Sommaire
Ces repères pour l'action sont assortis d'exemples d'entreprises et de points de vigilance. Fiche 5. Recruter et intégrer des seniors. Bonnes pratiques des
Maintien et retour en activité professionnelle des seniors
d'inaptitude de seniors. Développer et valoriser les compétences. 5 Recruter et intégrer des seniors. Favoriser l'engagement au travail.
LES SENIORS ET LEMPLOI :
L'âge serait ainsi synonyme de « difficultés à être managé ou à intégrer une équipe plus recruteurs et les managers aux pratiques de recrutement non.
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Maintien en emploi des seniors. Synthèse de travaux et
31 janv. 2020 1 - Taux d'emploi taux de chômage
![Maintien en emploi des seniors. Synthèse de travaux et Maintien en emploi des seniors. Synthèse de travaux et](https://pdfprof.com/Listes/20/24567-20maintien_en_emploi_seniors.pdf.pdf.jpg)
08 Automne Août 19 Maintien en emploi des seniors. Synthèse de travaux et identification des bonnes pratiques
2 Maintien en emploi des seniors. Identification des bonnes pratiquesSommaire
Préambule ___________________________________________________________________ 31 - Taux d'emploi, taux de chômage, taux d'inactivité des seniors. Derrière les chiffres, la
complexité des parcours ________________________________________________________ 32 - Déplacer la problématique du maintien dans l'emploi des seniors vers celle de la
prévention de l'usure professionnelle _____________________________________________ 43 - Ce qui peut faire obstacles ou constituer des freins aux démarches de prévention de l'usure
professionnelle _______________________________________________________________ 54 - Comment agir pour le maintien dans l'emploi et prévenir l'usure professionnelle ? Les
leviers ______________________________________________________________________ 6 A - REALISER DES DIAGNOSTICS AFIN D'ORIENTER ET PRIORISER LES ACTIONS _________________ 7 B - AGIR SUR L'AMELIORATION DES SITUATIONS DE TRAVAIL ET LA REDUCTION DES RISQUES PROFESSIONNELS POUR TOUS LES ÂGES ________________________________________________ 9 C - AGIR SUR LES PARCOURS PROFESSIONNELS _________________________________________ 10 D - DEVELOPPER L'ACCOMPAGNEMENT COLLECTIF ET L'ANIMATION DE DYNAMIQUES TERRITORIALES ___________________________________________________________________ 125 - Bibliographie sur des expériences menées à l'étranger ___________________________ 13
6 - ANNEXES ________________________________________________________________ 17
ANNEXE 1 - Note pour le CESE et France Stratégie ______________________________________________ 17
ANNEXE 2 - Rapport de recherche pour la DARES _______________________________________________ 17 ANNEXE 3 - Note pour la DGT ______________________________________________________________ 17 ANNEXE 4 - Note pour le CSEP ______________________________________________________________ 17 ANNEXE 5 - Cas d'entreprise EPHAD _________________________________________________________ 17 ANNEXE 6 - Cas d'entreprise de travaux publics ________________________________________________ 17ANNEXE 7 - Cas d'entreprise de services à la personne __________________________________________ 17
ANNEXE 8 - Cas d'entreprise d'imprimerie ____________________________________________________ 17ANNEXE 9 - Liste des chantiers menés par le réseau ANACT-ARACT ________________________________ 17
Maintien en emploi des seniors. Identification des bonnes pratiques 3Préambule
Depuis les années 2000, et les politiques publiques de " gestion des âges et développement de l'emploi des seniors », l'ANACT a mené différe nts chantiers d'acc ompagnement d'entreprises dans le maintien en emploi des travailleurs vieillissants : évaluation des accords en faveur de l'emploi des seniors, dispositif d'accompagnement pour faciliter les négociations sur les seniors, mise en oeuvre d'actions dans le cadre du PST 2 et du PST 3 relatives en particulier à la prévention de l'usure professionnelle.Ce document a été élaboré à partir plusieurs sources d'information : des notes rédigées pour
le compte d'institutions publiques (Conseil économique et social - France Stratégie, Ministère
du Travail, Conseil supérieur à l'égalité professionnelle, DARES), ainsi que des documents
internes à l'ANACT (magazine Travail & Changement, et divers " cas d'entreprises ») qui résultent des expérimentations menées. Ces sources sont fournies en annexe. Le document comprend aussi en annexe une bibliographie de rapports relatifs à des analysesmenées dans des pays étrangers ; et la liste des chantiers menés par le réseau ANACT-ARACT
dans le cadre des actions PACT Seniors.1 - Taux d'emploi, taux de chômage, taux d'inactivité
des seniors . Derrière les chiffres, la complexité des parcoursUn ensemble de facteurs a conduit ces dernières années à faire reculer l'entrée des seniors
dans l'âge de la retraite (augmentation programmée de la durée requise pour une retraite à
taux plein, l'entrée plus tardive sur le marché du travail des jeunes). Le taux d'emploi des seniors (55 - 64 ans) en France est ainsi passé de 46% en 2014 à 52% en 2019, et selon les projections du Conseil d'orientation des retraites, la tendance devrait se poursuivre etatteindre un âge moyen de départ à la retraite autour de 64 ans d'ici la fin de l'année 2030.
