Les algues brunes marines possèdent des composés chimiques
30 août 2013 fabrication de ces composés chez la petite algue brune modèle Ectocarpus ... L'extraction des phlorotannins des algues brunes actuellement ...
La lumière & les algues
Algues brunes : chlorophylle A+C et caraténoïde (fucoxanthine). - Algues rouges : chlorophylle A+D et caraténoïde + phycoérythrine + phycocyanine .
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certains herbivores comme les patelles grandes amatrices d'algues brunes. Grâce à vos observations
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Etude du métabolisme du mannitol chez lalgue brune modèle
1.2) Les algues brunes et leur réponse aux stress biotiques . 3) Ectocarpus : un organisme modèle pour étudier les algues brunes .
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algues brunes : 5 % (1 060 t.) • algues rouges : 43 % (8 646 t.) • algues vertes : 52 % (10 431 t.).
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C'est une algue brune marine qui vit dans la zone de balancement des marées fixée aux rochers (zone entre marrée haute et marée basse dans l'océan)
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Les algues brunes possèdent un pigment brun-jaune qui est dominant : la fucoxanthine Avec près de 1500 espèces elles représentent les algues les plus
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Une prolifération d'algues peut réduire la limpidité de l'eau (l'eau peut devenir verte brune ou • jaune) et même empêcher la lumière de parvenir jusqu'aux
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Dans cette lignée brune il y a aussi plusieurs branches : vers la base les Haptophytes unicellulaires et marines les Phéophycées ou algues brunes au sens
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Les couleurs des algues marines témoignent des processus chimiques conduisant à l'utilisation optimale de la lumière qui filtre à travers la surface Selon la
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Chez les algues brunes ce sont parfois des rameaux entiers qui se détachent et donnent de nouveaux individus Page 175 Ce sont des cellules végétatives à
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Les algues sont des organismes chlorophylliens se développant dans l'eau Les Phéophycées sont des algues brunes toujours filamenteuses
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Chromophycophytes (Algues brunes) contiennent de la chlorophylle a et élaborent une grande quantité de caroténoïdes (carotène xanthophylle) qui dissimulent
Quelles sont les algues brunes ?
Les algues brunes sont les macro-algues les plus cultivées, la première étant saccharina japonica, le konbu (autrefois laminaria japonica), et la seconde Undaria pinnatifida, le wakamé.Pourquoi certaines algues sont brunes ?
Enfin, les algues brunes doivent leur couleur à la présence d'autres types de pigments, les caroténo?s. Parmi ceux-ci, la fucoxanthine prédomine. D'autres molécules, les phlorotannins, similaires aux tanins qui influent sur le goût du vin, peuvent également contribuer à cette couleur.Quel poisson mange les algues brunes ?
Crossocheilus oblongus est une loche herbivore originaire des torrents et rivières vives d'Asie du Sud-Est. Ce poisson est communément nommé « mangeur d'algues siamois » ou « barbeau raie noire ».Quels sont les traitements anti algues ?
1Frottez les vitres, brossez le décor et aspirez le fond de votre aquarium à l'aide d'un siphon.2Retirez toutes les feuilles des plantes sur lesquelles des algues sont présentes.3Nettoyez les filtrations.
