RECOMMANDATIONS TECHNIQUES BATI & BIODIVERSITÉ - Gîtes
Gîtes pour la pipistrelle commune (Pipistrellus pipistrellus). 1. QUELS GITES CHOISIR ? 1.1. DONNER PRIORITE AUX GITES DE MATERNITE.
Pipistrellus pipistrellus – Pipistrelle commune 9973 contacts La
Les tendances présentent un déclin entre. 2009 et 2017 ; la Pipistrelle commune est ainsi passée de Préoccupation mineure (LC) à Quasi menacée (NT) dans la mise.
La Sérotine commune
Trame Mammifères de Bretagne : Fiche 3.12 – La Sérotine commune ; GMB - 2020 La Sérotine commune est une chauve-souris qui fréquente une grande ...
Etude de la migration des chauves-souris en Bretagne – Rapport final
Pipistrelle commune Pipistrelle de Kuhl
Diapositive 1
Evaluation du rôle du réseau Natura2000 pour les chauves souris communes. Noctule de leisler. Sérotine commune. Noctule commune. Pipistrelle commune.
La pipistrelle commune
C'est ainsi qu'on les distingue des crottes de souris. Des pipistrelles dans mon jardin. La pipistrelle est une espèce anthropophile. Elle s'installe partout et
Untitled
3.2.2 La Pipistrelle commune considérée comme potentielle (et donc non mentionnée 5.4.5 Conclusion sur l'état de conservation de la Pipistrelle commune ...
Pipistrelle commune
Pipistrelle Pipistrellus pygmaeus
Demande de dérogation pour impact dhabitat despèces protégées
2 janv. 2020 Les Pipistrelles communes sortaient des bardages en façade du bâtiment ... La Pipistrelle commune est une espèce protégée au titre de ...
La Pipistrelle commune
La pipistrelle commune chasse les petits insectes volants comme les moustiques et les micro-papillons. Le territoire de chasse peut être estimé à un rayon
[PDF] La Pipistrelle commune (Pipistrellus pipistrellus)
La Pipistrelle commune est répartie sur une très grande partie de l'Eurasie du Portugal à l'Afghanistan Et du sud de la Finlande et à la Crête Très liée aux
[PDF] La Pipistrelle commune
La pipistrelle commune chasse les petits insectes volants comme les moustiques et les micro-papillons Le territoire de chasse peut être estimé à un rayon
[PDF] Pipistrelle commune - Groupe Mammalogique Normand
C'est la plus petite espèce de chauve-souris fré- quentant la Normandie Son poids ne dépasse pas 75 g ; des individus contrôlés en fin d'hibernation
[PDF] Pipistrellus pipistrellus – Pipistrelle commune 9973 contacts La
La Pipistrelle commune est une espèce ubiquiste qui utilise une grande variété de milieux Carte de répartition de la Pipistrelle commune PDF 106/526
[PDF] RECOMMANDATIONS TECHNIQUES BATI & BIODIVERSITÉ - Gîtes
Gîtes pour la pipistrelle commune (Pipistrellus pipistrellus) 1 QUELS GITES CHOISIR ? 1 1 DONNER PRIORITE AUX GITES DE MATERNITE
[PDF] Linfo naturaliste du mois » – juillet/août - La Pipistrelle commune
La Pipistrelle commune est la plus petite Chauve- souris européenne le corps brun de la taille d'un pouce Son poids est inférieur à celui d'une pièce de 50
[PDF] LA PIPISTRELLE COMMUNE
La Pipistrelle commune fait partie des chauves-souris les plus répandues du bassin genevois Elle se rencontre dans presque toutes les localités
[PDF] La Pipistrelle commune nest pas considérée comme une espèce
La Pipistrelle commune n'est pas considérée comme une espèce menacée parmi les espèces de chauve-souris inventoriées en Languedoc Roussillon et France
[PDF] LA PiPISTRELLE - Cité des paysages
Parmi elles la Pipistrelle commune est la plus répandue et une des plus petites espèces pré- sentes en France Longue d'à peine 3 à 5 cm du museau à la
TRAME Mammifères DE BRETAGNE
ur les mammifères bretons Trame Mammifères de Bretagne : Fiche 3.12 ² La Sérotine commune ; GMB - 2020La Sérotine commune
PORTRAIT
Classification Chiroptères >
Vespertilionidés > Eptesicus serotinus
Taille Tête et corps : 6,3 ² 9 cm ;
Envergure : 31 - 38 cm ; Poids : 18 à 30 g
Description Grande taille -
dos uniformément brun, ventre plus clair - oreilles de taille moyenne avec tragus court et arrondi.Reproduction Mise bas en juin.
