Flux et fonctionnement des comptes
Ils sont qualifiés de réels par opposition aux flux financiers. Les flux financiers correspondent à des mouvements de payer ou d'engagements de paiement. b.
LES FLUX ECONOMIQUES • Objectif(s) : Présenter les différentes
Objectif(s) : Présenter les différentes catégories de flux. • Modalités : o Flux entreprise / fournisseurs Les flux réels. ... Les flux financiers.
Notion : Le circuit économique
La contrepartie de ces flux réels est constituée par les flux monétaires ou financiers qui représentent les échanges d'argent revenus et dépenses des
TABLE DES MATIERES
Tout flux réel ou financier doit être enregistré en comptabilité. ENREGISTREMENT DES FLUX REELS ET DES FLUX FINANCIERS. .......... 3. 1.1. Flux réels ...
TABLE DES MATIERES
Tout flux réel ou financier doit être enregistré en comptabilité. ENREGISTREMENT DES FLUX REELS ET DES FLUX FINANCIERS. .......... 3. 1.1. Flux réels ...
Séquence 2 Quelles relations les agents économiques
Qu'est-ce qu'un flux financier ? Application des connaissances. À partir de la situation ci-dessous listez les flux réels
Corrigé chapitre 3 (DCG 9)
La comptabilité enregistre les flux réels et les flux financiers. 2. A. La vente de marchandises est un flux réel. Le flux financier peut être un paiement
THEME 1
Du capital financier financement se chargent de trouver ces capitaux financiers soit dans l'entreprise si ... A) Les flux physiques (ou flux réels).
Principales tendances des flux financiers mondiaux
Sous l'effet de la réforme des fonds du marché monétaire américain les financements en dollars
Synchronisation des flux physiques et financiers: mise en évidence
2 sept. 2014 Le flux financier est la contrepartie monétaire du flux physique ... à une capacité de réponse en quasi-temps réel aux exigences des clients ...
Bb KmHiB@/Bb+BTHBM`v QT2M ++2bb
`+?Bp2 7Q` i?2 /2TQbBi M/ /Bbb2KBMiBQM Q7 b+B@2MiB}+ `2b2`+? /Q+mK2Mib- r?2i?2` i?2v `2 Tm#@
HBb?2/ Q` MQiX h?2 /Q+mK2Mib Kv +QK2 7`QK
i2+?BM; M/ `2b2`+? BMbiBimiBQMb BM 6`M+2 Q` #`Q/- Q` 7`QK Tm#HB+ Q` T`Bpi2 `2b2`+? +2Mi2`bX /2biBMû2 m /ûT¬i 2i ¨ H /BzmbBQM /2 /Q+mK2Mib b+B2MiB}[m2b /2 MBp2m `2+?2`+?2- Tm#HBûb Qm MQM-Tm#HB+b Qm T`BpûbX
avM+?`QMBbiBQM /2b ~mt T?vbB[m2b 2i }MM+B2`b, KBb2SmH 1;`2i
hQ +Bi2 i?Bb p2`bBQM, 1UNIVERSITE DE NICE
ECOLE DOCTORALE
Droit et Sciences Politiques, Economique et de GestionGROUPE DE RECHERCHE EN MANAGEMENT (GRM)
SYNCHRONISATION DES FLUX PHYSIQUES ET FINANCIERS
ERPPaul EGRET
LeMEMBRES DU
Bernard OLIVERO
Di-Vincent GIARD
Nathalie FABBE
Professeur à -
Robert TELLER
Nicole GIANOTTI
Responsable CIFRE et de la trésorerie de l'entreprise FranceCo 2 3UNIVERSITE DE NICE
ENTREPRISE
ECOLE DOCTORALE
Droit et Sciences Politiques, Economique et de GestionGROUPE DE RECHERCHE EN MANAGEMENT (GRM)
SYNCHRONISATION DES FLUX PHYSIQUES ET FINANCIERS
Paul EGRET
LeMEMBRES DU JURY
Bernard OLIVERO
Vincent GIARD
Nathalie FABBE
Robert TELLER
Nicole GIANOTTI
Responsable CIFRE et de la trésorerie de l'entreprise FranceCo 4 thèses. Ces opinions doivent être considérées comme propr 5REMERCIEMENTS
Mes remerciements se tournent en premier lieu vers les personnes qui ont rendu cette trouver les mots justes tout au lo clairvoyance, ses anecdotes, et sa confiance de tous les instants. liberté pour effectuer mes investigations inestimable. to on complexe. Vous , avec qui mpathie is tête baissée. 6 suivait. un luxe.A tous, un sincère me
7Table des matières
INTRODUCTION GÉNÉRALE
CHAPITRE 1
1.1.11.2 Concept de flux
1.2.1 Les flux physiques
1.3 La logistique, bercea
1.3.1 Origine de la notion de Supply Chain
1.5 Conclusion du chapitre 1
2.1.1 Fiabilité, Validité, Pertinen
82.2.3 La réussit
2.3 Approche par les indicateurs
2.4.1 Approche par les processus
2.5 Introduction du concept de pouvoir
2.5.12.6 Conclusion du chapitre 2
3.4.1 Inscription du modèle dans une démarche de théories par processus
tionnalisation3.6 Ecueils potentiels lors de ces phases de déploiement
93.7 Con
4.3.1 Le réalisme critique
4.4 Qualification de notre forme de raisonnement
5.1.1 Distinction entre les méthodes qualitatives et quantitatives
5.2 Méthodologie mixte
