[PDF] Concevoir et écrire le passé de lAfrique





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Les grandes dates de lHistoire

Les grandes dates de l'histoire. De la naissance de l'agriculture à la chute de l'empire romain d'occident : Informations extraites du site :.



ORIGINES DE LHUMANITE

date probable et possible de l'apparition de la souche intelligente qui gomines et bases pour la Philosophie de l'Histoire et la Sociologie.



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Histoire de lhumanité volume VII: le XXe siècle de 1914 à nos jours

Cependant une évolution se faisait déjà sentir. Les grands principes de l'archivistique scientifique



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Le racisme à travers lhistoire: choses mots et idées

à travers l'histoire : choses mots et idées. Le racisme est aussi ancien que l'humanité. ... longue de l'histoire. ... plus grands succès. Le chiffre.



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Aux fins du présent Statut on entend par crime contre l'humanité l'un quelconque série de crimes analogues commis sur une grande échelle.



13 complots qui ont fait lhistoire

variable au cours de l'histoire de l'humanité pour de nombreux avec les grands-prêtres de Jérusalem



Concevoir et écrire le passé de lAfrique

berceau de l'humanité le grand public ignore souvent les événements qui Les besoins des africanistes expliquent comment l'Histoire africaine en est.



Où et quand les premiers êtres humains sont-ils apparus

Notion : Humanité-Préhistoire-Paléolithique-Archéologie. Activité 1 : Qui sont nos Henry de Lumley La Grande histoire des premiers hommes européens ...



Les grandes dates de l'Histoire

1921 : grande famine 1922 : fondation de l’URSS ; 21 janvier 1921 : mort de Lénine 1928 : Trotski est exilé Staline contrôle le Parti Communiste et devient le maître du pays 1929 : collectivisation des terres Politique de planification 1933 : grande famine 1936-1938 : procès de Moscou La crise des années 1930 :

  • 1 - Pourquoi l’histoire est-elle Divisée en Plusieurs périodes ?

    L'histoire, comme tout autre domaine de connaissance, nécessite une classification pour être étudiée et analysée. Notre conception du temps se divise entre le passé, le présent et l’avenir. Il est donc naturel d’adopter une approche chronologique et de diviser le fil de l’histoire en plusieurs périodes marquantes, synonyme de changements profonds d...

  • 2 - Quelle Est La Première période de L'histoire ?

    Paradoxalement, la première période de l’histoireest la préhistoire ! Pourquoi est-ce que c’est un paradoxe ? Parce qu’on considère que l’histoire commence avec la naissance de l’écriture. Comme son nom l’indique, la pré-histoire ne fait donc pas vraiment partie de l’histoire. Pourtant les chercheurs savent beaucoup de choses sur la vie de nos loin...

  • 3 - de L’Invention de L’Écriture jusqu’à Nos Jours

    De la naissance de l’écriture jusqu’à l’invention d’Internet, plus de 5000 ans se sont écoulés. Que s’est-il passé entre-temps ? 1 - L’antiquité est une période du programme d’histoire au collège, qui va de l’invention de l’écriture jusqu’à la chute de l’empire romain (en 476). Mais elle-même se décompose en plusieurs périodes, comme la Grèce antiq...

Quels sont les thèmes de la longue histoire de l’humanité?

La longue histoire de l’humanité Thème 1 : La longue histoire de l’humanité et des migrations 6H1 – Les débuts de l’humanité 6H2 – La « révolution » néolithique Thème 2 : Récits fondateurs, croyances et citoyenneté dans la Méditerranée antique

Quelle est l'histoire de l’humanité?

Partager L'histoire de l'humanité pourrait être, malgré les apparences de la mondialisation, celle de son confinement progressif depuis le Néolithique et la sédentarisation jusqu'aux concentrations urbaines actuelles.

Quelle est la longue histoire de l’humanité et des migrations?

èmeThème 1 La longue histoire de l’humanité et des migrations La révolution néolithique se diffuse à l’éhelle de la planète Vers 5 000 avant J.-C., des groupes d’hommes et de femmes suivent les côtes européennes.

Quels sont les grandes dates de l'histoire?

Les grandes dates de l'Histoire 1/ Le pantalon rouge Pierre Achille Bardin (1888-1982), tonnelier à Tauriac (Gironde), a combattu au front du premier au dernier jour de la Grande Guerre. Par la suite, il consignera d’une écriture soignée ses Mémoires, jusqu’ici inédits.

