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leurs proches disparus dans la guerre d'Iraq et elle a reçu de milliers de jeunes hommes morts au Vietnam à tra- vers un mémorial inauguré en 1982 



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du Viêt-Cong (VC) ont déploré la mort de plus d'un million de soldats Environ deux millions de civils sud et nord-vietnamiens ont également péri au cours 



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la décolonisation guerre froide devenue chaude ce conflit d'un Viêt-nam sous l'autorité du autochtones morts en servant



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Il contribue bien évidemment à l'établissement toujours poursuivi jamais achevé d'un bilan démographique complet et définitif de cette guerre Afin de 



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Jacques Portes Les Américains et la guerre du Vietnam de la guerre restent inférieures au chiffre des morts sur les routes américaines>• (p 327)



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Les Américains déplorent 58 000 morts (environ deux fois moins que pendant les quelques mois de leur intervention dans la Première Guerre mondiale) Les 



Secret et strategie pendant la guerre du Vietnam - Cairn

Celles-ci constituent en effet la majorité des 38 millions de morts civils et militaires recensés dans les deux camps vietnamiens chiffre repris par l'ancien 



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La Guerre du Vietnam en chi res 7 8 millions de tonnes de bombes (3 4 millions durant la Seconde guerre pour l'ensemble des alliés) Vaincre à tout prix



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1 Il y avait 16 000 « conseillers » américains au Vietnam en 1963 puis 23 000 en 1964 ; à partir de ( ) 2 La guerre aura fait du côté américain 58 000 morts 



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Jacques Portes Les Américains et la guerre du Vietnam Bruxelles Éditions Complexe Collection Questions au XXe siècle 1993 359 p Bernard Lemelin



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Cette grille d'analyse sur les Guerres du Viêt-Nam valorise le nationalisme vietnamien tout en condamnant les interventions militaires occidentales au Viêt-Nam

plus de 50 000 soldats américains tués, plus de 280 000 soldats sud-vietnamiens tués. Plus de 300 000 américains blessés. plus de 380 000 soldats nord-vietnamiens tués ; 666 000 à 950 000 morts avec les combattants du Vi?t Cong + jusqu'à 182 000 civils.
  • Quel est le bilan de la guerre du Vietnam ?

    Le bilan de la guerre est stupéfiant : 1,7 million de morts, trois millions de blessés et de mutilés et 13 millions de réfugiés. Les États-Unis larguent 7 millions de tonnes de bombes et 75 millions de litres d'herbicide de défoliation de la jungle, et perdent 10 000 hélicoptères et avions militaires.
  • Pourquoi les Américains ont fait la guerre du Vietnam ?

    Les États-Unis inscrivirent ce conflit dans la logique de la guerre froide en s'appuyant sur une stratégie anti-communiste. L'expansion du communisme devait être stoppée conformément à la doctrine américaine de l'endiguement, afin d'emp?her un « effet domino » en Asie du Sud-Est.
  • Comment les vietnamiens ont gagné la guerre ?

    Fin de la guerre du Vietnam, une issue trouvée à Paris
    Pourtant, il faudra attendre 1973 pour que les États-Unis se désengagent. Ce sont les accords de paix de Paris qui signent l'armistice. Tous les belligérants se réunissent le 27 janvier 1973 et se mettent d'accord pour terminer cette longue guerre dévastatrice.
  • L'objectif est d'aboutir au soulèvement de la population sud-vietnamienne contre la République du Vietnam. L'offensive est lancée dans la nuit du 30 au 31 janvier : 80 000 soldats du Nord-Vietnam attaquent une centaine de villes à travers le pays.

