[PDF] Séquence 1 : La Fontaine Fables





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Les personnages des Fables animaux et humains

28) ;. ? le renard roublard (p. 30) etc. L'anthropomorphisme dans les Fables de La Fontaine. La plupart du temps



LES ANIMAUX DANS LART

19 avr. 2021 Cette fable animalière devient la critique de notre société afin d'en montrer les ... nombreux dessins et de nouveaux animaux personnifiés.



Les Fables de La Fontaine Fiche

les situations de la fable et celles des hommes : les animaux sont personnifiés. Le monde animal se met ainsi à représenter la société.



Séquence 1 : La Fontaine Fables

La fable appartient au sous genre de l'apologue : à travers un récit LF met en scène comme souvent des animaux personnifiés : doués de parole ...



Texte 1 : Les Animaux malades de la peste Livre VII

http://blog.ac-versailles.fr/1eres4michelet/public/Fables/Texte_1__les_animaux_malades_de_la_peste_bis.pdf



Le Renard et le bouc La Fontaine : Corrige ou complète tes

La fable met en scène le renard et le bouc. 2. Résume l'histoire de cette fable Personnification : faire se comporter les animaux comme des humains.



FABLES DE LA FONTAINE Dossier pédagogique

travers ses animaux personnifiés de participer au débat qui fait rage au XVIIe siècle à savoir « les animaux ont-ils une conscience ?



Ecrire une fable

21 avr. 2006 fables ont des animaux pour personnages. Cela n'a pas pour seul but de divertir les lecteurs : ces animaux souvent personnifiés



Corrigé S1A 1- Lusage des animaux personnifiés / la leçon de

1- L'usage des animaux personnifiés / la leçon de morale à la fin de la fable. /en plus des caractéristiques poétiques.



Corrigé de la séance 6 I La fable Les indices qui font du texte une

les animaux personnifiés rendus vivants. Ils ont une majuscule car ils sont vus comme des personnes. - l'auteur

Quels sont les animaux de la fable?

Les animaux qu’il utilise dans cette fable sont la cigale et la fourmi. La cigale est un inscete qui chante tout le temps par beau temps. Tandis ftque la fourmi passe son été à préparer comme la plupart des animaux, de la nourriture pour sa colonie. Ces deux animaux caractèris ont deux traits de caractère opposes.

Pourquoi les animaux sont-ils importants dans les Fables de la fontaine ?

La Fontaine et ses Fables : Pourquoi des animaux ? Dans ses Fables, Jean de La Fontaine personnifie les animaux, ce qui lui permet de dénoncer les lois et les hommes qui gouvernent le peuple. Le monde animal représente la société des Hommes. Chaque animal représente un caractère humain ou une classe sociale.

Quels sont les caractéristiques d’une fable?

Ce texte a les caractéristique d’une fable: récit bref qui met souvent en scène des animaux, aux quels les qualités et les défaults des homes Animaux :allégorie des caratères humains L’histoire est simple Il y a une morale 2)Le personnification des animaux :bien qu’ayant des attribute des animaux (moms, romage, plumage).

Quel est le rapport des hommes avec les autres animaux dans les fables ?

25 La question du rapport des hommes avec les autres animaux est une question centrale dans les Fables. Sur un plan affectif, les rapports bêtes/hommes sont assez ambivalents. Les bêtes comprennent un certain nombre d’espèces ennemies du genre humain. Le loup est désigné comme l’ennemi commun 54.

