[PDF] Alban Bensa Ethnologie et architecture. Le Centre culturel Tjibaou





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Renzo Piano Centre culturel Jean-Marie Tjibaou

Renzo Piano. ''Centre culturel. Jean-Marie Tjibaou''. Question en jeu: comment les architectes prennent-ils en compte l'environnement dans leurs œuvres ?



Renzo Piano Centre culturel Jean-Marie Tjibaou

Question en jeu: comment les architectes prennent-ils en compte l'environnement dans leurs œuvres ? Page 2. Renzo Piano''Centre culturel Jean Marie Tjibaou'' 



Centre Culturel Jean Marie Tjibaou 1995 – 1998 Renzo Piano

projet de centre culturel dédié à la culture kanak à. Nouméa. -Renzo Piano (voir biographie – fiche Documents Annexes - partie biographie de Renzo.



Renzo PIANO

Le projet du Centre Culturel Tjibaou est une excellente illustration d'un pro- Source: Renzo Piano Centre Kanak; cultural center of the Kanak People.



Renzo Piano Centre culturel Jean-Marie Tjibaou

Renzo Piano. ''Centre culturel. Jean-Marie Tjibaou''. Question en jeu: comment les architectes prennent-ils en compte l'environnement dans leurs œuvres ?



Alban Bensa Ethnologie et architecture. Le Centre culturel Tjibaou

28 mai 2008 Le Cen- tre culturel Tjibaou une réalisation de Renzo Piano



LEthnologue et larchitecte la construction du centre culturel tjibaou

Une autre version de ce texte sera publiée in : Ethnologie et architecture. Le centre culturel Tjibaou. Une réalisation de Renzo Piano. Paris



Biographie Renzo Piano

Histoire des Arts – Centre Culturel Jean-Marie Tjibaou. Quelques repères historiques : Histoire de la Nouvelle-Calédonie : -1774 : James Cook découvre et 



Jeune public des antipodes

Le centre culturel Tjibaou construit par Renzo Piano. Le centre culturel Tjibaou le lieu de diffusion de la culture kanak et océanienne.



Tél. 41 45 45 www.adck.nc

30 mars 2017 L'architecture du centre culturel. Tjibaou est le fruit d'une étroite collaboration entre Renzo Piano et l'Agence de Développement de la Culture ...



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Renzo Piano''Centre culturel Jean Marie Tjibaou''1995 à 1998 Nouméa-Nouvelle Calédonie ( territoire français d'outre-mer ) Océan pacifique



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19 mai 2015 · Le projet du Centre Culturel Tjibaou est une excellente illustration d'un pro- jet façonné par le lieu et ses traditions étant situé sur un 



[PDF] Centre Culturel Jean Marie Tjibaou 1995 – 1998 Renzo Piano

Le but de la construction de ce centre est de faire connaître la culture kanak traditionnelle mais aussi contemporaine et d'encourager la création artistique



Centre Culturel Tjibaou Renzo Piano HDA PDF - Scribd

Je vais vous prsenter une oeuvre architecturale "Le centre culturel Tjibaou" de Renzo Piano Les travaux ont commenc en 1995 pour s'achever en 1998



Renzo Piano Centre culturel Jean-Marie Tjibaou Arts plastiques

Arts plastiques Objet d'étude histoire des arts Renzo Piano ''Centre culturel Jean-Marie Tjibaou'' Renzo Piano Question en jeu: comment les architectes 



[PDF] CENTRE CULTUREL TJIBAOU - ANU Press

Culturel Tjibaou (Tjibaou Cultural Centre) opened in Nouméa in 1998 has understandably featured the outstanding architectural achievements of Renzo Piano 



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18 déc 2021 · futur architecte de ce centre devant accueillir l'ADCK Sur les cent-soixante-dix maquettes présentées c'est celle de l'italien Renzo Piano 



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Fondazione Renzo Piano Centre Culturel Jean-Marie Tjibaou - 6_NOU__460 Subject Wooden structure under construction Date Image Code Nou__460



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Fondazione Renzo Piano Centre Culturel Jean-Marie Tjibaou - 9_NOU__463 Subject Structure assembly phase Date Image Code Nou__463

  • Quand a été construit le centre culturel Tjibaou ?

