[PDF] Lambivalence du sentiment amoureux Dans cette séance nous





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Lambivalence du sentiment amoureux Dans cette séance nous

Je vis je meurs ; je me brûle et me noie ; A partir de vos réponses à la question 2) et de la fiche-outil sur la versification



Je vis je meurs ; je me brûle et me noie. Jai chaud extrême en

J'ai grands ennuis3 entremêlés de joie. Tout en un coup je ris et je larmoie. Et en plaisir maint grief tourment4 j'endure ;. Mon bien5 s' 



Répertoire des outils de prévention des toxicomanies

4 mai 1996 de la fiche descriptive et analytique des outils. 1. Numérotation et Titre ... Écoute j'ai quelque chose à te dire / Il faut que je te parle.



Textes recréés

Première approche de : Sonnet 8 de Louise Labe. Je vis je meurs ; je me brûle et me noie ;. J'ai chaud extrême en endurant froidure :.



LE RÉSUMÉ

Après une première lecture résumer en une phrase l'idée directrice du texte dans des conversations sur tout autre chose



Effets du cannabis sur la santé

La consommation de cannabis (ou marijuana) peut avoir un usage thérapeutique mais elle peut également comporter des risques pour la santé.



7 Lois de probabilité

Exemple 7.18 ??La loi exponentielle est aussi une loi permettant de modéliser le temps de vie d'une composante électronique. Une montre digitale a une durée 



Résumé Fiche de lecture 1984

31 déc. 2010 néfaste du marxisme ce qui marque la dernière période de sa vie (La ferme des animaux



Dissertation critique

1 Ma mère que je l'aime en ce portrait ancien Éviter les pronoms « je »



1er travail poursuite du cours - Séance 7 :??Ode à Cassandre

17 avr. 2020 B- ?Lecture de la première strophe ... Tu surligneras dans tout le ... antithèse : opposition (« je vis je meurs »). 2) Rêve familier.

Séance 2 : L'ambivalence du sentiment amoureux Dans cette séance, nous avançons un peu dans le temps, puisque nous entrons pleinement dans la période de la poésie de la Renaissance, avec ce poème de Louise Labé. A. Analyse de texte Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie ; J'ai chaud extrême en endurant froidure : La vie m'est et trop molle et trop dure. J'ai grands ennuis entremêlés de joie. Tout à un coup je ris et je larmoie, Et en plaisir maint1 grief2 tourment j'endure ; Mon bien s'en va, et à jamais il dure ; Tout en un coup je sèche et je verdoie. Ainsi Amour inconstamment3 me mène ; Et, quand je pense avoir plus de douleur, Sans y penser je me trouve hors de peine. Puis, quand je crois ma joie être certaine, Et être au haut de mon désiré heur4, Il me remet en mon premier malheur. Louise Labé, " Je vis, je meurs... », Sonnets, 1555 1. Qui est Louise Labé ? Faites des recherches pour la présenter rapidement. Louise Labé est une poétesse lyonnaise du XVIe siècle (1524-1566), parfois surnommée " La Belle Cordière » (son père aurait été cordier, fabricant de cordages), proc he des grands poètes de la Renais sance, not amment ce ux de la Pléiade. Elle célèbre la passion amoureuse dans ses écrits. Elle fit scandale en son temps car c'est l'une des premières écrivaines à revendiquer la possibilité pour les femmes de parler de leur passion de manière réaliste et à la première personne, sans laisser les hommes parler pour elles. 2. Combien y a-t-il de strophes dans ce poèmes ? Quel type de vers est employé ? Combien y a-t-il de vers dans chaque strophe ? Quel type de rimes trouve-t-on dans ce poème ? Il y a quatre strophes en tout dans ce poème : deux quatrains (= strophes de 4 vers) et deux t ercets (strophe s de 3 vers) composés en alexandrins (= vers de 12 syllabes). On trouve des rimes embrassées (a, b, b, a) dans les quatrains et dans les tercets des rimes croisées puis suivies (c, d, c, c, d, d), ce qui donne pour tout le sonnet : a, b, b, a / a, b, b, a / c, d, c, / c, d, d. 3. A partir de vos réponses à la question 2) et de la fiche-outil sur la versification, dites de quel type de poème il s'agit (ballade, rondeau, sonnet, etc.) Il s'agit d'un sonnet (deux quatrains et deux tercets d'alexandrins, rimes embrassées dans les quatrains). 4. Qui parle dans ce poème ? Justifiez votre réponse. C'est la poétesse qui parle : elle a recours la première personne du singulier pour exprimer ses sentiments. 1 Maint = plusieurs, beaucoup. 2 Grief = douloureux, grave. 3 Inconstamment = avec inconstance, en changeant sans cesse. 4 Heur = bonheur. 5 10