8QLYHUVLPp 3LHUUH HP 0MULH FXULH
UMR8227 / Equipe Physiologie des algues et environnement abiotiqueEctocarpus siliculosus
PMQQLPRO1SORVSOMPH GpVO\GURJpQMVHB
3MU3MPULŃLM %RQLQ
7OqVH GH GRŃPRUMP GH %LRORJLH
GLULJpH SMU FMPOHULQH %R\HQ HP 7OLHUU\ 7RQRQ
GHYMQP XQ ÓXU\ ŃRPSRVp GH
5MSSRUPHXU
IHPRLQH 5pPL GLUHŃPHXU GH UHŃOHUŃOH
F156 5MSSRUPHXU.ORMUHJ %HUQMUG 3URIHVVHXU 830F ([MPLQMPHXU
)OMPHQP GLGLHU FOHUŃOHXU HIUHPHU ([MPLQMPHXU %R\HQ FMPOHULQH GLUHŃPULŃH GH UHŃOHUŃOH F156 FRGLUHŃPULŃH GH POqVH7RQRQ 7OLHUU\ 0MvPUH GH ŃRQIpUHQŃHV
830F GLUHŃPHXU GH POqVH
2 3Je dédie cette thèse à la mémoire de ma grand-PqUH 5RVH TXH ÓH Q·ML ÓMPMLV ŃRQQXH PMLV
GRQP OH ŃRXUMJH HP OHV MŃPHV RQP SMUPLŃLSpV j OM OLNpUMPLRQ GH OM )UMQŃHB -·MXUMLV pPp ORQRUpH GH SRXYRLU
entendre ses récits. 4 5Remerciements
7RXP G·MNRUG ÓH VRXOMLPHUMLV UHPHUŃLHU %HUQMUG .ORMUHJ GLUHŃPHXU GH OM 6PMPLRQ %LRORJLTXH
GH 5RVŃRII G·MYRLU NLHQ YRXOX MŃŃHSPHU GH SUpVLGHU j PRQ ÓXU\ GH POqVHB-H UHPHUŃLH O·830F GH P·MYRLU MŃŃRUGp OH ILQMQcement " Emergence UPMC 2011 " TXL P·M
permis de mener mes recherches dans un cadre privilégié et complètement nouveau pour moi.Je tiens à remercier mes rapporteurs et examinateurs de thèse, le Pr. Marie-Pascale
PrXG·ORPPH OH GUB Rémi Lemoine, le Pr. Bernard Kloareg et OH GUB GLGLHU )OMPHQP G·MYRLU MŃŃRUGp
de leur temps pour juger ce travail et de participer à ce jury. Je voudrais remercier très chaleureusement Catherine Boyen pour son soutien et sesŃRQVHLOV PRXÓRXUV MYLVpV TX·LOV VRLHQP G·ordre scientifique ou humainB (OOH P·M SHUPLV GH SUHQGUH OH
UHŃXO QpŃHVVMLUH GRQP Ó·MYMLV NHVRLQ SRXU SURJUHVVHU GMQV PM POqVHB7OLHUU\ PX MV PRXÓRXUV pPp SUpVHQP SRXU P·MLGHUB 7RQ HVSULP ŃULPLque et tes connaissances si
vastes ont toujours fais mon admiration. Durant ces trois années, ma plus grande peur a été de te
GpŃHYRLU ÓH O·MYRXHB 7M SMPLHQŃH HP PRQ VRXPLHQ GMQV OHV PRPHQPV GLIILŃLOHV P·RQP pPp SOXV TXH
SUpŃLHX[ HP ÓH QH SRXUUMLV ÓMPMLV MVVH] PH UHPHUŃLHU SRXU OM TXMOLPp GH O·HQŃMGUHPHQP GRQP Ó·ML
bénéficié grâce à toi. $JQqV 6MNLQH ÓH QH VHUMLV ÓMPMLV MUULYpH MX NRXP VMQV YRXVB 9RXV P·MYH] PRXP MSSULVB 9RXVP·MYH] VXSSRUPpH ŃOMTXH ÓRXU ŃOMTXH OHXUH GMQV OHV SLUHV PRPHQPV ŃRPPH GMQV OHV PHLOOHXUVB
Avec patience, vous avez répondu à chacune de mes questions, encore et encore, me prodiguantSUpŃLHX[ ŃRQVHLOV HP MVPXŃHV PHŃOQLTXHVB 9RPUH VRXPLHQ PRUMO HQ SMUPLŃXOLHU TXL P·M pPp VL ŃOHU