Répartition mondiale Europe (excepté la
Scandinavie, la Finlande et le Nord de la
Russie), Maghreb, Moyen Orient, Asie
centrale, Chine.STATUT
Bretagne France Europe
Liste rouge Responsabilité régionale Protégée Annexes IV de la Directive Habitas (Natura 2000) préoccupation mineure mineureECOLOGIE
La Sérotine commune est une chauve-souris qui fréquente XQH JUMQGH GLYHUVLPp G·habitats situés aussi bien en
milieu urbain que rural. En été les femelles se regroupent majoritairement dans des toitures de bâtiments
bien exposées (maisons, églises, chapelles, châteaux) où les colonies peuvent accueillir en moyenne 10 à 50
individus. Elles occupent alors des espaces existants VLPXpV VRXV OHV MUGRLVHV GMQV O·LVROMPLRQ ou au-dessus
G·pOpPHQPV GH ŃOMUSHQPHB
$ O·LQYHUVH Hn hiver, les individus hibernent individuellement dans les interstices de maçonnerie du bâti. A
O·RŃŃMVLRQ, OM SOMVPLŃLPp GH ŃHPPH HVSqŃH OXL SHUPHP GH ŃRORQLVHU G·MXPUHV P\SHV GH JvPHV ŃRPPH OHV RXYUMJHV
G·MUPV O·HQPUpH GHV ŃMYLPpV VRXPHUUMLQHV RX GHV ŃMYLPpV MUNRULŃROHVBMalgré sa grande taille cette espèce est difficile à observer au sein de ses gîtes car elle occupe volontiers des
espaces exigus ou se faufilent rapidement au fond des fissures. Elle se repère cependant facilement grâce à ces
cris, ses déjection (guano) et sa faculté à sortir de son gîte bien avant la pénombre. Dans le cas de colonies
populeuses, cette espèce peut LQGXLUH GHV QXLVMQŃHV HP GHV GLIILŃXOPpV GH ŃROMNLPMPLRQ MYHŃ O·ORPPH, bien que
surmontables, sont fréquemment rencontrées.La Sérotine commune chasse principalement GH JURV ŃROpRSPqUHV HP SMSLOORQV GH QXLP TX·HOOH ŃMSPXUH et
consomme en vol. Les plus grosses proies peuvent cependant être consommées sur un reposoir et dépecées
grâce à sa puissante mâchoire. Elle exploite une multitude de milieux ouverts à semi ouverts comme les
jardins, les vergers, les paysages bocagers, les parcs urbains, les lisières de forêts ou les MNRUGV GH SOMQV G·HMXB
La majorité de ses zones de chasse sont contenues dans un rayon de cinq kilomètres autour du gîte.