5. Pourquoi peut-on dire que ce poème est lyrique ? Ce poème exprime, à la première personne, des émotions et des sentiments très personnels et très intenses, avec un grand souci de musicalité et de travail esthétique du langage. En effet, Louise Labé multiplie les effets poétiques : jeux d'opposition (" je vis, je meurs »), jeux sonores (allitération en [m], qui rappelle le verbe " aimer », dans " Ainsi Amour inconstamment me mène »), rimes symboliques (" heur » qui veut dire " bonheur » rime avec " douleur », pour montrer toute l'ambiguïté de l'amour, qui rend à la fois heureux et malheureux...), etc. 6. Relevez dans chaque s trophe les termes qui s'opposent. Comme nt appelle-t-on la figure de style qui permet d'opposer des contraires entre eux ? Qu'est-ce que cela nous révèle sur l'état d'esprit de la poétesse ? Les termes qui s'opposent dans le poème sont : Vis Meurt Brûle Noie Chaud Froidure Molle Dure Ennuis Joie Ris Larmoie Plaisir Tourment S'en va Dure Sèche Verdoie Joie, heur Malheur La figure de style employée est l'antithèse, qui nous révèle tout le tourment de la poétesse : elle est prise dans toutes les contradictions de ses sentiments, et ne cesse de passer d'un extrême à l'autre, de la douleur à la joie et inversement. 5. Dans les deux premières strophes, quels mots riment entre eux ? Cela nous donne-t-il confiance dans le sentiment amoureux ? Les rimes sont plutôt négatives (froidure/trop dure/j'endure, e t surtout " joie » qui ne rim e qu'avec " me noie » et " larmoie », comme si la joie était nécessairement encadrée par la mort et les larmes). Ces deux strophes donnent l'impression que la souffrance domine dans le sentiment amoureux, même si elles se finissent sur une note d'espoir (joie, verdoie). 6. Quels sont les deux sentiments qui dominent dans les deux premières strophes ? Par quelles sensations physique s la poétesse exprime-t-elle ces sentime nts ? Les deux sentiments dominants dans les deux premières strophes sont la joie (joie, plaisir) et la souffrance (ennuis, tourment). Il se traduisent par des sensations de chaud et de froid, d'assèchement ou de vitalité (verdoie). Louise Labé traduit ainsi ses émot ions abstraites en sensations physiques, pour suggérer leur intensité au lecteur. 7. Dans quel vers la poétesse se compare-t-elle à une plante, et pourquoi ? Comment appelle-t-on cette figure de style ? " Je sèche et je verdoie » évoque la végétation dépérissant sous l'effet de la sécheresse , puis renaissant quand elle est à nouveau arrosée : c'est une métaphore qui joue avec un lieu commun poétique. Le printemps, la floraison, est traditionnellement un symbole de jeunesse, de joie, d'espoir, voire