ORUVTXH PRXP VHPNOMLP V·pŃURXOHU MXPRXU GH PRL QH VHUM ÓMPMLV RXNOLpB IHV SUHPLHUV VRXULUHV GX
matin lorsque tout semble encore dormir, les encouragements, les gaufres (encore chaudes !) PURXYpHV VXU PRQ NXUHMX¬ FHV SHPLPV PRPHQPV TXL RQP UHQGXV PRQ H[SpULHQŃH j OM 6PMPLRQ VLagréable ! Bref, les mots me manquent et je ne saurais coucher sur le papier la reconnaissance que
je vous porte. Sylvie, tu as souvent parlé de mon sourire. Mais le tien était toujours radieux et présent,ŃOMTXH IRLV TXH ÓH PH YR\MLVB -·ML SMVVp PHV SUHPLHUV PRPHQPV j OM 6PMPLRQ j PUMYMLOOHU MYHŃ PRL HP
ce fut toujours un très grand plaisir. Merci beaucoup pour tout. Mon seul regret aura été de ne
jamais avoir pu chanter avec toi.-H UHPHUŃLH pJMOHPHQP PRXV OHV PHPNUHV GH O·XQLPp qui ont toujours été présents pour aider
RX SRXU GLVŃXPHUB -·ML NHMXŃRXS MSSULV MXSUqV GH YRXVB -H YRXdrais également remercier
6Maryvonne pour son aide très précieuse dans les sombres démarches administratives, Brigitte dont
OH VRXULUH pPMLP PRXÓRXUV MŃŃXHLOOMQP HP 0MUPLQH TXL VH GpPHQMLP PRXÓRXUV SRXU P·MUUMQJHU OH SOXV
SRVVLNOHB 5RNHUP PX P·MV IMLP GpŃRuvrir avec le chant une partie de moi-même que je ne connaissais
SMV ÓH P·HQ UHPHUŃLH NHMXŃRXSB
Un grand merci à tous les thésards et post-doctorants qui ont fait une partie de leur routeavec moi 0MULM MYHŃ TXL Ó·ML SMVVp GX PHPSV j ŃOMQPHU MYHŃ SOMLVir ; Léa et Agnès, inséparables,
nous nous sommes connues bien trop tard à mon grand regret, il y a encore tant de choses que nous devons faire ensembles A FpOLQH )ORUHQP -XVPLQH $JM HP PMQP G·MXPUHV¬ FRPPHQP YRXVremercier pour tous ces fous-rires, ces discussions animées, ces sorties A IM YLH j 5RVŃRII Q·MXUMLP
pas été la même sans vous.1RMQ HP GHOSOLQH NLHQ VU )UHG IH 3MQGM $OLRX¬ -H QH VMLV SMV ŃRPPHQP YRXV H[SULPHU
PM UHŃRQQMLVVMQŃHB -·ML SMVVp PMQP GH NRQV PRPHQPV MYHŃ YRXV SHQGMQP ŃHV MQQpHV ! Vous avez
PRXÓRXUV pPp OjB (P Ó·ML OH VHQPLPHQP TXH YRXV OH VHUH] PRXÓRXUV TXRL TX·LO MUULYHB IH PRPHQP OH SOXV
GLIILŃLOH GMQV XQH POqVH Q·HVP SMV OM UpGMŃPLRQ GX PMQXVŃULP QL OM VRXPHQMQŃHB IH PRPHQP OH SOXV
GLIILŃLOH HVP O·MGLHX TXH O·RQ IMLP SHPLP j SHPLP MX[ MPLV VL ŃOHUV TXH O·RQ V·HVP PURXYpV GXUMQP ŃHPPH
JUMQGH MYHQPXUH TX·HVP OM POqVHB IM VHXOH ŃORVH TXH ÓH VRXOMLPH Ń·HVP TXH QRV URXPHV VH ŃURLVHQP j
nouveau tous ensembles.$PMQGLQH Ó·ML pPp SOXV SURŃOH GH PRL HQ TXHOTXHV PRLV TXH G·MXPUHV HQ quelques années.