    Inauguré les 4 et 5 mai 1998 par le Premier ministre Lionel Jospin, alors qu'est signé l'accord de Nouméa, puis ouvert au public à partir du 15 juin 1998 , l'édifice a coûté 320 millions de francs fran?is, soit 5,82 milliards de francs CFP, valeur en 1991.
  • Renzo Piano a inscrit les bâtiments dans la végétation. C'est en s'inspirant de l'architecture traditionnelle kanak et notamment de la construction de cases que l'architecte a dessiné les dix cases du centre dont l'ossature allie le métal au bois.

Journal de la Société des Océanistes

112 | Année 2001-1

Micronésie

plurielle

Alban Bensa,

Ethnologie et architecture. Le Centre

culturel Tjibaou, une réalisation de Renzo Piano

2000, Paris, Adam Biro, 207 p.

Adriano

Favole

Édition

électronique

URL : http://journals.openedition.org/jso/1734

DOI : 10.4000/jso.1734

ISSN : 1760-7256

Éditeur

Société des océanistes

Édition

imprimée

Date de publication : 1 juin 2001

Pagination : 91-92

ISSN : 0300-953x

Référence

électronique

Adriano Favole, "

Alban Bensa,

Ethnologie et architecture. Le Centre culturel Tjibaou, une réalisation de

Renzo Piano

Journal de la Société des Océanistes

[En ligne], 112

Année 2001-1, mis en ligne le 28 mai

2008, consulté le 24 septembre 2020. URL

: http://journals.openedition.org/jso/1734 ; DOI : https:// doi.org/10.4000/jso.1734

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COMPTES RENDUS

tre culturel Tjibaou, une réalisation de Renzo Piano,

Paris, Adam Biro, 207 p.

Dialogues entre une ethnologie impliquée,

une architecture'douce'et une sociétéouverte.

Dans la conclusion de son compte rendu deLa

présence kanak, texte recueillant les interviews, les dis- observait :"On se demande comment cette‘présence kanak"sera mémorisée dans une imposante structure Centre culturel Jean-Marie Tjibaou»(1998 p. 228).

AvecEthnologie et architecture, Alban Bensa donne

une réponse ample et détailléeàcette question. Les deux premiers chapitres du livre parcourent quelques étapes historiques de la difficile rencontre entre Fran- çais et Kanaks (se concentrant en particulier sur les événements qui ont conduitàla‘reconnaissance cul- turelle"de ces derniers) et retracent les différentes pha- ses du projet et de la construction du Centre culturel Tjibaou, inauguréen mai 1998 sur la presqu"île de Tina,àNouméa. Du chapitre III au chapitre VI, ture interne du Centre : le site et l"allée centrale, les cases, le‘chemin kanak"et l"aire coutumière. Les cha- pitres VIII et IX sont consacrés aux objets anciens de l"art kanak,àla place qui leur est réservée a uCentre, auxoeuvres d"art contemporaines qui y sont exposées ainsi qu"au rôle des arts de la performance. Dans le reste du livre, Bensa réfléchit sur les choix de Renzo Piano—le célèbre ar chitecte italien auteur duprojet, avec Bensa lui-même et l"????(Agence pour le déve- loppement de la culture kanak) (chap. IX)—et sur la féconditédu dialogue entre ethnologie et architecture (chap. X). Le livre s"achève sur une interview de Bensa et de Piano réalisée par Stéphane Deligeorges pour France Culture,àl"occasion de l"inauguration du

Centre.