INTRODUCTION

Concevoir et écrire

le passé de l"Afrique

8 Manuel de terrain en Archéologie africaine. Introduction

INTRODUCTION

Alexandre

Livingstone

Smith 1 & Scott MacEachern 2

Y-a-t-il quelque chose à trouver en Afrique ? Bien que le continent soit généralement reconnu comme le

berceau de l'humanité, le grand public ignore souvent les événements qui succédèrent à ce début presque

et parfois tendancieuse. Ce déni d'histoire est attribuable à la traite internationale d'esclaves et aux politiques

d'expansion coloniale, qui ne laissaient certes pas beaucoup de place au respect mutuel ni à un échange

pensée évolutionniste. L'idée simpliste d'opposer les stéréotypes " industriel/dynamique » à " traditionnel/

inchangé » s'impose encore aujourd'hui. La plupart du temps les chercheurs trouvent ce qu'ils recherchent.

L'histoire a longtemps été une discipline dédiée aux sources écrites, négligeant donc des civilisations mieux

connues par d'autres sources telles que l'archéologie. Il va de soi que l'archéologie est, comme toute disci-

pline historique, immergée dans le contexte social dans lequel elle est pratiquée. L'interprétation des données

archéologiques peut par conséquent être guidée par les intérêts d'un(e) chercheur(e) ou de la communauté à

laquelle il ou elle appartient.

L'archéologie a, dans des contextes très divers, joué un rôle important dans des luttes politiques sur le

Grand Zimbabwe, les données archéologiques furent rejetées oude soutenir des hypothèses

euro-centristes et colonialistes au sujet des anciennes sociétés. Les chercheurs doivent constamme

nt prêter

attention aux circonstances sociales et politiques dans lesquelles se déroule leur recherche et sont interprétés

ses résultats.

Les contributions suivantes devraient être utiles à cet égard, puisqu'elles retracent l'histoire de la disci-être utiles à cet égard, puisqu'elles retracent l'histoire de la disci-t égard, puisqu'elles retracent l'histoire de la disci-

pline et en présentent un état des lieux selon plusieurs points de vue.

Pour commencer, John Sutton expose brièvement le rôle et les caractéristiques principales de l'archéologie

africaine. Notre discipline n'est qu'une piste de recherche parmi d'autres telles que l'histoire, la linguistique

ou encore l'anthropologie, pour n'en citer que quelques-unes. Par rapport aux modèles et aux objectifs de

recherche, il distingue deux écoles : l'école des Universalistes, pour qui l'Afrique n'est qu'un cas d'étude

soumis aux objectifs de recherche plus vastes, et celle des africanistes, pour qui la reconstruction du passé

africain constitue l'essentiel. Les besoins des africanistes expliquent comment l'Histoire africaine en est

arrivée à être 'écrite' ou documentée par une combinaison d'archéologie, d'anthropologie, de linguistique et

de mémoires locales. 1

Service Patrimoines, Musée royal de l'Afrique centrale, Université libre de Bruxelles, Belgique et GAES-Université de Witwatersrand,

Afrique du Sud.

2 Département de Sociologie et d'Anthropologie, Bowdoin College, Brunswick, États-Unis.

Introduction 9

En se concentrant sur la situation actuelle, Susan K. MacIntosh fait le point sur l'état de la pratique en ar-

conceptions de projets et les intérêts des parties impliquées. Elle offre ainsi un survol des différents éléments

clés qu'un chercheur doit prendre en compte en menant une recherche sur le continent africain - ou ailleurs.

Il précise qu'un dialogue entre toutes les parties concernées par le résultat d'une recherche archéologique

que les chercheurs aient construit, au préalable, avec des partenaires locaux et internationaux, un réseau qui

puisse être activé au moment de soumettre une demande de subventio n.

Moustapha Sall traite ces questions du point de vue d'Afrique de l'Ouest. En prenant le Sénégal comme

cas d'étude, il se penche sur l'origine de la recherche archéologique dans la région et sur sa transformation au

sein des nouveaux états indépendants à partir de 1960. Il analyse une série de questions clés telles que l'attri-

bution culturelle des sites archéologiques, le rôle de l'archéologie historique, la protection du patrimoine et

la formation des futures générations d'archéologues. Il met l'accent sur le rôle croissant des Études d'Impact

patrimoniales et sur les fouilles de sauvetage, qui produisent selon lui des données impartiales car elles ne

sont pas orientées vers d'autres problèmes que celui de sauvegarder les traces matérielles d'une présence

ancienne d'humains ou d'hominiens.

