TEST DOUCHTERLONY : IMMUNODIFFUSION DOUBLE I
Quand les Ac et leur. Ac spécifiques se rencontrent ils forment un complexe immun (arc de précipitation) (3). III) Mode opératoire. • Préparation des boîtes :.
TP n°2 : Le test dimmunodiffusion ou test dOuchterlony
Cet arc de précipitation traduit la réalisation d'un complexe immun entre l'antigène et son anticorps spécifique. Un complexe immun se forme s'il y a eu une
LSVT6 OUCHTERLONY
Kit immunologie Ouchterlony comportant l'ensemble des produits et matériels nécessaires. des arcs de précipitation d'aspect particulier. On peut ainsi ...
Correction du tp 21 test dOuchterlony : 1- Justifier la disposition des
J'observe un arc de précipitation pour l'individu 1 j'en déduis que l'individu. 1 a été mis en contact avec un antigène du virus de la grippe car il a.
RECHERCHE DUN ANTIGÈNE Principe de la méthode dOuchterlony
LE TEST D'IMMUNODIFFUSION OU TEST D'OUCHTERLONY : RECHERCHE D'UN ANTIGÈNE Quand il y a réaction entre les solutions il se forme un arc de précipitation ...
ACTIVITE-ELEVE
solutions il se forme un arc de précipitation visible à l'œil nu. Celui-ci est dû à l'interaction entre de nombreux anticorps et les antigènes spécifiques
recherche de la spécificité dun anticorps par le test dOuchterlony
Schématiser les associations moléculaires que révèle un arc de précipitation. Respecter les modèles proposés dans la fiche document. 4- Exploiter les
UTILISATION DE LA METHODE DIMMUNODIFFUSION – TEST D
UTILISATION DE LA METHODE D'IMMUNODIFFUSION – TEST. D'OUCHTERLONY : En revanche on observe clairement deux précipités en forme d'arc entre le sérum de lapin +.
AUTO ID® SYSTÈME DE TEST DES AUTO-ANTICORPS SSA/Ro et
Ouchterlony. Ce test doit être utilisé avec une préparation d'antigène ... L'arc de précipitation SSA/Ro peut sembler fusionner partiellement avec l'arc de.
TEST DOUCHTERLONY : IMMUNODIFFUSION DOUBLE I
Ac spécifiques se rencontrent ils forment un complexe immun (arc de précipitation) (3). III) Mode opératoire. • Préparation des boîtes :.
UTILISATION DE LA METHODE DIMMUNODIFFUSION – TEST D
D'OUCHTERLONY : En revanche on observe clairement deux précipités en forme d'arc entre le sérum de lapin ... Ces deux arcs forment des complexes immuns.
TP n°2 : Le test dimmunodiffusion ou test dOuchterlony
Cet arc de précipitation traduit la réalisation d'un complexe immun entre l'antigène et son anticorps spécifique. Un complexe immun se forme s'il y a eu une
AUTO ID® SYSTÈME DE TEST DES AUTO-ANTICORPS SSA/Ro et
La méthode d'immunodiffusion (ID) Ouchterlony est actuellement le Après incubation à température ambiante un arc de précipitation se forme dans la.
Correction du tp 21 test dOuchterlony : 1- Justifier la disposition des
J'observe un arc de précipitation pour l'individu 1 j'en déduis que l'individu. 1 a été mis en contact avec un antigène du virus de la grippe car il a.
LE TEST DIMMUNODIFFUSION OU TEST DOUCHTERLONY
Quand il y a réaction entre les solutions il se forme un arc de précipitation visible à l'œil nu. Celui-ci est dû à l'interaction entre de nombreux anticorps
Les réactions de précipitation en milieu gélosé
22 mars 2010 Un arc de précipitation se forme dans la zone d'équivalence. Page 5. 5. K. Gabin-Gauthier ETSL. La technique d'Ouchterlony ...
TP.3 Les anticorps : des molécules spécifiques de la réponse
Elle contacte alors un ami vieil suédois à elle Örjan Ouchterlony
Le test dimmunodiffusion ou test dOuchterlony ( test_eval
LE TEST D'IMMUNODIFFUSION OU TEST D'OUCHTERLONY : MISE EN ÉVIDENCE DE LA En revanche elle se traduit par un arc de précipitation visible à l'œil nu ...
