[PDF] La liberté humaine chez Thomas dAquin





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Une définition positive de la liberté humaine chez Thomas dAquin

Jun 27 2013 UNE DÉFINITION « POSITIVE » DE LA LIBERTÉ HUMAINE. CHEZ THOMAS D'AQUIN. Remise en cause des lectures d'Odon Lottin et de Bernard Lonergan. La ...





Questions sur la liberté abordée selon la théorie de la volonté chez

Pour Thomas d'Aquin toute chose tend nécessairement vers un bien. Cela découle en partie de la définition du bien qu'il retient : « le bien est ce que toutes 





Leibniz: sauver la contingence. Une métaphysique de la liberté

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DU LIBRE ARBITRE SELON S. THOMAS DAQUIN

RÉSUMÉ : Qu 'en est-il chez s. Thomas d'Aquin



Sans titre

Personne nature et liberté chez Thomas d'Aquin et ses interprètes du XXe positive



Bibliographie de dom Odon Lottin

Les éléments de la moralité des actes chez saint Thomas d'Aquin. — Liberté humaine et motion divine de saint Thomas à la condamnation de 1277. — Rech.



Liberté nécessité

Arnauld et Nicole



La justice humaine chez Thomas dAquin

Thomas d'Aquin aborde « en pionnier »1 le thème de la justice humaine notamment La loi positive est ainsi nécessaire chez l'Aquinate pour deux.

La liberté humaine chez Thomas dAquin

La liberte humaine chez Thomas d'Aquin

Jean-Marc GoglinTo cite this version:

Jean-Marc Goglin. La liberte humaine chez Thomas d'Aquin. Philosophie. Ecole pratique des hautes etudes - EPHE PARIS, 2011. Francais.

HAL Id: tel-00595478

Submitted on 24 May 2011

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JEAN-MARC GOGLIN

LA LIBERTÉ HUMAINE CHEZ

THOMAS D'AQUINTHÈSE DE DOCTORAT EN SCIENCES DES RELIGIONS SOUS LA DIRECTION DE MONSIEUR LE PROFESSEUR OLIVIER BOULNOIS

ÉCOLE PRATIQUE DES HAUTES ÉTUDES

SECTION DES SCIENCES RELIGIEUSES

2010

REMERCIEMENTS

Tout d'abord, il m'est un honneur de remercier Monsieur le Professeur Olivier

Boulnois, Directeur d'Études à l'École Pratique des Hautes Études, pour avoir accueilli cette

recherche, à l'origine personnelle, dans un cadre universitaire. Ce devoir de remerciement se meut en sincère gratitude pour avoir si magistralement su guider et encourager à la fois la recherche et, surtout, son auteur. Puis, il m'est un devoir de remercier celles et ceux qui, par leurs remarques, leurs questions, leur savoir, ont permis d'enrichir ce travail, et, notamment le R. P. Gilles Berceville o. p. (Professeur de théologie, Institut Catholique de Paris) ; Bernard Chambré (Lettres classiques, Val-de-Reuil) ; Eric Doudoux (Philosophie, Val-de-Reuil) ; Nicole Ély (Histoire des religions, Brest) ; le R. P. Gérard Guitton o. f. m. (Orsay) ; Raphaël Legoy (Histoire des sciences, Université du Havre) et Benoît Morin. Il m'est encore nécessaire de remercier celles et ceux qui, logistiquement, ont permis la réalisation de cette recherche : le personnel de la Bibliothèque du Saulchoir (Paris), de l'Institut Catholique de Paris et du Centre Théologique Universitaire de Rouen pour leur disponibilité ; Jean-Paul Turpin, Proviseur du Lycée Marc-Bloch de Val-de-Reuil, pour avoir accepté d'alléger mon service ; Maryvonne Goglin, pour la gestion de mes séjours parisiens et, surtout, Marie-Gabrielle Ély-Goglin, pour la gestion du quotidien et son soutien constant. Enfin, il m'est nécessaire de remercier celles et ceux qui, patiemment, relecture après

lecture, ont traqué, sans concession, répétitions et fautes de frappe, et en particulier Florence

En dernier, je remercierai mes enfants François, Paul et Julien d'avoir supporté les absences longues et répétées de leur Papa.

