Réaction du greffon contre lhôte et antigènes dhistocompatibilité
du receveur présentant des antigènes mineurs d'histocompatibi lité par les lymphocytes cytotoxiques du donneur. La déplétion du greffon en cellules T diminue l'
Le complexe dhistocompatibilité majeur chez lhomme et chez les
La participation des antigènes d'histocompatibilité à la coopération des taire (E) paraît être un système d'histocompatibilité mineur (HRUB. AN 1975) ...
Le complexe dhistocompatibilité majeur chez lhomme et chez les
Jan 1 1979 La participation des antigènes d'histocompatibilité à la coopération des ... taire (E) paraît être un système d'histocompatibilité mineur (HRUB.
Université de Montréal Identification des peptides du complexe
Celle-ci peut être induite par les antigènes mineurs d'histocompatibilité auxquels on s'intéressera dans le chapitre 7. La spectrométrie de masse constitue une
Des gènes molécules et cellules… …à la « vraie vie »
Problème des antigènes mineurs d'histocompatibilité (moins visible si allo). Professeur Philippe Kourilsky. Année 2008-2009. ➢ Moins nombreux que prévu par
Modulation de la réactivité allogénique après la greffe de cellules
Jusqu'à récemment les antigènes mineurs d'histocompatibilité étaient En revanche
Immunothérapie des leucémies
Aug 18 2022 nes mineurs d'histocompatibilité sont une cible pour la GVH
GVHD chronique et effet antitumoral – Chronic GVHD and graft
multiples antigènes mineurs d'histocompatibilité En revanche lorsque les lymphocytes T du donneur réagissent contre un antigène mineur d'histocompatibilité ...
La peau : un organe lymphoïde périphérique
d'histocompatibilité par les cellules de Langerhans soit à des antigènes d'antigènes mineurs spécifiques de la peau
Traitement du cancer par transfert adoptif de lymphocytes T dirigés
1.2.3.H7aun antigène mineur d'histocompatibilité modèle. Certains antigènes mineurs d'histocompatibilité possèdent plusieurs caractéristiques
Réaction du greffon contre lhôte et antigènes dhistocompatibilité
du receveur présentant des antigènes mineurs d'histocompatibi lité par les lymphocytes cytotoxiques du donneur. La déplétion du greffon en cellules T diminue l'
Le complexe dhistocompatibilité majeur
Parmi ces marqueurs génétiques l'antigène II se révéla avoir une influence pré- taire (E) paraît être un système d'histocompatibilité mineur (HRUB.
GVHD chronique et effet antitumoral – Chronic GVHD and graft
En revanche lorsque les lymphocytes T du donneur réagissent contre un antigène mineur d'histocompatibilité exprimé uniquement à la surface des cellules
Université de Montréal Identification des peptides du complexe
de traitement de recherche d'antigènes mineurs d'histocompatibilité. Pour terminer on décrit brièvement la base de données MHCDB qui contient un ensemble
Untitled
3. Les antigènes mineurs d'histocompatibilité : Qualifiés de mineurs car induisent un rejet moins rapide et moins violent qu'en cas d'incompatibilité.
Le soi et lautre : Compatibilité et incompatibilité immunologiques
La non-dispersion des gènes codant pour les antigènes majeurs appelle A distinguer des antigènes mineurs d'histocompatibilité situés hors du CMH.
Traitement du cancer par transfert adoptif de lymphocytes T dirigés
Mot-clé: Immunothérapie lymphocytes T
modèle Word thèse et mémoire - Université de Montréal
T antigènes mineurs d'histocompatibilité
Le complexe dhistocompatibilité majeur
le contrôle du taux de synthèse d'anticorps pour des antigènes variés (BENA- taire (E) paraît être un système d'histocompatibilité mineur (HRUB.
Le complexe dhistocompatibilité majeur chez lhomme et chez les
01-Jan-1979 le contrôle du taux de synthèse d'anticorps pour des antigènes variés ... taire (E) paraît être un système d'histocompatibilité mineur (HRUB.
