[PDF] freud Le clivage du moi dans le processus de défense





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Le clivage du moi dans le processus de défense

Supposons donc que le moi de l'enfant se trouve au service d'une puissante revendication pulsionnelle qu'il est accoutumé à satisfaire et que soudainement il 



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1927/2002) et sur Le clivage du Moi dans les processus de défense (Freud 1938/2010)



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Le clivage du moi dans le processus de défense

Le clivage du moi dans le processus de défense. Sigmund Freud (1940) crit au début de 1938 mais publié seulement en 1940 à titre posthume Le clivage.



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freud Le clivage du moi dans le processus de défense

Le clivage du moi dans le processus de défense (1938) Pour un moment je me trouve dans cette position intéressante de ne pas savoir si ce que je veux communiquer doit être considéré comme connu depuis longtemps et allant de soi ou comme tout à fait nouveau et déconcertant Tel est je crois plutôt le cas



Le clivage du moi dans le processus de défense

Le clivage du moi dans le processus de défense Sigmund Freud (1940) crit au début de 1938 mais publié seulement en 1940 à titre posthume Le clivage du moi dans le processus de défense appartient avec Analyse avec fin et analyse sans fin et Constructions en analyse à la série de textes écrits par Freud à la toute



Le moi ses mécanismes de défense et la coupure de la séance

plus près de l'ultime texte de Freud en cette matière notamment Le clivage du moi dans le processus de défense En définitive une des questions cruciales qui sous-tend la lecture et les commentaires lacaniens de Freud et des post-freudiens a trait à l'effectivité de l'analyse des résistances du moi Tirant la

Qu'est-ce que le clivage dû moi dans le processus de défense ?

Dans Le clivage du moi dans le processus de défense (1938), c'est à la fois une défense qualifiée de très habile solution et le prix à payer pour cette solution. Au terme du processus, « les deux parties en litige ont reçu leur lot: la pulsion peut conserver sa satisfaction ; quant à la réalité le respect dû lui a été payé.

Quels sont les rapports entre le clivage de l’objet et du clivage du moi ?

On peut mettre en évidence deux aspects concernant les rapports entre le clivage de l’objet et le clivage du moi : 1 / Alors que le clivage de l’objet est un mécanisme de défense dans le plein sens du mot, le clivage du moi est une réalité topique de la structure du moi ; le mécanisme de défense corrélatif au clivage du moi est le déni.

Qu'est-ce que le clivage au moi ?

On peut identifier ce processus à une forme d’identification à l’agresseur, mais la particularité clinique la plus saisissante est cette manière dont le sujet se déchire, est déchiré par la situation, qui évoque le processus de clivage « au » moi ; entendu comme un processus par lequel le sujet se retire de lui-même dans son déchirement.

Comment fonctionne le clivage ?

Le clivage fonctionne en association avec le déni en ce qu’il permet de maintenir le contact avec la réalité d’une partie du Moi pendant que l’autre partie du Moi, clivée reste détachée complètement de la réalité. Il s’agit en fait d’une vraie déchirure du Moi.

©http://www.megapsy.com/Textes/Freud/biblio104.htm1Le clivage du moi dans le processus de défense (1938) Pour un moment je me trouve dans cette position intéressante de ne pas savoir si ce que je veux communiquer doit être considéré comme connu depuis longtemps et allant de soi, ou comme tout à fait nouveau et déconcertant. Tel est, je crois, plutôt le cas. Il m'est enfin apparu que le moi juvénile de la personne que l'on apprend à connaître des dizaines d'années plus tard comme patient analytique s'est comporté d'une façon bien curieuse dans des situations déterminées d'instante pression. La condition d'un tel comportement peut s'indiquer d'une manière généra le et plut ôt indéterminée en disant qu'il se produit sous l'influence d'un traumatisme psychique. Je préfè re choisir un cas particulier nettement circonscrit, qui ne recouvre certes pas toutes les possibilités de causation. Supposons donc que le moi de l'enfant se trouve au service d'une puissante revendication pulsionnelle qu'il est accoutumé à satisfaire, et que soudaineme nt il est effrayé par une expérience qui lui enseigne que la continuation de cette satisfaction aurait pour conséquence un danger réel difficilement supportable. Il doit maintenant se décider : ou bien reconnaître le danger réel, s'y plier et renoncer à la satisfaction pulsionnelle, ou bien dénier la réalité, se faire croire qu'il n'y a pas motif de craindre, ceci afin de pouvoir maintenir la satisfaction. C'est donc un conflit entre la revendication de la pulsion et l'objection faite par la réalité. L'enfant cependant ne fait ni l'un ni l'autre, ou plutôt il fait simultanément l'un et l'autre, ce qui revient au même. Il répond au conflit par deux réactions opposées, toutes deux valables et efficaces. D'une part, à l'aide de mécanismes déterminés, il déboute la réalité et ne se laisse rien interdire; d'autre part, dans le même temps, il reconnaît le danger de la réalité, assume, sous forme d'un symptôme morbide, l'angoisse face à cette réalité et cherche ultérieurement à s'en garantir. Il faut reconnaître que c'est là une très habile solution de la difficulté. Les deux parties en litige ont reçu leur lot la pulsion peut conserver sa satisfaction; quant à la réalité, le respect dû lui a été payé. Toutefois, comme on le sait, seule la mort est pour rien. Le succès a été atteint au prix d'une déchirure dans le moi, déchirure qui ne guérira jamais plus, mais grandira avec le temps. Les de ux réactions au conf lit, réact ions opposées, se maintiennent comme noyau d'un clivage du moi. L'ensemble du processus ne nous paraît si étrange que parce que nous considérons la synthèse des processus du moi comme allant de soi. Mais là, nous avons manifestement tort. Cette fonction synthétique du moi, qui est d'une si grande importance, a ses conditions particulières et se trouve soumise à toute une série de perturbations. Cela ne pourra que nous aider s i, dans c et exposé schém atique, j'insère les données particulières d'une histoire de malade. Un petit garçon, e ntre trois et quatre ans, a fait connaissance des organes génitaux féminins par séduction de la part d'une petite fille plus âgée. Après la rupt ure de ces rela tions, il prolonge par un onanism e manuel intense la stimulation sexuelle ainsi reçue, m ais il est bientôt pris s ur le fait par son éne rgique gouvernante et menacé de la castration dont l'exécution, comme de coutume, est dévolue au père. Les conditions de provocation d'un effroi terrible sont données dans ce cas. La menace de castration à elle seule ne produit pas nécessairement beaucoup d'impression, l'enfant refuse