d'éclosion des sentiments : ici Louise Labé montre que l'Amour le retourne vite en sécheresse, mort, désespoir. Le printemps promis par l'Amour est vite asséché par la douleur, avant que le sentiment ne fleurisse à nouveau. 8. Quel temps est utilisé dans ce poème ? A votre avis, pourquoi ? La poétesse utilise le présent de l'indicati f, et s a valeur d'habitude : elle montre qu'elle éprouve les sentiments extrêmes qu'elle décrit de manière répétée et régulière. 7. D'après le v. 9, qui es t responsable de l 'éta t d'espri t de la poétess e ? Comment appelle-t-on la figure de style employée ? On comprend l'origine de la souffrance au vers 9, grâce à une allégorie de l'amour : " Ainsi Amour inconstamment me mène ». L'Amour, sentiment abstrait, devient un personnage à part entière qui dirige la vie de la poétesse. 8. Au v. 9 et au v. 14, quel est le sujet des verbes conjugués ? Quel est le COD ? Qu'est-ce que cela nous montre du pouvoir de l'Amour sur la poétesse ? Le sujet des verbes conjugués aux vers 9 et 14 (" mène », " remet ») est " Amour », repris au vers 14 par le pronom personnel " il ». Amour e st donc le sujet, tandis que la poéte sse subit l'action : elle est désignée par le pronom " me » (me mène, me remet), qui a une fonction de complément d'objet direct du verbe. On peut donc dire que l'amour est tout-puissant car la poétesse lui est entièrement soumise : elle est conduite par des sentiments changeants sur lesquels elle n'a aucune emprise. 9. Pourquoi peut-on dire que le dernier vers du poème nous ramène au premier ? Qu'en concluez-vous ? Le préfixe re -, qui indique la répétition (" remet »), et l 'adjectif " premier » montrent que, à la fin, tout recommence : quand elle croit pouvoir cesser de souffrir, la poétesse retrouve sa douleur, ce qui est exprimé par la toute première antithèse " je vis, je meurs ». L'amour est ainsi montré comme un passage constant de la joie à la douleur, dans un cycle sans fin. 10. Quelle image ce poème nous donne-t-il de la passion amoureuse ? Est-ce un sentiment positif ? Justi fiez votre réponse. Ce poème donne une image trè s ambiguë de la passion amoureuse : elle peut être source de joie, mais aussi de douleur, et souvent fait passer de l'une à l'autre. Ce qui caractérise le sentiment amoureux, c'est donc son ambivalence, c'est-à-dire, littéralement, ce qui unit deux contraires, deux sentiments opposés. L'amour, c'est éprouver des consta mment des émotions extrêmes et opposées, en même temps. B. Vocabulaire 1. Comment est composé le mot froidure, au v. 2 ? En utilisant le même suffixe, formez des nom à partir des radicaux suivants : cheveu, vert, voile. Le mot est composé du radical " froid » auquel on ajoute le su ffixe -ure pour forme r un nom . On peut procéder de même pour former " chevelure » (l'ensemble des cheveux), " verdure » (l'ensemble de la végétation à un endroit donné), ou encore " voilure » (l'ensemble des voiles d'un bateau). 2. Sur quel radical le verbe larmoyer (" je larmoie », v. 5) est-il formé ? Pouvez-vous donc deviner ce qu'il veut dire ? Trouvez un autre mot dans le poème formé avec le même suffixe. Avec le même suffixe toujours, formez des verbes à partir des mots suivants : fête, rude, pitié, flamme, guerre, onde, tourner. " Larmoyer » est formé à partir du radical " larme » et e st donc synonyme de " pleurer ». Dans le poème, " verdoyer » (" je verdoie », v. 8) est formé de la même façon : radical " vert » + suffixe -oyer, et veut dire " (re)devenir vert ». De la même façon, on peut former " festoyer » (faire la fête), " rudoyer » (se m ontrer rude envers quelqu'un, le