Le Complexe Majeur d'Histocompatibilité - Faculté de Médecine
Traitement du cancer par transfert adoptif de lymphocytes T dirigés contre un antigène mineur d histocompatibilité Présentée par: Marie-Christine Meunier A été évaluée par un jury composé des personnes suivantes Dr Denis-Claude Roy Dr Claude Perreault Dr Jean-François Gauchat Dr Jacques Galipeau III
Le Complexe Majeur d'Histocompatibilité
l’histocompatibilité et la présentation de l’antigène III CARACTERISTIQUES DES GENES HLA Les gènes HLA sont caractérisés par : 1 Un polymorphisme extrême 2 Une expression codominante 3 Une liaison étroite 4 Un déséquilibre de liaison 1 Expression codominante
Chapitre 5 : Le complexe majeur d’histocompatibilité Dr
Chapitre 5 : Le complexe majeur d’histocompatibilité Dr Mebirouk R 5 ours d’immunologie générale Chirurgie dentaire 2021/2022 • CYP21 : gènes qui codent pour des enzymes du métabolisme des corticoïdes surrénales • HSP 70-1 et 2 ; protéines protectrices des protéines cellulaires lors du stress
Qu'est-ce que le complexe majeur d'histocompatibilité ?
ORGANISATION GENETIQUE DU SYSTEME HLA : Le complexe majeur d’histocompatibilité de l’homme est une région du génome localisée sur le bras court du chromosome 6 (6p21.3) qui comporte de nombreux gènes impliqués dans la réponse immune. On distingue :
Quels sont les gènes HLA de classe 2 ?
Les gènes HLA de classe II ou gènes HLA DR, HLA DQ, HLA DP qui codent pour les chaînes ? (gènes A) et ? (gènes B) des molécules HLA de classe II dont l’expression est restreinte aux cellules présentatrices (CPA) d’antigènes (figure 1). Figure 1 Organisation des gènes HLA sur le chromosome 6.
Quels sont les rôles des gènes antigéniques ?
Ces gènes codent pour un panel de glycoprotéines qui ont pour rôle la présentation de peptides antigéniques aux lymphocytes T pour l’initiation d’une réponse immunitaire adaptative. Elles participent ainsi à la discrimination entre le "soi" et le "non-soi" et à la régulation de la réponse immunitaire.
Quelle est la nomenclature des gènes HLA classiques ?
La nomenclature des gènes HLA classiques est très précise et harmonisée au niveau international. Les techniques initiales de typage HLA (typage sérologique) ont permis d’identifier des familles d’allotypes désignées par le nom du gène et un numéro (par exemple HLA-A1, HLA-B27, HLA-DR3 …).
![Le soi et lautre : Compatibilité et incompatibilité immunologiques Le soi et lautre : Compatibilité et incompatibilité immunologiques](https://pdfprof.com/Listes/18/2894-18UPL13608_Le_CMH_G_nes_et_mol_cules.pdf.pdf.jpg)
Le soi et lLe soi et l''autre :autre :
Compatibilit
Compatibilitééet incompatibilitet incompatibilitééimmunologiquesimmunologiquesAmphithéâtre Maurice Halbwachs