Si la France a atteint l'objectif fixé par l'UE il y a quinze ans (dépasser les 50% de taux d'emploi des seniors), elle reste dans la fourchette basse du taux d'emploi des seniors des pays européens : la moyenne de l'union européenne se situant à 60% (l'Allemagne le Danemark étant à plus de 70% de taux d'emploi en 2018). Mais le taux d'emploi ne dit pas tout. Il existe une grande diversité de situations de transition entre l'emploi et la retraite : une partie importante des personnes qui rentrent dans l'âge de la retr aite ne sont plus en emplo i. 44% des 55-64 ans sont inact ifs, et parm i ceux-ci, seulement 4% en retraite antici pée ou p ré-retraite. Ce qui veut dire qu'une partie non négligeable des seniors passent par l'inactivité ou le chômage, et dans une moindre mesure par la longue maladie ou l'invalidité. Quant aux seniors qui connaissent des périodes de chômage et retrouvent un emploi, c'est majoritairement dans une dynamique de mobilitédescendante, pl utôt qu'ascendan te (la rémunération étant le principal élém ent de
concession). De la même façon le taux d'accès à la formation décroît avec l'âge, pour toutes
les catégories de CSP 1 1P.63 https://www.strategie.gouv.fr/sites/strategie.gouv.fr/files/atoms/files/fs_rapport-seniors-emploi-
retraite_01102018_0.pdf 4 Maintien en emploi des seniors. Identification des bonnes pratiques La diver sité et la nature des transi tions vers la retr aite sont donc préoccupantes et questionnent sur la p ossibilité de se maintenir en emploi et de retrouver u n emp loitardivement. Pour prolonger la vie au travail, les incitations à l'embauche, à la formation, à
la poursuite de l'activité professionnelle ont bien sûr leur utilité, mais ne suffisent pas à
maintenir les travailleurs âgés en activité. On ne peut retarder la fin de la vie professionnelle
sans s'interroger sur les conditions de travail des seniors. Un lien fort est donc à établir, dans
le débat social et l'action publique, entre politique des retraites et politiques de l'emploi et du
travail. Ce d'autant plus que les enquêtes sur les conditions de travail montrent que certaines caractéristiques du travail connues pour ê tre particu lièrement pénalisantes p our les travailleurs vieillissants et sources d'usure professionnelle continuent leur p rogres sion enFrance (le travail de nuit ou en horaires décalés, les exigences physiques, le travail sous fortes
contraintes de temps et les changements fréquents dans le travail). Et que la part des salariés
de plus de 50 ans va continuer d'augmenter. Dans ce contexte, une proportion croissante desalariés en dernière partie de carrière vont devoir " tenir au travail » pour obtenir une retraite
à taux plein, tout en ayant, pour un certain nombre d'entre eux, une santé fragilisée. La question des conditions dans lesquel les il est possible de met tre en place des organisations du travail soutenables p our ces sa lariés tout en préservan t la performance des entreprises se pose clairement.2 - Déplacer la problématique du maintien dans l'emploi
des seniors vers celle de la préven tion de l'usure professionnelleLe taux d'activité ou de chômage des seniors n'est pas le seul indicateur des difficultés du
maintien dans l'emploi des seniors. Cell es-ci s'exp riment aussi à travers d'autres" symptômes » : l' accidentologie - le taux de sinistralité, les restric tions d'aptitudes,
l'augmentation des inaptitudes et autres problèmes de santé, l'absentéisme, le turn-over, l'obsolescence des compétences, le déseng agement, la d émotivation, etc. Autant de problèmes qui peuvent pénaliser durablement l'activité d'une entreprise et sa performance globale. Face à l'allongement de la durée de la vie professionnelle, comment les entreprises peuvent-elles prendre en charge le " bien vieillir au travail » ? Car selon les options prises en matière
de conditions de travail, de parcours professionnels, mais aussi de représentations socialessur les effets du vieillissement, les difficultés des travailleurs vieillissants seront plus ou moins
accentuées, leurs atouts plus ou moins valorisés et mis à profit. Autrement dit, l'âge à lui seul