Écrit dans un style clair destinéàun public non spécialiste,Ethnologie et architectures"enrichit d"un appareil iconographique : les images en couleur du Centre et d el aNouvelle-Calédonie alternent avec des plans, des maquettes, des détails du projet et avec des photos d"époque, accompagnant le lecteur tout au long du parcours narratif. Le choix d"un langage non spécialiste répond aux exigences d"uneoeuvre interdis-

ciplinaire quiévolue entre l"ethnologie, l"architectureet la muséogra phie aussi bienqu"àcelles, comme le

rappelle Bensa lui-même, d"une"ethnologie impli- quée»qui l"a conduità"franchir la frontière entre sciences sociales et politique.Àquoi bon des sciences sociales si elles ne sont pas aussi en mesure d emettre leurs outils et leurs résultats au service de transforma- tions sociales nécessaires»? (p . 174).Appelépar Renzo Pianoàfaire partie de sonéquipe de travail, projet etàla réalisation du Centre: son livre naît ainsi d"un dialogue serréentre un ethnologue"impliqué» spécialiste de la région, un architecteàla recherche d"une"traditionalitéexplicitement moderne»(p.

166), partisan d"une architecture"douce»(p. 169) en

mesure d es"acclimateràl"environment naturel et humain, et un groupe d"‘indigènes"kanak qui, dans le sillage de la pensée politique de leur leader défunt Tjibaou, veulent construire une sociétéouverte,évi- tant toute forme d er epliethnique. Le Centre et le livr e de Bensa qui ler acontesont donc des créatures hybrides qui sacrifient l"identité (ethnique ou disciplinaire) sur l"autel du dialogue, des connexions et des métamorphoses. L"ethnologue impliquédans le projet est présentécomme celui qui libère la tradition"des griffes du passésans pour autant tout oublier»(p. 39),évitant lesécueils de la réification et de l"essentialisme ; l"architecte sélec- tionne quelques traits marquants de l"architecture locale (l "organisation du village kanak le long d"une allée centrale, l averticalitédes cases traditionnelles, l"immersion de l"habitat humain dans le milieu natu- l"exotisme,dukitsch,dupittoresque ;enfinlesKanaks de l"????(citons en particulier Octave Togna, Marie- Claude Tjibaou et Emmanuel Kasarhérou) sont enga- tisser des liens avec les autres communautés desîles du

Pacifique ainsi qu

"avec les autres populations présen- tes sur le sol calédonien. Les thèses fortes du livre d e Bensa et lesmessages véhiculés par le Centre sontàbien y regarderétroite- ment liés aux idées‘prophétiques", profondément innovatrices, d eJ ean-Marie Tjibaou : le refusd"une conception statique de l"authenticitéet une vision que nous pourrions définir‘existentialiste"de l"être humain ; la définition dynamique de l"identitéet de la

tradition ("l"identitéest devant nous») ; la rechercheJournal de la Sociétédes Océanistes, 112, année 2001-1.

elle se fonde aux dépens du particularisme ethnique. Au Centre qui porte son nom, ces idées de Tjibaou se reflètent dans l"importance accordéeàl"art contem- porain du Pacifique et dans la correspondante‘dé- sacralisation"des objets d"art anciens ; dans l"ample espace réservéàla création artistique et aux arts de la performance ; dans un projet architectural qui repré- sente la culture kanak comme un chantier aux formes inachevées, une"mémoire d"avenir»(p. 169), comme dit l"oxymore forgépar Piano lui-même. Le Centre donne corps aux réflexions du leader kanak tragique- ment disparu en 1989 : le nom de Centre culturel Tjibaou est de ce point de vue tout autre chose qu"une simple‘dédicace": Le Centre dans son ensemble, bien plus que la statue du leader qui lui fait face, rend l"image complexe, dynamique et‘métisse"de Jean- Marie Tjibaou. Et c"est au Centre etàl"importance qu"il a acquise bien au-delàdes frontière scalédonien- nes que les Kanaks ont confiéla tâche d"effectuer le "branchement»(pour citer la métaphore informati- que chèreàJean-Loup Amselle, 2001) entre leur cul- ture et une modernitéqui jusqu"àaujourd"hui les avait refusés. Enfin,àpartir des thèses de Jean-Marie Tjibaou Bensa parvientàune réflexion sur la nature d ela pensée anthropologique. Loin d"être un savoir mimé- tique qui se limiteàreprésenter les cultures, l"anthro- pologie apparaît plutôt dans son analyse comme une activité‘poiétique", semblabl ee ncelaàl"architecture : "La conjonction de l"ethnologie et de l"architecture met enévidence cette dimension créatrice de l"exper- truit les cultures dans la mesure oùelle les rend objec- tives ,pensab les ; ils"agit d"une activitécréatrice appelée non pasàreconstruire u npasséimmuable maisà"restituer»(p. 187) les sociétés dans leur dimension ouverte et changeante.