Christophe Mbida Mindzie apporte à ce thème la perspective de l'Afrique centrale. Se référant à

l'exemple du Cameroun, il explique comment l'archéologie, considérée comme auxiliaire de l'Histoire, s'est

développée grâce à une combinaison de décisions politiques qui ont promu des instituts de recherche came-

rounais, des programmes de recherche nationaux et des collaborations avec des équipes internationales. En

ce qui concerne le XXI e siècle, il analyse les avantages et les inconvénients de l'essor d'une archéologie préventive et de sauvegarde.

10 Manuel de terrain en Archéologie africaine. Introduction

Étude du paysage et de chaque détail visible à sa surface ou révélé par une fouille, l'archéologie est indispensabl e à la compréhension du passé, où que vivent ou aient vécu des humains. Ce n'est toutefois pas la seule façon de questionner l'histoire. En effet, en sondant le passé à partir du présent, on peut établir une corrélation entre la documentation archéo- logique et les contributions anthropologiques, en particulier les études ethnographiques et linguistiques ainsi que les té- moignages oraux et comptes rendus écrits lorsqu'ils existent (voir le chapitre 6). Concernant cette méthode de recons- truction du passé à partir d'approches multiples, l'Afrique a joué un rôle pionnier, sachant que les sources documentaires classiques - piliers traditionnels de la recherche historique en Europe - y sont rares avant le XX e siècle, en dehors de quelques régions. 1

I. L'ARCHÉOLOGIE EN ET SUR L'AFRIQUE

Des archéologues se sont eux-mêmes rendus dans cer- taines parties de l'Afrique subsaharienne avant 1900 (et plus tôt encore en Égypte). Dans la majorité des pays cependant, il a fallu attendre les dernières années du régime colonial (1950

1960), voire les premières décennies des indépendances, pour

voir émerger une recherche structurée et durable. Les boule- versements politiques de cette période se sont accompagnés d'une demande radicale, émanant du peuple comme de l'élite intellectuelle, d'explication des origines des cultures et des peuples africains sur un mode positif - en opposition à la vision très frileuse de l'histoire africaine typique des admi- nistrations coloniales et de leurs services éducatifs. La créa- tion d'universités, de musées nationaux et régionaux ainsi que de services des antiquités au milieu du XX e siècle, a jeté les bases institutionnelles qui ont permis d'attirer des archéo- logues sur le continent. Ces pionniers, au début essentielle- ment des expatriés, étaient spécialisés en termes de région, de période et de thématique. Leurs objectifs et perspectives présentaient aussi des divergences qui ont perduré tandis que la recherche se développait. En résumé, les archéolo- gues travaillant sur l'Afrique appartiennent à deux écoles ou et d'" africaniste

». Les distinctions ne sont toutefois pas si

nettes, ces deux grandes traditions ne sont pas complètement opposées. Ce sont leurs visions et leurs agendas qui diffèrent. 1 Ancien directeur du British Institute in Eastern Africa, Nairobi, Kenya et ancien professeur à l'Université du Ghana, Legon.

A. Les universalistes

Pour l'école universaliste, l'archéologie est une disci- pline universitaire mondiale (considérée habituellement en Amérique du Nord comme une section de l'anthropolo- gie). À ce titre, elle sélectionne des régions pour effectuer le travail de terrain et des sites prometteurs pour entamer hypothèses générales et de comprendre les modes de vie et d'adaptation des humains depuis les temps les plus an- ciens jusqu'à un passé récent. Dans ce cadre, les chercheurs prennent bien évidemment en compte les facteurs locaux et les signes de changements de l'environnement à travers les âges, car ceux-ci sont capitaux pour leur objectif de reconnaissance de la diversité des cultures humaines entre les continents et en leur sein. Mais à l'état pur - si l'on peut dire - cette école est moins centré sur l'Afrique et son histoire en tant que telles que sur des questions universelles de théorie, de pratique et d'interprétation archéologiques e t anthropologiques. Il met l'accent sur les idées qui valent la peine d'être testées en Afrique plutôt que sur l'archéologie et l'histoire - de l'Afrique et de ses régions. Cette approche s'applique tout particulièrement à l'archéologie et à la paléoanthropologie de l'Âge de l a Pierre, à savoir, l'étude des humains depuis leur apparition en Afrique il y a quelque deux millions d'années, en tant qu'espèce animale capable de se tenir debout et de fabri- quer des outils (sans toutefois oublier les pré- et proto- humains plus anciens). Comme chacun le sait, la recherche de terrain à l'origine des connaissances actuelles sur l'évo lution humaine, non seulement sur le plan physique (grâce aux découvertes d'ossements fossilisés), mais aussi com- portementale (grâce à l'étude des environnements, lieux de vie et outils des humains), s'est essentiellement concentrée, depuis le milieu du XX e siècle, sur l'Afrique de l'Est. Avec sa succession exceptionnelle de gisements fossilifères et ses outils du début de l'Âge de la Pierre, Olduvai, en Tanzanie, n'est qu'un de ses nombreux sites majeurs (). Résultat, l'origine africaine de l'évolution humaine est de nos jours une évidence incontestable. Cette conclusion ne constitue cependant qu'un point de départ pour des questions de plus en plus subtiles, dans le cadre desquelles les découvertes africaines, et leur examen détaillé en laboratoire par des tance mondiale. Car nul n'est " propriétaire