LISTE DES ABRÉVIATIONS

Revues.

A.H.D.L.M.A.=Archives d'Histoire Doctrinale et Littéraire du Moyen Âge, Paris. E.T.L.=Ephemerides Theologicae Lovaniensis, Louvain. R.P.A.M.=Recherches de philosophie ancienne et médiévale, Paris.

R.P.L.=Revue Philosophique de Louvain, Louvain.

R.S.P.T.=Revue des Sciences Philosophiques et Théologiques, Paris. R.S.R.=Recherches de Sciences Religieuses, Strasbourg.

R.T.= Revue Thomiste, Toulouse.

R.T.A.M.=Recherches de Théologie Ancienne et Médiévale, Paris. F.Z.P.T.=Freiburger Zeitschrift für Philosophie und Theologie, Fribourg.

Collections.

P.L.=Patrologie Latine, éd. Migne.

INTRODUCTION

Pour le christianisme, la liberté constitue indéniablement un élément nécessaire à

l'homme en tant qu'il lui appartient de conquérir son salut. S'il est impensable à un chrétien

de le nier, plus difficile est de conceptualiser ce qui apparaît comme une donnée indubitable

de la foi. Thomas d'Aquin (1224/5-1274), frère précheur et maître en théologie, s'est attelé à

cette tâche. Au XIIIe siècle, la querelle théologique qui a opposé Augustin d'Hippone au moine

Pélage et à ses disciples au sujet du lien entre la grâce divine et le libre arbitre humain est déjà

loin

1. La théorie augustinienne s'est imposée lors du second concile d'Orange de 5292 et a été

ratifiée par le pape Boniface II en janvier 531. Anselme de Cantorbéry, au XIe siècle, Bernard

de Clairvaux, au XIIe siècle, ont, chacun à leur manière, réfuté de nouveau la théorie

pélagienne. Pourtant, Thomas d'Aquin est amené à réétudier avec précision le thème de la

liberté de l'homme. En effet, deux éléments bouleversent, depuis le XIIe siècle, les concepts

intellectuels traditionnels : l'émergence de la conscience de soi et de son individualité

3, et,

surtout, l'entrée des écrits philosophiques gréco-arabes en Occident

4. En effet, après 1150, à

partir de Tolède

5 et de Palerme, de nouveaux traités sur la cosmologie, la physique6, la1

Pour une présentation de la querelle contre Pélage et ses disciples : J.-M. SALAMITO,Les Virtuoses et la

multitude. Apects sociaux de la controverse entre Augustin et les pélagiens,Paris, 2005. 2

Les canons des conciles mérovingiens, J. Gaudemet, B. Basdevent éd., Paris, 1989, p. 92-99. Pour une

présentation des débats : O. PONTAL,Histoire des conciles mérovingiens, Paris, 1989, p. 92-99.

3

Sur ce thème : J. F. BENTON, " Consciousness of Self and Perception of Individuality », in R. L. Benson, G.

Constable dir.,Renaissance and Renewal in the Twelfth Century, Oxford, 1982, p. 263-275. 4

Sur la transmission de la philosophie grecque du monde grec au monde arabo-musulman : D. GUTAS,Pensée

grecque, culture arabe. Le mouvement de traduction gréco-arabe à Bagdad et la société abbasside primitive

(IIe-IVe/VIIIe-Xe siècles), Paris, 2005 ; A. BADAWI,La transmission de la philosophie grecque au monde

arabe, Paris, 1987. 5 C. D'ANCONA dir.,Storia della filosofia nell'Islam medievale, t. 2, Torino, 2005, p. 783-831 : " La trasmissikone della filosofia araba dalla Spagna musulmana alle università del XIII secolo ». 6

LaPhysique d'Aristote est traduite par Jacques de Venise, puis par Gérard de Crémone, Michel Scot, et enfin

par Guillaume de Moerbeke. Sur l'impact de laPhysique au XIIe siècle : T. RICKLIN,DiePhysicaund der

Liber de Causisim 12. Jahrhundert, Freiburg, 1995. métaphysique, la psychologie

1 et l'éthique2 sont traduits de l'arabe3 en latin. Alors que le

monde latin dut longtemps se contenter seulement des uvres logiques d'Aristote4, lecorpus aristotélicien est connu en quasi-totalité au début du XIIIe siècle

