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11 oct. 2017 supplémentaire à prendre en compte dans le milieu organisationnel. ... communication interne Demos Editions
Ecologie culture et utilisations du figuier de barbarie
Candelario Mondragon Faculté de Sciences Naturelles
19e 3e
université de printemps de l'audit social rencontres internationales des sciences du Management et. MARRAKECH (MAROC) / 4 & 5 mai 2017. En partenariat avec.
Les étrangers en France - Rapport au Parlement sur les données de
Guéant » du 31 mai 2011 et la France est revenue au troisième rang mondial pour l'accueil de ce public. De même l'immigration professionnelle
AVANT PROPOS
Hammamet (1999) l'université de printemps de l'audit social se déroule
Rapport de gestion 2010
5 avr. 2011 Faculté des lettres et sciences humaines (FLSH) . ... l'année académique 2010-2011 14 modules du ... printemps 2011.
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ANNÉE 2014
RAPPORT AU PARLEMENT
SUR LES DONNÉES
DE L"ANNÉE 2014
LES ÉTRANGERS
EN FRANCE
© Direction de l"information lgale et administrative - Paris, 2015ÇEn application de la loi du 11mars 1957 (art. 41) et du Code de la propriété intellectuelle du
1 erjuillet 1992, complétés par la loi du 3janvier 1995, toute reproduction partielle ou totale à usage
collectif de la présente publication est strictement interdite sans autorisation expresse de l"éditeur.
Il est rappelé à cet égard que l"usage abusif et collectif de la photocopie met en danger l"équilibre
économique des circuits du livreÈ.
ISBN: 978-2-11-138565-8
PRÉFACE
Si 2012 avait t, pour notre politique d"immigration et d"intgration, l"anne du
changement, 2014 est celle o les actions engages produisent leurs premiers effets. Les u n service statistique ministriel indpendant, permettent d"en apprcier la pertinence et l"ef?cacit.¥ La restauration de l"attractivit de la France pour les tudiants internationaux et les
talents trangers s"est con?rme en 2014. Le nombre de premiers titres de sjour dli-vrs des tudiants trangers (65199) a retrouv son niveau d"avant la circulaire dite
l"accueil de ce public. De mme, l"immigration professionnelle, structurellement basse ceptible pour les publics qui concourent le plus au rayonnement de notre pays: les de 7,8% pour les scienti?ques-chercheurs.¥ Les admissions exceptionnelles au sjour, qui avaient connu un pic en 2013 dans le
rents et objectifs pour un traitement harmonis et quitable sur l"ensemble du terri-
toire des demandes de titre de sjour dposes par des trangers en situation irrgu- public et a permis de rsoudre, conformment aux engagements qui avaient t pris par le Prsident de la Rpublique, la plupart des situations humanitaires les plus dif?-ciles et qui avaient jusqu"alors t laisses sans rponse et sans perspective par la
majorit prcdente. ¥ Les efforts entrepris depuis 2012 pour rtablir l"ef?cacit de nos outils de lutte contre loignements forcs ont encore progress de 7,7%, l"augmentation la plus sensible tant constate pour les loignements forcs des ressortissants de pays tiers vers des pays tiers (+ 22%). Ce constat traduit la dtermination et la mobilisation des servicesa permis de lutter ef?cacement contre la criminalit organisant l"immigration illgale,
naturalisations par dcret a progress de 10,3%. A?n de conforter davantage la natu- ralisation comme le couronnement d"un parcours d"intgration russi, l"harmonisationd"enregistrement et d"instruction a t exprimente a?n d"amliorer nos procdures.