Vérification dune immunisation par le test dOuchterlony Version
Plus le temps de diffusion des produits sera long meilleur sera l'arc de précipitation. De boîtes de secours peuvent être préparées avant le TP au
A l'approche des fêtes de fin d'année, la mère Noël est nerveuse comme tous les ans. En plus, cette année, Robert, son mari,
plus connu sous le nom de Père Noël, a choppé un gros rhume. Elle l'avait pourtant prévenu de ne pas faire du traîneau en
short avec ses potes, mais Robert est incorrigible. Bref, la mère Noël, Monique de son prénom, craint que Robert ait la grippe
ou une autre maladie. Elle contacte alors un ami vieil suédois à elle, Örjan Ouchterlony, pour avoir des conseils sur la manière
de déterminer la maladie précise dont souffre son pauvre Robert.En français, cela donne cela :
" Chère Monique, Pour vérifier si Robert a la grippe par exemple, il faut vérifier s'il possède des anticorps " anti-grippe ». Les
anticorps sont des molécules de nature protéique qu'un organisme fabrique lorsqu'il a été en contact avec un virus par
exemple. Les anticorps sont présents dans le plasma sanguin et leur efficacité immunitaire s'explique en partie par leur
spécificité. Je te donne le détail d'un protocole que j'ai conçu dans les années 1940 et qui porte mon nom, le test
d'Ouchterlony ».Votre mission : 1). concevoir puis mettre en place une stratégie permettant de déterminer de quoi souffre le père Noël.
2). comprendre l'origine de la spécificité moléculaire des anticorps.
•Activité 1 : Test d'OuchterlonyCe test permet de mettre en évidence expérimentalement l'existence d'interactions entre des anticorps et des antigènes.
Vous disposez d'une boîte de gélose, d'un gabarit (modèle) pour positionner les puits à creuser, d'une micropipette avec des
embouts propres, du matériel pour creuser les puits et pour repérer les différentes solutions déposées dans les puits.
Les 6 solutions suivantes vous sont fournies :
Solution S : Sérum contenant les anticorps du Père Noël Solution A : antigène du virus de la rubéoleSolution B : antigène du virus de la rougeoleSolution C : antigène du virus de la mononucléose
Solution D : antigène du virus de la grippe
Solution E : antigène du virus de l'angine
Remarque : dans le protocole proposé, vous n'utiliserez pas de réels anticorps et antigènes, mais des solutions chimiques de
substitutions incolores (soude et sulfate de zinc), dont certaines peuvent réagir ensemble sous la forme d'un arc de
précipitation.A. A l'aide des informations précédentes, concevoir puis réaliser le protocole permettant de déterminer de quoi
souffre le Père Noël.Pour la conception, penser en particulier au nombre de puits à creuser et à la répartition des différentes solutions dans les
puits.Etapes du protocole à suivre
a. Creuser les puits dans le gel avec la paille en utilisant le gabarit (modèle) fourni.b. Enlever les disques de gélose du puits avec la paille ou l'aiguille lancéolée en veillant à ne pas soulever toute la gélose.
c. Repérer par un marquage sur la boîte de Pétri la disposition des produits à déposer dans les puits.
d. Remplir complètement les différents puits : chaque produit devra être prélevé avec un compte goutte propre ou une
micropipette à embout propre, puis déposé dans les puits sans débordement ni bulle et sans endommager la gélose.
e. Fermer la boite et laisser agir environ 20 à 30 minutes. f. Observer les résultats fournis sur fond noir et en éclairage rasant.B. Exploiter les résultats obtenus
Partie 2 : Quelques aspects de la réaction immunitaireTerminale S •Activité 2 : La spécificité des anticorps Le document ci-contre représente un modèle général d'un anticorps ou immunoglobuline (présentation avec logiciel LibMol). Un anticorps est une protéine de forme symétrique constituée de 4 chaînes polypeptidiques reliées par des ponts disulfures : deux chaînes lourdes (H pour heavy) et deux chaînes légères (L pour light).On cherche à déterminer différentes caractéristiques moléculaires des anticorps (AC) qui
permettraient d'expliquer leur spécificité vis-à-vis des antigènes auxquels ils peuvent se fixer.
