[PDF] Moteurs et génératrices électriques





Previous PDF Next PDF



Chapitre 2 Etude des dipôles Energie électrique et puissance

Il est caractérisé par sa force électromotrice E et sa résistance interne r . II.2 Loi d'Ohm d'un générateur a) Générateur en circuit ouvert. En 



Le but de ce TP est : - de mesurer la force électromotrice et la

partir des mesures effectuées. I - MESURE DE LA FORCE ELECTROMOTRICE D'UN GENERATEUR PAR LA METHODE. D'OPPOSITION. Un générateur réalise la transformation d 



Physique-chimie 1bac IO ………………….prof : hmed EL BOUZIANI

l'intensité du courant dans un circuit résistif. a. activité. Considérons le circuit électrique ci-contre constitue d'un générateur G de force électromotrice e 



Comportement globale dun circuit électrique

l'intérieur du générateur et la puissance électrique utilisable entre les bornes du générateur. G : générateur de force électromotrice = 12 et de ...



Etude dun générateur électrochimique fonctionnant selon un cycle

04‏/02‏/2008 réduction des ions en atomes M au niveau de l'interface en regard de la source froide. La force électromotrice recueillie aux bornes d'un tel ...



Exercice -1- (5pts) Exercice -3- (2.5pts) Exercice - AlloSchool

Un générateur de force électromotrice E = 6 V et de résistance interne r =1 On considère un circuit électrique qui contient : - Un générateur de force ...



3) Rendement dun générateur : 1) Car

Pour une force électromotrice constante l'énergie électrique fournie par le L'énergie (ou la puissance) fournie par un générateur est maximale si la ...



Loi dohm pour un générateur Un générateur fournit de lénergie

Cette tension est appelée force électromotrice du générateur (fem) et est notée E. (Parfois tension à vide U0). •. Le coefficient directeur a est négatif et s' 



10 Comportement globale dun circuit ZEGGAOUI EL MOSTAFA

force contre électromotrice E'=2 V et de résistance interne r' 10. = Ω avec les bornes d'un générateur de force électromotrice E= 6 V et de résistance interne.



ELECTRICITE ET ELECTRONIQUE TITRE DE LA LEÇON : ÉTUDE

3-La force électromotrice d'un dipôle actif correspond à la tension à ses bornes en 1-Détermine : 1-1-la force électromotrice E du générateur. 1-2- la ...



Le but de ce TP est : - de mesurer la force électromotrice et la

partir des mesures effectuées. I - MESURE DE LA FORCE ELECTROMOTRICE D'UN GENERATEUR PAR LA METHODE. D'OPPOSITION. Un générateur réalise la transformation d' 



TP-Les-generateurs.pdf

Une pile fournit une tension appelée force électromotrice (f.e.m.) . Lorsque la pile alimente un circuit la tension aux bornes de la pile diminue.



Chapitre 2 Etude des dipôles Energie électrique et puissance

Il est caractérisé par sa force électromotrice E et sa résistance interne r . II.2 Loi d'Ohm d'un générateur a) Générateur en circuit ouvert. En 



Les différents types de générateur :

Générateur de tension réel. E : f.e.m (force électromotrice) (en volts) r : résistance interne (?). Alimentation d'usage général. Ex : Piles batteries



Moteurs et génératrices électriques

1.2.2 Force électromotrice synchrone . moteur cette force électromotrice est directement associée au transfert de puissance du générateur électrique.



Comportement globale dun circuit électrique

G : générateur de force électromotrice = 12 et de résistance interne négligeable. DEL : diode électroluminescence dont la caractéristique est 



Physique Générale B

un générateur réel la tension entre les bornes diminue si le courant Force électromotrice (fem



Support de cours : Electronique fondamentale I Niveau : 2 Année

contenant en général des générateurs des récepteurs et des résistances. Un générateur de tension de thévenin



Condensateur dipôle RC Uco(t)

générateur de tension idéal de force électromotrice E. On effectue une saisie automatique de la tension uc(t). Le montage est schématisé ci-dessous.



MACHINES A COURANT CONTINU FONCTIONNEMENT EN

Force électromotrice élémentaire engendrée dans un conducteur de l'induit on peut fermer donc le circuit et on réalise ainsi un générateur de courant.

Jean Hare

Janvier 2005

Table des matiµeres

1

0.1 Force de Laplace

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1

0.2 Travail de la force de Laplace

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 3 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3

1.2 Machine synchrone

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4

1.2.1 Couple du moteur synchrone

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5

1.2.3 Tension et courant dans la machine synchrone

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6

1.2.4 Bilan de puissance

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7

1.2.6 Applications des moteurs synchrones

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8

1.3 Moteur asynchrone

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9 1.3.1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10

1.3.4 Bilan de puissance

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11

1.3.5 Aspects pratiques

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12

2 Moteurs µa courant continu

13 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13

2.2 Moteur µaNspires

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14

2.2.1 Principe de base

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14

2.2.2 Mode de bobinage

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16

2.4 Modes d'excitation

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16

2.4.2 Excitation parallµele

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17

3 Autres moteurs

17

3.1 Le moteur universel

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17

3.2 Le moteur pas µa pas

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17 1

2TABLE DES MATIµERES

1

0.1 Force de Laplace

Laplace

1 dfL d¿ =j£B;oµudFL=Idl£B;(1) pour des distributions de courant volumiques ou ¯laires, respectivement.