2014 appara"t galement comme l"anne de l"anticipation. S"ils ne laissaient alors pas
prsager la tournure exceptionnelle que la situation allait prendre dans les mois suivants,les ?ux migratoires ont progress nettement en 2014: plus de 280000 entres irrgu-
anne contre un peu moins de 110000 en 2013. Les chantiers ouverts par le Gouverne-ment en 2014 ont contribu prparer le pays relever les d?s auxquels 2015 allait le
confronter. ¥ Dans le prolongement des travaux engags par mon prdcesseur en 2013, un projetde loi relatif la rforme de l"asile a t adopt par le conseil des ministres le 23 juillet
3LES ÉTRANGERS EN FRANCE - 2014
2014 et a t dpos au Parlement. Il a propos une rforme d"ensemble des proc-
d verture de nouvelles places d"hbergement en centre d"accueil pour demandeur d"asile, il a eu pour objectif d"amliorer les conditions de prise en charge des demandeurs rpartition plus quitable des demandeurs sur le territoire.sibiliser ses partenaires l"urgence de la situation migratoire, appeler la solidarit
cation plus importante des institutions europennes et de ses agences. Les propositionsfaites par la France ont alors pr?gur les dcisions prises ultrieurement par le conseil
maritimes communes, baptise Triton, en lieu et place de l"opration Mare Nostrum prise jusqu"alors en charge par la seule Italie.?n de l"anne 2014, l"tat a l aussi rpondu l"urgence. Pour assurer la scurit
de justice l"exigeait; des travaux de scurisation des infrastructures ont t conduits,
en particulier avec le concours de ?nancements du Royaume-Uni avec lequel une d"asile a t amlior ainsi que les conditions de vie des migrants: le protocole devantconduire l"ouverture d"un centre d"accueil de jour a t sign entre l"tat, la ville de
Calais et un oprateur associatif en novembre.
Mais la seule rponse aux urgences ne suf?t pas, ainsi que l"actualit nous le rappelle tous les jours. C"est la raison pour laquelle le Gouvernement a aussi engag en 2014 unerforme de fond du droit des trangers destine rpondre aux enjeux, la fois sociaux
et conomiques, des politiques migratoires contemporaines et de renouer avec la traditiond"accueil et d"intgration de la Rpublique. En ce sens, a t galement prsent en
Conseil des ministres, le 23 juillet 2014, un projet de loi relatif au droit des trangers
sur le territoire par la cration de titres de sjour pluriannuels, de renforcer l"attractivit
de la France pour les talents internationaux et d"amliorer l"ef?cacit de nos outils de luttesuivre l"amlioration sensible de l"accueil des trangers en prfecture en dveloppant de
nouvelles mesures de simpli?cation et de nouveaux outils d"information. Ainsi, le dploie-ment d"une nouvelle interface Ç trangers È pour les sites internet dpartementaux permet
dsormais aux usagers d"obtenir une information uniforme, claire et concise de nature rduire les dplacements en prfecture. Ce rapport traduit la volont du Gouvernement de poursuivre nergiquement la rforme des dispositifs rglementaires et oprationnels qui permettront d"accueillir digne- tous les outils pour une intgration russie.Bernard CAZENEUVE
4 Synthèse. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9 Avertissement méthodologique. . . . . . . . . . . . . 131. Le champ géographique du rapport. . 13
1.1. Trois champs géographiquesà distinguer . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13
1.2. Le champ juridique. . . . . . . . . . . . . . . . 13
2. Chiffres définitifs de délivrance de
titres de séjour entre 2008 et 2013 et chiffres provisoires 2014 établis sur la base de l"application AGDREF. . . . . . . 133. Précisions méthodologiques
sur le calcul des flux. . . . . . . . . . . . . . . . . . 14PARTIE I
Évolution de la populationétrangère en France. . . . . . . . . . 151.1. La population étrangère établie
en France métropolitaine. . . . . . . . . . . . . . 161.1.1. Appréciation générale. . . . . . . . . . . . . 16
1.1.1.1. Encadré : présence étrangère en France. . 17
