itinéraires littéraires
Le programme articule donc des parcours à entendre comme des groupements de textes organisés chronologiquement (poésie littérature d'idées) et la lecture d'
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9 cze 2020 dramaturge d'offrir à son public un pan de sa dextérité scripturale. Les enjeux de cette dramaturgie méritent que l'on s'y attarde. II.
Bibliographie de la littérature française (XVIe-XXe siécles). Année
- (Le Livre de poche ; 14501. Les clas- siques d'aujourd'hui). 98-4. * Anthologie de textes culinaires / éd. Arnaud
Classiques Bordas • Dossier Pédagogique • Musset • On ne badine
30 lis 2009 POUR UNE LECTURE ANALYTIQUE : chœur et entrée en scène de Rosette. 4. ... À l'égard de Perdican sa sensibilité s'épanche en accents qui ne ...
Annales de la société J.-J. Rousseau
25 lip 2021 Rousseau avait conscience que sa philosophie conserve- ... actes (OC IV 694)
«LItaliano». Un foglio letterario nella Parigi della Monarchia di Luglio
4 «Il dramma creazione altamente filosofica
Ce document est le fruit dun long travail approuvé par le jury de
28 sty 2007 Le personnage dramatique et sa double identité. ... Le théâtre contemporain pour la jeunesse et la scène .
Lettres et manuscrits autographes Lettres & manuscrits autographes
16 mar 2021 est sur le coteau un chouan chouette et sa reine y font l'amour en ... Ce bifeuillet donne une variante de la scène iv de l'acte II
Bulletin officiel spécial n°8 du 25 juillet 2019 Sommaire
25 lip 2019 de 24 milliards d'années dans l'atmosphère. Sa concentration atmosphérique actuelle a été atteinte il y a. 500 millions d'années environ.
XIV / n.s. 4
nisation et les effets de sa réforme de la liturgie musicale sous l'impulsion de. Lorenzo de' Medici
Comment s'appelle la mère de Lorenzo ?
Le soir, Marie Soderini, la mère de Lorenzo, attristée par la vie de son fils, évoque un Lorenzo passé, différent et vertueux, tandis que les citoyens bannis de la ville, dont Maffio, quittent Florence en la maudissant ( s.6 ). b. Acte II
Qui est la tante de Lorenzo ?
Catherine, la tante de Lorenzo, annonce à Marie qu’elle a reçu un billet d’Alexandre ( s.4 ), tandis que ce dernier, chez la marquise Cibo qui lui a cédé, se montre indifférent aux discours politiques qu’elle lui tient ( s.5-6 ). d.
Quel est le nom de la pièce de Lorenzo de Medicis ?
Lorenzo de Medicis (dit « Lorenzaccio ») • La pièce porte son nom. Son projet , son acte, sa psychologie sont au cœur de l’intrigue et sont le ciment de la pièce. Il a environ 23 ans au moment des faits.
Quel est le rôle de Lorenzo dans l'histoire de sang ?
Lorenzo déforme cette histoire avec cynisme et opère un renversement des valeurs . D'« histoire de sang » pour Catherine, Lorenzo en fait, par un contraste saisissant, un « conte de fées ». Brutus, la figure républicaine, vengeur de Lucrèce, est dans sa bouche « un fou... rien de plus ».
Annales de la société J.-J. Rousseau
Droits de tradufiion, de reprodufiion et d'adaptation réservés pour tous les pays© Copyright 2021
Les auteurs pour leurs textes et illułrations, à Genève Les Éditions Médecine et Hygiène - Georg pour cee présente édition ISBN978-2-8257-1041-8
Éditions Médecine et Hygiène | Georg
Chemin de la Mousse 46
| CH-1225 Chêne-Bourg | Tél. +41 (22) 702 93 11 | www.georg.chSauf indications contraires, toutes les références à l'uvre de Rousseau renvoient
aux OEuvres complètes, édition publiée sous la direfiion de B. Gagnebin et M. Raymond,5 volumes, Paris, Gallimard, coll. "
Bibliothèque de la Pléiade », 1959-1995.