» du passé

SUR LES TRACES DE L'HISTOIRE AFRICAINE

: SONDER LE PASSÉ

À PARTIR DU PRÉSENT

John Sutton

1

Sur les traces de l'histoire

africaine : sonder le passé

à partir du présent

J. Sutton. Sur les traces de l"histoire africaine : sonder le passé à partir du présent 11 l'histoire humaine, de ses origines à nos jours, appartient

à tous.

La question complexe de l'expansion depuis l'Afrique intérêt universel évident. En outre, il est aujourd'hui admi s que de tels mouvements de " sortie d'Afrique » se sont pro- duits plus d'une fois. La première sortie, il y a des centaines de milliers d'années, impliquait des humains pré-sapiens aux traditions, typiques du début de l'Âge de la Pierre, de fabrica tion et d'usage d'outils destinés à un quotidien de chasseur s- par les humains modernes (Homo sapiens), espèce avancée qui évolua aussi sur le continent africain et développa des cultures et des comportements plus polyvalents (y compris un sens et des compétences artistiques, ainsi que le suggère une recherche récente). Les descendants d'Homo sapiens sont parvenus en Asie il y a moins d'une centaine de milliers d'années - hier » à l'échelle de l'histoire humaine globale et ont atteint des continents plus lointains encore beaucoup plus tard. Ce tableau d'ensemble ressort en partie des fossiles dé- couverts en Afrique et aussi en Eurasie et de leur datation en laboratoires (équipés des dernières techniques de mesure iso- topique d'échantillons soigneusement recueillis), mais éga- lement des derniers progrès de la génétique comparée (ADN en particulier). Les détails évoluent bien sûr, à mesure que la recherche progresse. Cette dernière implique non seulement des équipes d'archéologues et de géologues sur le terrain, mais aussi des paléontologues et des anatomistes pour l'étude des fossiles en dialogue avec des généticiens (basés dans les musées et les facultés de médecine du monde entier), ainsi que les laboratoires de datation. La recherche de vestiges archéologiques des premiers Homo sapiens en Afrique, en particulier de fragments de squelettes fossilisés et, d'impor- tance égale, les découvertes associées à l'Âge de la P ierre et leurs contextes (environnemental, climatique, etc.), relèvent ainsi de l'intérêt international et répondent à la soif d e savoir du monde entier. La recherche sur un continent particulier, qu'il s'agisse d'archéologie ou de toute autre science, ne p eut

être isolée du reste du monde.

B. Les africanistes

La seconde tradition d'archéologues active en Afrique l'école le plus ouvertement africaniste - ne constitue pas un " club » formellement séparé ; de fait, certains pour- raient même nier une réelle distinction. Il existe néanmoins une différence, en termes de conception et de focalisation. Tandis que la première école réunit des spécialistes tra- vaillant sur des sites de tous types (et de toutes les époques également) qui se trouvent être en Afrique, l'autre tradition s'attache à développer une archéologie de l'Afrique, qu'elle associe à un engagement à " redécouvrir

» région par ré-

Fig.

1. Deux millions d'années de l'histoire de l'évolution humaine

révélés dans les gorges d'Olduvai (dans le nord de la Tanzanie), un immense ravin creusé par l'érosion et entaillant 100 mètres de couches successives du Pléistocène, y compris tufs volcaniques et cendres. La plupart de ces dépôts se sont formés dans des lacs alcalins peu profonds, situation idéale pour la fossilisation des ossements. La découverte à la

Australopithecines et d'Homo

habilis dans les strates inférieures du site (par Louis et Mary Leakey) a conféré à ce dernier une renommée internationale. (Photo ©

J. Sutton.)

Fig.

2. Des décharges, une des clés de l'histoire des peuplements des

villes, comme à Ntusi (Ouganda occidental), un centre de culture du sor- gho, entouré par une zone réservée au pacage du bétail, envi ron 1

000 à

1

400 après

J.-C. Deux décharges de 5

mètres - connues sous le nom de ntusi mâle » et " ntusi femelle » - témoignent d'un système organisé d'élimination des ordures ménagères -quotesdbs_dbs44.pdfusesText_44
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