1.1.2. Détails par durée de titreset par motifs. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17
1.2. Flux annuels totaux (pays tiers) :
une légère augmentation en 2014. . . . . . . 231.3. Analyse des flux selon les motifs :
des évolutions différenciées selon les motifs de délivrance. . . . . . . . . . . . . . . 251.3.1 L"immigration professionnelle : unemondialisation des flux, avec l"accueil enFrance d"un nombre relativement limitéde migrants aux profils diversifiés. . . . . . . . 30
1.3.2.L"immigration familiale : principale sourced"immigration, fruit de l"histoire et inscrite dansun cadre conventionnel protégeant le respect dela vie privée et familiale. . . . . . . . . . . . . . . . . . 31
1.3.2.1. Éléments de synthèse. . . . . . . . . . . . . . . . . . 31
1.3.2.2. Détails par catégories
de migrants familiaux. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 311.3.3. La reprise de l"immigration étudiantedans une dynamique d"attractivité et derayonnement de la France. . . . . . . . . . . . . . . 321.3.4. La délivrance pour motifs humanitairesest en hausse substantielle. . . . . . . . . . . . . . 33
1.3.5. Autres motifs de délivrances. . . . . . . 34
1.3.6. Comparaison européenne : lespremiers séjours. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35
1.3.6.1. Aperçu sur les migrants par motifs dans
quelques pays. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 351.3.7. Eléments complémentaires pourdes comparaisons européennes. . . . . . . . . 35
1.3.7.1. Population, population née à l"étranger. . . 35
1.3.7.2. Population étrangère. . . . . . . . . . . . . . . . . . . 36
1.3.7.3. Acquisition de la nationalité du pays de
résidence. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 371.3.7.4. Flux migratoires par nationalité:
immigration. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 381.3.7.5. Flux migratoires par nationalité:
émigration et solde migratoire. . . . . . . . . . . . . . . . . 38PARTIE II
Les instruments juridiques et lesmoyens en oeuvre. . . . . . . . . . . . 412.1. Les visas. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 42
2.1.1. Une politique pilotée pardeux ministères. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 42
2.1.2. Les lignes directrices de lapolitique des visas. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 42
2.1.3. L"évolution de la demande et dela délivrance de visas depuis 2009. . . . . . . 43
2.1.3.1. Analyse de l"évolution de la délivrance
pour les principales catégories de visas. . . . . . . . . 442.1.3.2. Répartition géographique des visas
délivrés en 2012, 2013 et 2014. . . . . . . . . . . . . . . . . . 512.1.4. Les moyens et méthodes. . . . . . . . . . 52
2.1.4.1. La biométrie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 52
2.1.4.2. L"évolution de l"organisation
des services des visas. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 532.1.5. La coopération européenne dans ledomaine des visas.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 55
2.1.5.1. L"adoption de règles communes pour la
délivrance des visas de court séjour. . . . . . . . . . . . 552.1.5.2. Les accords de
" représentation Schengen ». . . . . . . . . . . . . . . . . . . 562.1.5.3. La coopération consulaire
dans les pays tiers. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 562.1.6. Les recours et le contentieux. . . . . . . 57
2.1.6.1. Les recours devant la commission
de recours contre les refus de visa (CRRV). . . . . . 572.1.6.2. Les recours contentieux
devant la juridiction administrative. . . . . . . . . . . . . . 58SOMMAIRE
5LES ÉTRANGERS EN FRANCE - 2014
2.2. Les titres de séjour . . . . . . . . . . . . . . . 59
2.2.1. Le cadre juridique de ladélivrance des titres de séjour . . . . . . . . . . 59
2.2.2. Le droit au séjour par type de titreet groupes de pays. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 60
2.2.3. Le droit au séjour par type de carte. . 60
