Génétique 2 Licence STS Biologie- Biochimie
Plan générale du cours. •. Chapitre 1: Génétique et reproduction sexuée. •. Chapitre 2: Mendel et le concept de gène (un ou plusieurs gènes).
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Cours de Biologie Moléculaire et Génie Génétique
Cours de Biologie Moléculaire et. Génie Génétique. Dr. Abdelhakim Aouf. Destiné aux étudiants de 3 e année Licence de Microbiologie. 2015-2016.
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INSTITUT SUPERIEUR DE BIOTECHNOLOGIE DE SIDI THABET (ISBST)SUPPORT DE COURS
GENETIQUE MOLECULAIRE
UE : Enzymologie/ Génétique Moléculaire
Licence Fondamentale en Sciences du vivant, Parcours : Biologie intégrative : animale, végétale et microbienneNiveau LF2
Elaboré par :
Dr. KHOUAJA Fattouma
Année Universitaire 2019/2020
2Annexe 17
: Enzymologie/ Génétique MoléculaireCode UE
Code ECUE
Plan du Cours Génétique Moléculaire
Introduction
Chapitre 1: La définition du gène
- Relation gène-enzyme - La complémentation fonctionnelleChapitre 2: Les mutations
- Propriétés des mutations - Notion de mutation germinale et de mutation somatique * Agents physiques * Agents chimiques - Les différents types de mutations et leurs conséquences * Substitution * Insertion/délétion/duplication * Mutations de Répétition (microsatellites et VNTR) * Transposition Chapitre 3: La réversion et la suppression intra et extracistroniqueChapitre 4: Génomes extra-chromosomiques
- Diversité des génomes mitochondriaux - Génomes chloroplastiques - Fluidité des génomes et évolution des séquences - Les mutations de structure - Les mutations de régulationTravaux Pratiques et dirigés
- Test de complémentation et test de recombinaison - Suppressions intra et extra cistronique 3Figure 1 : Structure de la molĠcule d'ADN
MolĠcule d'ADN :
double hélice1 gène : fragment
d'ADN dĠterminant un caractère héréditaireBases azotées
Sucre + phosphate
1 gène
4 Figure 2 ͗ UniǀersalitĠ et ǀariabilitĠ de la structure de l'ADNFigure 19 : Structure d'un microsatellite
5 Figure 4 : Mécanisme de la réplication semi-conserǀatrice de l'ADN 6 7Figure 5 : SchĠma reprĠsentant la transcription de l'ADN et la maturation du transcrit primaire
chez les eucaryotes. Figure 6 : La traduction chez les procaryotes (a) et les eucaryotes (b). 8Acide aminé Abréviation Nature chimique
Alanine : Ala A Aliphatique
Arginine : Arg R Basique
Asparagine : Asn N Amide
Acide aspartique : Asp D Acide
Cystéine : Cys C Soufré
Acide glutamique : Glu E Acide
Glutamine : Gln Q Amide
Glycine : Gly G Aliphatique
Histidine : His H Basique
Isoleucine : Ile I Aliphatique
Leucine : Leu L Aliphatique
Lysine : Lys K Basique
Méthionine : Met M Soufré
Phénylalanine : Phe F Aromatique
Proline : P P Imine
Sérine : Ser S Hydroxylé
Thréonine : Thr T Hydroxylé
Tryptophane : Trp W Aromatique
Tyrosine : Tyr Y Aromatique
Valine : V V Aromatique
Tableau I : Nomenclature et nature chimique des acides aminésTableau II : Code génétique
9 Figure 7 ͗ RĠparation de l'ADN par recombinaison 5 5 Figure 9 : Les possibilitĠs d'appariement pour le 5-BU un atome de Br en C5 à la place de CH3. remplace en s'appariant aǀec A passer une partie de son edžistence dans sa forme ionisĠe rare). Dans cet Ġtat, il s'apparie avec la G, imitant le comportement de la C et induisant donc des mutations lors de la réplication.Figure 8 : Appariement normal Tymine -Adénine
(a) (b) (céto) 10 Figure 10 ͗ Les possibilitĠs d'appariement pour le 2-AP (a)Normalement, il s'apparie aǀec T (b)Dans son Ġtat protonĠ, il peut s'apparier aǀec la C. (a) (b) Figure 11 : Désamination oxydative de C en U sous l'action de l'acide nitreudž HNO2 responsable de la transition de GC en TA. En gris ͗ les nuclĠotides de l'ADN initial, entre parenthğses une molĠcule d'ADN normale. HNO2 HNO2 Figure 12 : Désamination oxydative de A en H (hypodžantine) sous l'action de l'acide nitreudžHNO2 responsable de la transition de TA en GC.