i5.4 Méthodologie de la recherche action
5.4.1Distinction entre recherche action et recherche intervention
5.5 Développement de notre recherche scientifique
5.65.6.1Boucle itérative n°1
5.7 105.7.3 Principe de la théorie
5.8 Conclusion du chapitre 5
CHAPITRE 6:
6.2.1 Recherche initiale
6.3 Genèse du projet Oracle de FranceCo
7.2.1 Analyses statistiques bivariées
7.3 Typologie des réponses
117.5.5.3 Interprétation partie achat
7.8 Boucle retour
7.9.1 Dé corrélation du calcul de besoin MRP
7.10 Vers une amélioration progressive
12INTRODUCTION GÉNÉRALE
Durant
a situation a qui plus est fortement détérioré saturation de la demande des marchés qui engendrent une importante pression, les entreprises [Vol ir [Butler, 1997]. Les aient [Prahalad et [Skinner, 1974] lence dans le domaine de comment peut comment pouvons lignant la simplicité et la 13 Ces profondes mutations se sont accompagnées de changement s[Tsouligne est désormais acquis que la performance des entreprises repose en grande partie sur communication efficace entre les acteurs internes ou exter tion de la performance des entreprises t non de façon des systèmes hétérogènes devant coopérer. but des années 90 prend et des consommateurs[Yusuf et al. 2004]. C1[Federici, 2009].
éduire significativement la durée
. [Pan performance et de la compétitivité des entreprises. [Vinck et al. estime que l 14 des processus récurrents. Ces ERP devraient avoir un fort impact en termes de diffusion des Pourtant, quelques décennies après leur mise en circulation s e compétitivité, cette dernière devant être abor rappelle que performante de technologies et de gestion dimensions est caricatur [Somers et Nelson, 2001]De manière [Davenport, 1996] le plus grand projet en terme de fournir changements pouvant entrainer des coûts financiers non budgété 15 abyssales. 2 [Meysson l organisationnel reste largement méco phase de fonctionnement. dével de règles de gestion, mais parfois de mythes et de croyances qui peuvent a toute forme de rationalité mathématique et économique.[Mourlon décrit que contre la mise en oeuvre du projet relève autant de la croisa solution préférant de contrat CIFREne visait pas originellement à problématique autant 2 e3Rappelons que lors de la signature de ce partenariat en 2009
16 c CommentPour tenter de répondre à cette q
Notre deux
et les expliquer dont on ne comprendrait pas le fonctionnement. sont imposées à nous au cours de notre recherche CIFRE. contraignant. Les aspects théoriques et pratiques ont 17 recherche et se sont mutuellement influencés, justifiant notre mode de raisonnement rche5, soutenue par les évolutions techniques et organisationnelles, la
le choix de souligner tout particulièremen tensions dialectiques intégration des connaissances.étude monographique de type idiographique.
eur avec un accè [Ahrens et Dent, 1998] permette une généralisation contextu réalisme critique. Il per Ce choix permet de restituer au mieux les évolutions successives de notre mode de5Une problématique technique est néanmoins existante
[Genin et al. 2005] 18 était le positivisme lorsque ce dernier ne nous paraissait recherche . Cette méthodologie nouEnfin, nous nous sommes appuyés sur une méthodologie mixte séquentielle à dominante
théorique et pratique. double p de [Cet enrichi par Ce sont les observations et les ter les problématiques des connaissances6modèle
e [Grabot et al. 2008]), les problématiques [Silva et Fulk, 2012] est rappelle que dissidences 67[Chtioui, 2004]souligne que les ERP sont
19 les individus à " interaction [Orlikowski et 20CHAPITRE 1DES
"oir» Le terme synchronisation est en passe de devenir un 8 marque Apple. Le terme synchronisation est ainsi devenu un terme mélioratif dans notre livraison " [Callenbach et al.la médecine où la [Taiichi, 1988] identifie ainsi sept différents types de gaspillage qui peuvent être diminué Selon [Campagne, 2009], la synchronisation des flux et des activit des flux, alignement des productions sur les consommations, minimisation des stocks et desCette synchronisation ne peut être
8En date de recherche du
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