[PDF] La mécanisation et le matériel rural des petits fermiers de lAfrique





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Les machines agricoles Les machines agricoles

Outils animés par la prise de force . L'injection directe est utilisée sur les moteurs Diesel de machines agricoles camions et automobiles TDI.



Annexe 2 - Glossaire des machines agricoles

Outil agricole animé : par opposition aux outils non animés machines utilisant l'énergie du tracteur pour faire tourner des mécanismes



LE MACHINISME EN AGRICULTURE :

LES TRACTEURS ET MACHINES AGRICOLES Sont prises en compte uniquement les entre- prises de fabrication d'engins agricoles de traction de récolte et les outils ...



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La mécanisation agricole est l'emploi des machines dans le secteur agricole pour la production végétale animale



Fiches sécurité machines agricoles et forestières

C'est dans ce contexte que sont réalisées des études créés des outils et mises au point des formations dont la finalité est de donner les moyens aux services 



REGLES DE BASE DE LUTILISATION DU TRACTEUR AGRICOLE

machine lors des montées et descentes du relevage hydraulique. Pour permettre à tous les tracteurs de pouvoir entraîner les outils utilisant la prise de force.



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Exercice 3. Machines et matériel agricoles pour l'agriculture de conservation - théorie. Distribuez la fiche 1.3 « Outils disponibles pour une mécani-.



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Cette mécanisation intéresse les outils et les machines à main à trac- Il n'y a donc pas de vrais agriculteurs (fermiers) puisque ceux-ci mènent.



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Les machines agricoles. Conduite et entretien. 3e édition. Philippe Lerat. Ingénieur des Travaux agricoles. Inspecteur pédagogique en Sciences et Techniques 



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c) Préservation de l'outil de travail. Note de l'auteur Vidange du réservoir après chaque utilisation si la machine ne doit pas servir.



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BIEN CHOISIR SES OUTILS AGRICOLE. Chacun des outils et chaque accessoire tous bien rangés dans votre cabane de jardin





Mécanisation agricole

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Par ailleurs les opportunités de travail en agriculture sont moindre actuellement et les agriculteurs doivent de plus en plus compter sur leur revenu agricole 



LE MACHINISME EN AGRICULTURE - ADEUPa Brest

Le secteur du machinisme agricole recouvre les machines et instruments destinés à remplacer ou aider la main-d’œuvre dans la réalisation des différentes tâches agricoles Le machinisme a permis de transformer l’organisation des exploitations agricoles et de s’adapter notamment à leur agrandissement La France championne du commerce



Machines agricoles et outils : le guide complet - SMAG

1 Au cours de la présente étude nous emploierons continuellement les termes outils instruments machines et il est bon de s'entendre au préalable sur le sens qu'il con vient d'attribuer à chacun d'eux On est loin d'être d'accord sur la définition respective de l'outil et de la machine



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Même si le tracteur reste la machine la plus polyvalente dans le milieu agricole, on retrouve de nombreuses autres machines telles que : Le pulvérisateur. A la force des bras, des chevaux de trait, aux gros tracteurs que nous connaissons aujourd’hui, l’agriculture a évolué.

Pourquoi les machines agricoles sont-elles importantes pour l’agriculture ?

L’agriculture permet à l’homme de se nourrir, les machines agricoles elles servent à aider les agriculteurs. Car depuis de nombreuse années, l’agriculture n’a cessé d’évoluer. Aujourd’hui, les machines agricoles permettent d’avoir une garantie d’efficacité et de rendement car rappelons le, 1 agriculteur nourrit en moyenne 150 personnes en France.

Qu'est-ce que le machinisme agricole ?

Le secteur du machinisme agricole recouvre les machines et instruments destinés à remplacer ou aider la main-d’œuvre dans la réalisation des différentes tâches agricoles. Le machinisme a permis de transformer l’organisation des exploitations agricoles et de s’adapter notamment à leur agrandissement.

Quels sont les avantages du machinisme agricole ?

LE MACHINISME EN AGRICULTURE Le machinisme agricole intervient en support de l’activité agricole et permet d’améliorer la production et les conditions de travail. Avec l’arrivée des technologies de l’information et de la communication, l’agriculture connaît sa troisième révolution dite « numérique ».

