[PDF] La figure de Méduse Persée la tête





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Lironie: quand vouloir dire ne veut pas dire vouloir dire

26 set 2017 L'ironie (eirôneia dissimulatio in oratione) est une figure par laquelle on veut faire entendre le contraire de ce qu'on dit : ainsi les ...



Figures de style _AG_

Ironie. Raillerie qui consiste à faire entendre le contraire de ce que l'on dit grâce à l'intonation. Ex.: ce compliment n'est qu'une ironie. Métaphore.



2022

31 mag 2022 termes : « l'ironie dit le contraire de ce qu'on veut faire entendre » (De Oratore Livre II). Mais ce faisant



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Elle se définit comme une figure par laquelle le locuteur veut faire entendre le contraire de ce qu'il dit. D'ailleurs les mots ou les.



Lironie mise en trope

comme une simple figure de style où l'on signifie littéralement le contraire de ce qu'on cherche à faire entendre figurément. Cette 



Qualités de lironie

19 nov 2011 L'ironie (eirôneia dissimulatio in oratione) est une figure par laquelle on veut faire entendre le contraire de ce qu'on dit : ainsi les ...



Lhumour dans lœuvre des « Romanciers Nationaux » haïtiens.

l'auditeur à travers l'ironie on dit le contraire de ce qu'on veut faire entendre



La figure de Méduse

Persée la tête toujours retournée vers l'arrière



Le discours diplomatique

non » ; et quand il dit « non » ce n'est pas un diplomate » 4. Ajoutons l'ambiguïté de certaines dénominations qui signifient le contraire de ce qu'elles 



LA «GUERRE» DES INTERNAUTES - LE HATE DANS LA

Selon la définition que nous donne Olivier Reboul une figure de style est dire le contraire de ce qu'on veut faire entendre

Comment les figures de style peuvent-elles modifier le sens ?

On fait une utilisation originale de la langue, on joue avec les codes, on exprime de façon singulière ce que l’on souhaite écrire. Les figures de style peuvent agir sur le sens des mots, la construction des phrases ou sur leur sonorité.

Qu'est-ce que les figures de style ?

Les figures de style sont les procédés utilisés pour désigner les êtres et les choses de manière plus frappante, plus saisissante. Associe un 1er élément ( le comparé) à un 2 nde élément ( le comparant) par l’intermédiaire d'un outil de comparaison (comme, tel, ainsi que, pareil à, ressembler à, on dirait, …) pour en souligner le point commun.

Quels sont les autres types de figures de style ?

Il existe des ouvrages de référence sur les figures de style, notamment le Gradus de Bernard Dupriez, le Lexique des figures de style de Nicole Ricalens-Pourchot ou le manuel de Patrick Bacry. 1. L’accumulation 2. L’acrostiche 3. L’adynaton 4. L’allégorie (figure de style)

Quels sont les ouvrages de référence sur les figures de style ?

Il existe des ouvrages de référence sur les figures de style, notamment le Gradus de Bernard Dupriez, le Lexique des figures de style de Nicole Ricalens-Pourchot ou le manuel de Patrick Bacry. 1. L’accumulation

Alma Mater Studiorum - Università di BolognaAlma Mater Studiorum - Università di Bologna

DOTTORATO DI RICERCA IN

Les Littératures de l'Europe Unie

Ciclo XXII

L-FIL-LET/14

La figure de Méduse

Réécritures ovidiennes entre XVIe et XVIIe siècle

Presentata da:Elena Raisi

Coordinatore DottoratoRelatore

prof.ssa Anna Paola Sonciniprof. Andrea Battistini

Esame finale anno 2011

INTRODUCTION

Choix du sujet et structure de l'oeuvre

Puisque le mythe ancien en général est présent en littérature dans plusieurs différentes

variantes, et celui de Méduse ne constitue pas une exception à cette règle, le premier problème

à résoudre a été le choix de la variante qui plus des autres a contribué à la tradition de ce

mythe pendant la Renaissance. Les Métamorphoses d'Ovide, oeuvre qui connaît une

remarquable diffusion au niveau européen même au Moyen Âge grâce à ses célèbres

moralisations, est objet d'une fervente activité de traduction en langue vulgaire, notamment entre le deuxième moitié du XVIe et le début du XVIIe siècle.

Pour le mythe de Méduse, pendant cette période, il n'existe presque pas une variante

d'autorité pareille à celle d'Ovide (qu'on se réfère à la source originale ou à ses réécritures);

les auteurs rappellent cette version du mythe comme 'le mythe' tout court, de façon explicite

ou implicite. Après et à côté, il y a aussi des citations des auteurs les plus renommées -

notamment de l'antiquité tardive - mais la version de référence reste le plus souvent celle ovidienne. Voici pourquoi, lorsqu'on parle de la période entre Renaissance et Baroque, notre référence principale pour le mythe de Méduse est Ovide.