RÉFÉRENCES CITÉES

A??????, Jean-Loup, 2001.Branchements. Anthropologie de l'universalitédes cultures, Paris, Flammarion. C???????, James, 1998. Our identity is ahead of us,

L'Homme, 145, pp. 225-228.

T??????, Jean-Marie, 1996.La présence kanak,Éditionéta- blie et présentée par A. Bensa etÉ. Wittersheim, Paris,

Odile Jacob.

Adriano F?????

Universitéde Turin (favole.bessone@isiline.it)

in a Postcolonial Microcosm. Identity and Develop- ment in Vanuatu, Hawaii, University of Hawaii

Press, xxiv + 271 p., index.

Cet ouvrage est une synthèse dense, riche et très actuelle sur l"ex-condominium des Nouvelles- Hébrides. Peu d"auteurs en effet se sont intéressés récemment aux questions de politique nationale au

Vanuatu

1 . Dans l"introduction, l"auteur (professeur de science politique auxÉtats-Unis et auteur de plu- sieurs ouvrages sur les colonies ou ex-colonies franco- phones d"Amérique et d"Afrique), explicite la notion de"boundary»(limite, frontière), qui sous-tend tout l"ouvrage, en même temps qu"il nous fournit un résumégéographique , historique et politiquesur l"archipel. Le premier chapitre raconte l"histoire du les rivalitésqu"il a créées et qui perdurent aujourd"hui. William F. S. Miles y introduit le terme"condocolo- nialisme», notion propre au cas du Vanuat ue t quile distingue des modes classiques de colonisation qui furent pratiquées ailleurs dans le Pacifique etàtravers le monde colonial. Les chapitres 2 et 3 sont consacrés aux frontière s mentalescréées respectivement par le nationalisme et par la religion. Le 4 e chapitreétudie la 5 e aborde une série de domaines potentiellement créa- teurs de nouvelles frontière s : leterritoire , lerapport et entre les différentes communautés d upay s...Le resituer le Vanuat u dans sonenvir onnementrégional océanien, et plus largement dans les processus de glo- balisation.

Comme le dit justement Kirk Huffmann (ancien

seur du pays) en avant-propos, l"ouvrage d e Milesa l"immense mérite de pouvoir familiariser un lecteur non avertiàla vie politique et sociale d"un pays peu connu. Pour les jeunes chercheurs travaillant sur le

Vanuatu

2 , il constituera donc un document d"autant plus utile que n"étant pas spécialiste du Pacifique, l"auteur apporte un regard neuf et sansa priorisur un sur les appartenances et les identités multiples reven- diquées par les ni-Vanuatu (p. 62), sur le renforcement migrations vers la ville (p. 78) ou de l"acuitéde ses observations sur les différences perçues, dans l"hebdo- madaire officiel (leVanuatu Weekly/Hebdomadaire publiédans les trois langues du pays : le bislama, le français et l"anglais), entre deux versions d"un même

1. VoircependantlefoisonnantouvragecoordonnéparHowardvanTr ease:Lapolitiquemélanésienne :staelblongVanuatu

(Suva, University of the South Pacific Press , et Christchur ch,McMillanBr o wn CenterforPacific Studies, 1995), en grande

partieécrit par des auteurs ni-Vanuatu.

2. Le pays fut durant près d e dix ansinter dit auxcher cheurs occidentaux, etl"on doit beaucoupàRalph Regenvan u pourla

politique culturelle et de recherche qu"il a mise en place depuis le milieu des années 1990.

92MICRONÉSIE PLURIELLE

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