[PDF] LUNIVERS EST L'ÉTOILE GLIESE 581 ET





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FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1°S 13 Exoplanète

D'autres planètes du système solaire dont la Terre



FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1°S 13 Exoplanète

D'autres planètes du système solaire dont la Terre



Lactu du jour

15 oct. 2010 Avec ses 6 expoplanètes en orbite le système de l'étoile Gliese 581 ressemblerait à notre système solaire



exercice : EXOPLANETES

d- Combien de systèmes planétaires a-t-on découvert jusqu'à présent à moins de 50 al. 2- Une planète habitable à vingt années-lumière de la Terre. Gliese 581 



A la découverte des proches voisins du Soleil

20 mars 2012 Naine rouge Lalande 21185 dans la constellation de la Grande Ourse



LUNIVERS EST

L'ÉTOILE GLIESE 581 ET la première planète située hors du système solaire ... existantes sur la formation des systèmes planétaires dont le.



LUNIVERS EST

L'ÉTOILE GLIESE 581 ET la première planète située hors du système solaire ... existantes sur la formation des systèmes planétaires dont le.



FORMULE MATHÉMATIQUE POUR LE CALCUL DES POSITIONS

? et ? étant des constantes du système et précisément : ? la distance d'un objet 3) Pour l'étoile Gliese 581 [4] [7] dont le système comprend quatre ...



Mémoire leau dans lUnivers – 30 juin 2011

12 mai 2011 de notre système solaire et sa richesse en eau dans tous ses états. ... Découvert en 2007



Dautres planètes habitées dans lunivers ?

La Terre n'a aucune prééminence marquée dans le système solaire de manière à être le seul monde La zone dite "habitable" pour l'étoile Gliese 581 et le.



[PDF] Fiche à destination des enseignants 1°S 13 Exoplanète

Document 5 : Gliese 581d L'exoplanète Gliese 581d découverte en 2007 dans le système planétaire de l'étoile Gliese 581 pourrait être propice à la vie 



[PDF] Planètes et exoplanètes

Tableau 8 donne les planètes qui tournent autour des étoiles: Ups Andromeda Gliese 581 et Kepler-62 On a découvert le système de planète d'Ups Andromeda et 



Gliese 581 - Wikipédia

Le système planétaire de Gliese 581 Gliese 581 est une étoile naine rouge située dans la constellation de la Balance à 205 années-lumière du Système solaire 



Gliese 581 g - Wikipédia

est une exoplanète à l'existence non confirmée détectée par la méthode des vitesses radiales dans le système planétaire de l'étoile Gliese 581 



[PDF] La planète Gliese 581g est-elle habitable - 1jour1actucom

15 oct 2010 · Avec ses 6 expoplanètes en orbite le système de l'étoile Gliese 581 ressemblerait à notre système solaire qui comprend une étoile 



Gliese 581 / Actualités scientifiques / Actualités / Accueil - IPSL

Le système planétaire de l'étoile naine Gliese 581 l'une des plus proches voisines du Soleil est l'objet de nombreuses études depuis 



Il Gliese 581 Observation Létoile le système planétaire l - BooWiki

Une planète Neptune masse autour de la naine M à proximité Gl 581 (PDF) Dans Astronomie et Astrophysique vol 443 2005 p L15-L18 DOI:10 1051 / 0004-6361: 



[PDF] une particularité de la Terre ? I- Les objets du système solaire

Glièse 581c (et d) : une exoplanète située à 205 années lumières de la Terre Cette planète tourne autour de la naine rouge (étoile) Glièse et 2 planètes 



[PDF] [PDF] Les exoplanètes - Cité des Sciences - Fiche pédagogique

2007 : découverte de Gliese 581c première planète du type terrestre (sa masse vaut quand même au moins 55 fois celle de la Terre) située dans la zone 

  • Quel est l'ordre de grandeur du rayon de Gliese 581 c ?

    Rayon0,38 R?Luminosité0,013 L?Température3 480 KMétallicité[M/H] = ?0,33
  • Quelle est la masse de Gliese 581 e ?

    Proxima Centauri, le système planétaire le plus proche du nôtre dans la Voie lactée, pourrait abriter une deuxième exoplanète.
18

L'UNIVERS EST

PLEIN DE

MONDES

PRN

PLANETS

LE PÔLE DE RECHERCHE

NATIONAL PLANETS,

CODIRIGÉ PAR L'UNIVERSITÉ

DE GENÈVE, PERMETTRA

SANS DOUTE À LA SUISSE

DE CONSERVER POUR

AU MOINS UNE DÉCENNIE

ENCORE LE LEADERSHIP

MONDIAL DANS LA

DÉCOUVERTE ET L'ÉTUDE

DES EXOPLANÈTES

ESO

19 CAMPUS N°119 DOSSIER PLANETS

VUE D'ARTISTE DE

L'ÉTOILE GLIESE 581 ET

TROIS DE SES PLANÈTES,

DÉCOUVERTES À L'AIDE

DU SPECTROGRAPHE

GENEVOIS HARPS.