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GEl3MA.N AFRICA WFZK

(a Kb'ln, les 10 et 13 Juin 1966) rr i '1 YI-.-<-'. LA. BIIECAXISATION -_I ET LE 1UTERIEL RURAL DES PETITS FERNIERS

DE L'AE'RIQUE 'NOIRE

Le sujet qu'il m'a été demandé de vous présenter offre un grand int8rêt. En effet, l'intervention de la mécanisation chez les petits fermiers de l'Mrique

Noire, qui représentent l'immense majorité

de la population des pays s'y tmuvmt compris 'entre les tropiques, doit contribuer

à améliorer le sort de ces paysans

et, par voie de conséquence, influer SUT le développement économique de leurs nations. Il convient de Le cerner. Pour cela, tout d'abord, il peut paraftre n& cessaire, d'une part, de définis ce qu'on peut entendre par mécanisation, d'autre par de donner des prbcisions concemant ces fermiers, En Juin 1955 s'est réunie, à Entebbé (Ouganda), la premiere Conférence ayant trait B la mécanisation agricole africaine. Nous ne retiendrons de ses tra- vaux, développ6s pendant une semaine, gue la définition ayant btb dégagée s en par- tie pour fixer les attributions du Comitb Interafricain de la Mécanisation Agricole - né ultérieurement de cette s6union. Cette mécanisation intéresse les outils et les machines à main, à trac- tion animale et de motorisation, utilisés B l*échelon de S1exploitation et de la petite coophakbve de production depuis le défrichement jusqu'à la préparation, I@ sl-ockage et la transformation des produits ; les problèmes afférents étant em- minés sous le triple aspect technique, économique et social, I1 est bien évident qu'il faudrait disposer de plus de temps qu"1 nous en est imparti p,ow examiner tous es aspects, même en restreignant le sujet aux petits fermiers, Nous nous limiterons donc. Sur le deuxième point il est utile de préciser que, dans la majorité des cas, i!, n'existe pas de "femes" dans ces pays, au moins selon un sens européen donné à ce terme, Etmt précisé qu'il ne slagit pas de caractérises le líen juri? dique existant entre un propriétaire et un tenancier, nous entendons par fermes des exploitations de pol.;yculture dans lesquelles les travaux des champs sont r6a- lises par l*intervention dd la traction animale, comme il en était dans la quasi généralité des cas en Europe avant la première guerre mondiale. Eh afrique inter- tropicale les spéculations rurales, d'une part, se présentent de façon differente selon le olimat, d'autre part, quand celui-ci le perrriet, l'&levage et la culture ressortissent aux attributions de, deux catégories de gens. Encore que, en général les variations climatiques soient relativement insensibles on peut opposer, grosso modo, les zones soudano-schéliennes, aux zones guinéennes, dont les emplacements géographiques varTent b l'Est et B l'Ouest du continent. Dans les prenibses les conditions Qcologiques font que les cultures sont en majorit8 annuelles et permettent la vie des animaux domestiques de gros formt, spécialement des bovins, alors que dans les secondes, oÙ les cultures pérennes eutres que vivrières dominent, il n'y a que des îlots oÙ on trouve des bovins de très petite taille : de la race des Lagunes par exemple. nent aux spéculations de l'Qlevage, alors que les autres ruraux sont responsables de la majorité des cultures. Spécialement dans les zones soudano-sah&liennes, les pasteurs s' adon-

0. R. s. 8. o. M.

2.3 Il n'y a donc pas de vrais agriculteurs (fermiers) puisque ceux-ci mènent depuis des siècles sur leurs exploitations fixées les deux catégories de spécula- tions se complétant dans le cadre du mixed-farming. En fait les villageois installent les cases groupées d'une famille éten- due ("carré" en Afrique Occldentale) dans des villages dont