En gris ͗ les nuclĠotides de l'ADN initial, entre parenthğses une molĠcule d'ADN normale. Figure 13 : le mésappariement spécifique induit par l'alkylation. L'alkylation (dans ce cas, l'Ġthylation due ă l'EMS) de la position O-6 de la G, ainsi que la position O-4 de la T, peut conduire à un mésappariement
respectivement avec la T et la G. chez les bactéries où les mutations ont été analysées plus en détail, les principales mutations détectées sont des transitions GC sensible à la mutagénèse.Figure 14 : Alkylation du G par le NG
(Nitrosoguanidine) générant le O6-méthylguanine qui NGO6-méthylguanine
11Figure 15 : Edžemples d'agents intercalants.
(a) la structure des agents usuels proflavine, acridine orange et ICR-191.(b) Un agent intercalant se glisse entre les bases azotées empilĠes dans la molĠcule d'ADN. Cet
Ġǀğnement peut conduire ă des additions et soustraction d'une seule paire de nuclĠotides.
Figure 16 : Structure du BET
Figure 17 : Structure d'un dimğre de thymine.
(Seules les bases sont représentées) -Anomalies de méthylation -Anomalies de remodelage chromatinien Exemple : Syndrome ICF (immunodeficiency, centromeric instability and facial anomalies) : méthylase Exemple : Syndrome de Beckwith-Wiedemann PraderWilli Angelman 9 10Réversions
- Réversion vraie AAA (Lys) [+] directe GAA (Glu) [m] réversion AAA (Lys) [+] - Réversion équivalente UCC (Ser) [+] directe UGC (Cys) [m] réversion AGC (Ser) [+]CGC (Arg, basique) [+] directe CCC (Pro, non basique) [m] réversion CAC (His, basique) [pseudo-
sauvage]Mutations suppressives intragéniques
- Décalage du cadre de lecture en sens opposé en un second site dans le même gèneCAT CAT CAT CAT CAT CAT
CAT XCA TAT CAT CAT CAT
- Mutation faux-sens en un second site Une 2ème déformation physique qui restaure une confrontation protéique de type plus ou moins sauvage après
une 1ère déformation.Mutations suppressives extragéniques
- Suppressives de non-sens onnel dans la région de son anticodon qui lui permet de reconnaître un codon non- lui, pour insérer un AA (tyrosine), ce qui permet la poursuite de la traduction. - Suppressives de faux-sens GénéralemenE. coli possède un suppresseur de faux- mal traduits, les mutations observées ne sont pas létales, sans doute à cause de la faible efficacité de la substitution anormale.- Suppressives de décalage du cadre de lecture Les exemples sont très rares. Dans un cas, un anticodon de 4 nucléotides appartenant à un ARNt unique peut
- Suppressives par changement des conditions physiologiques Un défaut dans une voie biochimique est compensé par une autre mutation (exemple : une mutation qui
ère mutation).
L'addition de bases change
de cadre de lecture la délétion de base restaure le cadre de lecture correctTableau VII : Les mutations suppressives et leurs conséquences fonctionnelles au niveau protéique
37Figure 20 : Empreinte génétique par analyse de polymorphisme microsatellite Figure 21 : VNTR : régions hypervariable entre individus Figure 22 : Mutation des génomes par les transposons Pour réaliser leur cycle de multiplication, les transposons sont bordés par deux séquences
répétées et inversées ITR (Inverted Terminal repeat) et possèdent au moins un gène codant pour
de la séquence du transposon dans le génome). 38Tableau IV : Nomenclature pour la description des mutations et autres variations de séquence
1- Indication de la séquence référence:
2- Code:
substitution (pour les bases) >étendue -
autres changements sur ; autres transcrits/mosaïque , incertain () allèle [ ] délétion del duplication dup insertion ins inversion inv conversion con extension ext codon stop X décalage du cadre de lecture fsX brin opposé o translocation t3- Type de variation/mutation:
Substitution
c.123A>G sur le cDNA, A, en position 123, est remplacé par G p.P252R sur la proteine, proline (P) remplacée par arginine (R)Délétion
c.546delT délétion de T en 546 c.586_591del six bases délétées p.F508del délétion de phenylalanine (F) en 508Duplication
c.546dupT duplication de T en 546 c.586_591dup duplication du segment 586 -> 591 p.G4_Q6dup duplication du segment à partir de glycine (G) en 4 jusqu' à glutamine (Q) en 6Insertion
c.546_547insT insertion de T entre 546 et 547 c.1086_1087insGCGTGA insertion de GCGTGA p.K2_L3insQS insertion de glutamine sérine entre lysine (K) en 2 et leucine (L) en 3ADN codant c.