Ton départ a été une rude épreuve, et ta présence, ta joie de vivre, la gentillesse qui émane de toi
PH PMQTXH ŃOMTXH ÓRXU XQ SHX SOXV¬ 7X MV PUMYHUVp OM )UMQŃH GHSXLV OM 6XLVVH SRXU PH VRXPHQLU
lors de cette dernière épreuve, et cela me touche énormément. Je ne pourrais jamais assez te
remercier pour tout ce que nous avons vécu ensembles, de la recherche de chaton aux randonnéesen passant par les soirées " jeux vidéo "B 0HUŃL LQILQLPHQP SRXU PRXP HP Q·RXNOLH SMV ŃH Q·HVP TX·XQ
au revoir. Moj misiek, to sie nie konczy to jest tylko poczatek. Dziekuje ci za wszystko z calego serca.Merci pour ton soutien, ta compréhension et ton aide toujours disponible, même à 1h du matin
pour retourner à la Station sauver une colonne !(QILQ Ó·MLPHUMLV UHPHUŃLHU PM IMPLOOH SRXU P·MYRLU PRXÓRXUV HQŃRXUMJpH j SRXUVXLYUH PHV
UrYHVB 9RXV P·MYH] PRXÓRXUV VRXPHQXH GMQV PHV ŃORL[ SRXVVpH j MOOHU SOXV ORLQ j GRQQHU OHmeilleur de moi-même -HQ SMUPLŃXOLHU PRL SMSM TXL P·M GRQQp GqV PRQ SOXV ÓHXQH kJH OH JRXP Ges
VŃLHQŃHV OM ŃXULRVLPp HP O·HQYLH GH ŃRPSUHQGUH-. 9RXV P·MYH] MSSULV j SRVLPLYHU PMLV YRXV P·MYH]
MXVVL MSSULV j VMYRLU MSSUpŃLHU XQH YLŃPRLUHB 0HUŃL G·MYRLU YpŃX ŃHPPH JUMQGH MYHQPXUH MYHŃ PRLB
7Ces trois années auront été les plus denses, les plus difficiles et les plus heureuses de ma
vie. Merci infiniment à tous pour cela. 8 9Sommaire
Liste des abréviations .............................................................................................................................................. 12
Introduction .................................................................................................................................................................... 13
Partie 1 : Les algues brunes : habitat et origine. ................................................................................................ 15
1) LM ]RQH LQPHUPLGMOH j O·LQPHUIMŃH HQPUH HQYLURQQHPHQP PHUUHVPUH HP PMULQ .................................. 15
1.1) Les contraintes abiotiques du milieu intertidal ........................................................................... 15
1.2) Les algues brunes et leur réponse aux stress biotiques ........................................................... 19
2) Apparition et évolution des straménopiles ............................................................................................ 20
3) Ectocarpus : un organisme modèle pour étudier les algues brunes ............................................. 24
Partie 2 : Exemples de voies métaboliques caractéristiques des algues brunes .................................... 26
1) IM SORPRV\QPOqVH HP O·MSSMUHLO SORPRV\QPOpPLTXH ............................................................................... 26
2) Les polysaccharides pariétaux fucanes et alginates ............................................................................ 27
3) Les deux formes de stockage du carbone : la laminarine et le mannitol ................................... 28
Partie 3 : Le mannitol, une molécule ubiquitaire : applications, voies métaboliques et rôles
SO\VLRORJLTXHV ŃOH] GLIIpUHQPV P\SHV G·RUJMQLVPHVB ........................................................................................ 30
1) Le mannitol : propriétés, applications, et production commerciale ............................................. 30
2) Métabolisme et rôles physiologiques du mannitol chez diffpUHQPV P\SHV G·RUJMQLVPHV ..... 31
2.1) Les bactéries .............................................................................................................................................. 31
2.2) Les plantes terrestres ............................................................................................................................. 34
2.3) Les champignons .................................................................................................................................... 38
2.4) Les Apicomplexa ...................................................................................................................................... 41
2.5) Les algues marines ................................................................................................................................. 44