1' emplacement niest

pas définitif. Ilans l'ensemble dépendant d'un chef de fadlle cultivateur, parfois ma- térialisé par une clatwe, on ne trouve que du petit bétail en faible quantité : basse cour, chèvres ou moutons, quelquefois des &es utilisés périodiquement pour le portage, parfois un cheval ; alors que dans celui du pasteur les bovins ne sont pas rassemblés. Ils ne le sont que la nuit dans des Kralls, se déplaçant avec les p8turages . Le village des cultivateurs 68 d4place en même temps que les terres de culture, B appropriation le plus souvent collective, lorsque la fertilité des champs, après plusieurs rotations est épuisée. Assez souvent d'ailleurs des vil- lages provisoires, dits "de culturelt, sont installés dans les champs, quand une première itin6rance les a éloignés du village principal. Pour ce qui est des zones guinéennes, la pérennité du village est plus grande, compte tenu de l'existence de cultures pluri-annuelles arbustives, assez souvent llassociéesll aux cultures annuelles vivrières.

Quelle que

soit la région, d'ailleurs, on peut aussi indiques que les surfaces mises en culture par me famille, sont très réduites ; ce qui a une influ- ence considérable aur les moyens de production, Tout ceci domine, naturellement, 1'Qquipement du petit fermier.

Son Qquipement initial traditionnel, qu'il

soit cultivateur au premier chef ou éleveur se livrant à quelques occupations de culture, est donc manuel ; et il est très restreint, Manuel en fonction de ce qui a été dit et du fait que les pasteurs n'ont pas bénéficié des traditions nratoirea qui auraient pu leur parvenir des régions circummdditerranéennes ; restreint car 1 économie agricole des régions intertropicales africaines étaient, jusqu'au début du siècle, essentiellement de subsis tance'. Mais, selon les pays int&ess&s, depuis environ cinquante ans maintenant pour certains, des introductions de matériels 2 traction animale ont été réalisées dont l'intervention, apres différentes vicissitudes et tatonnements, se développe en concernant des zones de plus en plus importantes et des machines de plus en plus nombreuses, apportant ainsi gux getits fenaiers de plus grandes possibilités. Parfois, ces derniers ont aussi été touchés, avec beaucoup moins d'impor- tance, par la motorisation. Malheureusement, cette dernière, eu 6gard aux wndi- tions g6nérales dominant le développement des pays en cause, ne peut etre prônée rationnellement que dans des cas restreints et pour un minimum de cultivateurs qu'il convient alors, la plupart du temps, de grouper pour une utilisation collective des matériels motoris&, susceptibles d'intervenir à divers stades de la mécanisa- tion. Nous nous proposons de parler successivement des outils et des machines

2i main ainsi que des matériels destinés 'a la traction animale, qui nous paraissent

3. correspondre au sujet qu'il nous a été demandé de vous exposero. Nous indiquerona ultérieurement quelles sont les raisons qui gênent con- sidérablement l'intervention des matériels de motorisation dans le cadre défini, *-x

LES OUTILS ET MAC"ES A MAIN

- Les outils traditionnels A 1' occasion de la première démonstration iinportante de mécanisation agricole, 8,yant eu lieu en

1958 au Centre de Recherches Agronomiques de Bambey au

Sénégal, un catalogue des outils 8. main utilisés par les agriculteurs de L'Afrique occidentale française avait été réalisé. Les principaux types étaient exposés dans un stand spécial. Leur --- variété était considérable. Par ailleurs, quelques enquêtes ré- gionales traitant du mgme sujet avaient permis des constations semblables. On peut donc dire que le caractère dominant cette catégorie d'engins est la vykés, compte tenu des ethnies d'utilisateurs, des écolegies d'ihter+eations, des m&hodea .cul- turales en cause, etc.. . Encore qu'il y ait des variations géographiques assez consQquentes,pour qui s'est penché sur le problkme de l'approvisiormement des agriculteurs en cette matière, il apparait, en deuxième point, que les outils sontfa&$u&, dans leur gmmde majorité, localement, par les forgerons de village-s. Ces fabricants, actuel- lement, ont reiours assez rarement à des matières premières locales ; le plus sou- vent, ils utilisent des métaux de récupération provenant de "sources" de diverses sortes. En conséquence, compte tenu de leur équipement sommaire de fabrication, les outils, s'ils correspondent, par leurs formes et dimensions, aux goûts et ap- titudes des clients ne présentent pas toujours une qualité suffisante. Crest sans doute la raison du succbs rencontré par les rares engins fabriqués par ces artisans avec des produits semi-finis importés. Les taillandiers des pays industriels fournisseurs traditionnels en outils manuels de jardinage et de culture des agriculteurs des régions tempérées, ont cherche