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Séquence 1 : La Fontaine, Fables

Lecture analytique : Le Loup et le Chien

Introduction

La fable : à travers un récit plaisant, elle dispense au lecteur une réflexion relevant de domaines aussi variés que la religio acquiert ses lettres de noblesse

avec La Fontaine auteur du XVIIème siècle pour qui le placere et docere est central qui, en

ublie ses recueils en 1668 et 1678. Elles nous apparaissent comme un condensé de la sagesse populaire. Les préceptes qui les accompagnent sont souvent devenus des proverbes ; nous avons tous appris dans notre enfance Le Lièvre et la Tortue ou Le Corbeau et le Renard et nous savons depuis que " Rien ne sert de courir/ Il faut partir à temps » ou que " ». Dans Le Loup et le Chien pourtant on ne trouve pas de précepte ni de devise ; La Fontaine met en invite pas pour autant à suivre une règle de comportement.

LECTURE

Problématique

Plan

II. Une fine analyse du comportement

I.

1. Parce que LF excelle dans la construction des personnages

LF met en scène comme souvent des animaux personnifiés : doués de parole, ils vont incarner deux philosophies différentes, deux comportements humains différents

au service des Grands dont il reçoit en échange la protection ; le chien, refusant cette situation,

+ attitudes humaines : cf. adv " humblement » (v.10) " fait compliment » notre imagination est excitée alors par une série de détails sa servant à décrire ces personnages :

le loup efflanqué (v.1) vs le chien gras (3-4 : " puissant, beau, gras, poli » renforcé par

contraste entre les deux animaux

le loup capable de dépecer méthodiquement le chien (v.5-6) vs les larmes du même loup devant

contraste et effet comique des pleurs du loup, normalement bête féroce. le. On imagine

2. Parce que LF construit un récit dynamique

-9) - . Le narrateur décrit en un vers la situation effrayante du loup ("

peau » v. 1) puis il oppose à cet animal famélique le chien, plein de santé : " Ce loup rencontre un

dogue aussi puissant que beau » (v.3). 2 - Deux vers donnent un : le loup est chassé par les chiens, le dogue a perdu son chemin. - at : tout dans ce : le contraste et la confrontation entre les deux animaux (v.5-9), les (" il rencontre », " ») + -7) traduisent la suite ininterrompue

Mais il fallait livrer bataille.. » (v. 5-7)

LF ménage ensuite un suspense : le loup va-t-il venir à bout du chien ? Va-t-il le prendre par surprise ? proposition (" Que me faudra-t-il faire ? » son cou : " est-ce là ? » (v. 34)

ces nouvelles questions relancent chaque fois le dialogue et le récit : le loup est prête à se ranger

série de surprises et de rebondissements. On croirait le loup moralement " -ce là ? lui dit-il.. Rien. - Quoi rien ? - Peu de chose. » v. 33).

LF ménage son récit afin de créer une dynamique qui pousse le lecteur à poursuivre sa lecture. Il

3. Parce que LF joue sur la diversité des formes employées

LF exploite également toutes les ressources du récit en diversifiant les modes de narration, les

points de vue, les vers. une vision générale de la situation (1-4) puis il transcrit les pensées du

loup, exploitant le point de vue interne (" Mais le mâtin était de taille/ à se défendre hardiment » v.

5-8) Au milieu du dialogue le narrateur annonce brièvement le retournement de situation (" Chemin faisant, il vit le col du chien pelé ») intervient dans le dernier vers pour : " ». Remarquons que ce dernier vers est un mélange de récit (" » : passé simple, temps du récit) et de discours (" et court encor » parlait

le narrateur laisse le récit se dérouler et se contente de désigner au lecteur les points essentiels de

: le lecteur se laisse entraîner par le rythme du dialogue. : LF choisit comme souvent de faire alterner récit et discours et de varier les formes de discours rapportés

récit (1-12 ; 30-32 ; 41) et dialogue (v.13-29 ; 33-40) et dialogue qui rompt sans cesse le rythme du

récit.

+ Notons à ce propos que, pour plus de vivacité, le passage du récit au dialogue est amené

si gras que moi, lui repartit le chien » (v. 13). 3

Le dialogue forme en lui-même une petite scène de comédie : le loup, hypocrite, tient le rôle du

flatteur en louant la beauté du chien (10-

méprise : voir la manière dont il décrit les autres loups : " misérables, / cancres, haires, pauvres

diables » (accumulation et enjambement + rythme ternaire (17) + gradation (17).