n'est pas prédictif de la manière dont on s'use au travail - le vieillissement étant un processus
progressif mais surtout conditionnel qui se nourrit tout au long du parcours professionnel. Levéritable enjeu consiste donc à garder en bonne santé les travailleurs quelles que soient leurs
caractéristiques (âge, sexe, niveau de qualification...) pour qu'ils puissent être en emploi
jusqu'à l'âge de la retraite. Depuis plus d'une dizaine d'années, l'ANACT travaille sur la problématique de la gestion des âges en entrepr ises et du maintien dans l'emploi des s eniors, dans le cadre de l'accompagnement de différentes politiques publiques. Au fil de ses interventions et missions d'accompagnement, elle a fait le choix d'aborder la question du maintien dans l'emploi sous l'angle de la prévention de l'usure professionnelle.Par usure professionnelle, il faut entendre un processus d'altération de la santé qui dépend
de la répétition et/ou de combinaisons d'expositions de la personne à des contraintes du travail. Interviennent dans ce processus - pour le ralentir, voire l'enrayer - les régulations individuelles et collectives que les travailleurs peuvent élaborer, pour se protéger et pourdévelopper leur santé tout au long de leur parcours. Si néanmoins il y a finalement " usure »,
c'est que ces régulations étaient entravées ou n'ont pas suffi, et que l'on constate des effets
Maintien en emploi des seniors. Identification des bonnes pratiques 5négatifs sur la santé, au point d'altérer la capacité à réaliser le travail. Il y a donc, selon ce
point de vue, à la fois usure " par » le travail (ses traces sur l'organisme) et " pour » réaliser
celui-ci (des difficultés qui sont apparues). Les démarches de prévention de l'usure professionnelle ont donc l'ambition d'anticiper lesprocessus qui conduisent à la sortie de l'emploi, dans toutes ses formes (problèmes de santé,
perte de compétences, démotivation, etc.).3 - Ce qui peut faire obstacles ou constituer des freins
aux démarche s de prévention de l'usure professionnelle Si on constate une préoccupation croissante des entreprises vis-à-vis des problématiques de maintien dans l'emploi des seniors, et plus globalement d'usure professionnelle, les freins à la mise en place de démarches de prévention sont nombreux, et les pratiques effectives, peu développées. - En rester à la gestion des situations d'urgence : C'est une fois que des problèmes importants sont survenus, et que des situations d'urgencesont à traite r, que les entreprises prennent à bras le corps la problémat ique de l'usure
professionnelle : par exemple suite à une augmentation des accidents du travail sur une population type ou du nombre d'inaptitude, un fort absentéisme, ou le départ non prévu de salariés expérimentés. Or d'une part face aux situations d'urgence, les marges de manoeuvre sont souvent réduites, d'autre part les entreprises n'enclenchent pas toujours derrière desactions de prévention. Elles en restent à des démarches réactives plutôt que proactives.
- Ne pas prendre le temps d'un diagnostic amont : Pour bien traiter la question du maintien en emploi des séniors, et plus globalement d'usureprofessionnelle, l'entreprise a besoin de relier cette problématique à ses enjeux économiques
et sociaux : en quoi le vieillissement des salariés au travail impacte la stratégie et les projets
de l'organisation ? En quoi cela représente-t-il une gêne ou un atout pour l'entreprise ? C'est
le plus souvent par un cheminement qui articule diverses préoccupations (maintien en emploi, gestion des restrictions d'aptitude, absentéisme, turn-over, etc.) que ces questions prennent sens pour l'entreprise. Or l'expérience montre que les acteurs prennent rarement ce temps de diagnostic amont 2 - Se focaliser sur un seul problème :Les velléit és d'actions sont souvent liées à la prise en compte d'un fact eur donné : un
indicateur qui explose, un signal d'alerte. Cette focalisation amène souvent les entreprises à traiter les problématiques indépendamment les unes des autres (absentéisme, RPS, TMS...),là où une approche plus systémique rendrait les démarches de prévention plus efficaces.