ADN génomique g.
ADN mitochondrial m.
ARN r.
Protéine p.
39Tableau IV (suite) : Nomenclature pour la description des mutations et autres variations de séquence
Inversion
c.546_2031inv segment 546 -> 2031 inverséDécalage cadre de lecture
p.R83SfsX15 arginine (R) est le premier acide aminé changé, c' est en position 83, cela donne une sérine (S) à la place, la taille du segment en aval est de 15, codon stop (X) incluBases de données
40Résumé : Les mutations
I-1- Distinction mutations perte de fonction / mutations gain de fonction :
La modif : une
- soit une mutation de perte de fonction , par effet quantitatif (sous-expression conduisant à moins ou pas
de produit du gène) ou par effet qualitatif (un produit moins actif, voire inactif),- soit une mutation de gain de fonction, par effet quantitatif (sur-expression conduisant à plus de produit
du gène) ou par effet qualitatif (un prod propriété physico-2- Distinction mutations ponctuelles / mutations non ponctuelles :
a- La mutation ponmodifiée en ...CG... par délétion de la paire de base centrale, ou modifiée en ...CACG... par insertion
re les deux premières. b-mutations chromosomiques par CO (méiotique ou mitotique ou interphasique), soit à des insertions, notamment
de séquences rétrovirépétée, en général un triplet. Dans les deux premiers cas, elles conduisent principalement à des pertes de fonction
t souvent de gain de fonction, notamment quand le triplet répété est dans une séquence codante (maladie à triplet du type maladie de Huntington).3- Les différents types de mutations ponctuelles du gène
a- Une mutation affectant le promoteur ne change nullement la séquence codante du gène et par conséquent la
chaîne polypeptidique spécifiée par ce gène. Mais une telle mutation peut modifier profondément le message
n et " promoteursgène soit sous ou sur transcris peut avoir des conséquence extrêmes. Il suffit de rappeler que la plupart des
ou plusieurs gènes, notamment des gènes impliqués dans le contrôle du cycle cellulaire. 41b- Mutation affectant le site de polyadénylation. c- Mutations dans les séquences transcrites et non traduites mytonique)
e- Les mutations de la séquence codante auront des effets très variés dépendant là encore de la nature de la
mutation et de son site dans la séquence codante: * une mutation STOP t STOP, UAA ou UAGlibère une chaîne tronquée qui a peu de chance de prendre une conformation tri-dimensionnelle correcte et
active; les mutations STOP sont presque toujours des mutations de perte de fonction.de bases. Comme la lecture par le ribosome se fait par triplets contigus, tous les triplets sont modifiés en aval
; de plus le décalage du cadre de lectureintroduit généralement très vite un codon stop. Sauf cas exceptionnels, les mutation de décalage sont des
mutations de perte de fonction.Mutation de la séquence du promoteur :
effet quantitatif de sous-expression (perte de fonction) ou de surexpression (gain de fonction)Mutation de la séquence de
polyadénylation: effet quantitatif de sous expression (perte de fonction) le plus souvent effet quantitatif de sous-expression (perte de fonction)Mutation d'Ġpissage :
conduisant ă l'absence d'edžcision ou une excision anormale : perte de fonction, sauf exceptions.Mutations dans la séquence codante :
- mutation STOP (non-sens) : perte de fonction, sauf exception, par arrêt prématuré de la traduction, - mutation Faux-sens ͗ substitution d'un aa par un autre aa : selon les cas perte ou gain de fonction, - mutation de décalage du cadre de lecture par dĠlĠtion ou insertion d'une ou deudž paires de bases : perte de fonction sauf exception, - suppression ou addition d'un aa par dĠletion ou insertion de trois paires de bases : selon les cas perte ou gain de fonction. perte ou gain de fonction, selon les cas. promoteur terminateur 5'UTR 3'UTR 42* une mutation faux sens nouveau c
conformation de la protéine et dans son activité. Selon les cas, la substitution peut être sans effet (on parlera alors
de polymorphisme plutôt que de mutation faux sens), ou avoir un effet, en rendant la protéine plus active ou
chaîne peptidique une propriété ou une activité nouvelle et constituer alors un véritable " gain de fonction ».
