : usines, cités, maisons de maître.L'usine Bettonville- Detier
Centre Touristique de la Laine et de la Mode - rue de la Chapelle 30 - 4800 VERVIERS LLLLA FAMILLE COCKERILLA FAMILLE COCKERILLA FAMILLE COCKERILLA FAMILLE COCKERILL Au XVIIIe siècle, en Angleterre, un mécanicien très habile du nom de William Cockerill, tentait en vain de gagner le continent, afin d"y trouver du travail. Cet homme était un expert dans la fabrication de machines textiles. Mais pourquoi voulait-il quitter son Angleterre natale ?A cette époque, l'industrie avait été bouleversée. L'ère des inventions, qui avait changé si
brutalement le visage du monde, avait fait des cultivateurs et agriculteurs, des mécaniciensd'usine. Lorsque William avait du travail, il construisait des métiers mécaniques. Il était un
Centre Touristique de la Laine et de la Mode - rue de la Chapelle 30 - 4800 VERVIERS des ces nombreux mécaniciens qui avaient poussé leur pays au premier rang des nations industrielles.Et pourtant, il souffrait de ne pouvoir donner libre cours à son génie, car William était un
innovateur, un créateur. Plus que tout, il désirait mettre en oeuvre son talent de jenny maker (menuisier fabriquant des machines en bois). Ce rêve était très beau, mais comment pouvait-il le réaliser dans son petit village d'Haslingden ? William voulait émigrer mais, à cette époque, quiconque transportait des secrets defabrication de machines risquait d'être frappé d'exil.Finalement, il se décida et partit pour la
Suède, puis pour l'Allemagne où il s'arrêta à Hambourg et s'adonna au commerce du bois. Ce
métier ne lui apporta pas la fortune mais, ...la famine ! Heureusement trop fier, il n'abandonna pas la partie. C'est ainsi qu'un beau jour, il rencontra Monsieur MALI, le chef de bureau de la maison SIMONIS de Verviers. Celui-ci était venu à Hambourg pour acheter des laines et, en bavardant avec William COCKERILL, comprit immédiatement le parti que ses patrons pouvaient tirer d'un individu pareil. Avec des machines textiles remarquables, ils pourraient briser aisément la concurrence. COCKERILL fabriqua entre autre le premier moulin mécanique à laine du continent, des assortiments de mécaniques à filer,... Un an plus tard, en 1799, William et ses deux fils James et William Junior, arrivèrent àVerviers et s'installèrent dans la propriété DAUCHAP où il fabriqua ses premières machines
textiles. Il mit au point le premier métier à filer du continent. Cette machine remplaça le travail de 100 personnes. Aussi tous les drapiers verviétois harcèlent-ils COCKERILL de leurs propositions de sollicitations. Mais, il demeura fidèle à ses engagements. William COCKERILL ne fut cependant pas sourd aux avances qui lui parvinrent.Au fil du temps, malgré le contrat d'exclusivité de 1802 qui le liait, lui et son associé Jacques
Hodson avec la firme Simonis -Biolley, le secret de fabrication de ses machines ne fut pas conservé. Grâce à sa renommée et avec l'aide de ses trois fils : John, James, William Junior et de Jacques Hodson( qui devint en 1808 l'époux de sa fille), une entreprise de construction de machines et des ateliers furent créés. Les fils Cockerill commencèrent alors à sillonner l'Europe à la recherche de personnes intéressées par leurs produits.Devenant plus âgé, William Cockerill décida de se retirer. Ses fils continuèrent à construire
des machines et se lancèrent dans la sidérurgie et la filature. John, se mit à construire des machines à vapeur en copiant des modèles anglais. Puis, en1818, il installa une fonderie dans l'ancien palais épiscopal de Seraing. Mais, l'aventure pour
lui ne s'arrêta pas là.Grâce à ses nombreuses acquisitions (mines de fer, hauts fourneaux,...) ses ateliers livrèrent
septante-six locomotives. La première porta le nom : le Belge. C'est aussi lui qui fabriqua les rails du premier chemin de fer du continent. Son entreprise était gigantesque, la plus grande du monde, à la pointe de la technologie. Il gérait tout, de la mine de charbon et de fer, à la construction des machines. Centre Touristique de la Laine et de la Mode - rue de la Chapelle 30 - 4800 VERVIERSEt pourtant, les affaires déclinèrent... John chercha une solution à ses nombreux problèmes
d'argent, mais en vain.Après sa mort, ses héritiers furent obligés de transformer son entreprise en société anonyme.
La révolution industrielle dans les textiles
C'est dans l'industrie textile que se produisent les premières améliorations. On y travaille surtout la laine (à Verviers) et le lin (Gand). Lorsque le commerce avec l'Inde se développe, le coton indien a un vif succès. Aussi, une industrie nouvelle fleurit en Angleterre : celle du coton. Mais, pour vendre les cotonnades anglaises moins chers que les indiennes, il est nécessaire de les fabriquer vite et en grande quantité. L'invention capitale dans ce domaine est l'invention de la Navette Volante du tisserandanglais John KAY (1733). Grâce à machine, la fabrication d'étoffe s'accélère. Mais, cette
invention augmente la consommation du coton; il faut donc accélérer le filage. Pour fabriquer très rapidement une grande quantité de fil, plusieurs machines à filer sont mises au point : • la Spinning-Jenny de Hargreaves vers 1765 • le Water-Frame monté par Richard Arkwright (1769) et perfectionné par Samuel Crompton en 1779 . Cette troisième machine porta le nom de Mule-Jenny.Mais, à nouveau, on arrive à fabriquer une trop grande quantité de fils. Cette surproduction de
fils de coton provoque de nouvelles recherches pour le tissage. Les artisans s'efforcent donc de mettre au point un métier tissant plus rapidement que celui de John Kay. Edmund Cartwright, en 1784, réussit ce défi avec un nouveau métier à tisser mécanique actionné par une machine à vapeur. Depuis l'arrivée de William Cockerill sur le continent et en particulier à Verviers ; d'autres machines révolutionnaires furent mises au point comme le premier assortiment de machinesà carder et à filer ( 1801) construit par William Cockerill, le métier à tisser de Jacquard et
de Liéven Bauwens en 1802, et l'invention du verviétois Eugène Melen, le Léviathan, en1864, ....
Le Léviathan La cardeuse
Centre Touristique de la Laine et de la Mode - rue de la Chapelle 30 - 4800 VERVIERS Centre Touristique de la Laine et de la Mode - rue de la Chapelle 30 - 4800 VERVIERSCentre Touristique de la Laine et de la Mode - rue de la Chapelle 30 - 4800 VERVIERS La famille Cockerill
Nancy1782 - 1817
James Hodson
William 1784-1847
Ernestine Von Schiebler
Charles James 1787-1837
Caroline Pastor
John1790-1840 Seraing
Jeanette Pastor
Alexander 1792-1801
7 enfants nés entre 1804 et
1817William Cockerill
( Haslingden)1714-1773 + Alice Wilson William
1759 ?- 1832 + Betty Charles
1 enfant
7 enfants nés de 1814 à 1929
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