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Sans titre-2

Ces valeurs s'enrichissent de valeurs propres au secteur bancaire et aux Le présent Code de Déontologie et d'Ethique ci-après dénommé Code



RAPPORT DEVELOPPEMENT DURABLE

Le Code de Déontologie et d'Ethique. Le Groupe Banque Populaire érige en priorité la conformité de ses activités aux lois et règlements.



RAPPORT ANNUEL 2020

18 jui. 2021 excédents de ressources des Banques Populaires et de réaliser ... formation au code d'éthique et de déontologie du groupe a été.



document de reference : - exercice 2019

31 août 2020 Banque Centrale Populaire. BDT. Bons Du Trésor. DH. Dirham Marocain. EC. Etablissement de Crédit. GBP. Groupe Banque Populaire.



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rapport annuel - 2018

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Rapport RSE 2015

central du Groupe des Banques Populaires Régionales. (BPR)



Rapport Financier 2019

12 juil. 2020 En 2019 la Banque Centrale Populaire a connu ... Au niveau de son Code de Déontologie et d'Ethique

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Rapport de gestion

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j O·$VVHPNOpH *pQpUMOH - Exercice 2017 -

Projet de rapport de gestion - Exercice 2017 -

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SOMMAIRE

I. EVOLUTION DE LA CONJONCTURE ECONOMIQUE ET BANCAIRE ............................ 3

I-1. CONJONCTURE INTERNATIONALE ...................................................................... 3

I-2. CONJONCTURE ECONOMIQUE NATIONALE ...................................................... 5

II. APERÇU SUR LES PERFORMANCES DU GROUPE .............................................................. 7

III. ACTIVITE ET RESULTATS DE LA BANQUE CENTRALE POPULAIRE ............................ 8 III- ........................................................ 8

III-2. ACTIVITES DE MARCHE .....................................................................................14

III-3. RESULTATS .........................................................................................................16

IV. 0(685(6 G·$FF203$*1(0(17 $8 G(9(I233(0(17 G8 *5283( %F3 ......... 21

IV- ...........................................21

IV-2. QUALITE ...............................................................................................................25

IV-3. GESTION GLOBALE DES RISQUES ..................................................................26

IV-4. CONFORMITE ......................................................................................................29

V. CONTRIBUTION DES FILIALES .............................................................................................. 33

VI. 5$7H1* G8 *5283( %F3 3$5 I·$*(1F( 67$1G$5G $1G 3225·6 ...................... 44

VII. VISION STRATEGIQUE ELAN 2020 ET PERSPECTIVES 2018 ............................................ 45

VIII. ANNEXES ..................................................................................................................................... 47

Projet de rapport de gestion - Exercice 2017 -

3/58 I. EVOLUTION DE LA CONJONCTURE ECONOMIQUE ET BANCAIRE consommation, du commerce mondial et de la production industrielle.

I-1. CONJONCTURE INTERNATIONALE

1. Situation économique internationale en 201

Selon les dernières estimations du FMI, le PIB mondial aura progressé à son rythme le plus rapide depuis 2010 à 3,7% en 2017 contre 3,2% en 2016, avec une reprise de plus en plus synchronisée entre les grandes régions économiques.

Aux États-2,3% en 2017 contre 1,5%

prévue. En Zone Euro, la reprise aura progressivement gagné en vigueur sur les trois dernières croissance de 2,4% en 2017 contre 1,8% en 2016. en 2017 contre 1,9% en 2016, tandis que le rebond du commerce extérieur et constituent les plus importants facteurs de soutie de 1,8% en 2017 contre 1,2% en 2016. progression de 4,7% contre 4,4% en 2016, impulsée par le rebond des dépenses s les infrastructures et la reprise des cours des produits de base. En Chine, la croissance a affiché une hausse de 6,8% en 2017 contre 6,7% en 2016, accusé un ralentissement à 6,7% en 2017 contre 7,1% en 2016, en raison notamment de la mise en place en juillet 2017 de la taxe sur les biens et services. Pour sa part, le

1,1% en

2017 contre -3,5% en 2016, en raison de la bonne tenue des exportations et

Dans la région du Moyen-

ralentissement sensible en 2017, en raison particu de la région a été limitée à 2,5% en 2017 contre 4,9% en 2016. En Afrique Subsaharienne, une légère amélioration de la perspective de croissance a été enregistrée en 2017 autour de 2,7% contre 1,4% en 2016. Néanmoins, cette reprise rebond de la production pétrolière au Nigeria et un assouplissement des conditions de sécheresse en Afrique Orientale & Australe.