2.2.3.1. Visas de long séjour valant titre
de séjour et cartes de séjour temporaire. . . . . . . . . 602.2.3.2. Cartes de résident . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 62
2.2.3.3. Cartes de retraité. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 64
2.2.3.4. Certificats de résidence
pour Algériens (CRA). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 642.2.3.5. Titres communautaires. . . . . . . . . . . . . . . . . 65
2.2.4 L"admission exceptionnelleau séjour. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 66
2.2.5. Les évolutions politiques etjuridiques intervenues en 2014. . . . . . . . . . . 67
PARTIE III
La lutte contre l"immigrationirrégulière. . . . . . . . . . . . . . . . . . 693.1. L"entrée irrégulière
sur le territoire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 713.1.1 Le contrôle des flux migratoires. . . . . 71
3.1.1.1 Le contrôle aux frontières. . . . . . . . . . . . . . . 71
3.1.1.2 Les refus d"admission sur le territoire
et les réadmissions simplifiées. . . . . . . . . . . . . . . . . 723.1.1.3 Les demandes d"admission au titre
de l"asile à la frontière. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 723.1.1.4 Les maintiens en zone d"attente. . . . . . . . . . 72
3.1.2. La coopération européenne :l"action de l"agence Frontex. . . . . . . . . . . . . 73
3.1.3. La lutte contre les filièresd"immigration. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 75
3.2. Le séjour irrégulier sur le territoire. . 76
3.2.1. Estimation du nombre de séjoursirréguliers: le nombre de bénéficiaires del"aide médicale d"État. . . . . . . . . . . . . . . . . . 76
3.2.2. Mesures prises à l"encontre despersonnes en infraction au regard de lalégislation sur les étrangers. . . . . . . . . . . . . 76
3.2.2.1. Nombre de personnes mises en cause
pour infraction à la législation sur les étrangers. . . 763.2.2.2. Nombre de placements en centre de
rétention administrative (CRA). . . . . . . . . . . . . . . . . 773.2.2.3. Nombre de demandeurs
d"asile déboutés. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 783.3. L"éloignement des étrangers en
situation irrégulière. . . . . . . . . . . . . . . . . . . 783.3.1. L"exécution des mesuresd"éloignement. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 78
3.3.2. Le dispositif des pôlesinterservices éloignement (PIE). . . . . . . . . . 80
3.3.3. Les difficultés rencontrées pourla mise en oeuvre de l"éloignement. . . . . . . 80
3.3.3.1. La délivrance des laissez-passer
consulaires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 803.3.3.2. Les annulations de procédure par
le juge judiciaire ou le juge administratif. . . . . . . . . 823.3.4. La rétention administrative. . . . . . . . . 833.3.5. Les incitations financières: aides au retourvolontaire et aides au retour humanitaire. . . . . 83
3.4. La lutte contre le travail illégal
intéressant les étrangers. . . . . . . . . . . . . . 84 3 .4.1. Le dispositif institutionnel de lutte c ontre le travail illégal. . . . . . . . . . . . . . . . . . 843.4.2. Le cadre juridique de la lutte contre letravail illégal. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 85
3 .4.3. Les sanctions administratives et p énales du travail illégal. . . . . . . . . . . . . . . . 853.4.3.1. Les sanctions administratives. . . . . . . . . . . 85
3.4.3.2. Les sanctions pénales. . . . . . . . . . . . . . . . . 88
3.5. La lutte contre les fraudes à
l"identité et la fraude documentaire. . . . . 903.5.1. Les résultats obtenus. . . . . . . . . . . . . . 92
3.5.1.1. Les acteurs nationaux. . . . . . . . . . . . . . . . . . 92
3.5.1.2. La coopération européenne et
internationale dans le domaine de la lutte contre la fraude. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 933.5.2. Les résultats obtenus. . . . . . . . . . . . . . 95
PARTIE IV
L"asile. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 974.1. L"évolution de la demande d"asile. . 100