Partie 4 FMUMŃPpULVMPLRQ IRQŃPLRQQHOOH GH JqQHVCSURPpLQHV G·MOJXHV NUXQHV ........................................ 53
Partie 5 : Objectifs de la thèse ................................................................................................................................... 58
Matériels et Méthodes ................................................................................................................................................ 59
1) Analyses bioinformatiques ........................................................................................................................... 61
2) 3UpSMUMPLRQ G·H[PUMLPV NUXPV G·E. siliculosus ............................................................................................. 61
103) FORQMJH GH JqQHV G·E. siliculosus GMQV XQ YHŃPHXU G·H[SUHVVLRQ HP SURGXŃPLRQ G·HQ]\PHV
recombinantes chezEs. coli .................................................................................................................................. 61
3.1) FORQMJH GHV JqQHV G·E. siliculosus impliqués dans le cycle du mannitol .......................... 62
3.2) Transformation bactérienne ............................................................................................................... 63
3.3) Séquençage .............................................................................................................................................. 64
3.4) Induction de la production des protéines recombinantes ..................................................... 65
4) Purification des protéines recombinantes ............................................................................................. 66
4.1) Purification de protéines solubles .................................................................................................... 66
4.2) Essai de purification de protéines insolubles ............................................................................... 68
5) Mesures des activités enzymatiques ........................................................................................................ 69
6) $QMO\VH GHV YMULMPLRQV G·H[SUHVVLRQ GHV JqQHV SMU 57-PCRq ........................................................ 72
Résultats .......................................................................................................................................................................... 77
I) Analyse des séquences de M1PDHs de différentes origines .............................................................. 79
1) Recherche de M1PDHs chez les algues brunes ................................................................................... 79
2) $QMO\VH GHV VpTXHQŃHV SURPpLTXHV G·(V013G+ .................................................................................. 81
2.1) Comparaison des extrémités N-terminales .................................................................................. 81
2.2) Comparaison des modules M1PDHs .............................................................................................. 82
3) Analyse phylogénétique ............................................................................................................................... 85
II) Caractérisation des gènes M1PDH chez E. siliculosus ........................................................................... 87
1) GpPHUPLQMPLRQ GH O·MŃPLYLPp 013G+ HQGRJqQH GMQV GHV pŃOMQPLOORQV G·MOJXHV SUpOHYpV MX
cours du cycle diurnal ............................................................................................................................................. 87
2) ([SUHVVLRQ OpPpURORJXH GHV 013G+V G·E. siliculosus chez Es. coli ............................................... 89
2.1) GpPHUPLQMPLRQ GH O·MŃPLYLPp 013G+ UHŃRPNLQMQPH SRXU OHV PURLV HQ]\PHV ŃRPSOqPHV
possédant XQ PMJ OLVPLGLQH j O·H[PUpPLPp 1-terminale ........................................................................... 90
2.2) Expression de protéines EsM1PDH complètes et tronquées, et contenant au moins un