La force de Laplace prend son origine dans la force de Lorentz subie par les porteurs de charges. Elle est

df=X d¿q ivi£B(ri) =ÃX d¿q ivi!

£ hB(ri)i(2)

d¿qivi)=d¿et le champ macroscopiquehB(ri)i.

0.2 Travail de la force de Laplace

estdPL= (jd¿)£B¢v, oµu la vitessevn'est plus celle des porteurs de charge, mais celle du conducteur, qui

vIB

Fig.1 {

Puissance

dP L=dFL¢v=I(dl£B)¢v=¡I(v£B)¢dl=¡I de ;(3) tromotrice d'inductionde=Em¢dl. Cette puissance est bien positive dans le cas

Lentz).

n2S

2S1Σ

I n Σn 1

Fig.2 {

SurfacesS1,S2et

dT=I(dl£B)¢dx=I(dx£dl)¢B=I d©c(4)

¢T=IZ

2 1 dx¢I dl£B=I¢©c;(5) on a©§+ ©S1+ (¡©S2) = 0, et donc :

¢T=I(©2¡©1):(6)

1 6 ) se met alors sous la formeU=¡M¢B. On en tire :

(dr£M)¢rotB=0~footnoteOn peut aussi utiliserF=grad(Mc¢B)et recourir µa la formule d'analyse

vectorielle correspondante. On en tire : dU=¡F¢dr¡¡¢dµ, oµuF= (M¢r)Bet¡=M£B:(8)

On retrouve ainsi la forceFsubie par le dip^ole dans un champ non homogµene, et le couple¡qui tend µa orienter

le moment dipolaireMdans le sens du champ 2 couple s'annule et le mouvement cesse! Il existe alors deux solutions : alternatif,

{ utiliser la rotation pour modi¯er la distribution de courants de sorte que l'angle entre le dip^ole et le champ

1 v 2

Fig.3 {

alternatives de m^eme amplitude, et de phases respectives¯1= 0,¯2= 2¼=3,

3= 4¼=3:

v p=V0cos(!t¡¯p);

OµuVeff=V0=p

2est la tension e±cace du secteur (220 V dans l'utilisation

usuelle). i3 i 1 i 2 Z Z Z

Montage étoile i31 i

12 i 23 Z
Z Z

Montage triangle

Fig.4 {

3 2: i p=IScos(!t¡¯p¡Á);oµuIS=V0=jZj(triangle) ou bienIS=p 2 3

On note que

p

3¼1:73, et la tension e±cace entre les phases est donc de 380 V environ.

3

Il est important de noter que le courant total dans le neutre est nul, car la somme de trois grandeurs

ijdale, la

puissance totale des trois phases est constante (les composantes sinuso

ijdales µa2!se compensent) :

P tot.=P1+P2+P3= 3hPpi= 3V0I0cosÁ ;(10) pour les deux types de branchement. B 3 A 2B1A 3B 2 n1n 2 n 3 I1 I 2 I3 a)b)

Fig.5 {

Stator d'une machine µa champ tournant; a) : structure de principe µa la base du calcul; b) : structure

5 -a), trois bobines µa noyau de fer identiques, d'axes 9 rence de phase le courant traversant la premiµere bobine, et comme origine des angles polaires la B=B1+B2+B3=B0¡cos(!t)n1+ cos(!t¡¯2)n2+ cos(!t¡¯3)n3¢:(11) complexe des vecteursdu plan 4 n

B=B0µei!t+e¡i!t

2

1 +ei!t¡i¯2+e¡i!t+i¯2

2 j+ei!t¡i¯3+e¡i!t+i¯3 2 =B0³ ei!t(1 + 1 + 1) +e¡i!t(1 +j+j2)´ =3 2

B0ei!t;(12)

de deux champs d'amplitudeB0=2et tournant en sens contraire; on observe alors que pour les composantes

5 4

ijdales.

5 N S SN SA1 A 2A 3 B 1B 3B

2a)c)b)

n 1 n 3n 2

Fig.6 {

du courant.