Pour ce qui concerne le choix des siècles XVIe et XVIIe, notre recherche a relevé une

concentration des repères à la Gorgone Méduse pendant ces années et - de façon non pas

toujours homogène, et toutefois assez constante - au niveau européen. Ce qui a généré la

question au départ du travail; il fallait expliquer ce phénomène, surtout parce que le mythe de

Méduse n'est pas pacifique. Son noeud coïncide avec les traits du gorgoneion, véhicule des

mystères liés à la mort. En outre, bien qu'il montre une puissance symbolique remarquable, ce

mythe n'offre pas le secours d'un récit pour l'expliquer comme il faudrait; il survit de façon fragmentaire dans des 'narrations' hôtes, notamment sous la forme d'épiphanies de la figure ou du visage de Méduse, ce qui le rend assez inapte à la prose. La structure du présent travail veut donc illustrer la réception d'un mythe fortement atypique comme celui de Méduse, au moment d'une sorte de 'redécouverte'; d'abord, on illustre les 1

caractéristiques spécifiques de la Gorgone comme elles avaient étés conçues par les sources

anciennes en général - et notamment par Ovide - pour les comparer en une seconde phase à

celles qui résultent des spéculations des exégètes de la Renaissance. La nouvelle image de

Méduse comme elle apparaît en littérature sera l'objet spécifique de notre analyse.

Deux sont les genres littéraires choisis: la poésie et le théâtre; la poésie sera concentrée entre

la seconde moitié du XVIe et la première moitié du XVIIe siècle, par contre le théâtre

présentera son maximum d'expression tout au long du XVIIe siècle. Il s'agit des genres

littéraires où les épiphanies de la Gorgone ont été notamment nombreuses, et donc ils

suggèrent mieux une tendance univoque dans le matériel traité, en donnant une série de

constantes à suivre.

Pour ce qui concerne la structure du présent travail, on rappelle que l'introduction, après une

bref paragraphe à propos du sens du terme mythe, s'articule en trois partie fondamentales: Qu'est-ce que Méduse; La Méduse d'Ovide; Interpréter Méduse.

La première, Qu'est-ce que Méduse, s'occupe de l'identité de la Gorgone selon les témoignages

les plus anciennes, en suivant les principales variantes du récit. La deuxième, La Méduse

d'Ovide, analyse la version ovidienne du mythe dans le contexte de celui de Persée, qui le

contient, et illustre aussi les rapports instaurés entre la Gorgone et les autres forces en action

dans l'histoire, c'est à dire les soeurs Gorgones, la figure de Neptune, les antagonistes -

notamment Persée et Minerve - et les fils, Chrysaor et Pégase. La dernière partie, Interpréter

Méduse, parcourt brièvement les interprétations qui, dès l'âge ancienne, traversent le Moyen

Âge pour rejoindre la moitié du XVIe siècle, point de départ du travail.

Ensuite, la matière a été subdivisée en trois chapitres: l'exégèse de Méduse, Méduse et le poète,

Méduse et le théâtre.

Le premier chapitre, L' exégèse de Méduse - subdivisé à son tour en deux parties, dédiées

respectivement aux idées et aux arts visuels -, propose les plus répandues interprétations du

mythe et/ou de la figure de Méduse que les exégètes ont élaboré pendant la période 1550-

1680. La première partie du chapitre est donc dédiée aux spéculations - de voyageurs, érudits

et philosophes - à propos de l'essence de Méduse; elles visent à illustrer le mythe et la figure

de la Gorgone en repérant les sens allégoriques et moraux cachés par le récit. Quant à la

deuxième partie du chapitre, elle s'occupe surtout du côté visuel de ce mythe, du point de vue

2 des mythographes ainsi que des artistes; ces derniers sont présents avec leurs commentaires et avec leurs oeuvres aussi.

Le deuxième chapitre, Méduse et le poète, introduit la figure de Méduse en littérature,

notamment dans le contexte de la production poétique; la période est celle des années 1545-

1630 ca. où on remarque un plus remarquable intérêt pour ce type de féminin, impassible et

pétrifiant. On clôt le chapitre avec une comparaison de trois variantes du mythe de Méduse en

autant de réécritures en poésie des Métamorphoses; le but est celui de montrer différences et

persistances du récit ancien dans les vulgarisations de notre source principale.

Le troisième chapitre, Méduse et le théâtre, développe la thématique de la Gorgone dans

l'oeuvre théâtrale, notamment au XVIIe siècle, qui voit une réinterprétation chrétienne de

cette figure mythique dans le cadre des exigences spécifiques de la pensée de la Contre-

Réforme.