Enfin, la versification en vers hétérométriques apporte rythme et vivacité au récit. Au

rimes plates et aux vers courts du début succèdent des rimes embrassées (v. 15 à 25) et une

rythme plus irrégulier : nulle monotonie dans ce poème.

+ Le vers libre accompagne les inflexions de la voix, le passage de la tension au relâchement : les

vers courts du début, au rythme nerveux, (v. 5 à 9) suggèrent , puis tout se calme ; enfin, dans les derniers vers, le contraste entre la longueur de rythme haché des questions suggère le décalage réponses évasives du chien.

Cl partielle : Le grand art du conteur est de nous faire vivre cette fable au lieu de simplement nous

propre à susciter le plaisir de lecture. Cependant la fable permet souvent de transmettre une

réflexion. LF se livre ici à une fine analyse du comportement humain.

II. Une fine analyse du comportement

humains. change sans

1. Parce que le chien apparaît comme calme et serein

Le chien compare sa prospérité à la misère des loups. Il est satisfait de lui pour deux raisons : il

mange à sa faim et vit en paix.

La question de la nourriture " être

aussi gras que moi »), quand il décrit la vie des loups (" mourir de faim », " point de franche

lippée » ) et plus loin quand il évoque ses repas. Cette préoccupation était sans doute beaucoup plus

sensible au XVII° siècle quand le risque de famine faisait partie de la vie quotidienne que de nos

jours. Ce qui importe au chien, en plus e vienne sans effort et sans risque : la " franche lippée » (v. 19) désigne un bon repas qui ne coûte rien.

En fait le chien est assez paresseux

" presque rien » (v. 23) pour décrire ses devoirs. Il manifeste son besoin de quiétude quand il

évoque les risques que courent les loups (" Car quoi ? de franche lippée : /

Tout à la » v. 19-20) et également quand il utilise le terme de " salaire » (v. 26) : le

salaire est une rétribution perçue régulièrement. Cette assurance

dans le terme de " destin » (" Suivez-moi : vous aurez un bien meilleur destin » v. 21) car à la

peut se projeter da, même si sa conception de la vie est terriblement étriquée. Son assurance est perceptible dans la métrique des vers. Le chien utilise volontiers " / Dont la condition est de mourir de faim. / Car quoi ? Rien

assuré ; point de franche lippée : » (v. 18-19), " Suivez moi, vous aurez un bien meilleur destin »

(v. 21), ou encore " Flatter ceux du logis, à son maître complaire ; » (v. 25)) de ce type de vers convenait mieux pour exprimer les aise posément et longuement alors que le loup lui 4 , comme un être sur la défensive, posant à peine de furtives questions (v. 22 et 33).

La condescendance et le mépris des faibles

" beau sire » misérables », de " cancres, hères et pauvres diables » (v. 16)

OU peut- -ce que le signe de sa vanité

langage soutenu

(vers noble) confirmerait cette lecture. Il ne manifeste en tout cas aucune compréhension

envers autrui, ni envers les loups dont le choix de vie est pour lui une énigme, ni envers les pauvres gens : " gens / portant bâtons et mendiants ». En revanche il servilité totale envers les maîtres. Cela apparaît dans le vers 25 " Flatter ceux du logis, à son maître complaire » rbes " flatter » et " complaire » montrent à quel point il se donne tout entier à son rôle de domestique.

Enfin il ignore les vertus

attribue aux chiens. éressée ainsi que le démontrent les termes

" moyennant quoi votre salaire » (v. 26) et la façon dont il évoque les caresses (" Sans parler de

maintes caresses » v. 29) qui passent pour lui bien après la nourriture.

Il incarne la servitude volontaire.