5. L'impact est d'autant plus

important que les oeuvres d'Aristote sont accompagnées de gloses, commentaires et traités d'auteurs se réclamant de lui, d'auteurs grecs, tels Alexandre d'Aphrodise, Ammonius, Themistius, Simplicius, arabo-musulmans, tels Avicenne

6 et Averroès7, juifs tel Maïmonide,

et même byzantins, tels Michel d'Éphèse et Eustrate de Nicée. Parfois remarquables, parfois

imparfaites, car souvent traduites de l'arabe en langue vernaculaire puis de la langue vernaculaire en latin

8, dotées parfois de passages apocryphes, de mauvaises interprétations et

d'imprécisions terminologiques, ces traductions offrent une nouvelle conception du monde1

Le traitéDe l'âme d'Aristote est traduit d'abord par Jacques de Venise puis par Michel Scot et, enfin, par

Guillaume de Moerbeke.

2

L'Éthique à Nicomaqueprésente la philosophie pratique selon Aristote. L'Éthique est destinée à l'éducation

des hommes vertueux. L'Éthiqueest connue progressivement, par des traductions successives. Les Livres II et

III sont traduits à la fin du XIIe siècle par un anonyme (translatio vetus). Les Livres I et des fragments des

Livres II et X sont traduits au début du XIIIe siècle (translatio nova). Robert Grosseteste traduit l'ensemble vers

1246-1247. Cette traduction est soit faite directement sur le grec, soit "une révision de l'ancienne traduction

complète ». Elle comporte néanmoins un certain nombre d'erreurs dues au manuscrit grec de base. Une révision

est faite, en deux étapes, par Guillaume de Moerbeke, entre 1250, pour l'editio minor, et 1260, pour larecensio

recognita. J. BRAMS, " The Revised Version of Grosseteste's Translation of theNicomachean Ethics », in

Bulletin dePhilosophie Médiévale, 36, 1994, p. 45-55 ; " Guillaume de Moerbeke et Aristote », in J. Hamesse,

M. Fatori éd.,Rencontres de cultures dans la philosophie médiévale. Traductions ettraducteurs de l'antiquité

tardive au XVe siècle, Louvain-la-Neuve-Cassino, 1990, p. 320-322. 3

A DE LIBERA, inLa philosophiemédiévale, Paris, 1998, 3e éd., p. 73-75, fournit la liste des principales

traductions en arabe des uvres d'Aristote. Pour une présentation ducorpusarabe : F. E. PETERS,Aristoteles

arabus. The Oriental Translations and Commentaries on the Aristotelian Corpus, Leyde, 1968. 4

Soit par les traductions de l'Isagoge, un résumé d'un traité sur les universaux rédigé par Porphyre, duDe

interpretatione et desCatégories, deux opuscules placés au début de l'Organon, soit par les propres

commentaires desPremiers Analytiques, desTopiques et desRéfutations sophistiques, effectués par Boèce au

VIe siècle. Sur les oeuvres, les traductions de Boèce et leur impact : M. GIBSON,Boethius, his Life, Thought

and Influence, Oxford, 1981. 5

R. BRAGUE, " L'entrée d'Aristote en Europe », in R. Faloci éd.,Aristote, l'école de Chartres et la cathédrale,

Chartres, 1997, p. 73-79 ; J. BRAMS,La riscoperta di Aristotele in Occidente, Milano, 2003. 6 Cf : D. GUTAS,Avicenna and the Aristotelian Tradition, Leiden, 1988. 7 Cf : C. BAFINI,Averroes and the Aristotelian Heritage, Napoli, 2004. 8

Sur cette méthode de traduction : A. RUCQUOI, " Les traductions à deux interprètes, d'arabe en langue

vernaculaire et de langue vernaculaire en latin », inTraduction et Traducteurs au Moyen Âge, Paris, 1989, p.