© Thomas Dubos
TRAME Mammifères DE BRETAGNE
ur les mammifères bretons Trame Mammifères de Bretagne : Fiche 3.12 ² La Sérotine commune ; GMB - 2020DISTRIBUTION ET CONTINUITES REGIONALES
La Sérotine commune est répartit régulièrement GMQV PRXPH OM %UHPMJQHB I·MQMO\VH VSMPLMOH GHV GLVPULNXPLRQV
réalisée sur 856 données de présence (modèle MARSi de bonne qualité : AUCii = 0,77), montre que les
principaux déterminants de la présence de la Sérotine commune en Bretagne sont la proximité des zones
G·XUNMQLVMPLRQ OkŃOH SpULXUNMLQHV hameaux, NRXUJV UXUMX[" GH O·HMX HP des boisements. La présence de
ÓMUGLQV HP YHUJHUV GH OMLHV HP OLVLqUHV RX GH ]RQHV G·HMX OLNUH SOMQ G·HMX ŃMQMX[ HP ULYLqUHV OMUJHV HVP
également favorable. FHV UpVXOPMPV ŃRQILUPHQP MLQVL O·LQPpUrP GH O·HVSqŃH SRXU OHV SM\VMJHV variés avec haies,
boisements, rivières HP SOMQV G·HMX HP NkPLPHQPV HQ IMLNOH GHQVLPp SRXU OHV JvPHV.I·MQMO\VH GHV ŃRQPLQXLPpV écologiques de la Sérotine commune PRQPUH TXH O·OMNLPMP SRPHQPLHOOHPHQP
disponible pour cette chauve-souris est plutôt réduit (5,6% de la surface de la Bretagne historique pouvant
être qualifié de " réservoir ») mais continu pour cette espèce à forte capacité de dispersion.
$ O·pŃOHOOH UpJLRQMOH OHV ŃRQPLQXLPpV VRQP OHV SOXV IRUPHV en basse Bretagne notamment dans les vallées fluviales
(Blavet, Scorff, Ellé, Odet, Aulne, Elorn, Queffleuth, Douron, Léguer, Trieux, et Gouët). La haute Bretagne
offre toutefois des continuités importantes tout au long des voies navigables (Vilaine et canaux de Nantes à
%UHVP HP G·HOOH-et-Rance) et dans les vallées du pays Nantais. F·HVP SMUPLŃXOLqUHPHQP OH ORQJ GH O·pPURLP ŃRUULGRU
des canaux bretons, constituant une véritable colonne vertébrale pour le réseau écologique de la Sérotine en
Bretagne, que si situent les principaux enjeux de conservation des continuités.Les enjeux régionaux de rétablissement des continuités se situent là où le gain de connectivité des
interventions serait le plus profitable à la Sérotine commune, souvent dans des territoires marqués par un
faible couvert arboré et une forte pression agricole : entre le Cap-Sizun et les Montagnes noires, dans le bas
Léon, le Penthièvre, le pays de Bécherel, le Coglais, ou dans un large tiers nord et ouest de la Loire-
Atlantique. Les enjeux de rétablissement qui apparaissent dans les marches orientales de la Bretagne sont plus
discutables, potentiellement en partie induits par un biais géographique (effet de bord) de nos analyses.
TRAME Mammifères DE BRETAGNE
ur les mammifères bretons Trame Mammifères de Bretagne : Fiche 3.12 ² La Sérotine commune ; GMB - 2020TRAME Mammifères DE BRETAGNE
ur les mammifères bretons Trame Mammifères de Bretagne : Fiche 3.12 ² La Sérotine commune ; GMB - 2020PRESERVER ET RETABLIR LES CONTINUITES ECOLOGIQUES
Comme pour bon nombre de chauves-souris, les échanges entre populations reposent sur deux paramètres :
la proximité des colonies entre elles et la possibilité des individus de se disperser dans le paysage. Les
populations doivent donc disposer de gîtes proches, HQPRXUpV GH ]RQHV G·MOLPHQPMPLRQ, reliés entre eux par
une ŃRQPLQXLPp G·OMNLPMPV IMYRUMNOHV MX[ GpSOMŃHPHQPVB IM SUpVHUYMPLRQ HP OH UpPMNOLVVHPHQP GHV ŃRQPLQXLPpV
écologiques de la Sérotine commune va donc consister à favoriser ces deux paramètres, en particulier dans
OHV VHŃPHXUV j SOXV IRUPV HQÓHX[ G·MSUqV OHV ŃMUPRJUMSOLHV GH OM 7rame Mammifères de Bretagne.