tag histidine à leurs extrémités ...................................................................................................................... 98
3) 3XULILŃMPLRQ HP ŃMUMŃPpULVMPLRQ NLRŃOLPLTXH GH OM IRUPH PURQTXpH G·(V013G+1.................. 105
3.1) 3XULILŃMPLRQ GH OM SURPpLQH (V013G+1 PURQTXpH j SMUPLU GH ŃXOPXUHV G·Es. coli. ........... 105
3.2) GpPHUPLQMPLRQ GHV S+ HP PMPSRQV RSPLPMX[ SRXU OHV PHVXUHV G·MŃPLYLPpV GH UpGXŃPLRQ
GX )63 HP G·R[\GMPLRQ GX 013 ..................................................................................................................... 109
3.3) GpPHUPLQMPLRQ GH OM PHPSpUMPXUH RSPLPMOH G·MŃPLYLPp G·(V013G+1 PURQTXpH ............. 111
113.4) Influence de la quantité de NaCl dans le milieu réactionnel sur les deux activités
G·(V013G+1 PURQTXpH.................................................................................................................................... 112
3.5) Influence de différents cofacteurs sur les activités enzymatiques .................................... 114
3.6) (PXGH GHV SMUMPqPUHV ŃLQpPLTXHV G·(V013G+1 tronquée .................................................... 115
HHH $QMO\VH GH OM YMULMPLRQ GH O·H[SUHVVLRQ GHV JqQHV GX Ń\ŃOH GX PMQQLPRO MX ŃRXUV GX Ń\ŃOH GLXUQMO
........................................................................................................................................................................................... 123
1) Les gènes de synthèse du mannitol ....................................................................................................... 123
2) Les gènes de recyclage du mannitol ..................................................................................................... 126
Discussion ...................................................................................................................................................................... 130
1B IHV 013G+V G·MOJXHV NUXQHV GHV 013G+V SMV PRXP j IMLP ŃRPPH OHV MXPUHV ......................... 132
2B I·HQ]\PH (V013G+1 PURQTXpH UHŃRPNLQMQPH : une M1PDH avec ses propres paramètres
biochimiques ........................................................................................................................................................... 135
3B I·MQMO\VH GH O·H[SUHVVLRQ GHV JqQHV GX Ń\ŃOH GX PMQQLPRO ŃOH] OHV E. siliculosus au cours du
cycle diurnal : un premier pas pour considérer le cycle du mannitol dans sa globalité ............. 137
Conclusion et perspectives ...................................................................................................................................... 139
Annexes ......................................................................................................................................................................... 142
Références bibliographiques ................................................................................................................................ 152
12Liste des abréviations
ADN: acide déoxyribonucléique
ADNc : AND complémentaire
ARN : acide ribonucléique
BLAST : Basic Local Alignment Search Tool
BrEt : éthidium bromide
BSA : albumin de sérum bovin
DH : déshydrogénase
DLS : diffusion dynamique de la lumière
DNase : deoxyribonuclease
dNTP : désoxyribonucléotides triphosphateDTT : dithiothréitol
EAOs HVSqŃHV MŃPLYpHV GH O·R[\JqQH
EDTA : ethylene diamine tetraacetic acid
EGTA : acide éthylène glycol tétracétiqueEi. tenella : Eimeria tenella
Es. coli : Escherichia coli
E. siliculosus : Ectocarpus siliculosus
F6P : fructose-6-phosphate
FK : fructokinase
HAD : haloacid dehalogenase domain
HK : hexokinaseIPTG : isopropyl DŽ-D-1-thiogalactopyranoside
k cat : constante catalytique K m ŃRQVPMQPH G·MIILQLPpLB : lysogeny broth
LDH : lactate déshydrogénase
LHC : light-harvesting complex
M1P : mannitol-1-phosphate
M1Pase : mannitol-1-phosphate phosphatase
M2DH : mannitol-2-déshydrogénase
MOPS : acide 2-morpholinoéthanesulfonique
NAD : nicotinamide adénine dinucléotide
NADH : nicotinamide adénine dinucléotide réduit NADPH : nicotinamide adenine dinucleotide phosphatePCR : polymérase chain reaction
PSLDR : Polyol-specific long-chain