4.1.1. La composition de la demanded"asile en 2014 et son évolution. . . . . . . . . 100
4.1.2. L"origine géographique dela demande d"asile en 2014. . . . . . . . . . . . 102
4.1.3. La répartition hommes / femmes. . . 103
4.1.4. La demande d"asile dans lesdépartements et collectivités d"outre-mer. . 103
4.2. Le traitement de la demande d"asile. . 104
4.2.1. L"activité de l"Office français deprotection des réfugiés et apatrides(OFPRA) et de la Cour nationaledu droit d"asile (CNDA). . . . . . . . . . . . . . . 104
4.2.1.1. L"activité de l"OFPRA. . . . . . . . . . . . . . . . . . 104
4.2.1.2. L"activité de la CNDA. . . . . . . . . . . . . . . . . 105
4.2.1.3. Attributions d"une protection
et décisions de rejet. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1064.3. Les procédures particulières. . . . . . 107
4.3.1. L"asile à la frontière. . . . . . . . . . . . . . 107
4.3.2. La mise en oeuvre du règlementde Dublin par la France. . . . . . . . . . . . . . . . 109
4.3.3. Les procédures prioritaires. . . . . . . 111
4.4. L"accueil et l"hébergement des
demandeurs d"asile. . . . . . . . . . . . . . . . . . 1124.4.1. L"admission au séjour desdemandeurs d"asile. . . . . . . . . . . . . . . . . . . 112
4.4.2. Le premier accueil desdemandeurs d"asile. . . . . . . . . . . . . . . . . . . 113
4.4.3. Le dispositif national d"accueil. . . . . 113
4.4.3.1. Les différentes mesures d"accueil. . . . . . 113
4.4.3.2. Les capacités d"accueil. . . . . . . . . . . . . . . 115
4.4.3.3. Le pilotage du dispositif d"accueil. . . . . . 116
4.4.3.4. Le recours croissant à l"hébergement
d"urgence des demandeurs d"asile. . . . . . . . . . . . 117 64.5. Les bénéficiaires d"une protection
internationale. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1184.5.1. Données générales. . . . . . . . . . . . . . 118
4.5.2. La prise en charge des bénéficiairesd"une protection internationale. . . . . . . . . . 118
4.5.3. L"accueil des réfugiés bénéficiant duprogramme de réinstallation prévu par l"accord-cadre du 4 février 2008 avec le HCR. . . . . . . 120
4 .6. La politique extérieure de l"asile. . . 1204.6.1. Le programme de réinstallationde réfugiés prévu par l"accord-cadredu 4 février 2008 avec le HCR. . . . . . . . . . 120
4.6.2. Les visas au titre de l"asile. . . . . . . . 121
PARTIE V
L"accueil, l"intégration et l"accès àla nationalité française. . . . . . . 1235.1. La politique d"intégration. . . . . . . . . 124
5.1.1. Les grands axes de la réforme de lapolitique d"accueil et d"intégration desétrangers primo-arrivants. . . . . . . . . . . . . . 124
5.1.2. L"évolution du cadre de mise en oeuvreterritoriale. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 126
5.1.3. L"adaptation des services aux nouvellesmissions. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 126
5.1.4. Le bilan de l"actuel dispositif d"accueilet d"intégration. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 127
5.1.4.1 Le pré contrat d"accueil et d"intégration à
l"étranger clef du secteur. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1275.1.4.2. Le contrat d"accueil et d"intégration et ses
prestations. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1285.1.4.3. L"opération " Ouvrir l"École aux parents pour
la réussite des enfants » (OEPRE). . . . . . . . . . . . . 1305.1.4.4. Le soutien aux acteurs qui oeuvrent dans le
champ de l"accueil et l"accompagnement des étrangers. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1305.1.4.5 Le label diversité. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 130
5.1.5 L"accompagnement du plan de traitementdes foyers de travailleurs migrants (FTM). . 131
5.1.5.1. Les coûts du plan de traitement des FTM
pour 2014. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1315.1.5.2. Les subventions de la CILPI pour
l"accompagnement du plan de traitement en 2014. . 1315.2. L"acquisition de la
