LA REPRODUCTION CHEZ LHOMME (Niveau premier cycle de l
produire les cellules reproductrices (spermatozoïde chez l'homme et ovule chez et fonctionnelle des organes de la reproduction chez le garçon et chez la ...
Les biotechnologies de la reproduction chez les Mammifères et l
Les biotechnologies de la reproduction chez les Mammifères et l'Homme. Version 1. (dernière mise à jour : 15-12-2005). Ce recueil terminologique contient
Chapitre 1 : Les principales étapes de la reproduction
dans son déroulement à une mitose. A l'issue de la méiose
Rôle et importance des processus de renforcement dans l
14 janv. 2010 Chez l'Homme le comportement sexuel est encore plus diversifié et on ... comportement de reproduction chez l'Homme sont vraisemblablement ...
Xénobiotique et altération de la fonction de reproduction chez lhomme
de reproduction chez l'homme au cours de ces dernières décennies. L'une des explica- tions possibles est l'exposition à des sub-.
Loi 049-2005 -AN portant Santé de la Reproduction
Les dispositions de la présente loi régissent la santé de la reproduction au Burkina lutte contre les cancers génitaux et l'infertilité chez l'homme.
Troubles de la reproduction chez lhomme: les facteurs liés à l
13 août 2009 ? production spermatique. ? incidence cryptorchidie ? hypospadias ? EXPOSITION. PROFESSIONNELLE. ? Très grande vulnérabilité de la fonction ...
Reproduction - Risques - INRS
Des discussions existent sur le fait que l'exposition à des substances chimiques pendant la grossesse puisse être à l'origine d'une atteinte du système.
Fiche de description de danger biologique transmissible par les
1) Hôte définitif : hôte chez qui se déroule la reproduction sexuée du parasite (parasites nombre de parasites qui reste toujours faible chez l'Homme.
Recueil déléments pour aider à lévaluation des dangers des
1 avr. 2011 Elle comprend en effet l'altération des fonctions ou de la capacité de reproduction chez l'homme ou la femme et l'induction d'effets ...
LA REPRODUCTION CHEZ L’HOMME (Niveau premier cycle de l
La reproduction assure la continuité de l'espèce par la transmission de la vie et la formation d'un nouvel être Chez l'homme elle est caractérisée par: - une fécondation interne : c'est-à-dire qu'elle a lieu à l'intérieur du corps de la femme - une viviparité (gestation placentaire);
La reproduction humaine Profs : -bayejou - Dyrassa
La reproduction Introduction : La reproduction chez l'homme est sexuée elle fait intervenir des organes reproducteurs mâles et femelles qui fonctionnent à partir de la puberté La puberté est un ensemble de transformations marquant le passage de l'enfance à l'âge adulte pour devenir capable de se reproduire et de transmettre la vie
LA FICHE PEDAGOGIQUE
THEME : FONCTION DE REPRODUCTION (Durée : 12 heures) • TITRE : LA REPRODUCTION CHEZ L’ESPECE HUMAINE Pré requis: Les élèves connaissent déjà : - L’organisation du corps humain ; d’une cellule ; d’un tissu ; d’un organe et d’un appareil - Ils connaissent aussi les fonctions vitales et peuvent aussi définir la reproduction
Qu'est-ce que la reproduction chez l'homme?
LA REPRODUCTION CHEZ L’HOMME (Niveau premier cycle de l’enseignement secondaire) INTRODUCTION La reproduction assure la continuité de l'espèce par la transmission de la vie et la formation d'un nouvel être.
Qu'est-ce que la reproduction?
La reproduction assure la continuité de l'espèce par la transmission de la vie et la formation d'un nouvel être.
Qu'est-ce que le module de la reproduction?
Ce module est centré sur la fonction de reproduction, sur les aspects anatomiques et physiologiques qui lui sont liés et les méthodes contraceptives.. . JUSTIFICATION DUMODULE De nos jours les problèmes liés à la santé de la reproduction préoccupent les autorités et les parents.
Qu'est-ce que l'acquisition de la capacité à se reproduire à la puberté?
- Des voies génitales internes qui, associées aux glandes accessoires, transportent les cellules reproductrices. - Des organes génitaux qui permettent l'accouplement L'acquisition de la capacité à se reproduire à la puberté correspond à une maturité structurale et fonctionnelle des organes de la reproduction chez le garçon et chez la fille.