Professeur Philippe Kourilsky
Chaire d'Immunologie Moléculaire
Année 2008-2009
2 INTRODUCTION1ère partie : Le CMH : Gènes et molécules.2ème partie : Reconnaissances moléculaires et cellulaires.
3ème
partie : Identité immunologique, alloréactivité et rejet des greffes. 4ème
partie : La mère et son foetus. 5ème
partie : Préférences reproductives. 6ème
partie : Le soi et l'autre : les moteurs de diversité.CONCLUSIONS
LE SOI ET L'AUTRE
Compatibilité et Incompatibilité immunologiques Chaire d'Immunologie MoléculaireProfesseur Philippe KourilskyAnnée 2008-2009
3 individus au sein d'une même espèce. (Le cours 2007 - 2008 " Les systèmes immunitaires dans l'évolution des espèces » portait sur les comparaisons entre les espèces).Professeur Philippe Kourilsky
Année 2009
4Professeur Philippe Kourilsky
Année 2009
- Chez l'Homme : . Plusieurs millions de nucléotides différents entre deux génomes. . Plusieurs milliers de maladies génétiques répertoriées. . Un nombre considérable de polymorphismes génétiques ayant une incidence phénotypique. - Dans toutes les espèces : Existence d'un grand nombre de variants génétiques (animaux, végétaux, bactéries, etc.) (notion de clade, virus à variabilité élevée). 5Professeur Philippe Kourilsky
Année 2009
- Initialement évaluées par le rejet des greffes, dont on sait maintenant qu'il est une conséquence " accidentelle » de la fonction princeps des antigènes majeurs d'histocompatibilité. - Plus de 99.9 % des humains sont immunologiquement différents. - Pas lié exclusivement à l'immunité adaptative ; trouvé chez des invertébrés dotés seulement d'immunité innée (éponges, cas des plantes). 6Professeur Philippe Kourilsky
Année 2009
1 - Sur les différences génétiques :
. Leur émergence fait-elle, ou non, l'objet de sélection(s) ? . Si oui, par quel(s) mécanismes ? . Meilleure survie du foetus. . Préférence d'accouplement. . Meilleure survie individuelle ou sociale. 7Professeur Philippe Kourilsky
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2 - Sur les différences immunologiques :
. En quoi les systèmes immunitaires sont-ils différents ? . Quels sont les mécanismes de reconnaissance des différences (greffes) ? . Quels sont les mécanismes de non- reconnaissance des différences (foetus, tumeurs) ? 8Professeur Philippe Kourilsky
Année 2009
- Pourquoi les systèmes immunitaires sont-ils différents ? - L'émergence des différences fait-elle, ou non, l'objet de sélection(s) ? - Y a-t-il congruence entre les mécanismes génétiques et immunologiques ? - Si oui, par quel(s) mécanismes ? . Meilleure survie du foetus. . Préférence d'accouplement. . Meilleure survie individuelle ou sociale. 9Professeur Philippe Kourilsky
Année 2009
- Chez les mammifères, une affaire liée principalement au CMH, et aux cellules T. - Rappel sur CMH et cellules T. - Rappel sur cellules NK et immunité innée.- Beaucoup d'éléments nouveaux depuis 10 ans. 10Introduction 1ère partie : Le CMH : Gènes et molécules.2ème partie : Reconnaissances moléculaires et cellulaires.
3ème
partie : Identité immunologique, alloréactivité et rejet des greffes. 4ème
partie : La mère et son foetus. 5ème
partie : Préférences reproductives. 6ème
partie : Le soi et l'autre : les moteurs de diversité.Conclusions
LE SOI ET L'AUTRE
Compatibilité et Incompatibilité immunologiquesProfesseur Philippe Kourilsky
Année 2008-2009
11Professeur Philippe Kourilsky
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fonction première des antigènes d'histocompatibilité et de leur polymorphisme. et HLA de l'homme, ont succédé les analyses moléculaires : clonage des gènes des protéines, des locigénétiques, des génomes, dans différentes espèces. (rôle de l'imagerie).Introduction 12I. Le Complexe Majeur d'Histocompatibilité
Chaire d'Immunologie Moléculaire
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Année 2009
II. La biosynthèse des antigènes majeurs de Classe I III. La biosynthèse des antigènes majeurs de classe IIIV. Les molécules du CMH-I non classiques1
ère
partie : Le CMH : Gènes et molécules. 13I. Le Complexe Majeur d'Histocompatibilité
Professeur Philippe Kourilsky
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l'homme, H-2 chez la souris). en raison d'une certaine conservation évolutive. l'attention sur les autres gènes de la région. ou pas. 14Professeur Philippe Kourilsky
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caractéristique : . 2 hélices Įposées sur un plateau de feuillets ß définissant une poche ; . Le tout reposant sur deux domaines de types Ig. . Poche fermée (I) vs poche ouverte (II). . 2 chaînes, avec 3 + 1 modules (I) vs 2 + 2 (II). 15Professeur Philippe Kourilsky