Tous droits r€serv€s Association qu€b€coise d'histoire politique; VLB 'diteur,1995

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Bernard Lemelin

Volume 3, Number 2, Winter 1995URI: https://id.erudit.org/iderudit/1063259arDOI: https://doi.org/10.7202/1063259arSee table of contentsPublisher(s)Association qu€b€coise d'histoire politiqueSeptentrionISSN1201-0421 (print)1929-7653 (digital)Explore this journalCite this review

Lemelin, B. (1995). Review of [Jacques Portes, Les Am€ricains et la guerre du Vietnam, Bruxelles, 'ditions Complexe, Collection Questions au XXe si"cle,

1993, 359 p.]

Bulletin d'histoire politique

3 (2), 190...191. https://doi.org/10.7202/1063259ar

Jacques Portes, LES AMÉRICAINS ET LA GUERRE

DU VIETNAM, Bruxelles, Éditions Complexe, Collection

Questions au

:xxa siècle, 1993, 359 p. << pournir une synthèse en français englobant les différentes facettes de la présence américaine au Vietnam et de ses suites, en mettant en pers pective les questions les plus controversées)> (p. 21), tel est le but de Jacques Portes dans cet ouvrage consacré à la plus longue guerre menée par la nation américaine et qui s'est avérée la <. En conséquence, mentionne l'auteur, <> (p. 11). Ecrite de façon fluide et basée sur un large éventail de monographies récentes et quelques sources primaires (Public Papers of the Presidents of the

United States, New York Times,

etc.), cette étude recèle plusieurs points intéressants sur le plan du contenu. On y apprend entre autres que les États Unis ont déversé plus de bombes sur le Vietnam que les Alliés en ont largué sur l'Allemagne durant la Deuxième Guerre mondiale, que la politique d'escalade de Lyndon Johnson bénéficie du support massif de l'opinion américaine en 1965 et que les Noirs, qui constituent 11 % de la population en cette même année, forment alors 31 % des troupes de combat. Ce n'est pas tout: l'auteur, qui émet des réserves quant à la soi-disant volonté du président Kennedy de désengager son pays du Vietnam, minimise le rôle des médias dans l'échec des États-Unis là-bas et précise que < (p. 327). De plus, il souligne que les États-Unis paraissent sur le bord de la guerre civile au printemps 1970, le tout découlant de l'invasion

190 Bulletin d'histoire politique, vol. 3, n" 2

du Cambodge, <> (p. 23 7), qui attise le mécontentement de plusieurs qui y voient là un élargissement du conflit au moment même où sa fin semblait pourtant imminente. En outre, comme les dépenses annuelles liées au Vietnam ne représentent environ qu'un quart du budget total de la défense, lequel reste stable durant la période 1965-72 se situant aux alentours de 9% du PNB américain, Jacques Portes soutient que ce conflit n'a pas été <> (p. 255). Les Américains et la Guerre du Vietnam comporte toutefois quelques irré gularités sur le plan de la forme. Ainsi, les fautes de frappe ne sont pas rarissimes, la ponctuation fait parfois défaut et certains mots sont incor rectement orthographiés comme en font foi les extraits suivants: <> (p. 126), "l'historien Straughton Lynd>> (p. 150), <> (p. 243) et <> (p. 330). Par ailleurs, il y a un prénom erroné à la page 85 (Portes réfère au directeur de la C.I.A. <> McCone plutôt que 63 concernant les fameuses paroles de 1951 du général Omar Bradley méri terait d'être nuancé davantage. En effet, ce dernier a plutôt affirmé que c'est l'adoption de la stratégie offensive de Douglas MacArthur vis-à-vis la Chine communiste qui risquerait de transformer le conflit coréen en <1992 ...

Bernard Lemelin

Département d'histoire, Université Laval

Claude Boudreau, LA CARTOGRAPHIE AU OUÉBEC 1760-

1840. Sainte-Foy, 1994. Les Presses de l'Université Laval.

Collection "Géographie historique». 270 pages. A u printemps 1994, les Presses de l'Université Laval publiaient un ouvrage de Claude Boudreau intitulé: La cartographie au Québec 1760- Association québécoise d'histoire politiqua 191quotesdbs_dbs44.pdfusesText_44
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