Remarque:
la fonction du gène muté est modifiée, la fonction antérieure peut être conservée si ce gène existait préalablement en deux
copies identiques, ce qui est possible car il existe un mécanisme, le crossing-over inégal, par lequel un gène peut se trouver
et conduisant à la synthèse sans risque de faire perdre la fonction du gène qui reste assurée par la copie non mutée.4- rs conséquences:
a- Les triplets répétés:taille (le nombre de répétitions du triplet), bien que stable à la réplication, peut parfois subir des variations; au
uneest dominant dans toutes les maladies dites " à triplets » exceptée la maladie de Friedrich, le cas des maladies
sexe féminin. (maladie de Huntington, ataxies spino- domaine poly--m (dystrophie myotonique: effetdu gène par blocage de la transcription, ce qui explique le caractère récessif de son effet). Les " maladies à
triplets » sont détaillées dans le tableau plus loin. Ces mutations sont des mutations " dynamiques ». b- , comme les rétrovirus, peuvent inactiver un gène ou déréguler son expression selon leur dans le tissu hépatique infecté. c-Les macromutations - over conduisant, selon les -overinégal), et aux diverses anomalies de structures des chromosomes (translocations, inversions, déletions,
duplication, fusions centriques). 43Les maladies à triplets
1- Localisation, taille normale, prémutée (intermédiaire) et pathologique des triplets répétés:
maladie localisation triplet taille normale taille prémutée taille pathogène effet pathologique X-fragile CGG 6-52 59-230 230-2000 inactivation du gène par hyperméthylation induite du promoteur et absence de transcriptionMaladie de Huntington séquence
codanteCAG 10-34 36-39 40-121
domaine poly-glutamineAtaxie spinocérebelleuse
type 1: SCA1 séquence codanteCAG 6-39 40-81 expansion
domaine poly-glutamineSCA2 séquence
codanteCAG 14-31 34-59
domaine poly-glutamine SCA3 (Machado-Joseph) séquence codanteCAG 13-44 60-84
domaine poly-glutamineSCA6 séquence
codanteCAG 4-18 21-28
domaine poly-glutamineSCA7 séquence
codanteCAG 7-17 38-130
domaine poly-glutamineDRPLA séquence
codanteCAG 7-25 49-75
domaine poly-glutamineDystrophie myotonique séque
non codanteCTG 5-37 50-80 80-1000 interaction toxique avec
protéines de liaison aux messagersAtaxie de Freidrich séquence
introniqueGAA 6-29 34-40 200-900 bloque la transcription
(effet récessif)2- Anticipati-rubro-pallido-luysienne (DRPLA) :
âge de début: 60
ansâge de début: 60
ansâge de début: 20
ansâge de début: 7 ans
taille du CAG: 65 44Figure 23 : Protocole suiǀi par Beadle Θ Tatum (1940) pour la crĠation de simples mutants d'audžotrophie chez
le champignon Neurospora L'addition d'arginine au milieu minimum restaure la croissance chez un mutant arg-Sur un même mycélium se différencient des organes mâles = conidies et des organes femelles = ascogone. Si le
mycĠlium reste isolĠ, il n'y aura pas de fructification sous forme de pĠrithğces car la fertilisation nĠcessite la
rencontre de deux mycéliums de types sexuels différents. Par contre, si on confronte 2 mycéliums, il y aura dans
d'une spore a : on parle de signes compatibles. il y aura production de sacs dits périthèces. Un périthèce
contient des poches dits asques. Ces asques renferment chacun 8 spores haploïdes. En condition favorables, les
périthèces éclatent et les asques libèrent les spores qui vont germer pour redonner le mycélium de départ dont
les noyaux sont haploïdes. 45quotesdbs_dbs1.pdfusesText_1
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