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de séquence et / ou homologie de structure), on trouve de nombreux gènes dans le CMH mais aussi hors du CMH. 16Professeur Philippe Kourilsky
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. CMH-I et IIB . TAP, DM, C4 . CDI (à 50 kb)du locus, sur d'autres chromosomes.Le CMH minimal du poulet (Locus B)Kaufman, J. The Avian MHC, Avian Immunology, Elsevier Ltd (2008)
17Professeur Philippe Kourilsky
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. Région classe I CMH I classiques et non classiques, etc. . Région classe II CMH II A et B, DM, DO, LMP, TAP etc. . Région classe III C, Factor B, TNF, LT, etc. 18Professeur Philippe Kourilsky
Année 2009
mais moins dense. 19Professeur Philippe Kourilsky
Année 2009
Flajnik MF, Kasahara M. : Comparative genomics of the MHC: glimpses into the evolution of the adaptive immune system. Immunity. 2001 Sep;15(3):351-62 receptor gene clusters.PLoS Genet. 2005 Aug;1(2):129-39 20Professeur Philippe Kourilsky
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Le nombre d'allèles codant pour les antigènes majeurs.http://www.ebi.ac.uk/imgt/hla/HLA-II1012
21I. Le Complexe Majeur d'Histocompatibilité
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Année 2009
II. La biosynthèse des antigènes majeurs de Classe I III. La biosynthèse des antigènes majeurs de classe IIIV. Les molécules du CMH-I non classiques1
ère
partie : Le CMH : Gènes et molécules. 22II. La biosynthèse des antigènes majeurs de Classe I
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Année 2009
constante et partie variable. des caractéristiques adaptées à la poche.A. Généralités sur les CMH-I et II
. Taille CMH-I poche fermée : 8 - 10 aaCMH-II poche ouverte : 8 - 17 aa
. Acides aminés d'ancrage " puits » au sein de la poche. 23Professeur Philippe Kourilsky
Année 2009
cellules le peptide logé dans la poche fait partie du processus de 24Professeur Philippe Kourilsky
Année 2009
4à10
5 molécules de CMH-I potentiel d'expression de 10 4à10
5 peptides différents. B. Les sources premières de peptides pour CMH-I de la cellule (mais : néosynthèse, stabilité, etc. Exemple : p53) l'infection. 25Professeur Philippe Kourilsky
Année 2009
9 protéines (concentration intracellulaire : 300 à 400 mg/ml). 6 protéines. protéines sont élevés (10 -3 par aa dans une protéine) et encadrés par des 26Professeur Philippe Kourilsky
Année 2009
ou néosynthétisées. dégron = signal de dégradation rapide). Donohue, K.B. et al. Cross-priming utilizes antigen not available to the directpresentation pathway. Immunology. 2006 Sep;119(1):63-73.Antigène cytosolique : ß-galactosidase. La génération de peptides diminue
après arrêt de la transcription en dépit de l'accumulation préalable de protéine stable. Arrêt en 30 minutes. 27Professeur Philippe Kourilsky
Année 2009
Yewdell, JW. The DRiP hypothesis decennial: support, controversy, refinement and extension - Trends in Immunology, Vol 27-8, 2006, 368-373et/ou conformation) et vouées à la dégradation.Yewdell, JW. Plumbing the sources of endogenous MHC class I peptide ligands
(1/3 des ~ 450 gènes de tARN sont situés dans le complexe HLA). 28Professeur Philippe Kourilsky
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Les sources non conventionnelles et peptides: les épitopes cryptiques 29Professeur Philippe Kourilsky
Année 2009
très peu abondants (ex ARF :Yewdell J.W. et al. New lane in the information
highway: alternative reading frame peptides elicit T cells with potent antiretrovirus activityJ. Exp. Med. 2007 204: 2501-2504). aberrantes ? protéasome 20S. Les autres (75%) protéasome 26S. 30Professeur Philippe Kourilsky
Année 2009
Hypothèse de l'échantillonnage stochastique (aléatoire) naissantes sont interceptées par une machinerie complexe qui guide leur mise en forme dans un environnement isolé, tout en effectuant le contrôle de qualité. . Etape initiale : protéines de choc thermique (régions hydrophobes). . Les protéines partiellement compactées sont transférées aux chaperonines. . Processus lent. . Protéines mutantes " imparfaites ». Eisenlohr, LC. et al Rethinking peptide supply to MHC class I moleculesNature Rev. Immunology, 7, 403-410 (2007)
31Professeur Philippe Kourilsky
Année 2009
résolvent lentement -ou pas, et sont la cible de l'autophagie, et non de la digestion par le protéasome. La dégradation par le protéasome de protéine défectueuses ne peut-être l'unique source de peptides. sans rapport avec le potentiel de parvenir à la configuration correcte.quotesdbs_dbs31.pdfusesText_37[PDF] rejet hyperaigu
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