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2017 de 4,7% contre 2,5% seulement en 2016

Globalement, la conjoncture économique a été marquée par :

Politique monétaire :

par la FED en décembre 2016, se situant à compter de décembre 2017 dans une fourchette de 1,25% à 1,50% et conditions monétaires qui demeurent accommodantes en Zone Euro (taux directeur ramené à 0,00% depuis mars

2016) ;

Marché de change : Appréciation de 12,3% du cours moyen mensuel EUR/USD entre décembre 2016 et décembre 2017 se situant autour 1,184 ;

Pétrole : Le cours 64,38 USD/baril en moyenne

en décembre 2017 contre 53,31 USD un an auparavant, soit une progression de 20,8% la production de pétrole.

2. Perspectives économiques en 2018

se poursuivre en 2018, avec une croissance du PIB revue en hausse de 0,2 pt à 3,9%, selon la prévision du FMI. Pour les États-Unis, la croissance devrait se situer à 2,7%, stimulée notamment par entreprises et les salariés), avec des répercussions favorables sur le commerce extérieur. En Zone Euro, les taux de croissance pour beaucoup de pays ont également été +0,5 pt à 2,3%+0,3 pt à 1,4% demande. Pour les pays émergents & en développement, le FMI maintient sa projection de croissance inchangée pour 2018 à 4,9%. Par pays, la croissance du PIB devrait ralentir

6,6%7,4% et rester plus ou moins

stable en Russie à 1,7%.

Pour la région du Moyen-

projetée des cours du pétrole aux alentours de 59,9 USD/baril en moyenne en 2018 contre 52,7 USD/baril en 2017, selon le FMI.

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I-2. CONJONCTURE ECONOMIQUE NATIONALE

1. Situation économique nationale en 2017

de la demande étrangère adressée au Maroc. Cette évolution inclut un raffermissement de 15,1% de la valeur ajoutée agricole contre -12,8% en 2016 et un redressement du rythme de croissance à 2,8% de la valeur ajoutée des activités non agricoles contre

2,2% en 2016, selon le HCP.

Sur ce dernier point, notons le bon comportement des activités secondaires, dont la valeur ajoutée 2,9% contre 1,2% en 2016, en raison de la bonification des activités minières qui ont affiché un rebond de 17,8% (contre 2,2% en

2016), de étrangère sur les produits phosphatiers.

Pour ce qui est des autres activités secondaires, la valeur ajoutée industrielle a légèrement progressé de 2% contre 0,8% un an auparavant et ce, en dépit du repli des IMMEE de près de 2,5%. A contrario, le secteur du BTP a accusé une faible croissance de 0,4%, en raison notamment de la décélération des activités des travaux publics et de -construction. Pour ce qui est du secteur tertiaire, il a maintenu son rythme de croissance à 2,7% en

2017, tirant particulièrement bénéfice du dynamisme des activités touristiques, dont la

valeur ajoutée 8,4% este maîtrisée autour de 0,7% en 2017 contre 1,6% en 2016,

le déficit budgétaire continue de se réduire à près de 3,5% du PIB contre 4% en 2016 et

le déficit courant de la balance des paiements se serait maintenu à 4,4% du PIB en 2017. Toutefois, les réserves en devises auraient affiché un repli de 3,3% à

241 MMDH, couvrant ainsi près de 5,5

Ci-après les autres principales évolutions sur le plan conjoncturel national : Taux de couverture en amélioration : A fin décembre 2017, les exportations de biens ont progressé de 9,3% à 244,9 MMDH et les importations se sont accrues de 6,3% à 434,7 MMDH

2,6% du déficit commercial à -189,8 MMDH, correspondant à un taux de

couverture de 56,3% contre 54,8% à fin décembre 2016 ;

Les transferts MRE ont

évolué de 4,5% à fin décembre 2017 à 65,4 MMDH. De même, les recettes touristiques ont affiché une augmentation de 8,4% pour se chiffrer à

69,6 MMDH. A contrario, les recettes des investissements directs étrangers

ont chuté de 16% à 29,7 MMDH ;

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6/58 Hausse modérée des prix à la consommation : Accroissement de 0,7% de +0,1% alimentaires contre 1,4% ; Taux de chômage en légère hausse passant de 10,4% au troisième trimestre 2016 à 10,6% au troisième trimestre 2017, selon le HCP.