1.2 Machine synchrone

0.3 6 . Les rotorsa)etb)sont dits((rotors

µa p^oles saillants))et le rotorc)((µa p^oles lisses)); le rotora)est un rotor bipolaire, tandis que les rotorsb)et

c)sont des rotors((multipolaires)), sur lesquels nous reviendrons plus bas (cf.x 1.2.5 ). Dans ce qui suit, nous

raisonnerons essentiellement sur le cas le plus simple, c'est µa dire le rotora), dont l'enroulement est parcouru

par un courant 6

1.2.1 Couple du moteur synchrone

On suppose que le rotor tourne µa la vitesse angulaire!R(on notera dans tout ce qui suit!Sla vitesse

angulaire du champ statorique, etµS=!Stl'angle polaire correspondant), en sorte que l'angle polaire deM

z=3B0M 2 (u(µR);u(µS);uz) =3B0M 2 sin((!S¡!R)t+®) -1 -0.8 -0.6 -0.4 -0.2 0 0.2 0.4 0.6 0.8 1 -p-p/2 0p/2 p aΓ/Γ M ΓR branche stable moteuralternateur a0a1

Fig.7 {

chroneOn constate que ce moment n'a de valeur moyenne non- nulle que si!R=!S, d'oµu le nom de((moteur synchrone)).

Le couple est alors constant :

z=3 2

B0Msin(®);(13)

qui sera bien un couple moteur (i.e.positif, puisque!R>0) si®est positif,i.e.si le momentMesten retardsur le champ.

Ce couple prend sa valeur maximale¡M=3

2 B0M lorsque®=¼=2,i.e.si le champ et le moment sont en qua- arcsin(¡ R=¡M)< ¼=2et®1=¼¡®0. Dans le premier cas, si tournant dans le sens direct, plus une petite composante tournant dans le sens indirect. 6 et sur lesquelles frottent des balais solidaires du stator

1.2 Machine synchrone5

second cas, l'augmentation du retard®entra^³nerait une diminution du couple moteur et donc un ralentissement

de plus en plus grand : cette position est donc instable. J T

»¡Msoit encore¢!»r

M J µ3 2

¢(SRu(µR)) =3

2

B0SRcos®=3

2 B 0SR I

SIScos®=3

2

MIScos®(14)

oµu l'on a fait appara^³tre l'inductance mutuelleM=B0SR=IS, qui existe entrel'une des bobinesdu stator et

7 maximal©max=3 2 MIS: z=3 2

B0(SRIR) sin®= ©maxIRsin®=3

2

M ISIRsin®(15)

joue un r^ole important dans ce qui suit. (R!S)p=MIRu(µR)¢u(¯p) =MIRcos(µR¡¯p) dt =M IR!Rsin(µR¡¯p);(16) 0.2 ci-dessus. 7

1.2.3 Tension et courant dans la machine synchroneiLwR ISV

0 -ES a M IS f

Fig.8 {

Diagramme de Fresnel

pour le moteur synchrone. leur inductanceL 8 v p=rip+Ldip dt +d'p dt En utilisant les notations complexes pour les tensions et courants µa la 9 , on a pour la f.e.m. synchrone : E

S=¡iM!SIRe¡i®(17)

et en utilisant le fait que pour une bobine bien con»cue,r¿L!S, on peut V S´ jVSjeiÁ=iL!SIS¡ES'iL!SIS+iM!SIRe¡i®:(18) 8 cosÁ=jESjcos(®¡¼=2) jVSj=M!RIRsin® V

0;(19)

statoriqueIS.

Alternateur en charge

ment; -R ISISi LwR ISV S -ES p+fc f -a M

Fig.9 {

des courants et tensions dans l'al- ternateur en charge. 10 , dans la premiµere bobine : v

S=riS¡ei¡eS=riS+Ld

dt iS¡eS: On peut raisonner, comme pour le moteur, en terme des amplitudes complexes charge, telle que : V

S=¡ZcIS=¡jZcjeiÁcIS:(20)

lement statorique : E

S= (Zc+iL!R)ISetVS=¡Zc

Z c+iL!RE

S;(21)

17 20 2 et doncjVSjcosÁc=jESjcosÁ=jESjsin® :(22) 8 aux deux autres bobines (on aL=l¡2m) 9 Les deux autres bobines donnent la m^eme chose µa un facteur globale¡i¯pprµes. 10

1.2 Machine synchrone7

z=3 2

MISIRsin®=3

2

MISIRcosÁ <0:(23)

21
)) pourra rester

1.2.4 Bilan de puissance

P 2

MIRIS!Rsin(®):(24)

11 P el.=hvSiSi=1 2 19 ) ci-dessus : P el.=1 2

ISVScosÁ=1

2

M!RIRISsin® ;(26)

qui, en sommant trois contributions identiques pour chacun des trois enroulements, co

ijncide bien avec la puis-

26
C 1A 1 B 1D1 A 2 B 2C 2Dquotesdbs_dbs1.pdfusesText_1
[PDF] force electromotrice pile daniell

[PDF] force electromotrice pile formule

[PDF] force et mouvement seconde

[PDF] force non conservative

[PDF] forces et faiblesses du système de santé ivoirien

[PDF] forces non conservatives exemple

[PDF] ford manuel utilisateur

[PDF] forfait free ? l'étranger

[PDF] forfait free international illimité

[PDF] forfait meditel

[PDF] forfait mobile nordnet

[PDF] forfait orange 100 dh

[PDF] forfait orange maroc

[PDF] forfait zen 2go orange

[PDF] form 1040