nationalité française. . . . . . . . . . . . . . . . . 1325.2.1. La confirmation du redressement dunombre de naturalisations. . . . . . . . . . . . . 132
5.2.1.1 Le nombre de naturalisations par décret. . . 132
5.2.1.2. L"évolution de la demande de naturalisation et
l"inversion du taux de proposition favorable. . . . . 1325.2.1.3. Le rattrapage des acquisitions par mariage. 132
5.2.2. L"harmonisation des critères d"accès àla nationalité.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 132
5.2.2.1. La poursuite de l"adaptation des critères pris
en compte dans l"instruction des dossiers. . . . . . 1325.2.3. Le renforcement du pilotagedu réseau.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 133
5.2.3.1. L"expérimentation de plates-formes
régionales destinées à renforcer l"homogénéité du traitement des demandes. . . . . . . . . . . . . . . . . 1335.2.3.2 La décision de principe de généraliser le
dispositif de plates-formes interdépartementales1345.2.3.3. Le recentrage de la sous-direction de l"accès à la nationalité française sur ses missions de pilotage et de contrôle. . . . . 135 ANNEXE 1 : Les éléments chiffrés 2014. . 137PARTIE VI
La coopérationinternationale. . . . . . . . . . . . . . . 1456.1. Migration et mobilité : la coopération
dans le cadre européen. . . . . . . . . . . . . . 1476.1.1. Le cadre général : l"approche globaledes migrations et de la mobilité (AGMM). . 147
6.1.1.1. L"approche globale des migrations et de la
mobilité (AGMM)6.1.1.2. La Politique européenne
de voisinage (PEV). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1476.1.2. Les déclinaisons régionales. . . . . . . 147
6.1.2.1. Le Partenariat Oriental. . . . . . . . . . . . . . . . 147
6.1.2.2. Le processus de Prague. . . . . . . . . . . . . . . 148
6.1.2.3. Le processus de Budapest. . . . . . . . . . . . . 148
6.1.2.4. Les Balkans occidentaux. . . . . . . . . . . . . . 149
6.1.2.5. La Turquie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 149
6.1.2.6. Euromed Migration III. . . . . . . . . . . . . . . . 149
6.1.2.7. Dialogue sur la migration de transit en
Méditerranée (MTM). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1506.1.2.8. Le Partenariat UE-Afrique. . . . . . . . . . . . . . 150
6.1.2.9. Le Partenariat MME (Migrations, mobilité et
emploi). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1506.1.2.10. Le Processus de Rabat. . . . . . . . . . . . . . . 150
6.1.2.11. Le Processus de Khartoum. . . . . . . . . . . 151
6.1.3. Les partenariats pour lamobilité (PPM). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 151
6.1.3.1. Les PPM. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 151
6.1.3.2. Les huit PPM en vigueur au
31décembre 2014 et l"offre française. . . . . . . . . . 151
6.2. Migration et mobilité : les coopérations
bilatérales. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1556.2.1. Les accords de gestion concertéedes flux migratoires et de développementsolidaire.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 155
6.2.1.1. Les accords : présentation. . . . . . . . . . . . . 155
6.2.1.2. Les accords conclus. . . . . . . . . . . . . . . . . . 156
6.2.1.3. Les préconisations du rapport d"audit
demandé par les ministres des affaires étrangères et de l"intérieur (2013-2014). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1566.2.2. Les accords de mobilité des jeunes etdes professionnels. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 157
6.2.2.1. Objectifs et modalités. . . . . . . . . . . . . . . . . 157
6.2.2.2. Les accords conclus ou en voie de l"être. 157
6.2.2.3. Perspectives . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 158
6.2.3. Les accords relatifs au programme" vacances-travail ». . . . . . . . . . . . . . . . . . . 158
6.2.3.1. Historique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 158
6.2.3.2. Objectifs et modalités. . . . . . . . . . . . . . . . . 158
6.2.3.3 Perspectives. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 159