2. Activité financière et bancaire

A fin novembre 2017, l'agrégat de monnaie M3 a enregistré une hausse de 6,2%, en glissement annuel, pour se chiffrer à 1.254,4 MMDH, selo agrégat recouvre une augmentation de 7,8% de la monnaie fiduciaire à 218,1 MMDH, un accroissement de 7,3% des dépôts à vue auprès des banques à 510,1 MMDH, une hausse de 6,6% des titres OPCVM monétaires à 67 MMDH, une progression de 5,2%

153,2 MMDH et une baisse de 7,9% des

comptes à terme & bons de caisse auprès des banques à 152,4 MMDH. Activité du secteur bancaire : A fin décembre 2017, de la clientèle a atteint 900,5 MMDH, en amélioration de 5,7% comparativement à décembre 2016. Quant aux crédits , ils se sont situés à 844,1 MMDH, soit une hausse de 3,5% par rapport à fin 2016 ; Indicateurs boursiers : Après un mois de janvier 2017 euphorique, le baromètre de la place casablancaise a entamé une tendance baissière jusq atteindre un plus bas de 11.222,64 pts avant de renouer avec la hausse à partir de mi-

6,39% comparativement à fin 2016. Dans ce sillage, la capitalisation boursière

7,47% pour se chiffrer à 626,97 MMDH.

3. Perspectives de croissance pour 2018

2,8% et ce,

ne projection de repli de 2,1% de la valeur ajoutée des activités +2,9% (+2,9% pour le secteur secondaire et +3% pour les activités tertiaires). conomique devrait être soutenue par la poursuite stabilisation à 3,5%65% du PIB et provenance du reste du monde de 4,3% pour se maintenir à 5,9%

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II. APERÇU SUR LES PERFORMANCES DU GROUPE

de premier plan et affiche une progression de ses principaux indicateurs financiers, tout Les dépôts de la clientèle du Groupe ont augmenté de 5,3% à 273,5 milliards de DH, nette de 14,9 milliards de DH ou +6,9% à 228,7 MDH. Porté par le dynamisme économique du Groupe, le Produit Net Bancaire consolidé poursuit son évolution et augmente de 4,5% à 16,4 milliards de dirhams, principalement

tiré par la croissance des activités des filiales spécialisées et internationales, véritables

relais de croissance. En effet, véritable relais de croissance du Groupe, les filiales au Maroc poursuivent leur développement et affichent une augmentation de 7,3% de leur Produit Net Bancaire. développement soutenue, affichant notamment une nette progressi accélération, croît de près de 18 coût du risque qui baisse de près de 7,1% à 3,1 milliards de dirhams. Le Groupe réaffirme, par ailleurs, sa politique prudente de provisionnement garante de sa solidité financière et renforce sa provision pour risques généraux de 844 millions de dirhams à 3,5 milliards

de dirhams. Le fonds de soutien a également été doté pour atteindre près de 3,7

milliards de dirhams. Le taux de couverture des créances en souffrance par les provisions ainsi à 80,5% à fin décembre 2017, contre 76,2% à fin décembre 2016.

Au titerformances financières en

en décembre 2017. Ainsi, l2,5% à

3,4 milliards de dirhams. Le RNPG, quant à lui, progresse de 7,7% à 2,8 milliards de

dirhams.

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8/58 III. ACTIVITE ET RESULTATS DE LA BANQUE CENTRALE POPULAIRE

III-1. BCP

1. Ressources (1)

Dettes envers les établissements de crédit

rs des ressources de trésorerie de la BCP a atteint 132.808 MDH à fin décembre 2017 contre 118.286 MDH un an auparavant, soit une hausse de

14.522 MDH ou +12,3%.

Ces dettes sont composées principalement des ressources des BPR confiées à la BCP s (réserve monétaire). Excédents de trésorerie des Banques Populaires Régionales :

A fin décembre 2017

auprès de la BCP a enregistré une hausse de 7,2% 91.490 MDH contre

85.327 MDH en décembre 2016, soit +6.163 MDH.

eurs des BPR au 31 décembre 201797.641 MDH contre 89.969 MDH à fin 2016, en hausse de 7.672 MDH ou +8,5%. Les principales variations concernent les BPR ci-après : (1) Y compris intérêts courus.