-t- ? Est-

il inconscient de sa servilité? Est-il gêné ? En tout cas, il ne désigne pas directement la marque du

collier mais se sert de minimiser la réalité : " le collier dont je suis attaché / De ce que vous voyez est peut-être la cause » (v. 34).

2. Parce que le loup exact opposé du chien

Autant le chien est un être civilisé autant le loup est sauvage. Ses réactions sont celles d :

guidé par son instinct comme en témoignent les verbes " attaquer », " mettre en quartier » ; toutefois il jauge avec prudence la taille du chien et évalue les risques. Notons comment dans les enjambements des vers 5 à 9 la voix reste en suspend sur les derniers mots du vers : " bataille », " taille », " hardiment » n : comportement.

Le loup devient donc hypocrite

accomplir les deux actes de base du flatteur : s.

MAIS iil interroge le chien sur

et recherche la vérité avec insistance : " -ce là rien or » (v. 33-34). À la différence du chien, le loup est naturellement

suspicieux, habitué à vivre aux aguets et à scruter les moindres détails de son environnement.

Autre trait de caractère du loup : . Elle se manifeste quand il se met à

" pleurer de tendresse » en imaginant sa félicité future, un être plus diplomate et plus éduqué eût

davantage contenu et dissimulé ses réactions.

Même impulsivité lors de la découverte de la servilité du chien : " Attaché ? » ,

placée au début du vers 35 et de la réplique, fait écho au même mot mais placé à la fin du vers 34 et

5

prononcé par le chien qui cherche négligemment à donner une explication à ses marques un mot

à peine prononcé par le chien est repris par le loup sous forme de cri . + rejet de " Où vous voulez ? » la liberté. Cf. construction du dernier vers (= la chute): " »

Schéma rythmique 3/3//2/4

Le verbe " » est placé et mis en valeur par une rupture du rythme, qui de ternaire (3 et 3 dans le premier hémistiche) devient binaire (2 puis 4).

La Fontaine souligne ainsi il retrouve sa

vraie nature. le loup fait preuve de superbe domine le chien par le pouvoir de la parole. Il a le dernier mot et sort en quelque sorte vainqueur de la confrontation.

Conclusion partielle

LF met donc en scène des animaux caractérisés de manière fine et précise. On sent évidemment

clairement des hommes. Cependant on ne décèle pas de réel parti pris.

III. Une fable qui propose un enseignement moral

1. Parce que les personnages apparaissent comme symboliques

Si LF définit précisément les caractères des deux animaux afin de plaire au lecteur, il refuse la trop

for

plus proches des hommes pas leur manières et leur sentiments : hypocrisie du loup et attention à

embonpoint »), mépris du chien ; attention aux conditions de vie (" condition est de

mourir de faim » v.18, " destin », " félicité », la liberté chère au loup) ; remarquer également

définie comme celle des hommes : hiérarchisation sociale des

" misérables », " mendiants », chiens gras et gros, maître les animaux renvoient clairement aux

hommes Le Chien renverrait au courtisan, parfait valet des Grands (Roi ou grands personnages de la

cour). En échange de la sécurité financière, il se place au service des personnalités du royaume, ses

protecteurs. le loup mblable (prendre un paysan sous on le loup des qui refusent de se soumettre aux Grands, de leur aliéner leur gir. Refusant par là une sécurité financière (rente par exemple), ils sont plus exposés aux rigueurs de la fortune.

2. Pas de position très marquée

: au lecteur de tirer lui-même la leçon de cette anecdote.

Le texte est plutôt construit sur la confrontation de deux thèses, celle du loup (la liberté a plus de

valeur que tout) et celle du chien (le confort matériel est plus important que la liberté). 6

La fable se découpe en deux étapes : la thèse du chien est largement exprimée, au discours direct

vers 38 à 40 seulement).