maltraiter), " apitoyer » (faire pitié), " flamboyer » (brille r comme une flamme), " guerroyer » (faire la guerre), " ondoyer » (remuer comme une vague - l'onde = la vague), tournoyer (tourner plusieurs fois). 3. Trouvez dans le poèm e des synonyme s du mot " tourment » au v. 6. Il y en a plusieurs : " ennuis » (dans l e sens anc ien, veut dire " douleur », " tourment »), " douleur », " peine », " malheur ». C. Synthèse - à retenir 1. L'ambivalence de la passion amoureuse Dans ce sonnet, Louise Labé exprime toute l'ambivalence du sentiment amoureux, à la fois source de joie très grande et de grande douleur. La poétesse s'exprime de manière lyrique, à la première personne, en indiquant la violence de ses sentiments par des sensations physiques (chaud, froid, sècheresse, dureté...) et en montrant toute l'étendue de sa passion à travers de nombreuses figures de style : - l'antithèse montre les changements incessants que provoque le sentiment amoureux dans son esprit qui passe d'un extrême à l'autre, du bonheur à la peine, de l'espoir au malheur. Elle met en valeur les émotions contraires qui font rage dans son esprit. Être amoureux, c'est passer sans cesse d'un sentiment extrême à son contraire. - l'allégorie montre tout le pouvoir de l'amour sur la poétesse. L'Amour devient une figure, un personnage à part entière, contre lequel elle ne peut rien et qui fait d'elle ce qu'elle veut : elle est impuissante à contrôler ses émotions et ne peut que subir sa passion (passion vient d'ailleurs du latin patior, qui veut dire " souffrir », " subir »). - la métaphore fait le lien entre le sentim ent amoureux et l a nature : l'amoure ux heureux est com me un printemps o ù tout verdoie, tandis que l'amour malhe ureux ressemble à une nature frappée de sécheresse, en train de dépérir. " Je vis, je meurs » : l'amour est à la fois ce qui tue et ce qui fait revivre. Cela renforce la vivacité de l'évocation de la passion amoureuse. 2. La forme du sonnet Comme la ballade, le sonnet est un poème à forme fixe : cela signifie qu'on est obligé de respecter une structure qui reste toujours la même. Il se compose de 4 strophes, deux quatrains (= strophes de 4 vers) et deux tercets (= strophes de 3 vers), avec souvent une opposition ou un changement entre les quatrains et les tercets. Ainsi, dans le poèm e de Louise Labé, c haque vers des quatrains com porte une antithèse qui oppose deux contraires, et l'accent est mis sur les sentiments de la poétesse ; alors que l'accent est mis sur le pouvoir de l'Amour dans les tercets, et qu'il n'y a qu'une antithèse par tercet. Le schéma des rimes est toujours le m ême dans les quatrains : il s 'agit de rimes embrassées (a, b, b, a). Dans les tercets, le schéma peut varier. Ici, on trouve dans les tercets des rimes croisées puis suivies (c, d, c, c, d, d), ce qui donne pour tout le sonnet : a, b, b, a / a, b, b, a / c, d, c, / c, d, d. Le sonnet est très souvent écrit en alexandrins, mais il peut aussi l'être, comme ici, en décasyllabes. 3. Récapitulatif des figures de style vues dans les séances 1 et 2

- Hyperbole : Cett e figure de style cons iste à exagére r volontaire ment la réalité des choses. Elle se marque par l'emploi de mots de sens très fort (ex : immense, colossal), des degrés de l'adjectif (très grand, plus grand que, le plus grand) ou de comparaisons (il est grand comme une montagne) et de métaphores (une vraie girafe, celui-là). - Antithèse : L'antithèse consiste à rapprocher dans une phrase deux mots ou groupes de mots de sens c ontraire pour les opposer. Ex. : " Je vis, je meurs », " J'ai chaud extrême en endurant froidure » - Allégorie : On parl e d'all égorie lorsqu'une idée abstraite est représentée sous une forme concrète et vivante (un pers onnage, par exempl e). " Ainsi Amour inconstamment me mène » (Louise Labé, Sonnets) - Énumération : voir cours sur la nouvelle fantastique - Métaphore : voir cours sur la nouvelle fantastique D. Grammaire : La phrase complexe : juxtaposition, coordination et subordination 1. Observez a. Juxtaposition et coordination - Dans la première strophe, combien y a-t-il de verbes conjugués ? Combien y a-t-il de propositions ? Ces propositions sont elles principales, subordonnées, indépendantes ? Il y a sept verbes conjugués, donc sept propositions. Il n'y a que des propositions indépendantes. - Qu'est-ce qui relie ces propositions entre elles ? Elles sont reliées soit par des signes de ponctuation (virgule, point-virgule, deux points : on dit qu'ell es sont juxtaposées), soit par des conjonctions de coordination (" et » : on dit qu'elles sont coordonnées). b. Subordination - Dans la quatrième strophe, combien y a-t-il de verbes conjugués ? Combien y a-t-il de propositions ? Ces propositions sont elles principales, subordonnées, indépendantes ? Il y a deux verbes conjugués, donc deux propositions. " Quand je crois ma joie être certaine, et être au haut de mon désiré he ur » est une proposition subordonnée circonstancielle de temps ; " Il me remet en mon premier malheur » est la proposition principale. - Qu'est-ce qui relie ces propositions entre elles ? Elles sont reliées par la conjonction de subordination " quand ». La conjonction de coordination sert donc à coordonner des propositions entre elles ; la conjonction de subordination sert donc à relier une proposition subordonnée à une proposition principale. 2. Leçon Collez ou recopiez les leçons p. 96 et 98 (voir manuel joint : " Juxtaposition et coordination », et " La subordination »). 3. Exercices