d'y croire, il ne parvient pas facilement à se représenter qu'une séparation d'avec cette partie du corps tant estimée soit possible. A la vue des organes génitaux féminins l'enfant aurait pu se convaincre d'une telle possibilité, mais l'enfant n'en avait pas alors tiré cette conclusion parce que sa répugnance là contre était trop grande et qu'il n'existait aucun motif qui l'y contraignît. Au contraire, ce qui commençait à poindre comme malaise fut apaisé par cette explication : ce qui manque là viendra par la suite, cela le membre - lui poussera plus tard. Ceux qui ont assez observé des petits garçons se rappelleront probablement avoir entendu de telles déclarations à la vue des organes génitaux de la petite soeur. Mais il en va autrement quand les deux facteurs se sont conjugués. Alors, la menace réveille le souvenir de la perception tenue pour inoffensive et trouve en elle la confirma tion redoutée. Le garçon croit mainte nant comprendre pourquoi les orga nes génitaux de la petite fille ne montraient pas de pénis et il n'ose plus mettre en doute qu'il puisse arriver la même chose à ses propres organes génitaux. Il doit croire désormais à la réalité du danger de castration. La conséquence habituelle, considérée comme normale, de l'effroi de castration est alors que le petit garçon cède à la menace, soit immédiatement, soit après un assez long combat, par une obéissance totale ou du moins partielle - il ne porte plus la main à ses organes génitaux -, renonçant ainsi totalement ou partiellement à la satisfaction de la pulsion. Mais nous nous attendons bien à ce que notre patient ait su s'en tirer autrement. Il s'est créé un substitut au pénis de la femme, en vain cherché un fétiche. Ainsi a-t-il dénié la réalité, mais sauvé son propre pénis. S'il n'a pas dû reconnaître que la femme avait perdu son pénis, la menace qui lui a été faite a perdu de sa crédibilité, et il n'a pas alors eu besoin non plus de craindre pour son pénis, il a pu poursuivre tranquillement sa masturbation. Cet acte de notre patient nous impressionne en tant qu'il constitue une façon de se détourner de la réalité, processus que nous réserverions volontiers à la psychose. Et il n'en diffère pas beaucoup, mais malgré tout, nous voulons suspendre encore notre jugement, car, à une observation plus attentive, nous découvrons une différence qui n'est pas sans importance. Le petit garçon n'a pas simplement contredit sa perception, halluciné un pénis là où l'on ne pouvait en voir, il a uniquement procédé à un déplacement de valeur, transféré la signification de pénis à une autre partie du corps, processus pour lequel - d'une façon que nous ne pouvons indiquer ici - le mécanisme de la régression lui est venu en aide. Ce déplacement n a certes concerné que le corps de la femme; pour son propre pénis, rien n'a changé. Cette façon, que l'on serait tenté de qua lifier de rusée, de traiter la réalité décide du comportement pratique du petit garçon. Il poursuit sa masturbation comme si elle ne pouvait mettre son pénis en danger, mais en même temps il développe, en pleine contradiction avec son insouciance ou son courage apparent, un symptôme qui témoigne qu'il reconnaît malgré tout ce danger. On l'a menace que le père le châtrerait et, aussitôt après, simultanément à la création du fétiche, apparaît chez lui une angoisse intense du châtiment par le père, angoisse qui l'occupera longtemps et qu'il ne peut maîtriser et surcompenser que par la mobilisation totale de sa masculinité. Cette angoisse à l'endroit du père, elle non plus, ne souffle mot de la castration.

©http://www.megapsy.com/Textes/Freud/biblio104.htm Avec le secours de la régression à une phase orale, elle apparaît comme angoisse d'être dévoré par le père. Il est impossible de ne pas songer ici à un fragment primitif de la mythologie grecque qui rapporte comment le vieux père-dieu Kronos dévore ses enfants et veut aussi dévorer son plus jeune fils Zens et comment Zeus, sauvé par la ruse de la mère, émascule plus tard le père. Mais, pour en revenir à notre cas, ajoutons qu'il produisit encore un autre symptôme, certes mineur, qu'il a conservé jusqu'à ce jour une sensibilité anxieuse de ses deux petits orteils devant un attouchement, comme si, dans tout ce va-et-vient entre le déni et la reconnaissance, c'était quand même la castration qui avait trouvé une expression plus distincte...

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