Stratégie de persuasion du chien

1. apitoyer le loup sur son propre sort en insistant lourdement sur sa misère, triste condition cf

diérèse, difficultés de la vie faite de luttes constantes pour survivre. Tableau pathétique, ton de

commisération sympathique, flatterie, tonalité injonctive, présenter le changement comme aisé.

2 minimiser le travail : presque rien, chasser les pauvres hères comme lui : le loup devra se faire

: rôle de courtisan, servitude volontaire - entendu.

3. amplifier es avantages en cachant les inconvénients : salaire, abondance de nourriture,

caresses, pas oppression.

Discours qui touche et plait, persuade : le loup pleure de tendresse. Se forge une félicité : concrétise

le rêve chemin faisant ».

Convaincre, persuader, délibérer

On serait tenté de dire que il

proclamerait que le bonheur est impossible sans la liberté qui est le plus précieux de tous les

biens : " Et ne voudrais même pas à ce prix un trésor ». : le loup critique le mode de vie du : " ..de tous vos

repas / Je ne veux en aucune sorte,.. » (v. 39). Il ne cherche pas à faire partager son mode de vie.

légitimes collier, de ne devoir jamais obéir, ni dissimuler ses sentiments ? loup...

On pourrait donc penser que cette fable est une méditation sur le bonheur et la liberté. La vie

confortable, nous dirait implicitement La Fontaine, et

se révèle incompatible avec la liberté. Entre les deux, il faut choisir. Mais chacun trouve son

compte dans la solution q

Songeons que , tenté par le libertinage et

rétif au pouvoir royal : un loup en quelque sorte. Toutefois, poussé par le besoin, il a toujours fait

quelque sorte le serviteur, notamment le ministre Fouquet puis . Il est donc ecteur sur la manière de se comporter.

3. une réflexion ouverte

Comme souvent dans ses Fables, LF préfère laisser ouverte la réflexion. Il se contente de donner au

lecteur des éléments de réflexion puis le laisse lui-même définir sa propre morale. tres interprétations restent possibles :

Le loup ; autant le chien est

civilisé autant le loup ne peut renoncer à sa nature. La fable serait alors une méditation sur

7 e renoncer à nos besoins essentiels. On pourrait considérer que les derniers mots du narrateur (" et court encor ») sont une considération

philosophique implicite. Le fait que le loup " court encor » peut signifier que tant la terre tournera

les chiens seront des chiens et les loups des loups. Quels que soient les efforts que nous fassions pour changer notre véritable nature, elle finit toujours par resurgir et reprendre ses droits. Remarquons à ce titre la sympathie du . Le lecteur se

sent proche du loup au sens où il découvre la situation à travers ses réflexions (v. 7-8-9) et ses

interrogations (v. 21, 33-34). Le loup est par ailleurs un héros au sens profond du terme : comme Ulysse ou les chevaliers de légende il triomphe des épreuves et des tentations loup consiste à , à ne pas se renier. La Fontaine réussit donc urs ancestrales.

Cette fable pourrait alors devenir une méditation sur la possibilité et la difficulté de

comprendre autrui mprendre les autres chien essaye de venir en aide au loup il ne peut absolument pas le comprendre, tant ils sont -il vraiment comprendre la vie et les ét ?

Conclusion

Cette fable sous une apparence attrayante contient ainsi un message très subtil. LF construit

comme toujours un récit dynamique et plaisant qui répond au premier impératif du XVIIe siècle :

plaire ; cepe la grande force de ne se limite pas e de nombreuses pistes à la réflexion du lecteur. flatt aurait écrit cette fable pour

Romains

-Référence au statut des écrivains et artistes dépendants de leur mécène uve refuge auprès de Fouquet mais arrestation en 1661, poème au roi française, vit loin de la cour. meurent pourtant reçu dans les salons conditions de vie :

Valable pour nous encore : exemple: aliénation liée au désir de paraître, société de consommation

pour payer des produits de consommation qui ne sont pas forcément nécessaires.quotesdbs_dbs10.pdfusesText_16
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