[PDF] 30 ans de demographie en champagne-ardenne





Previous PDF Next PDF



Les chiffres du logement en Champagne-Ardenne

STI Dynamisme de la construction neuve en périphérie des villes. Sources : Insee recensement de la population 1999



Direction générale de lINSEE

5 de gen. 2017 Vu l'avis des comités techniques des directions régionales de l'INSEE d'Alsace de Champagne-. Ardenne et de Lorraine réunis conjointement en ...



Projections de population en Champagne-Ardenne a l horizon 2040

D'ici 2040 le déficit migratoire de la Champagne-Ardenne pour- rait se contracter. Avec la baisse globale de Insee flash Champagne-Ardenne n° 129.



Indicateurs de developpement durable en Champagne-Ardenne : la

La Champagne-Ardenne se distingue au sein Champagne-Ardenne est globalement moins ... Insee flash Champagne-Ardenne n° 124.



La population à l horizon 2030 en Champagne-Ardenne : un

INSEE. FLASH. CHAMPAGNE-ARDENNE. Au 1er janvier 2030 si les tendances démographiques récentes se maintiennent



30 ans de demographie en champagne-ardenne

Les commu- nes de l'ouest du département sont également sous l'in- fluence de l'aire francilienne limitrophe. 3. Insee flash Champagne-Ardenne n° 178 unités : 



Insee

L'Institut national de la statistique et des études économiques de Champagne-Ardenne (Insee) : Olivier Karquel Romain Perron



Bilan économique de Metz Métropole : quelques signes d

2 de set. 2016 Insee Dossier Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine n° 2 - Septembre 2016 ... L'Insee Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine et l'agence de ...



Observation sociale des territoires de Champagne-Ardenne

sociale (DRJSCS) de Champagne-Ardenne. INSEE direction régionale de Champagne-Ardenne. 10



La structuration du territoire par l economie et les services : un

Arrive ensuite le pôle de. Charleville-Mézières attirant 160 communes. Insee flash Champagne-Ardenne n° 111. 2. © IGN - Insee 2009. Les 28 pôles d 

30 ans de démographie en Champagne-Ardenne

Au 1 er janvier 2011, 1 336 100 habitants région au 19

ème

rang des régions de France métropolitaine. En occupant 4,7 % de la superficie du territoire national, la région regroupe 2,1 % de la population nationale.

Depuis1982,lenombred'habitantsdiminue

très légèrement. L'excédent naturel des complètement le déficit des arrivéessur les départs depuis le milieu des années 1990.

Entrenteans,lesdépartementsdel'Aubeet

de la Marne qui bénéficient de l'influence des grandes aires urbaines francilienne, troyenne et rémoise gagnent des habitants, tandis que les Ardennes et la Haute-Marne en perdent.

L'implantation territoriale de la population

se redessine. Les zones périurbaines et le rural proche des pôles urbains se dévelop- pent et s'étendent. Le rayonnement des grandes aires urbaines de l'ouest s'amplifie encore sur la période récente et gagne de nouveaux territoires au nord et à l'ouest. Au1 er janvier 2011, 1 336 100 habitants résident en Champagne-Ardenne, plaçant la région au 19

ème

rang des régions de France métropolitaine,de- vant la Franche-Comté, le Limousin et la Corse. Elle représente désormais 2,1 % de la population natio national, la Champagne-Ardenne, grande région de 52 hab./km 2 , contre 103 hab./km 2 en France.En près de trente ans, de 1982 à 2011, l'évolution légère tendance à la baisse, soit une diminution de

Champagne-Ardenne est proche de celle des

nombre de leurs habitants. Sur la période, la dyna- les et d'importantes suppressions d'emplois.Taux moyen d'évolution annuel de la population entre 1982 et 2011 (en %)

Source : Insee, Recensements de la population

L'excédent naturel ne compense pas

complètement le déficit migratoire Entre 1982 et 2011, l'évolution démographique de la Cham- La contribution du solde des entrées sur les sorties du terri tion est de -0,38 %, soit la 2

ème

plus déficitaire des régions de

France, derrière le Nord-Pas-de-Calais.

Une dynamique des naissances et une population relative la population en 2010), dans la moyenne de la France métro politaine, jouent favorablement sur l'évolution démogra phique. Le solde naturel, excédent des naissances sur les décès, est positif sur la période et contribueà une croissance de la France (+0,42 %). Néanmoins, depuis le milieu des arrivées de nouveaux habitants sur les départs. Avec le vieil lissement de la population et les migrations très déficitaires pour les classes d'âge de jeunes adultes, la contribution du solde naturel à l'évolution de la population diminue.