dehydrogenases and reductasesPTS : système
phosphonoylpyruvate/carbohydrate phosphotransferasePVP : polyvinyl pyrrolidone
RNAi : RNA interference
RNA-seq : RNA sequencing
RT-qPCR: real time quantitative polymérase chain reactionSDS-PAGE : sodium dodecyl sulfate
polyacrylamide gel electrophoresisSOC : Super Optimal Broth
TBS-Tween : tris-buffered saline with Tween 20
Tris : trishydroxyméthylaminométhane
UV : ultra-violet
13Introduction
14Figure 1 : Phylogénie simplifiée des algues brunes reconstruite à partir de Silberfeld et al. (2010).
IHV NUMQŃOHV QH GRQQHQP SMV G·LQGLŃMPLRQV TXMQP MX[ GLVPMQŃHV pYROXPLYHVB IHV GLIIpUHQPV RUGUHV
sont listés, ainsi que certaines espèces mentionnées dans ce manuscrit. Les photos sont issues de
O·HQŃ\ŃORSpGLH OLNUH JLNLSpGLMB
15 Partie 1 : Les algues brunes : habitat et origine.1) La zone intertidale: j O·LQPHUIMŃH HQPUH HQYLURQQHPHQP PHUUHVPUH HP PMULQ
Les algues brunes (Phéophycées) sont des organismes photosynthétiques multicellulaires,
PMÓRULPMLUHPHQP PMULQV TXH O·RQ UHPURXYH SULQŃLSMOHPHQP GMQV OHV ]ones côtières des régions
tempérées (Mann et al. 1973). On les retrouve aussi, dans une moindre mesure, au niveau de sites
de grandes profondeurs dans certaines régions tropicales (Graham et al. 2007). Au sein de cesGLIIpUHQPV P\SHV G·HQYLURQQHPHQP OHV MOJXHV NUXQHV GRQP ŃHOOHV GH O·RUGUH GHV Fucales et des
Laminariales (" les grandes algues » ou kelps) (Figure 1), ont un rôle écologique important car
HOOHV SHUPHPPHQP GH VPUXŃPXUHU GHV pŃRV\VPqPHV MX VHLQ GHVTXHOV YLYHQP GHV PLOOLHUV G·HVSqŃHV, de
façon similaire au rôle des arbres et des forêts dans la végétation terrestre.Les contraintes abiotiques du milieu intertidal
MNLRPLTXHV MX[TXHOV VRQP H[SRVpV ŃHV RUJMQLVPHV RQ SHXP GLVPLQJXHU O·MŃPLRQ PpŃMQLTXH GHV
vagues, la lumière (dont les ultra-violets), la dessiccation, la salinité, le pH, et la pollution (Figure
2B FHV SMUMPqPUHV VRQP j O·RULJLQH QRPMPPHQP GH OM GLVPULNXPLRQ HQ pPMJH GHV MOJXHV NUXQHV MX
niveau de la zone intertidale (aussi appelé estran), car toutes ces algXHV Q·RQP SMV OHV PrPHVŃMSMŃLPpV SRXU V·MGMSPHU MX[ ŃRQPUMLQPHV MNLRPLTXHV (Davison and Pearson, 1996). Ainsi, certaines
espèces sont retrouvées principalement en haut de cette zone (ex. Ascophyllum nodosum), aumilieu (différentes espèces de Fucus), et donc très exposées aux marées, ou dans la zone
LQIUMOLPPRUMOH TXL Q·HVP pPHUJpH TXH ORUV GHV JUMQGHV PMUpHV H[B Laminaria digitata). 16 Figure 2 : Différents stress abiotiques auxquels sont confrontés les organismes de la zoneintertidale. IM SOXSMUP GH ŃHV VPUHVV SHXP HQPUMvQHU OM SURGXŃPLRQ G·HVSqŃHV MŃPLYpHV GH
O·R[\JqQH OLpHV j XQ VPUHVV R[\GMQP (Davison and Pearson, 1996).Les stress mécaniques dus à l·MŃPLRQ GHV YMJXHV HP GX ŃRXUMQP ne permettent TX·j GHV HVSqŃHV
bien adaptées de coloniser les zones les plus exposées. En effet, ces algues doivent être capables
GH UpVLVPHU MX[ PRXYHPHQPV LQŃHVVMQPV ŃMXVpV SMU OHV GpSOMŃHPHQPV G·HMX SOXV RX PRLQV SXLVVMQts
et rapides, dont les effets peuvent se traduire par des frictions au niveau de la fronde des algues,OHXU GpPMŃOHPHQP G·XQ VXNVPUMP VROLGH O·HQYMVHPHQP HP O·HQVMNOHPHQP HP OH GpS{P GH ILQHV
JRXPPHOHPPHV G·HMX PUqV ŃRQŃHQPUpHV HQ VHO. Les rayons lumineux, notamment les UVs VRQP MNVRUNpV SMU O·HMXB F·HVP SRXUTXRL G·LPSRUPMQPVŃOMQJHPHQPV GMQV O·LQPHQVLPp HP GMQV OM QMPXUH GH OM OXPLqUH à laquelle sont soumises les algues
NUXQHV RQP pPp ŃRQVPMPpV VXLPH j O·MOPHUQMQŃH GHV LPPHUVLRQV HP pPHUVLRQVB La lumière est
nécessaire à la photosynthèse, et donc à la survie des organismes autotrophes, mais peut également causer de graves dommages cellulaires par la production de radicaux libres si elle esttrop intense, ou directement dans O·$G1 GMQV OH ŃMV GHV UM\RQV UVs. Enfin, la lumière du soleil a
un impact direct sur la température du milieu de vie des organismes.6L OM PHPSpUMPXUH GH O·HMX YMULH SHX HQ SOHLQ RŃpMQ les changements sont plus forts le long
des zones de balancement des marées. En effet, il est possiNOH G·RNVHUYHU GHV YMULMPLRQV MOOMQP
17quotesdbs_dbs43.pdfusesText_43[PDF] la couleur des algues
[PDF] outils d'orientation professionnelle
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