Secteurs à enjeux de conservation des continuités Secteurs à enjeu de rétablissement des continuités
protéger (conventions, acquisitions, mesuresUpJOHPHQPMLUHV" HP ŃRQVHUYHU HQPUHPLHQ
aménagements, couvert végétal) les gîtes connus conserver ou rétablir des espaces disponibles (calmes, RNVŃXUV HP MŃŃHVVLNOHV SMU XQH RXYHUPXUH G·MX PRLQV 60 ŃP de large sur 15 cm de haut) dans les souterrains et les combles, grenier, caves et sous-sols de bâtiments de zones faiblement urbanisées proscrire les pesticides, en particulier dans un rayon de 4 km autour des gîtes expérimenter des gîtes spécifique dans secteurs riches en zones de chasse potentielles pURVŃULUH O·LPSOMQPMPLRQ GH SMUŃV pROLHQV dans le périmètre immédiat des gîtes connus (rayon de 4km), prescrire une implantation (à plus de 200m des boisements, haies et lisières) et une exploitation (bridage) non mortifère pour les chauves-souris ailleurs réduire la circulation routière, limiter la vitesse, et expérimenter des dispositifs de franchissement routiers sécurisés pour les chauves-souris au niveau des zones de passage recensées ou potentielles, en particulier dans un rayon de 4 km autour des gîtes connus ou entre les zones favorables SURVŃULUH O·pŃOMLUMJH QRŃPXUQH GHV JvPHV HP GH OHXUV MŃŃqV HP des voies de circulation et zones de chasses (zones boisées, lisières, haies, ripisylves) dans un rayon de 4 km autour de ces derniers mHPPUH HQ ±XYUH XQH YpULPMNOH SROLPLTXH GH SULVH HQ compte HP G·MŃŃXHLO des chauves-souris anthropophiles dans les plans de rénovation énergétique des bâtiments publics et privésUHQRXYHOHU HP UHVPMXUHU OH NRŃMJH H[LVPMQP SMU O·HQPUHPLHQ HP OM plantation de haies arborées continues et diversifiées en
strates comme en essence (autochtones comme le label "végétal local") en particulier autour des gîtes (4 km) et entre
ces derniers et les zones boisées, les rivières et SOMQV G·HMX HP OHV hameaux et bourgs ruraux
HQ V\OYLŃXOPXUH SULYLOpJLHU OHV SHXSOHPHQPV IHXLOOXV HP PUMLPHPHQP LUUpJXOLHUV SHUPHPPMQP OH GpYHORSSHPHQP G·XQ VRXV-
NRLV LPSRUPMQP HP PHPPUH HQ SOMŃH GHV HVSMŃHV GH QMPXUMOLPp vORPV GH VHQHVŃHQŃH UpVHUYHV NLRORJLTXHV "
promouvoir la gestion écologiques des jardins, parcs et espaces verts auprès des particuliers et collectivités
SOURCES :
ARTHUR L., PICARD-MEYER E., LEMAIRE M., BARRAT J., PAVISSE R., GORDET E. ET BROGAT V. 2012. Rythme des entrées/sorties dans une colonie de Sérotine commune. Symbiose n°28 : 23-28. DUBOS T., 2020. La Trame Mammifères de Bretagne. Notice, Groupe Mammalogique Breton, Sizun.DUGUE M., 2015. Sérotine commune. In SIMONNET F. (coord.). Atlas des Mammifères de Bretagne. Locus
Solus : 128 - 129.
PAVISSE R. 2009. (PXGH GH OM GLVSHUVLRQ G·XQH ŃRORQLH GH 6pURPLQHV ŃRPPXQHV SMU PUMQVSRQGMJH pOMNRUMPLRQ
du protocole, mise en place technique et suivi). Rapport de stage. Master 1 Ecologie, Biodiversité et
Anthropisation. Université de Caen-Basse-Normandie. SIMON M., HUTTENBUGEL S. ET SMIT-VIERGUTZ J. 2004. Ecology and conservation of bats in villages and towns. Bundesamt fur Naturschutz, 263 p. i Multivariate Adaptative Regression Spline : un type de modèle de régressionii Area Under the Curve : YMOHXU GH 0 j 1 pYMOXMQP OM SHUIRUPMQŃH G·XQH PRGpOLVMPLRQ PHLOOHXUH YHUV 1
quotesdbs_dbs28.pdfusesText_34[PDF] chauve souris france
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