CELLE DU PREMIER

PLAN, GLIESE 581 C A

UNE MASSE DE 5 FOIS

CELLE DE LA TERRE ET

ACCOMPLIT LE TOUR

ENTIER DE SON ORBITE

EN 13 JOURS.

L e 6 octobre 1995, l'annonce de la découverte de la première planète située hors du système solaire par Michel Mayor et Didier Queloz relançait une quête vieille de plus de deux mille ans : celle d'un autre monde habitable. Depuis, la chasse aux exoplanètes a débouché sur l'identi?cation (et la con?rmation) de plus de

1700 de ces objets célestes apportant une foule de nouvelles

connaissances - et de nouvelles questions - aux spécialistes de la planétologie. Au point qu'il est aujourd'hui temps de franchir une nouvelle étape en s'attachant non plus unique- ment à la découverte de nouvelles planètes, mais également à leur caractérisation physique et chimique. Un gigantesque chantier auquel le Pôle de recherche national (PRN) PlanetS est destiné à apporter une contribution essentielle. Entretien avec Stéphane Udry, professeur au Département d'astrono- mie (Faculté des sciences) et codirecteur du Pôle.

Campus

: Sur le plan scientique, quels sont les princi- paux objectifs du PRN "

PlanetS » ?

En fait, c'est l'évolution même de la science qui dicte nos priorités. Ces vingt dernières années ont été consacrées à la quête de nouvelles planètes et ont été marquées par un cli- mat de forte concurrence entre les di?érents groupes impli- qués dans ces recherches. Mais nous sommes aujourd'hui à un tournant dans la mesure où pour la première fois dans l'histoire de l'humanité, il devient possible d'appor- ter des réponses scienti?ques et objectives aux questions qui entourent l'unicité de la vie. Face

à cet enjeu majeur, les grandes

orientations sont ?xées et chaque membre de la communauté scien- ti?que engagé dans cette voie sait ce qui l'attend pour les deux pro- chaines décennies. Chacun est

également conscient que cette

nouvelle étape implique la coo- pération de toutes les forces en présence. C'est dans cette dyna- mique que s'inscrit la création de

PlanetS. Un petit pays comme la

Suisse ne peut pas en e?et se permettre d'avoir plusieurs centres d'excellence en compétition sur les mêmes théma- tiques. Porté par une très forte cohérence scienti?que, ce PRN permet à chacun de ses membres, qu'il soit Genevois, Bernois ou Zurichois, de développer des axes de recherche complémentaires. Concrètement, cela signie que vous espérez être capable de dénir les conditions favorables à l'apparition de la vie sur une autre planète que la nôtre au cours des douze ans impartis au Pôle Exactement. Ce qui implique que nous devrons non seu- lement être capables d'identi?er les planètes qui peuvent être de bonnes candidates mais également de comprendre

NOTRE SEULE

GALAXIE

ABRITERAIT

AU MOINS

100 MILLIARDS

DE PLANÈTES

20 CAMPUS N°119 DOSSIER PLANETS

grâce surtout au satellite américain KEPLER, qui a déni- ché à lui seul plus de 4000 candidats. L'inconvénient majeur de cette approche, c'est que la nature planétaire des objets découverts doit être systématiquement con?rmée de manière indépendante. En e?et, la mesure d'un transit fournit la taille du corps mais pas sa masse. Du coup, on ne sait pas s'il s'agit vraiment d'une planète ou d'une petite étoile, qui peut avoir la taille de Jupiter, ou encore d'une naine blanche, au dia- mètre similaire à celui de la Terre. Le problème, c'est que les étoiles suivies par KEPLER sont souvent trop faibles pour être étudiées par d'autres techniques comme celle dite des vitesses radiales qui permet d'obtenir la masse. C'est pour- quoi les projets suisse CHEOPS (lire en page 40) et européen PLATO, deux futurs satellites spécialisés dans la mesure de transits, vont se concentrer sur des étoiles brillantes avec l'es- poir de découvrir des dizaines de milliers de nouvelles pla- nètes à portée de télescope et de compléter les données de nombreuses autres déjà connues.

Parallèlement, les astronomes de

PlanetS participent à la construction

de nouveaux spectrographes (dont

ESPRESSO, prévu pour 2017) des-

tinés à la mesure de la vitesse radiale des étoiles et de l'étude de l'atmos- phère de leurs éventuels compagnons (lire en page 36).