Conformément à l'usage, les
Annales de la société Jean-Jacques Rousseau
conservent le syłème d'abréviations suivant : OC suivi du numéro du tome en chires romains et du numéro de la page en chires arabes. Le comité de la Société Jean-Jacques Rousseau efi composé des membres suivants :Martin Rueł, président
Alicia Hofiein, secrétaire générale
Fabrice Brandli, secrétaire scientique reonsable des relations avec les éditions GeorgAdrien Lièvre, adminifirateur
Thierry Kern, trésorier
Brenno Boccadoro, Jacques Berchtold, Bruno Bernardi,Jean-Daniel Candaux, Alain Grosrichard,
Maria-Crifiina Pitassi, Gabriella Silvefirini, Charles Wirz,Ghislain Waterlot, Simone Zurbuchen
Annales
J.-J. Rousseau
de la société volume cinquante-quatre4 - blanche
5Sommaire
Éditorial. "
Rousseau 2021
- Les Annales font peau neuveMartin Rueff 7
1)Les religions de Rousseau
Je me fls catholique, mais je demeurai toujours chrétien ». Rousseau face au catholicisme, quelques éléments pour une relecture critiqueMonique Cottret 45
Raison philosophique et dévotion raisonnable :
Julie entre
esprit et EspritJan Starczewski 73
De la religion civile à la foi des
Rêveries,
les chemins d'une inversionGhislain Waterlot 91
Le premier de tous les biens n'est pas l'autorité, mais la liberté : étude stylistique d'un extrait du livre second de l'ÉmileAnne-Marie Garagnon 117
Les religions de Rousseau Martin Rueff 135
propos du fragment Sur la puissance infinie de Dieu, du curé de Montchauvet, et de laLettre à d'Alembert
Christophe Van Staen
185TRADUCTION. La théologie de Rousseau Tim O'Hagan 211
Traduit et présenté par Martin Rueff
DOCUMENT. Présentation d'un texte posthume
de Marie HuberMaria Cristina Pitassi 263
2) Varia
Rêver avec Plutarque, dans l'ombre
de RousseauNicolas Fréry 287
Helvétius et Rousseau : choix éditoriaux
et lectures croiséesÉrik Leborgne 319
6 Être à sa place. Intériorité et moralité dans l'Émile de RousseauJohanna Lenne-Cornuez 333
Rousseau à son image
: le problème de l'identiflcation chez Hippolyte BuffenoirCapucine Lebreton 359
Qu'est devenue Julie
? (Sur le perfectionnisme dansJulie ou la Nouvelle Héloïse)
Gabrielle Radica 379
3)Loin de Genève, près de Rousseau
Flotter sur le lac de Bienne, penser les démocraties illibérales et l'héritage des LumièresRousseau vu d'Allemagne
Vanessa de Senarclens 409
Fidélité et expérience. Rousseau dans la culture italienne contemporaineAndrea Marchili 415
Rousseau en Amérique du Nord Ourida Moustefai 427Présence de Rousseau au Brésil
Maria Constança Peres Pissarra
4334)
In ?ne
Bronisfiaw Baczko, notre ami Michel Porret 445
Un bouquet pour Jean Starobinski dans le jardin
de Jean-Jacques. Jean Starobinski et lesAnnales
de la Société Jean-Jacques RousseauMartin Rueff 453
Éditorial
" Rousseau 2021 »Les Annales font peau neuve
N. Fréry - M. Cottret - A.-M. Garagnon
E. Leborgne - C. Lebreton
J. Lenne-Cornuez - A. Marchili
O. Moustefai - T. O'Hagan
M. C. Peres Pissarra - M. C. Pitassi
M. Porret - G. Radica -
M. Rueff
V. de Senarclens - J. Starczewski
G. Waterlot
Éditorial
8" Il me semble que tout cela donne furieusement à penser ».
Rousseau,
Essai sur l'origine des langues, chapitre V, OC V, 386Du premier numéro des
Annales en 1905 au numéro 54, qui
paraît en ce printemps2021, cent dix-sept ans ont passé. Les
circonstances de la naissance desAnnales sont connues
1 . Elles appartiennent à l'histoire lointaine de nations qui se disputaient Rousseau. Genève voulut reprendre l'écrivain à la France qui l'avait fait entrer au Panthéon le 20 vendémiaire anIII et l'avait
ainsi nationalisé 2 . LesAnnales ont contribué à rapatrier Rousseau
dans sa ville. Ces querelles ont vécu. Les relations de Genève à son héros mal aimé ont évolué 3 , mais aussi la place des écrivains dans le patrimoine culturel des nations quand commémorer revient souvent à éteindre la mèche que de grands incandescents avaient allumée pour ébranler leur époque. Depuis lors, surtout, le monde s'est transformé, le siècle bref a vécu et un monde nouveau s'est levé, plein de nouvelles inquiétudes, de nouveaux doutes, de nou- veaux questionnements.Aujourd'hui comme alors, Rousseau compte.