193-206.

qui bouleverse les conceptions chrétiennes

1. Les théologiens latins doivent désormais faire

face à deux conceptions différentes de l'homme : celle d'Augustin d'Hippone et celle

d'Aristote. Le monde latin hérite d'un conflit qui a déjà secoué le monde arabe confronté, à

partir du VIIIe siècle

2, au néoplatonisme3 : le conflit sur la liberté de l'homme4.

En conséquence, Thomas, membre de l'ordre des frères prêcheurs, dont l'une des fonctions voulues par le fondateur Dominique de Guzmán, est de lutter contre les " erreurs »,

et maître en théologie, notamment dans la prestigieuse université de Paris, développe une

uvre variée dans laquelle le thème de la liberté humaine est abondamment traité : uvres universitairesuvres personnellesuvres préparatoiresEcrits de circonstancesCommentaires scripturaires1252-1257 :

1256-1259 :

Avant

1260-1265 :1265-1266 :Scriptum super

libros

Sententiarum.

Quaestiones

Disputatae De

Veritate : q. 22, q.

24.

Quaestiones

Disputatae De

Potentia.

Quaestiones

Disputatae De

anima.Summa contra

Gentiles.Super Iob.1

C. H. LOHR, " The medieval interpretation of Aristotle », in N. Kretzmann et alii éd.,The Cambridge History

of Later Medieval Philosophy, Cambridge, 1982, p. 80-98. 2

M. FAKHRI,Histoire de la philosophie islamique, Paris, 2007 rééd., p. 66 : "Les sources les plus anciennes

reconnaissent que le premier problème abstrait autour duquel s'engagèrent les premières controverses

théologiques fut la question du libre arbitre et de la prédestination (qadar) ». 3

M. FAKHRY,Histoire de la philosophie islamique, Paris, 2007 rééd., p. 43-54 : " Eléments néoplatoniciens :

LaThéologie d'Aristote apocryphe et leLivre des Causes ». 4

Sur ce point : C. D'ANCONA dir.,Storia della filosofia nell'Islam medievale, t. 1, Torino, 2005, p. 131-136 :

" La libertà e la responsabilità dell'uomo ». Pour une présentation des différentes théories relatives à l'acte

humain : R. ARNALDEZ,L'Homme selon le Coran, Paris, 2002 ; D. GIMARET,Théories de l'actehumain en

théologie musulmane, Paris, 1980 ; W. M. WATT,Free Will and Predestination in Early Islam, London, 1948 ;

C. BOUAMRANE,Le problème de la liberté humaine dans la pensée musulmane (Solution Mu'tazilite), Paris,

1978.

1267-1268 :

v. 1269-

1272 :

1270 :

1271 :Quaestiones

Disputatae De

Malo : q. 6.Summa

theologiae :

Prima Pars.

Summa theologiae :

Prima Secunda

Pars.Sententia Libri De

anima.

Sententia Libri

Ethicorum.De iudiciis

astrorum.

De unitate

intellectus contra averroistas.L'ensemble ducorpus thomasien peut sembler "contradictoire »1 : uvres de théologie systématique, commentaires bibliques, commentaires philosophiques, traités de circonstances... Pourtant, chaque fois, Thomas tente de présenter la liberté humaine de manière univoque. La consultation du lexique de R. J. Deferrari et de M. I. Barry relève les

usages nombreux des termes "electio »2, "liber »3, "liberalis »4, "libero »5, "libertas »6,

"liberum arbitrium »7, "voluntarius »8 et "voluntas »1. La consultation de l'Index1

Selon le qualificatif employé par M. CORBIN au sujet ducorpus de textes étudiant le libre arbitre, inDu libre

arbitre selon S. Thomas d'Aquin, Paris, 1992, p. 4-7 : " Un dossier contradictoire ». 2 R. J. DEFERRARI et M.-I .BARRY,A Lexicon of S .Thomas, Baltimore, 1949, p. 356. 3

Ibid, p.634-635.

4

Ibid, p. 635.

5

Ibid, p. 635-636.