8. satisfaire cette clientèle ; parallèlement, et assez récemment, c'est

pour la fabrication de tels outils que les premiers petits centres de construction locale ont ét6 installés dans certaines regions dlAfsîque. Mais, s'agissant des modèles sortant des taillanderies, malgré les efforts des industriels concernés, on constate le plus souvent qu'ils sont, avant utilisation, confiés aux artisans villageois qui les aménagent selon les désirs des acheteurs, I1 sortirait du cadre de cet exposé de prétendre traiter de cette ques- tion, même superficiellement, pour toutes les régions en cause. On peut toutefois citer, rapidement, les principaux modèles d' outils commercialisés par les importa- teusj dans les régions d'Afrique et

à Madagascar.

.J..* 4. d Au premier plan, on doit citer la matchette, pour constater, d'une part, qu'elle est destinée à de très nombreuses interventions, que sa simplicité ne'pour- rait a priori pas laisser supposer, ceci impliquant une dexte'rité particulière des utilisateurs, d'autre part que malgré cette simplicité des variétés infinies de modèles : droits ou arqués, à pointe ou sans, B pointe taillée ou non, de longueur, de largeur et d'épaisseur du fer plus ou moins conséquentes, etc., conduisent cer- tains taillandiers spécialisés à fournir plus de cent modèles différents pour la seule Afrique.

Ensuite, on doit s'arreter

sur les houes permettant tous les travaux, depuis le défrichement-aménagement des terres jusqulà la récolte de certains fruits souterrains et des tubercules et racines. Elles sont en général importées sans t manche, pour que l'utilisateur puisse les adapter à ses désirs. LB aussi, la variété est grande dans les outils travaillant par percussion ou par traction, dans ceux qui sont

à oeil et 8. douille (l\ladagascar) , ou

incurvés, sectionnés droit ou en pointe, etc., sans compter les engins plus ou moins spéciaux pouvant être classés là, telle 1'Llgr 8. pousser du Sénégal, ou la EelJg ---- bride des Bamilékés. Ce sur quoi on peut insister c'est que, la plupart du temps, ces outils sont plus légers que leurs homologues utilisés dans les régions tempérées ; c'est particulièrement pour ceci que les fabrications industrielles sont revues et corrigées par les forgerons locaux. queue (Afrique),

8. fers droits ou

Dans la catégorie des beches et pelles, la variété est moins importante, sans doute parce que des agriculteurs aux pieds nus ont de sérieuxs difficultés pour enfoncer les premières dans des sols cohérents. Aussi, on peut constater que certains modèles étroits, telle l'&ana& de Madagascar, sont enfoncés à force de bras dans le sol et que les pelles sont utilisées de façon un peu particulihrz, du point de vue des conceptions occidentales, pour des travaux s'apparentant aux labours. Les haches, cognées, hachettes, etc., sont des outils de défrichement et de récolte du bois et de certains fruits, ainsi que d'entretien des cultures enva- hies par les rejets de buissons non détruits lors de la. mise en valeur, etc. Elles sont, le plus souvent, de fabrication locale compte tenu d'un emmanchement pouvant être très spécial, douille dans le prolongement du manche pas exemple, et du fait que, là particulièrement, les outils légers sont préférés à ceux relative- ment lourds des régions tempérées, plus efficaces mais impliquant des efforts con- sequents et brutaux, auxquels répugnent les utilisateurs en cause. Des ktudes ont été amorcées pour essayer de déterminer dans quelle mesure la fourniture de ces outils pourrait être étendue et améliorée du point de vue in- dustriel. On peut constater que, même pour les matchettes, étudiees scientifiquement par divers Orgmismes, elles ont été insuffisantes en regard de la multitude des modèles. Nonobstant cela on peut dire, malheureusement, que les outils ne sont pas toujours adaptés aux possibilités physiques des hommes, des enfants et des femes intervenant ceux dotés de fers légers. I1 serait nécessaire de tenter une normalisation des fabrications en respectant et améliorant la polyvalence des outils concernés. différents titres dans les opérations culturales, et que la faveur va A ces outils polyvalents, l'importation a cherché 8. ajouter ur- nombre re- lativement considérable de ceux qui sont utilisés par les agriculteurs des régions tempérées ayant la responsabilité de potagers et de vergers, tels que diverses bi- 5. nettes, 8. pousser ou b tirer, ou des sécateurs et égoYnes pour certaines spécula- tions arbustives, etc. Mais on ne peut pas dire que ces introductions, d'une part, soient générales, d* autre part, aient modifié sensiblement 1' Qquipement de 1' agri- culteur moyen. Celui-ci reste tribuzaire des possibilités de ses outils tradition- nels.