Caractéristiques et sources
de Fasciola hepaticaPrincipales caractéristiques
microbiologiques Fasciola hepatica, ou grande douve du foie, est l'agent de la fasciolose,maladie touchant principalement les ruminants et, plus rarement, l'Homme qui sont les hôtes définitifs
1 . C'est un ver plat non segmenté, cosmopolite appartenant au groupe des Plathelminthes, classe des Trématodes, famille des Fasciolidés. Le ver adulte mesure de 15 à30 mm de long sur 10 mm de large et vit dans les voies biliaires de
mammifères sauvages et domestiques ainsi que dans celles de l'Homme.Les douves adultes pondent des ufs dans les canaux biliaires qui sont transportés par la bile, puis via le transit intestinal, excrétés vers le
milieu extérieur. Dans un environnement aquatique ou très humide, les ufs s'embryonnent en trois semaines à 15°C, puis éclosent lorsque les conditions de température deviennent favorables, libérant un embryon cilié ou miracidium. Pour poursuivre son développement, ce dernier nage pendant quelques heures à la rencontre d'unmollusque gastéropode hôte, dans lequel il pénètre. Beaucoup d'espèces de mollusques sont réceptives, mais peu sont capables
d'assurer le développement larvaire complet. En France, en pratique, c'est une limnée, Galba truncatula, mollusque amphibie, qui joue ce rôle : sa présence est donc un facteur indispensable à la circulation du parasite. Après maturation et multiplication asexuée, de nouvelles larves,les cercaires, quittent le mollusque, souvent en automne. Quelques miracidiums ayant pénétré chez le mollusque réceptif suffisent à la
production d'un grand nombre de cercaires. Leur phase aquatique active est brève : elles s'enkystent rapidement sur un support végétal. Les métacercaires ainsi formées peuvent persister et rester infectantes plusieurs mois. Le cycle du parasite est résumé dans la Figure 1.Sources du danger
Les ruminants domestiques (ovins et bovins) assument le rôle principal de réservoir du parasite. La prévalence de l'infestation par les petites et
grandes douves chez les bovins était de de 4% sur la période 2005-2010. Le rôle des réservoirs sauvages de parasites est contrasté : le lapin, même s'il peut héberger des douves adultes, n'a pas de rôleépidémiologiquement significatif.
Un réservoir nouveau, le ragondin, a été identifié dans plusieurs foyers, 1) Hôte définitif : hôte chez qui se déroule la reproduction sexuée du parasite (parasites adultes).Fasciola hepatica adulte (coloration au carmin chlorhydrique)
© Gilles Dreyfuss
Fiche de description de danger
biologique transmissible par les alimentsSeptembre 2016
Nom commun : grande douve du foie
Helminthes, embranchement des Plathelminthes
(ver plat)Parasite
Fasciola hepaticaFigure 1. Cycle biologique de Fasciola hepaticaPopulation sensible
3 Il n'existe pas à ce jour d'éléments permettant d'affirmer qu'il existe une population plus à risque d'infections ou de complications.Relations dose-effet
4 Quelques larves suffisent à causer la maladie. En revanche, la gravité de la maladie dépend de la quantité de métacercaires ingérées, donc du nombre de parasites, qui reste toujours faible chez l'Homme.Épidémiologie
En France et en Europe il n'existe pas de système de surveillance de la fasciolose permettant de préciser les données épidémiologiques. La fasciolose humaine semble avoir été moins souvent diagnostiquée durant les deux dernières décennies. Plusieurs hypothèses peuvent être formulées : meilleure maîtrise de la fasciolose des animaux de rente et diminution de la charge parasitaire chez les animaux domestiques, baisse de la consommation du cresson sauvage, cressonnières industrielles mieux surveillées, changement dans les habitudes alimentaires et les réseaux de distribution alimentaire, etc. La fasciolose humaine survient le plus souvent par épidémies plus ou moins grandes, groupées autour de la consommation du végétal contaminé comprenant quelques cas dans les épidémies familiales dues à une cueillette de loisirs ou plusieurs dizaines de cas dans celles qui ont pour origine une exploitation à forte production, distribuée dans les structures commerciales. La dernière épidémie publiée, survenue en France en 2002 dans le Nord, était due à la consommation de cresson cru commercial provenant d'un même producteur local. Le nombre de cas annuels moyen en France métropolitaine a été estimé en 2004 par l'Institut de veille sanitaire entre 316 et 357 cas. Selon une étude récente, le nombre de cas demeure faible pour la période2008 - 2013. L'analyse des données du Programme de médicalisation