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9/58 a. Dépôts de la clientèle (1)

Les dépôts de la clientèle de la BCP se sont chiffrés à fin 2017 à 59.894 MDH contre

63.428 MDH à fin 2016, affichant une baisse de 3.534 MDH ou -5,6% suite

essentiellement à la baisse volontariste des ressources entreprises rémunérées de 5,4 milliards de DH avec un additionnel dépassant 2,5 milliards de DH. En termes de chiffres moyens, le niveau de réalisation est supérieur à tif.

Déc 2016Déc 2017

(1)Déc 2016Déc 2017 (1) / (2) Ressources globales 65 03363 09662 048105,6%101,7% (Chiffres moyens en millions de DH)

Désignation

RéalisationsObjectif 2017

(2)

Taux de réalisation

en encours b. Fonds de soutien enregistré une hausse de

437 MDH à 3.644 MDH à fin décembre 2017, dont ffectation au fonds de soutien de

(314 MDH) et la subvention accordée à la BP Fès-Taza (198 MDH). c. Fonds propres sociaux Les fonds propres sociaux de la BCP (y compris le fonds de soutien) se sont situés à

30.395 MDH contre 27.935 MDH un an auparavant, soit +2.460 MDH ou +8,8%.

Cette évolution résulte des principaux mouvements ci-après :

7 : 2.231 MDH ;

La provision pour risques généraux

constituée en 2017 : +955 MDH ; n au fonds de soutien : +437 MDH ;

La distribution de dividendes relatifs au

résultat 2016 : -1.094 MDH ;

La dotation du fonds social sur le

résultat 2016 : -69 MDH.

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2. Emplois

a.

116.560 MDH contre

110.185 MDH en 2016, soit une hausse de 5,8% ou +6.375 MDH portant la contribution

57,9% contre 57,1% un an auparavant.

La hausse des crédits provient essentiellement des variations suivantes : +6.481 MDH ; Autres crédits +1.294 MDH ; Prêts financiers & trésorerie des sociétés de financement +729 MDH ; Comptes courants débiteurs -2.306 MDH.

107,3% contre

97,7% un an auparavant.

b. Refinancement des BPR financier débiteur de la BP Laâyoune demeure nul à fin décembre 2017.

3. Banque de Financement ctivité

al a. Banque de Financement des activités de la Banque Centrale Populaire. Elle est un pilier de la stratégie "Elan 2020».

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En 2017, e

mettant à leur disposition toute son expertise dans différents domaines de compétence

à savoir :

Le Project finance qui propose des financements sans recours avec un montage déconsolidant ; des solutions faisant appel à du capital et/ou de la dette ; la Grande Entreprise avec une optimisation de la gestion de leur trésorerie en dirhams et en devises. 2017
Dans le contexte économique de 2017, la BFI a pu afficher un encours de crédits par décaissement de 63,5 MMDH à fin décembre 2017, soit un additionnel de 6 MMDH ou une progression de près de 11% par rapport à fin décembre 2016, confortant ainsi sa consolidant son statut de partenaire financier déterminant pour la Grande Entreprise. De même, les crédits par signature se sont établis à 11,2 MMDH, en hausse de 8%. souffrance sur la Grande Entreprise de 780 MDH, générant un taux de CES de 6% à fin décembre 2017 contre 8,1%

552 MDH, avec une amélioration de la couverture passant de 79% à 80% durant la

même période. En termes de ressources clientèle, celles-ci ont atteint 6,6 MMDH à fin décembre 2017, avec une nette amélioration de leur structure, puisque les ressources non rémunérées représentent désormais 96% des ressources globales contre 76% en 2016 et 47% en 2015.
uable de 47% pour

11,9 MMDH au 31 décembre 2017.

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12/58 Zoom sur les principales activités de la Banque de Financement et

Financement Structuré

En 2017, la BFI continue de consolider sa position de tout premier plan en Project finance et propose à ses clients une gamme complète de solutions de financement

intégrées et innovantes. Elle a ainsi concrétisé des opérations de financement

énergies renouvelables.

en place vert "Green Bond135 millions auprès de la Société Financière Internationale "SFI» et de Proparco, destiné au financement et/ou refinancement de projets à vocation environnementale. pQHUJLHLQIUDVWUXFWXUHVVDQWpquotesdbs_dbs29.pdfusesText_35
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