Prescience de la sensibilité
? Visions de l'imagination ? Puissances de la raison ? Il appartient à quelques auteurs de savoir transformer leur époque en question en injonction. Plus qu'un autre peut-être,Rousseau est de ceux-là
quand son époque croit au progrès et à l'équivalence qui mène du progrès des sciences et des techniques à celui des sociétés, il formule, avec quelle éloquence, on le sait, une série de doutes. S'il faut lire et relire Rousseau, n'est-ce pas que1 On lira non sans émotion dans le premier numéro des Annales (1905) les atuts
de la société ; les échanges entre Bernard Bouvier, président de la société, et le conseiller de Genève ; les leres de certains adhérents preigieux qui disent leur engouement. Toloï écrit à Bouvier en mars 1905: " Rousseau ne vieillit pas. »
2 Voir Raymonde Monnier, " L'apothéose du 20 vendémiaire, an III », dans Rousseau
visité, Rousseau visiteur, 21-22 juin 1996, dans Annales de la société Jean-Jacques Rousseau, vol. 42, 1999, p. 403-428 ; N.-B. Robisco, Jean-Jacques Rousseau et la Révolution française. Une e?hétique de la politique, 1792-1799, Paris, Champion, 1998; R. Barny, L"Éclatement révolutionnaire du rousseauisme, Paris, Les Belles Leres, 1988, et de manière plus générale,
Jean-Claude Bonnet, Naissance du
Panthéon. Essai sur le culte des grands hommes, Paris, Fayard, 1998.3 Voir Guillaume Chenevière, Rousseau, une hi?oire genevoise, Genève, Labor et
Fides, 2012.
9 quelque chose de l'époque à laquelle ces textes avaient été écrits (ou, mieux, contre laquelle ces textes avaient été écrits) persiste dans la nôtre ? Que quelque chose des problèmes d'alors continue de nous concerner 4À l'heure où
la colonne absente de la démocratie laisse place aux anciennes peurs, mais aussi aux nouvelles craintes provoquées par la mondialisation, responsable d'une part du saccage de la planète, si effrayant qu'il pourrait laisser penser que la politique de demain rendra inévitable le choix d'un nouveauLéviathan imposant par-
tout le paradigme sécuritaire comme seule forme de la politique 5 et d'autre part de la dégradation du rapport de la démocratie à l'économie de marché, on est conduit à s'interroger sur le rôle qu'il faut attribuer aux grands penseurs politiques du passé parce que c'est à chaque génération que la dialectique de l'innovation et de la tradition doit être rénovée. En philosophie politique plus qu'en aucun autre secteur des sciences historiques peut-être semble valoir la thèse de Walter Benjamin : " L'histoire est l'objet d'une construction dont le lieu n'est pas le temps homogène et vide, mais le temps saturé d'à-présent" 6» En d'autres termes, le passé de
la pensée politique se déplace avec nous, tout comme, à l'échelle des individus, les souvenirs sont des composés des états latents de notre existence et des nécessités de notre présent. Toute généa- logie est une archéologie du présent qui doit se garder du double défaut symétrique de la projection et de la séparation, le premier consistant à poser au passé des questions telles qu'il n'apporterait que les réponses attendues au présent, le second à tenir les temps à distance comme si les réponses du passé et les questions du présent n'entretenaient aucune relation. À ce titre, en Europe et dans le monde, l'uvre de Jean-Jacques Rousseau n'est certes pas un simple exemple. Rares sont les pen- seurs qui ont suscité tant de passions, rares sont ceux à qui l'on a4 Ce sont les que→ions que se pose l'anthropologue Eduardo Viveiros de Ca→ro au
moment de relire les ouvrages de Pierre Cla→res dansPolitique des multiplicités.
Pierre Clafires face à l'État, Paris, Éditions Dehors, ofiobre 2019, p. 31.5 Voir l'essai de Carlo Ginzburg, Peur, révérence, terreur. Quatre essais d'iconogra-
phie politique, Dijon, Les Presses du réel, tradufiion M. Rue, 2013.6 Walter Benjamin, Sur le concept d'hifioire, in uvres, t. 3, Paris, Gallimard, 2000,
thèseXIV, p.
439.Éditorial
10 fait porter de telles responsabilités, plus rares encore ceux qui ont suscité des interprétations si contradictoires, comme si les ques- tions contradictoires que lui adressait l'histoire appartenaient à la lettre même de son oeuvre. Vaut encore la mise en garde par laquelle Albert Schinz ouvrait son État présent des travaux surJean-Jacques Rousseau en 1941
la date compte : " Toutes les fois que l'Europe a passé par des heures critiques, c'est-à-dire où l'on pouvait se demander si les tendances révolutionnaires gagneraient du terrain ou, au contraire, si elles devaient céder devant des idées conservatrices ou réactionnaires, toutes les fois dans ces heures-là, le nom de Rousseau, "pour le culte ou pour le blâme", est revenuà la surface
; toutes les fois, on a pu observer une éclosion de la littérature rousseauiste 7 » À en juger par la richesse toujours renou- velée de la bibliographie des études rousseauistes 8 , l'actualité lui donne raison. Mieux (ou pire, peut-être), les usages populaires de Rousseau arrachent son oeuvre à son contexte comme à sa lettre, défont les conditions de son intelligibilité, font fleurir les contre- sens. Et de la même manière qu'on a vu des voitures prendre le nom d'un peintre (" la » Picasso), on a pu voir des plateformes de mouvements populistes prendre le nom de Rousseau. Mais il est vrai que, comme Picasso, Rousseau appartient à tout le monde. Encore ne faudrait-il pas que le nom de Jean-Jacques Rousseau revienne à la surface pour enfoncer sous l'eau des temps consen- suels une oeuvre qui se donnait pour mot d'ordre la " hardiesse 9 une oeuvre qui voulait " donner furieusement à penser » et dont on doit se garder d'oublier qu'elle doit son élan décisif à " l'indignation de la vertu », car Rousseau l'a dit à maintes reprises : c'est la colère qui lui " a tenu lieu d'Apollon 10 ». Dès lors, si son oeuvre naît entière de l'illumination de Vincennes (dont ne resterait que la prosopopée7 Albert Schinz, État présent des travaux sur Jean-Jacques Rousseau, Paris, Société
des Belles-Leres, 1941, p. XX.8 Voir Tanguy L'Aminot, Bibliographie mondiale des écrits sur Jean-Jacques Rousseau.