des systèmes d'information (PMSI) a permis d'identifier 31 personnes hospitalisées entre 2008 et 2013 (en moyenne 5 par an).Rôle des aliments
Principaux aliments à considérer
En France, la contamination de l'Homme se fait par l'ingestion de végétaux aquatiques crus : cresson essentiellement, rorippe ou cresson des bois, ou provenant de biotopes humides : pissenlit, mâche, menthe, etc. Il s'agit le plus souvent de végétaux sauvages cueillis. La contamination des produits cultivés (cresson) peut être observée exceptionnellement en cas d'inondation, suite au développement accidentel des mollusques hôtes parasités. obligeant à une révision des méthodes de prévention. Le ragondin est, à lui seul, capable d'assurer la pérennité de l'enzootie², et il constitue un redoutable danger pour les cultures en milieu humide, comme le cresson. D'autres herbivores sauvages (cervidés) peuvent assurer la dissémination du parasite. Chacun des hôtes peut assurer une dissémination active : les mammifères par leurs excréments et les mollusques par leurs déplacements dans les milieux humides. De plus, un faible pourcentage de mollusques parasités (1 % seulement) suffit pour assurer la transmission de la fasciolose chez l'herbivore. Les ufs excrétés par l'Homme conduisent peu souvent à la production d'un miracidium. Une contamination environnementale des biotopes à limnées est possible à partir d'épandage ou d'effluents d'abattoirs contenant des ufs. L'utilisation des eaux de surface pour la cressiculture est à proscrire du fait du risque de contamination par le ruissellement des eaux de pluie contenant des matières fécales parasitées.Voies de transmission
La fasciolose humaine est liée à la présence de mammifères parasités (en particulier dans les élevages) et à la consommation de végétaux poussant en milieu humide. L'Homme se contamine exclusivement en ingérant des végétaux crus porteurs des métacercaires : cresson surtout, mais aussi salades sauvages.Maladie humaine d'origine
alimentaireNature de la maladie (Tableau 1)
L'ingestion de la larve est suivie d'une phase de migration et de maturation qui dure environ trois mois et entraîne chez l'hôte des manifestations regroupées sous le nom de phase " toxi-infectieuse ». Ensuite, les douves, devenues adultes, vivent dans les voies biliaires, pendant plusieurs années, constituant la phase d'angiocholite chronique.Tableau
1.Caractéristiques de la maladie
Durée moyenne
d'incubationPrincipaux symptômes
Durée
des symptômesDurée
de la période contaminanteComplications
Incubation
silencieuse15 jours à un mois
- Toxi-infection : fièvre, fatigue de plus en plus intense, douleurs abdominales, altération de l'état général, douleurs hépatiques (parfois ictère), prurit, urticaire, hyperéosinophilie sanguine - Infection des canaux biliaires : poussées d'ictère de rétention, coliques hépatiques violentes. Evolution possible vers la cirrhose2-3 mois
Plusieurs années en
l'absence de traitementElimination fécale des
ufs dès le 3
ème
ou 4ème
mois post-infection et pendant la durée de vie des douves (plusieurs années)Calcification des voies biliaires
Recommandations pour la production primaire
Parmi les végétaux cultivés, le cresson est l'aliment le plus fréquemment impliqué dans la transmission de la douve. Il est recommandé afin d'éviter la contamination des cressonnières : • de ne pas utiliser des eaux de surface pour la culture, • d'assurer une protection des cultures contre les incursions d'animaux sauvages ou domestiques (ovins et bovins) et les eaux de ruissellement provenant de pâturages, parcsà bestiaux, etc.