6

Ibid, p. 636. Il est cité 106 fois dans le commentaire sur lesSentences ; 37 fois dans leDe Veritate ; 9 fois dans

laSumma contra Gentiles ; 10 fois dans laPrima Pars ; 10 fois dans laPrima Secundae Pars ; 8 fois dans leDe

Malo; 10 fois dans le commentaire de l'Épître aux Galates. 7

Cité 287 fois dans le commentaire sur lesSentences ; 285 fois dans leDe Veritate ; 28 fois dans laSumma

contra Gentiles ; 33 fois dans leDe Malo. 8 R. J. DEFERRARI et M.-I .BARRY,A Lexicon of S. Thomas, Baltimore, 1949, p. 1178-1179. thomisticus indique que Thomas a cité 10 496 fois le terme de "voluntas», 7623 le verbe "velle», 1584 fois le terme "voluntarium», 2394 fois le terme "appetitus», 1751 fois le terme "appeto », 848 fois le terme "appetitivus», 717 fois le terme "appetibile»2... Il utilise même l'expression de "voluntas libera »3. Thomas construit son concept à partir de ces notions précises qu'il explique, transforme, articule... Depuis le renouveau thomiste, à la fin du XIXe siècle, les études philosophiques et historiques portant sur les uvres du maître dominicain se sont multipliées4. Une consultation des différents répertoires bibliographiques récents suffit pour s'en convaincre

5. Quels aspects

de sa pensée n'ont pas été étudiés, que ce soit du point de vue systématique ou historique ?

Que reste-t-il à analyser d'un thème aussi essentiel que celui de la liberté humaine ? Pourtant,

la lecture des uvres thomasiennes entraîne de multiples questions. La plupart des études historiques ou théologiques lie la liberté de l'homme à l'action divine. B. Lonergan l'a étudiée par rapport à la grâce divine

6. C. Bermudez l'a étudiée par

rapport à la grâce et à la prédestination

7. J.-P. Arfeuil l'a étudiée par rapport à la providence

divine

8. J. F. Wippel1 et H. G. Goris2 l'ont étudiée par rapport à la prescience divine. M.1

Ibid, p. 1179-1182. Thomas l'utilise 1068 fois dans le commentaire sur lesSentences ; 626 fois dans leDe

Veritate ; 265 fois dans laSumma contra Gentiles ; 282 fois dans leDe Malo ; 4 fois dans leContra averroistas ;

568 fois dans laIa-IIae Pars.

2

R. BUSA,Index thomisticus, C.-D.-rom, 1996.

3

Citée 4 fois dans le commentaire sur lesSentences ; 1 fois dans leDe Potentia (q. 10, a. 2, arg. 5) ; 3 fois dans

laCatena aurea. 4

J. INGLIS, dans son étude "Freiheit, liberté, or Free Choice : The recovery of Aquinas after 1848 as

interpretation or misinterpretation», in P. van Geest, H. Goris, C. Leget éd.,Aquinas as authority, Utrecht-

Leuven, 2002, p. 109-116, relève que l'intérêt pour la théorie thomasienne de la liberté humaine renaît au XIXe

siècle, dans le contexte des révolutions de 1848. Par exemple : J. KLEUGTEN,Theologie der Vorzeit, 3 vol.

Münster, 1853-1860, vol. 1, p. 229 ; p. 247.

5

Plusieurs répertoires bibliographiques sont à la disposition de l'historien dont : E. ALARCÓN et alii,

Bibliographia thomistica. 1491-2002, Pampelona, 2005. 6 B. LONERGAN,Grace and Freedom: Operative Grace in the Thought of St. Thomas Aquinas, Toronto, 2005

rééd, p. 444 : " Another notable point is that St Thomas did not work on the problem of liberty in isolation from

the problem of its relations with grace ». 7

C. BERMUDEZ, " Predestinazione, grazia e libertà nei commenti di san Tommaso alle lettere di san Paolo »,

inAnnales theologici, 4, 1990, p. 399-421. 8

J.-P. ARFEUIL, " Le dessein sauveur de Dieu. La doctrine de la prédestination selon Thomas d'Aquin », in

R.T.,74, Toulouse, 1974, p. 591-641. Il étudie successivement deux points : p. 601 : la providence divine ; p.

613 : Dieu comme déterminant ou déterminé. Concernant la liberté humaine, il étudie : p. 615 : la motion divine

Corbin a étudié la notion de libre arbitre selon Thomas, notamment en rapport avec la nature 3quotesdbs_dbs29.pdfusesText_35
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