Le déficit migratoire se réduit en

fin de période La baisse moyenne annuelle de la population champardennaise, entre 2006 et 2011, reste limitée, de -0,04 %, soit 560 habitants de moins par an. Le solde naturel fléchit un peu et entraîne une croissance annuelle moyenne de la population de 0,28 %, quelque peu inférieure à la moyenne nationale (+0,45 %). Dans le même temps, le déficit migratoire se réduit ; il entraîne une perte de population de -0,32 % par an en moyenne, plaçant désormais la région au 5

ème

rang des régions plus déficitaires de France, derrière le Nord-Pas-de-Calais, l'Île-de-France, la Guade loupe et la Martinique. Les régions du quart nord-est de France métropolitaine présentent en général un déficit migratoire élevé tribution de -0,39 % par an en moyenne à l'évolution démogra phique), la Picardie (-0,18 %) et la Lorraine (-0,13 %).

ReimsetTroyes,moteursdeladyna-

mique démographique de la région Au sein du territoire régional, les évolutions de la population sont très hétérogènes. Entre 1982 et 2011, la population des

InseeflashChampagne-Ardenne n° 1782

Vitry-le-

Vitry-le-

Chaumont

Chaumont

Charleville-

Reims Reims

ReimsReimsReimsReimsReimsReimsReims

Epernay

Epernay

© IGN - Insee 2014

Aires urbaines (2010)

Évolution lissée* de la population entre 1982 et 2011 par an et km 2 (en %)

0,5 ou plus

0,2 à moins de 0,5

0 à moins de 0,2

-0,1 à moins de 0-0,2 à moins de -0,1 -0,4 à moins de -0,2 -0,7 à moins de -0,4 moins de -0,7

Limites départementales

40020

Kilomètres

Évolution de la population entre 1982 et 2011

(en nombre d'habitants par an et par km²) *Rayon de lissage 15 km

Source : Insee, recensements de la population

Vitry-le-

Vitry-le-

Chaumont

Chaumont

Charleville-

Reims Reims

ReimsReimsReimsReimsReimsReimsReims

Epernay

Epernay

© IGN - Insee 2014

Aires urbaines (2010)

Évolution lissée* de la population entre 2006 et 2011 par an et km 2 (en %)

0,5 ou plus

0,2 à moins de 0,5

0 à moins de 0,2

-0,1 à moins de 0 -0,2 à moins de -0,1 -0,4 à moins de -0,2 -0,7 à moins de -0,4 moins de -0,7

Limites départementales

40020

Kilomètres

Évolution de la population entre 2006 et 2011

(en nombre d'habitants par an et par km²) *Rayon de lissage 15 km

Source : Insee, recensements de la population

des deux plus grandes aires urbaines champardennaises de ReimsetdeTroyes.Ces dernièresattirentnonseulementdes Champardennais, mais également des personnes venues d'autres régions. En 2008, 8,0 % des habitants de la partie ouest de la région résidaient cinq ans auparavant hors de Champagne-Ardenne, dont un quart en Île-de-France. petites aires urbaines offrant moins de perspectives en ter mes de formation et d'emplois, ont une population qui baisse communes en 2008, résidaient hors de Champagne-Ardenne cinq ans auparavant.

Les Champardennais de plus en

plus présents dans le périurbain et le rural proche Entre 1982 et 2011, l'évolution démographique des aires urbaines champardennaises est moins dynamique que la les autres régions du nord-est de la France. Parmiles huitgrandesairesurbainesde la région,seules cel- les de Reims et de Troyes gagnent de la population sur la période (respectivement 1 069 et 514 habitants par an en moyenne), contre huit grandes aires urbaines sur dix en France. Les deux aires urbaines de Reims et de Troyes com- prennent en 2011 respectivement 238 et 149 communes et abritent 23,6 % et 14,2 % de la population de la région. La grands établissements d'enseignement supérieur et des prin- qui rendent ces territoires plus attractifs. Au sein des aires urbainesde Reims et de Troyes,le pôle urbaincommela cou- ronne périurbaine gagnent de la population. En trente ans, lation augmenter (respectivement de 264 et 57 habitants par an en moyenne) alors que les autres pôles de la région sont déficitaires. ville-Mézières et Sedan dans les Ardennes, Châlons- en-Champagne et Épernay dans la Marne, et Chaumont en Haute-Marne, l'augmentation de la population dans les cou ronnes périurbaines ne suffit pas à compenser la baisse dans les pôles urbains. Dans l'aire urbaine de Saint-Dizier, le pôle et la couronne périurbaine perdent tous les deux des habi tants.