Chacun des trois chapitres ci-dessus rappelés est doué d'une brève introduction à la matière,

de conclusions partielles et d'une chronologie des oeuvres.

Enfin, les conclusions générales illustrent les traits essentielles du travaux, en rappelant les

étapes principales du parcours, qui se clôt sur un possible développement ultérieure de la

recherche ici entreprise.

Quelque mot à propos du 'mythe'

Si le mythe est un mot1, c'est à dire un système de communication - un message, en autres termes - il est donc une forme, qui transforme en sujet mythique ce qu'elle dit, grâce à sa

façon particulière de le dire. En tant que message, il peut être également orale, écrit, figuré.

Métalangage, le mythe signifie toujours ce qui est au-delà de sa lettre, qu'il utilise comme point de départ pour dire soi-même. La lettre comme l'image constituent un langage-objet, elles sont des signes qui touchent la limite du mythe. Dans le mythe, la lettre est vidée de sens pour être remplie avec l'être approprié qui renvoie au mythe. Est-il vraiment indispensable de savoir que les protagonistes s'appellent

Diane et Actéon, ou il faudra plutôt atteindre le vrai sens du récit qui veut le meurtre de ce

dernier, coupable d'avoir vu nue une déesse? Selon Freud, le sens second de la conduite est son

1Roland Barthes, Miti d'oggi, Torino : Einaudi, 1974.

3

sens propre, c'est à dire approprié à une situation profonde, complète. Également, le concept

mythique est l'intention même de la conduite. Pour le même concept mythique il y a donc un nombre remarquable de formes, dont la

répétition dévoile l'intention. Cette intention est toutefois bloquée, rendue éternelle par la

parole, ce qui fait l'ambiguïté propre de la parole mythique. Ce qui est du mythe aujourd'hui. Roland Barthes a bien montré que le mot mythe renvoie à un

ensemble énorme, qui comprend une très grande variété de sujets. On peut aussi choisir

d'autres définitions du mythe, mais le résultat reste toujours le suivant: ce que le mythe est pour nous, maintenant.

Dit Jean-Pierre Vernant:

" [...] Il existe une relativité des phénomènes culturels et [...] chaque civilisation, localement et

temporellement située, comporte des traits spécifiques qui ne permettent pas son assimilation pure et simple à celle dans laquelle nous vivons et qui nous est comme naturelle. C'est pourquoi il [sc. l'anthropologue] se méfie de toute forme d'interprétation symbolique immédiate et universelle.2»

Le mythe ancien, récit ou image où les gestes de dieux et déesses se mélangent parfois à

l'histoire et au quotidien des hommes, a montré une vitalité extraordinaire tout au long des siècles.

Toutefois, il a toujours échappé à une définition ponctuelle et définitive. La raison de cela

semble reposer sur le sens profonde que ce récit mythique véhicule et qui le transforme en objet puissant, quasi une formule magique grâce à laquelle les mots deviennent passages pour accéder à une vérité cachée.

Telle la force et l'adaptabilité du mythe ancien que chaque époque a chargé le récit puissant de

véhiculer sa vérité. Le résultat a été une stratification de significations toujours plus profonde

dont chaque noyau se renvient l'un l'autre dans un réseau presque infini.

Ce mythe donc, comme on le conçoit aujourd'hui, a un épaisseur et une variété de

2Jean-Pierre Vernant, Dialogue avec Pierre Kahn, dans La mort dans les yeux. Figure de l'Autre en Grèce ancienne,

Paris : Hachette, 1998, p. 98.

4 significations tel que nous ne pouvons pas le penser sans activer tout un substrat de

connaissances lié a nos pensées les plus profondes. Mais son départ a pu être beaucoup plus

simple ; l'exigence d'atteindre le sens véritable d'une représentation visuelle tellement

complexe et ancienne que son sens entier risque d'échapper à l'observateur, demande la

création d'une narration. D'abord, le temps et les incessants passages d'une langue à l'autre, d'une culture à l'autre, ont enrichi de façon extraordinaire son espace de signification.

Tel, peut-être, le cas du masque de Gôrgo, dont les premières représentation figurées datent

VIIe siècle av. J-C.

Qu'est-ce que Méduse

Méduse ou Gôrgo. Le masque et la symbolique

Le mythe, en tant que tel, on le connaît du moment où il devient logos, c'est-à-dire récit.

Mais la particularité distinctive de cette figure mythique est celle d'être, à l'origine, un masque épouvantable dont le sens ultime plonge dans le passé le plus loin. Avant d'être le personnage d'un récit complexe, elle est un motif ornemental - symbolique dont les traits distinctifs sont les yeux grands, ronds, qui regardent en face le spectateur et une grande bouche ouverte sur les dents grinçants et la langue exorbitée ; elle manque de la troisième dimension, propre au monde de vivants, car elle ne possède ni profil ni volume non plus.