Encore que la question

soit tres importante, nous ne pensons pas que la fourniture de tels outils b main, m8me mieux adaptés aux taches et aux ouvriers, puisse faire Qvoluer considérablement

1' agriculture des pays en cause.

Il n'en est pas de même des matériels B main que nous allons citer, ainsi que des quelques outils spécialisés dont nous parlerons en meme temps. En effet, ils apportent aux cultivateurs d'autres possibilités inconnues jusque là, soit pour des travaux qu' ils réalisaient difficilement avec leurs outils ou appareils tra- ditionnels, soit pour d'autres dont ils n'envisageaient même pas la réalisation.

Les autres matériels

à pain I-

des cultures, ainsi que la récolte et la transformation des produits. Ils intéressent, au premier chef, le semis, l'entretien et la défense

Matériels pour le semis et

la plantation Au-delà des La.op..u;s, des foges ou des ~ouJgag-m&r~ug~s, qui sont de fabrication domestique et permettent de faciliter le semis en ligne, il existe plusieurs genres d' outils semeurs? utilisables manuellement. - Le plus simple est la gagggl=&epx?, dont le manche creux constitue le réser- voir et qui dispose d'un distributeur fonctionnant par percussion. Elle donne de bons résultats pour les céréales. - Les c&qges gegegru., dont le tambour sert de réservoir, ont été essayés pour di- verses cultures. On reproche B ces semoirs & barillet de n'avoir pas une capacité suffisante et de ne pas assez recouvrir les graines. - want au xoagasgegep, qui fonctionne selon le même principe, si sa capacité est plus grande, son utilisation en pépinihre de rizière n'a pas ét6 plus loin que

1 expérimentation.

- 11 en est de meme des &egoArs c&s@gugs de jardinage I% pousser'l, du type gon-01-g dont les modèles diffèrent peu, en dehors du poids, de ceux dont nous parlerons plus loin en traction animale. Et, malheureusement, les petits engins portés sur la poi- . trine, dont la distribution à Aa-vo-lLe est commandée par manivelle ou gar archet, n'ont pas été beaucoup utilisés jnsqu'8 présent, meme en riziculture. I rgste qvl';" dus exp6ric;nces se poursuivent, qui conduiront peut être .3 des r6sultais. - I Regiaugugeg & g.&n façon habituelle par 1 I industrie, des modèles d' origine chinoise ont ét6 importés, tant au Mali qu'8 Madagascar par exemple, et llexpQrimentation de leur utilisation Nous devons signaler ces mtériels cas, s'ils ne sont pas fournis de . ...i ..... I. par les agriculteurs se poursuit. Elles sont constituées d'un bac plat contenant les plants pour

5 lignes (en général) et reposant sur 6 patins trainant SUU: la ri-

zière. Cinq pinces métalliques, disposées à l'avant du bac, sont entrainées par une commande unique pour prendre, planter dans la boue et y abandonner les plants. C'est l'opérateur qui, en tirant ou en poussant la machine, commande d'une main le fonctionnement des pinces. I1 est aidé par deux ouvriers, qui alimentent le ré- servoir.

Matériels

dy entretien En dehors des outils traditioimels, matche tte et diverses houes/dabas, dont

1 'utilisation est courante pour l'entretien des cultures, nous pouvons cites

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