Ex. 1, 3, 4, 5, 9 p. 96-97 Ex. 1, 2, 3, 4, 7, 9 p. 98-99 Exercices p. 96-97 Exercice 1 1. Phrase complexe : il y a deux verbes conjugués, " étais » et " voudrais ». 2. Phrase complexe : il y a deux verbes conjugués, " cassez » et " séparez ». / Phrase simple : il y a un seul verbe conjugué, " Battez ». 3. Phrase simple : il y a un seul verbe conjugué, " veut ». 4. Phrase simple : il y a un seul verbe conjugué, " pourrons ». Exercice 3 1. Propositions coordonnées : la conjonction de coordination " mais » relie les deux propositions. 2. Propositions juxtaposées : un point-virgule relie les deux propositions. 3. Propositions juxtaposées : une virgule relie les deux propositions. 4. Propositions coordonnées : la conjonction de coordination " et » relie les deux propositions. Exercice 4 1. On m'avait bien expliqué l'itinéraire mais je me suis perdu ! 2. Elle garde son téléphone à la main car elle attend un appel important. 3. Il a ouvert la porte puis il a éclaté de rire. 4. Les lumières s'éteignent donc le silence se fait et le rideau se lève. Exercice 5 1. Les arbres ont perdu leurs feuilles : l'hiver approche. / Les arbres ont perdu leurs feuilles car l'hiver approche. 2. Le magicie n sortit un lapin de son chapeau ; deux col ombes s'e nvolèrent. / Le magicien sortit un lapin de son chapeau puis deux colombes s'envolèrent. 3. Il a raconté une histoire drôle ; personne n'a ri. / Il a raconté une histoire drôle mais personne n'a ri. Exercice 9 a. Ce texte comprend trois phrases complexes. b. Des virgules et des points-virgules. c. " et », " mais » d. " la queue du singe et les moustaches du chat » Exercices p. 98-99 Exercice 1 1. Subordonnée circonstancielle de cause. 2. Indépendante. 3. Principale. 4. Indépendante. Exercice 2

1. Deux propositions indépendantes juxtaposées (reliées par une virgule). 2. Une proposition principale et une proposition subordonnée relative reliées par une mot subordonnant (le pronom relatif " que »). Exercice 3 1. Coordination : conjonction de coordination " et ». 2. Subordination : conjonction de subordination " avant que ». 3. Juxtaposition : point-virgule. Exercice 4 1. L'horloger examinait la pendule ancienne qui lui avait été confiée. 2. Il y avait peu de réservations, si bien que le concert a été annulé. 3. Quand la pluie cessa, chacun se remit en marche. 4. La terre est aride puisque le climat est très sec. Exercice 7 1. Vous attendrez que le soleil se lève. 2. Il essaie de comprendre pourquoi il a échoué. 3. Nous sommes confrontés à une situation qui est d'une extrême gravité. 4. Comme il pleuvait, le repas s'est déroulé à l'intérieur de la maison. 5. Si vous êtes en retard, prévenez-nous immédiatement. Exercice 9 a. que vous connaissez / chez qui je vous ai rencontré il y a quelques mois / qui laissait voir des bas de soie blancs avec plus d'un trou / qui ne viennent pas quand on les appelle / qui viennent quand on ne les appelle pas / qu'elle avait à la bouche / qui m'arrivait. b. Toutes ces subordonnées (sauf celles qui commencent par " quand ») sont des propositions subordonnées relatives qui permettent d'approfondi r le portrait de Carmen en donnant des précisions sur elle. c. Les propositions subordonné es circonstancielles de temps qui commenc ent par " quand » complè tent les deux propositions relatives " qui viennent » et " qui ne viennent pas ».

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