xviii e -xxi e siècles, tome 1, Études générales. Sources et en amont, Genève, Slatkine, 2017.9 OC IV, 958 ; OC III, 802 et 812. D'Alembert écrit à propos de Rousseau : " C'e la
hardiesse de braver tout qui a donné l'essor à son erit.10 C, X, OC I, 495. Il s'agit du motif de la satire. Rousseau le tient de Boileau (Satire I,
vers 844) qui imite un vers de Juvénal ("Natura si negat, facit indignatio versum »,
Satire I, vers 79).
11 de Fabricius), toute lecture de Rousseau se doit de répondre à cette apostrophe accusatrice ou, du moins, d'être à la hauteur de ce mou- vement de réprobation face au monde tel qu'il va et dont les grandes villes offrent le spectacle désolant 11 . Quand Rousseau se souvient de cet élan et qu'il regrette de n'avoir pu "écrire le quart » de ce
qu'il a " vu et senti » sous cet arbre, c'est à son indignation qu'il pense : " Avec quelle clarté j'aurais fait voir toutes les contradic- tions du système social, avec quelle force j'aurais exposé tous les abus de nos institutions 12» Se dresser pour accuser, accuser pour
redresser, c'est tout un : colère et intransigeance de Rousseau 13 Revenant sur Sartre qui avait blâmé Nizan d'avoir cédé à la colère lors de l'annonce du pacte germano-soviétique, Maurice Merleau-Ponty rétorquait
: " Nizan, dit-il, était en colère. Mais cette colère est-ce un fait d'humeur ? C'est un mode de connaissance qui ne convient pas mal quand il s'agit du fondamental 14» Ce mode de
connaissance fut celui de Rousseau. Au don furieux de sa pensée doivent répondre des lectures qui s'imposent au moins l'impératif de ne pas réduire sa puissance d'insurrection : aucune entreprise de reconstruction de sa théorie de la justice ne saurait étouffer le sen- timent d'injustice qui l'a motivée. C'est considérer que l'anthropo- logie historique de Rousseau n'appartient pas au passé 15 , mais que son programme rationnel conduit à poser des questions urgentes, et parmi elles la question déterminante de l'obligation politique 16 Si la pensée de Rousseau s'est déployée en une philosophie systé- matique (la plus systématique peut-être des philosophies de langue française de son temps, cette systématicité dût-elle être appréciée11 Saint-Preux à Julie : " J'entre avec une secrète horreur dans ce vałe désert du
monde. Ce chaos ne m'ore qu'une solitude areuse où règne un morne silence. Mon âme à la presse cherche à s'y répandre, et se trouve partout resserrée», Julie
ou la Nouvelle Héloïse, II, XIV, OC II, 231 ; cf. aussi C, IX, OC I, 417.12 Le→res à Malesherbes ; OC I, 1135-1136.
13 Voir Jean Starobinski, Accuser et séduire. Essais sur Jean-Jacques Rousseau, Paris,
Gallimard, 2012.
14 Je dois cee référence à Pierre Pachet (éd), " Un sursaut de l'être », in La Colère.
Infirument des puissants, armes des faibles, Paris, Autrement, 1997, p. 65.15 Voir Gabrielle Radica, L'Hifioire de la raison. Anthropologie, morale et politique
chez Rousseau, Paris, Champion (Les dix-huitièmes siècles, 119), 2008.16 Bruno Bernardi, Le Principe d'obligation, sur une aporie de la modernité politique,
Paris, EHESS, 2007.
quotesdbs_dbs14.pdfusesText_20[PDF] Lorenzaccio : lecture méthodique, acte V, sc. 7, Lorenzo et Philippe
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