- Se fo caliser sur la pénibilité physique au détr iment des phénomènes d'essoufflement professionnel : si la pénibilité physique est plus facilement visible, les processus de démotivation, de perte de sens au travail, de répétition - routine et non- apprentissage, voire parfois d'épuisement psychologique, sont beaucoup moins pris en compte, et pour autant, tout autant pénalisant - pour l'individu comme pour l'entreprise. - Se focaliser uniquement sur les populations " senior » 2Cf Annexe 2 ce constat a été fait à l'occasion des études réalisées par le réseau ANACT-ARACT sur les effets des accords et plans
seniors de 2013 6 Maintien en emploi des seniors. Identification des bonnes pratiques Les entreprises peuvent avoir tendance à rentrer dans le sujet du maintien dans l'emploi en focalisant sur la population des seniors (effet des lois incitatives de 2008 qui ciblaient cettetranche d'âge, fait que les plus âgés sont des " marqueurs » de difficultés que des salariés
plus jeunes peuvent aussi rencontrer mais avec des effets délétères moins immédiats sur leur
santé). Or la prévention de l'usure concerne tous les âges. En agissant sur une amélioration
globale des conditions de travail, sans différencier les actions selon l'âge, on limite l'usure
prématurée des salariés plus jeunes tout en préservant l'organisme des vieillissants. - Cloisonner les démarches de prévention d'un côté, et les politiques RH de l'autre :Les politiques RH et les politiques de santé sont peu articulées et les réflexions sur la gestion
prévisionnelle des compétences, lorsqu'elles existent, sont déconnectées des problématiques
de santé et de conditions de travail. Or l'usure professionnelle émerge quand les situationsde travail laissent des traces néfastes sur la santé et en particulier quand celles-ci se répètent.
Il est donc indispensable de penser les parcours en lien avec la santé. - Être dépendant de représentations sociales figées sur la séniorité Le maintien dans l'emploi à un âge plus tardif se heurte aux représentations que se fait lemonde du travail des salariés les plus âgés, sur la relation entre l'âge et les performances au
travail mais aussi sur les comportements attendus. Plus de 75% des managers considèrent 3 que l'âge joue en défaveur de l'embauche d'un candidat (niveau de salaire plus élevé quecelui des jeunes, une productivité jugée plus faible, maîtrise des outils numériques jugée
déficiente...). Il reste beaucoup à faire sur ce champ, pour faire évoluer les représentations.
- Ne pas favoriser l'accès à la formation des plus âgésQue ce soit lié à l'offre de formation (inadéquation de l'offre de formation professionnelle aux
besoins des seniors en France pointée par l'OCDE), aux arbitrages propres à l'entreprise (horizon temporel, périod e d'emploi restante), aux stéréotypes sur les capa cités d'apprentissage, ou à la difficile expression des besoins de formation en entretien individuel (moins de la moitié des plus de 55 ans évoque leurs besoins 4 ), l'accès à la formation pour lesseniors s'avère réduit. Or elle est essentielle dans la poursuite du parcours et le maintien dans
l'emploi jusqu'à la retraite.4 - Comment agir pour le maintien dans l'emploi et
prévenir l'usure professionnelle ? Les leviers Depuis plus de dix ans, l'ANACT accompagne activement des entreprises dans le maintien des seniors dans l'empl oi et la pré vention de l'usure professionnel le. Ces a ccompagneme nts s'appuient sur quatre registres d'actions : > Réaliser des diagnostics pour orienter et prioriser les actions en entreprise ; > Ag ir sur l'améli oration des situations de travail et la réduction des r isques professionnels pour tous les âges ; > Agir sur les parcours professionnels ; > Développer l'accompagnement collectif et favoriser des dynamiques partenariales et territoriales. Au coeur de ces démarches se trouvent les principes d'action du réseau ANACT-ARACT : 3quotesdbs_dbs33.pdfusesText_39[PDF] Sommaire. Une équipe vivante P3. Un point sur les licences professionnelles.. P4. Une formation qualifiante pour l'emploi.. P4
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