A. Réaliser l'étude moléculaire des anticorps (AC) en utilisant les logiciels GenieGen et Libmol.
Logiciel GenieGen Accès : RacLogicielSVT choisir GenieGen_11_14 Fichiers disponibles dans " SVT - Partie 2 Immunologie - TP3 Anticorps ».chaine_h.edi : séquence polypeptidique de la chaîne H (lourde) de 10 anticorps humains différents
chaine_l.edi : séquence polypeptidique de la chaîne L (légère) de 10 anticorps humains différents
IGGTOTAL.PDB : séquence polypeptidique des deux chaînes lourdes (notées H et I) et des deux chaînes légères
(notées L et M) d'un anticorps humain.Logiciel LibMol Accès : https://libmol.org/
1. Indiquer le nom des molécules à
étudier dans " Rechercher » 2. Dans la rubrique " Commandes », sélectionner " Sphères » et " Chaînes »
Molécules à étudier :
Anticorps anti-prion
Anticorps anti-protéine 24 du virus du
SIDAAnticorps Anti-GP 120-VIHLa représentation en chaînes permet de faire apparaître les différentes
chaînes constitutives des AC (le logiciel ne présente que les 200 1ers acides- aminés d'une moitié d'AC) et des protéines virales. On peut identifier le nom de la chaîne en plaçant le curseur sur la molécule.B. Communiquer et exploiter les résultats pour expliquer l'origine de la spécificité des anticorps.2 chaînes légères
2 chaînes lourdes
Partie 2 : Quelques aspects de la réaction immunitaireTerminale S •Activité 2 : Diversité moléculaire des anticorps Les anticorps ou immunoglobulines sont des protéines symétriques formées de quatre chaînes polypeptidiques identiques 2 à 2 et reliées par des ponts disulfures : deux chaînes lourdes (H pour heavy) et deux chaînes légères (L pour light). La liaison antigène-anticorps se réalise au niveau du site de liaison localisé dans le schéma ci-contre.Un même anticorps dispose de deux sites de
liaison qui sont spécifiques du même antigène.On cherche à déterminer différentes caractéristiques moléculaires des anticorps (AC) qui
permettraient d'expliquer leur spécificité vis-à-vis des antigènes auxquels ils peuvent se fixer.
A. Réaliser l'étude moléculaire des anticorps (AC) en utilisant le logiciel GenieGen. Logiciel GenieGen Accès : RacLogicielSVT choisir GenieGen_11_14 Fichiers disponibles dans " SVT - Partie 2 Immunologie - TP3 Anticorps ».chaine_h.edi : séquence polypeptidique de la chaîne H (lourde) de 10 anticorps humains différents
chaine_l.edi : séquence polypeptidique de la chaîne L (légère) de 10 anticorps humains différents
IGGTOTAL.PDB : séquence polypeptidique des deux chaînes lourdes (notées H et I) et des deux chaînes
légères (notées L et M) d'un anticorps humain.B. Communiquer et exploiter les résultats pour expliquer l'origine de la spécificité des anticorps.2 chaînes légères
2 chaînes lourdes
Partie 2 : Quelques aspects de la réaction immunitaireTerminale SCorrection
Activité 1 : Test dOuchterlony
Résultats obtenus (photo ne correspondant pas à la situation étudiée) Exploitation : ici, le complexe (mis en évidence par l'arc de précipitation) s'est formé entre la solution S (le sérum du Père Noël) et la solution D. On en déduit donc que le sérum S contenait des anticorps spécifiques de l'antigène contenu dans la solution D mais non spécifiques des antigènes des solutions A, B et C. On pourrait représenter les résultats sous la forme suivante : Activité 2 : analyse de séquences moléculaires2a. Comparaison des séquences d'acides aminés des chaînes légères (fichier chaine_l.edi)
On observe une très forte variabilité des séquences des 9 anticorps entre l'acide aminé 1 et l'acide aminé 99. Sur
le reste de la séquence (entre l'acide aminé 100 et 216), les séquences d'acides aminés sont très similaires.
2b. Comparaison des séquences d'acides aminés des chaînes lourdes (fichier chaine_h.edi)
On observe cette même très forte variabilité des séquences des 8 anticorps entre l'acide aminé 1 et l'acide aminé
100. Sur le reste de la séquence (entre l'acide aminé 101 et 458), les séquences d'acides aminés sont très
similaires.On en déduit que la diversité des AC est déterminée par la variabilité de la séquence d'acides aminés des
chaînes lourdes et légères des AC entre l'acide aminé 1 et l'acide aminé 117 environ.antigène Dantigènes A, B, C
Partie 2 : Quelques aspects de la réaction immunitaireTerminale S2c. Structure des anticorps
Existence de 4 chaînes : 2 chaînes lourdes (rouge et marron clair) et 2 chaînes légères (bleue et verte).
Interaction AC/AG
Anticorps anti protéine 24 du VIHAnticorps anti GP 120 du VIHAnticorps anti prionOn constate que la zone de contact entre Antigène et Anticorps est située au niveau du début de la chaîne
polypeptidique (à mettre en évidence avec logiciel LibMol).Ainsi, on peut expliquer la spécificité des anticorps par la grande variabilité du début de la séquences des
chaînes des anticorps qui est la région interagissant avec les antigènes.quotesdbs_dbs49.pdfusesText_49[PDF] arcep actualité
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