• d'assurer un bon aménagement des fosses pour éviter la prolifération des limnées réceptives.2) Enzootie : Maladie infectieuse des animaux sévissant dans une zone donnée (étable, village,
région, etc.) ou à certaines époques périodiques, sans tendance à l'extension.3) Population sensible : les personnes ayant une probabilité plus forte que la moyenne de
développer, après exposition au danger par voie alimentaire [dans le cas des fiches de l'Anses],
des symptômes de la maladie, ou des formes graves de la maladie.4) Relation entre la dose (la quantité de cellules microbiennes ingérées au cours d'un repas)
et l'effet chez un individu. 2 Fiche de description de danger biologique transmissible par les aliments /Fasciola hepatica
Hygiène domestique
LiensRéférences générales
• Mailles A., Capek I., Ajana F., Schepens C., Ilef D., Vaillant V., (2006). Commercial watercress as an emerging source of fascioliasis in Northern France in 2002: results of an outbreak investigation.Epidemiol Infect 2006;1-4
• Schepens C., Ilef D., Ajana F., Volant P., Flavigny MC., Therouanne M., Lefort M.,Fillebeen C., Mailles A., Capek I, Vaillant V., Capeck I., De Valk H. (2002). Epidémie de distomatose à Fasciola hepatica, dans la région Nord Pas de Calais, septembre 2002. http://opac.invs.sante.fr/ doc_num.php?explnum_id=5856Liens utiles
• Laboratoire de référence de l'Union européenne pour les parasites : Istituto Superiore di Sanità (ISS) I-00161, Rome - Italie http://old.iss.it/ • Laboratoire national de référence (LNR) des parasites transmis par les aliments, hormis Echinococcus sp. : Laboratoire de santé animale deMaisons-Alfort, Anses
• Laboratoire de parasitologie de la faculté de pharmacie de Limoges (Pr. G. Dreyfuss), 2 rue du Dr. R. Marcland, 87025 Limoges CedexTraitements d'inactivation en milieu
industriel Les végétaux à risque sont généralement d'origine sauvage. Il n'existe aucun traitement permettant d'assainir un végétal contaminé compatible avec la présentation d'un produit destiné à être consommé frais.Tableau
2 : Impact des traitements en milieu industrielTraitementConditionImpact
Chaleur
60°C, quelques
minutesMortalité des métacercaires
Froid quatre mois à 4°CSurvie des métacercaires -2°C à -10°CLes métacercaires résistent à ces
températures -18°C Mortalité des métacercairesIonisation Pas de données
Lyophilisation ou
déshydratationPas de données
Vinaigre
Inefficace quels que soient la
concentration et le temps de contactSurveillance dans les aliments
La surveillance cible l'application des mesures de prévention de la contamination du cresson, cultivé et commercialisé : depuis 2008, le contrôle officiel des cressonnières est assuré par les services régionaux de la protection des végétaux (Draf / SRPV). Les contrôles du cresson mis sur le marché (notamment dans les marchés de gros) sont pratiqués par la DGCCRF. La recherche visuelle des larves infectantes sur les aliments n'est pas réalisable (faible densité, petite taille (250 à 300 µm), aspect translucide ne tranchant pas sur le support, absence de moyen permettant de les décoller pour les concentrer). En revanche, il est possible de dépister le parasite dans l'environnement en détectant les mollusques réceptifs et en mettant en évidence les larves qu'ils hébergent.Recommandations aux opérateurs
Ne pas cueillir et commercialiser les végétaux sauvages. • La chaleur (plus de 60°C pendant quelques minutes) tue les métacercaires. • Les colis de cresson destinés à la vente portent les nom et adresse du producteur, le lieu de son exploitation. Ces mêmes indications apparaissent sur le lien des marchandises conditionnées en bottes. • Ne pas commercialiser les cressons en cas d'inondation.Recommandations aux consommateurs
• La protection essentielle consiste à déconseiller toute consommation à l'état cru de végétaux collectés (salades) dans les milieux naturels (cueillette sauvage). La quasi- totalité des contaminations humaines actuelles est due à ces pratiques. • La chaleur (plus de 60°C pendant quelques minutes) tue les métacercaires. • Le lavage des feuilles de cresson, y compris avec du vinaigre, est insuffisant pour éliminer le danger (métacercaires). • Le consommateur doit rejeter les produits qui n'affichent pas leur origine. 3 Fiche de description de danger biologique transmissible par les aliments /Fasciola hepaticaquotesdbs_dbs44.pdfusesText_44[PDF] etude d'une lunette astronomique correction
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