de la population en Champagne-Ardenne, contre la moitié surl'ensemble du territoire national. Elles bénéficient de la proxi

mité relative de l'aire francilienne pour Nogent-sur-Seine et des grands pôles urbains de Reims et de Châlons-en-Cham pagne pour Mourmelon-le-Grand et Suippes. Comme sur l'ensemble du territoire français, " l'exode rural » est bien achevé depuis les années 1970. Dans l'espace à dominante rurale, l'évolution de la population des communes diffère selon leur éloignement des pôles urbains. Hors des couronnes périurbaines, les communes du rural proche, sous influence de plusieurs pôles urbains, gagnent de la popula tion : c'est le cas de Livry-Louvercy qui gagne 19 habitants, soit +2,7 %, par an en moyenne. En revanche, les communes rurales isolées, situées à plus de 50 kilomètres d'un pôle urbain, en perdent.

Lapériurbanisations'étendrécem-

ment à de nouveaux territoires au nord et à l'ouest dent de la population, même si en fin de période l'évolution démographique de ces communes redevient positive. des aires urbaines champardennaises qui gagnent des habi tants,la baisse de populationdes pôles étantcompenséepar

2011. Cette croissance démographique s'est même inten-

des familles, quittent les pôles urbains pour s'installer dans de nouveaux territoires plus éloignés, accroissant ainsi l'in- fluence de ces deux aires urbaines. Ces mouvements sont motivés par différents facteurs comme le coût de l'habitat, le souhait d'accès à la propriété de certains ménages, le besoin d'espace... le sud des Ardennes, où des communes, comme lant le long des axes de circulation par la route (par exemple l'autoroute A34) et le train. Autour de Troyes, les populations ouest de l'aire urbaine : c'est le cas de Mailly-le-Camp, tra versée par la route nationale N77 et proche de l'autoroute A26, qui affiche un gain de 33 habitants, soit +1,9 %, par an en moyenne ou, plus à l'ouest, Méry-sur-Seine avec un gain nes de l'ouest du département sont également sous l'in fluence de l'aire francilienne limitrophe. 3

InseeflashChampagne-Ardenne n° 178

unités : nombre et %

Population 2011 Population 1982Évolution

1982-2011Taux de variation annuel moyen

1982-2011 dû au solde naturel dû au solde apparent

France 64 933 400 55 569 542 9 363 858 0,5 0,4 0,1 Champagne-Ardenne 1 336 053 1 345 935 -9 882 0,0 0,4 -0,4

Ardennes 283 110 302 338 -19 228 -0,2 0,3 -0,6

Aube 303 997 289 300 14 697 0,2 0,3 -0,1

Marne 566 571 543 627 22 944 0,1 0,5 -0,4

Haute-Marne 182 375 210 670 -28 295 -0,5 0,2 -0,7

Évolution de la population en Champagne-Ardenne entre 1982 et 2011

Source : Insee, recensements de la population

L'Aube et la Marne gagnent des

habitants Les logiques d'implantation résidentielle sur le territoire de Champagne-Ardenne marquent les évolutions démographi- ques des départements. Entre 1982 et 2011, la population de l'Aube et de la Marne augmente en moyenne respectivement de 0,2 % et de 0,1 % par an. Ces deux départements bénéfi cient de la proximité de l'Île-de-France et de la présence des deux plus grandes aires urbaines de la région, Reims et Troyes. À l'inverse, la Haute-Marne et les Ardennes perdent en moyenne chaque année respectivement0,5 % et 0,2 % de leurs habitants. La Marne, département le plus jeune de la région (les jeunes croissance annuelle moyenne de la population, liée à cet excédent, y est supérieure à la moyenne nationale (0,5 % contre 0,4 %).Toujours entre 1982 et 2011, le solde migratoire présente un dans l'Aube, contribuant pour -0,1 % à l'évolution démogra phique du département et au contraire très élevé en

Haute-Marne (-0,7 %).

respectivement +0,28 % par an en moyenne et +0,03 %. La population auboise dépasse ainsi les 300 000 habitants en

2011, soit 1,4 % de plus qu'en 2006. Cette augmentation

découle de l'excédent des naissances sur les décès alors que les arrivées sur le territoire compensent désormais les départs.quotesdbs_dbs1.pdfusesText_1
[PDF] insee définition

[PDF] insee définition jeunesse

[PDF] insee en bref pour comprendre la mesure de la pauvrete

[PDF] insee guadeloupe

[PDF] insee haute normandie

[PDF] insee lille

[PDF] insee martinique

[PDF] insee numero

[PDF] insee odil 2016

[PDF] insee projection population 2030

[PDF] insee siret gratuit

[PDF] insee site de rencontre

[PDF] inseec paris

[PDF] insémination artificielle bovine pdf

[PDF] insémination artificielle vache laitière