6.3. L"office français de l"immigration et de
l"intégration (OFII). . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1596.3.1. Son action dans le cadre bilatéral. . 159
6.3.1.1 Mission de gestion des procédures de
l"immigration professionnelle. . . . . . . . . . . . . . . . . 1596.3.1.2 Programmes de L"OFII. . . . . . . . . . . . . . . . . 159
6.3.2. Son action dans le cadre européen. . 160
7Sommaire
LES ÉTRANGERS EN FRANCE - 2014
6.4. La France dans les enceintes
internationales. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1606.4.1. Le Dialogue de haut niveau sur lesmigrations internationales et ledéveloppement (DHN). . . . . . . . . . . . . . . . 161
6.4.2. Le Forum mondial migration etdéveloppement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 161
6.4.3. La coopération de la Franceavec l"OCDE dans le domainedes migrations. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 161
6.4.4. La France et les négociationssur la circulation internationale despersonnes dans le cadre commercial.. . . 162
PARTIE VII
L"outre-mer. . . . . . . . . . . . . . . . . 163
7.1. Les dispositions applicables. . . . . . 165
7.2. La situation migratoire. . . . . . . . . . . . 166
7.2.1. L"immigration à Mayotteet en Guyane. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 166
7.2.1.1. L"immigration à Mayotte. . . . . . . . . . . . . . . 166
7.2.1.2. L"immigration en Guyane. . . . . . . . . . . . . . 168
7.2.2. L"immigration dans lesdépartements des CaraÔbes. . . . . . . . . . . . 169
7.2.2.1. L"immigration en Guadeloupe et à Saint-
Barthélemy et à Saint-Martin. . . . . . . . . . . . . . . . . . 1697.2.2.2. L"immigration à la Martinique. . . . . . . . . . 170
7.2.3. L"immigration dans les autrescollectivités d"outre-mer. . . . . . . . . . . . . . . 171
7.2.3.1. L"immigration à la Réunion. . . . . . . . . . . . . 171
7.2.3.2. L"immigration en Nouvelle-Calédonie. . . . 171
7.2.3.3. L"immigration en Polynésie française. . . . 171
7.2.3.4. L"immigration à Saint-Pierre-et-Miquelon
et à Wallis et Futuna. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 172Glossaire - Lexique. . . . . . . . 173
8 9 Le prsent rapport, labor notamment sur le fondement de l"article L.111-10 du Code de l"entre et du sjour des trangers et du droit d"asile (CESEDA), prsente la situation des trangers en France en 2014. sjour est en augmentation de 2,1% en2014 par rapport 2013, soit une hausse
moins marque que celle constate entre2012 et2013. La France demeure, tion de sa population, un des pays de l"OCDE dans lequel les ?ux migratoires sont les plus rduits. le premier motif d"admission au sjour, avec un peu moins de 44% des titres dlivrs en 2014.d"admission au sjour. Il convient de remar- quer la progression continue du nombre de 2012, attestant de l"attractivit de la France pour les mobilits tudiantes. En
2014, le nombre d"admissions ce titre frle
le plus haut niveau historique de 2010.Les ?ux professionnels connaissent encore
une forte progression en 2014 par rapport l"anne prcdente avec une hausse de7,1%. Ils reprsentent environ 9% des ?ux
migratoires en provenance des pays tiers. rduite en volume en France par rapport aux pays comparables.Cette anne, ce sont les ?ux humanitaires qui augmentent le plus (+10,9%) et repr- sentent galement environ 9% des ?ux migratoires en provenance des pays tiers. un volet important de la politique de contrle des ?ux migratoires. La hausse des retours contraints de ressortissants de pays tiers hors Union europenne (+22%) obser- ve en 2014 par rapport 2013 est encore plus marque que l"anne prcdente. Le prsent rapport, s"attache mettre en motifs l"origine des ?ux migratoires, immi- gration conomique et familiale, qui entra"- nent le plus souvent une installation durable en France, et immigration tudiante, qui est, quant elle, de nature temporaire. Ce rap-quotesdbs_dbs29.pdfusesText_35[PDF] La facture proforma
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