Avec ces nouveaux outils, sera-t-

il possible d'observer des planètes similaires à la Terre et se trouvant

à une distance suffisante d'une

étoile de type solaire pour que la

vie soit envisageable Oui. C'est le but du projet PLATO, un observatoire spa- tial de l'Agence spatiale européenne, auquel nous partici- pons également et dont le lancement est prévu pour 2024. Cela dit, les instruments actuels ne le permettent pas. Plus les planètes sont petites par rapport à leur étoile et plus elles en sont éloignées, plus il est di cile de les détecter. Pour l'instant, on peut trouver des Terre dans la zone habitable de petites étoiles comme les naines rouges ou les naines M. Dans ces cas, les distances planète-étoile sont relativement petites. Mais faire de même autour d'une étoile aussi massive que le Soleil, c'est une autre paire de manches. Quand on découvre une planète évoluant dans la zone habitable de son étoile, il faut encore déterminer si l'at- mosphère de cette planète est compatible avec la vie. Est- ce possible aujourd'hui Des études d'atmosphères d'exoplanètes existent déjà. Elles exploitent en général la lumière qui provient directement comment ces planètes se sont formées, comment elles intera- gissent avec leur étoile et de quoi est constituée leur atmos- phère. En conséquence, les activités de PlanetS s'articulent autour de trois thèmes principaux : l'origine, l'évolution et la caractérisation des systèmes planétaires. Quelles sont les principales di?cultés de l'exercice La première tient au fait que tout est interconnecté. Si on veut analyser l'atmosphère d'une planète, qui dépend de sa gra- vité, on a besoin de connaître sa masse et son rayon. De la même manière, pour comprendre sa structure interne, il faut connaître sa taille, sa masse et sa densité. Or, les techniques de mesure actuelles n'apportent en général que des informations partielles. En?n, on ne peut pas non plus négliger la dyna- mique du système, domaine dans lequel il reste encore beau- coup de choses à comprendre. La seconde di culté est liée à la nature même de ce qui a été découvert depuis vingt ans.

Qu'entendez-vous par là

Les résultats que nous avons obtenus

montrent qu'une étoile sur deux pos- sède une ou plusieurs planètes gra- vitant autour d'elle. En extrapolant, cela signi?e que notre seule galaxie abriterait au moins 100?milliards de planètes. Or, la principale sur- prise que nous avons connue depuis la découverte de 51 Peg, c'est la très grande diversité qui prévaut parmi les corps célestes. Si bien que même après avoir détecté plusieurs milliers de nouvelles planètes, il reste di cile d'établir des catégories pertinentes sur le plan statistique. Autant dire que l'on est encore loin de disposer de su samment de données observationnelles. Comment comptez-vous dépasser ces divers obstacles Nous allons tenter d'y parvenir, d'une part, en optimisant les ressources à disposition a?n de consacrer les bons instru- ments au suivi des bonnes étoiles. Puis en faisant converger di?érentes techniques vers les mêmes objets, nous devrions déjà augmenter nettement la con?ance que nous pouvons avoir dans nos résultats et mieux trier les di?érents signaux que nous captons. D'autre part, nous pourrons dans quelques années recourir à une nouvelle génération d'instruments dont le lancement dans l'espace ou l'installation sur Terre est prévu à partir de 2017 a?n de combler les manques actuels.

Par exemple...

La méthode actuellement la plus proli?que dans la détec- tion d'exoplanètes est celle dite des transits (lire en page 36), " LA PRINCIPALE

SURPRISE QUE

NOUS AVONS

CONNUE DEPUIS

LA DÉCOUVERTE DE

51 PEG, C'EST

LA TRÈS GRANDE

DIVERSITÉ

QUI PRÉVAUT

PARMI LES CORPS

CÉLESTES »

LA FICHE TECHNIQUE

DE "

PLANETS

DIRECTEUR

: WILLY BENZ,

PROFESSEUR À L'INSTITUT

DE PHYSIQUE DE

L'UNIVERSITÉ DE BERNE

CODIRECTEUR

: STÉPHANE

UDRY, PROFESSEUR

AU DÉPARTEMENT

D'ASTRONOMIE DE L'UNI-

VERSITÉ DE GENÈVE

PROJETS DE RECHERCHE

PILOTÉS PAR DES ÉQUIPES

GENEVOISES :

DÉTECTION ET CARAC-

TÉRISATION DES SYS-

TÈMES PLANÉTAIRES ET

DE LEUR ARCHITECTURE

(STÉPHANE UDRY)

ÉTUDES ET CARACTÉRI-

SATION DES ATMOS-

PHÈRES PLANÉTAIRES

THÉORIE, OBSERVA-

TIONS ET DÉVELOPPE-

MENTS INSTRUMENTAUX

(FRANCESCO PEPE)

FINANCEMENT DU FONDS

NATIONAL POUR LA RE-

CHERCHE SCIENTIFIQUE :

17,6 MILLIONS DE FRANCS

POUR QUATRE ANS

HD 69830 EST UNE ÉTOILE

UN PEU MOINS MASSIVE

QUE LE SOLEIL COMPTANT

quotesdbs_dbs43.pdfusesText_43
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