Certainement le syncrétisme symbolique qui caractérise cette représentation est à l'origine du

mélange de sens qui apparaissent plus tard, soit dans la littérature que dans l'iconographie et

qu'encore aujourd'hui n'ont pas trouvé des solutions univoques.

À partir de ses noms, Gôrgo et Méduse, touts les deux anciens, cette figure se dédouble en

terreur et pensée, couple indissoluble; toutefois on peut penser que le choix de l'un ou de

l'autre nom n'est pas neutre car, si on trouve Gôrgo, le contexte souligne surtout le caractère

effrayant du masque, si on trouve Méduse, au contraire, on se réfère le plus souvent à la

5Gorgoneion. Musée hittite des civilités anatoliennes,

Ankara.

version complexe du mythe où, à côté du masque, il y a un personnage.

Remarquable le fait que les sens de gorgós (cruel, féroce, horrible/ véhément) et le verbe

gorgóomai (s'emballer), non seulement jaillissent comme Pégase de la Gorgone, mais ils sont

partie aussi du lexique spécifique relatif au cheval, animal sacré à Poséidon et justement, fils

de Gôrgo. Encore, gorgopós signifie cruel ou horrible quant aux yeux et gorgopòs ítus3 c'est le

bouclier rond avec le visage de Gôrgo.

Quant au nom Méduse, il existe dans la forme medéousa, féminin de medéon, avec le sens de

gardien, protecteur, seigneur, et attribut d'Aphrodite et Mnémosyne, et aussi, toujours lié au

radical -med, dont le verbe médo ou médomai, avec le sens régner et penser à/ s'occuper de

quelqu'un ou encore, projeter, concevoir quelque chose envers quelqu'un.

Quant au mythe, on suppose qu'originairement le cinquante Néréides étaient prêtresses de la

Lune4 et que les Gorgones, qui représentaient la triple déesse, portaient des masques

prophylactiques aux yeux flamboyants et langue exorbitante parmi des longs dents, afin de protéger le culte de la déesse des regards des hommes5. Les noms des Gorgones - Sténo (force), Euryale (ample-errante), Méduse (astucieuse) - sont aussi appellatifs de la déesse Lune, et les Orphiques appelaient la face de la Lune " tête de Méduse » . En outre, l'un parmi les plus anciens symboles sacrés, le serpent, place Méduse en une sorte d'identification et filiation de ce symbole, qui signifie le pouvoir de mort, mais aussi celui de remède prodigieux, avec un énorme réseau de renvois, à commencer par les aspects de la

magie et l'abondante tradition de célèbres sorcières, littéraires et sujets d'oeuvres d'art.

Mais ce n'est pas tout, car la symbolique du Soleil6, en tant que puissance inabordable et

3Henry George Liddell and Robert Scott, A Greek-English lexicon, Oxford : Clarendon press, 1968.

4La figure mythique de Diane présente des caractéristiques parfois semblables à celles de la femme médusante

tout au long de la Renaissance, spécialement pour ce qui concerne la résistance à l'amour et la cruauté envers

les amants refusés. Voir Robert Graves, Greek myths, London : Penguin Books, 1981, pour ce qui concerne les

sources anciennes et Frédéric Cousinié, Beautés fuyantes et passagères, Monfort : Paris, 2005, pour une

interprétation du mythe à la Renaissance.

5Pierre Brunel, L'inquiétante étrangeté du féminin, en Dictionnaire des mythes littéraires, Monaco : Rocher, 1988.

6Le mythe de Icare, aveuglé par le Soleil, est bien présent aux poètes de la Renaissance et à Philippe Desportes

spécialement, qui s'identifie avec ce jeune ambitieux, en tant que poète-amant foudroyé par le visage-Soleil de

6

terrifiante7, et source du désir jamais satisfait car il est trop pour les forces humaines, est si

présente dans les traits du gorgoneion, et surtout dans les conséquences du trop vouloir qui

pousse l'imprudent à regarder sa 'lumière', qu'il suffit rappeler l'aveuglement et la chute dans

les ténèbres, prix d'être dépourvu des instruments nécessaires même à concevoir l'entreprise.

Et quoi ajouter à propos de la diffusion de ce visage sur toute une série des objets quotidiens,

tel les voûtes des fours, afin de décourager les impatients à soustraire le pain en train de cuire,

ou sur le fond du bol, qui ne devait jamais être vidé, prix la perte de conscience pour avoir trop

bu; et encore, l'usage militaire, où elle est un décor très diffus sur boucliers et armures.

Selon Françoise Frontisi-Ducroux8, le visage de Méduse peut passer pour le prototype du

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