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BÂTIMENT ET

DÉMARCHE HQE

Sommaire

B‰timents: rŽpondre aux dŽfis

du XXI e ........2-3

La dŽmarche HQE¨

Comment faire?

8-9

Les ŽvŽnements

.........10

Les rŽfŽrences

...............11

Les exemples

..12-19

2Réaliser des bâtiments neufs et

améliorer des bâtiments existants qui auront dans leur ensemble des impacts limités sur l'environnement: telle est la réponse que veulent apporter l'ADEME et ses parte- naires à travers la démarche de

Haute Qualité Environnementale.

Les temps changent.AujourdÕhui ˆ plus grande techniques ont amŽliorŽ notre qualitŽ de vie.

Mais ils nous font toucher du doigt, en mme

temps, la fragilitŽ de notre environnement.

LÕeffet de serre, le changement climatique,

lÕŽpuisement des ressources ŽnergŽtiques fossiles, ne sont plus de vagues menaces loin- taines. Elles se prŽcisent ˆ lÕhorizon de vingt

ˆ trente ans.

1. Une sensibilité du grand public à la

qualité environnementale:cette sen- sibilitŽ sÕest notablement renforcŽe avec lÕapparition de nouvelles menaces pesant sur la santŽ publique. Le constat peut en

tre fait dans beaucoup de domaines, dont

celui du b‰timent, et ce, pour bien des raisons. Le b‰timent a dÕabord un impact visible sur lÕenvironnement. En terme dÕesthŽtique, de consommation dÕespace, dÕŽventuelles nuisances, bien sžr. Mais de plus en plus, ses impacts sÕŽlargissent ˆ occupants: les conforts dÕusage (thermique, acoustique, olfactif, lumineuxÉ), la gestion des diffŽrents types de dŽchets, lÕaction sur le comportement des usagers, etc.

2. Les grands équilibres de la planète

sont en jeu:ces impacts se mesurent surtout et en particulier sur le terrain Žner- gŽtique. Le grand public a commencŽ ˆ rŽaliser que les b‰timents ne sont pas sans

Un chiffre: en 2003, les secteurs rŽsidentiel

de 70 millions de tonnes dÕŽquivalent pŽtrole,autour de 43% de la consommation natio- nale dÕŽnergie, ce qui correspond ˆ 25% des Žmissions franaises de gaz ˆ effet de serre. Il faut donc ˆ la fois lutter contre le gaspillage de ressources ŽnergŽtiques de plus en plus rares et contre une brutale accŽlŽration des changements climatiques de ses partenaires.

3. De nouveaux ressorts pour le marché

du bâtiment:de nouvelles prŽoccupa- tions se sont faites jour aussi chez ceux qui entreprennent de construire. Leurs attentes et leurs motivations ne se limitent plus au confort et au cožt des b‰timents. Elles ronnement et la prise en compte des risques sanitaires. Ce sont lˆ de nouveaux ressorts qui pourraient,dans un avenir proche,reprŽ- senter un moteur important pour le main- tien dÕune dynamique du marchŽ du b‰ti- ment. Un marchŽ estimŽ en France ˆ

100 milliards dÕeuros par an sans compter

les dŽpenses nŽcessaires ˆ la vie de ces b‰timents (eau, Žnergie, servicesÉ).

4. Une réponse aux nouvelles attentes:

soutenue par lÕADEME depuis ses dŽbuts, la dŽmarche HQE (Haute QualitŽ Envi- ronnementale) appliquŽe au secteur du b‰ti- ment est une rŽponse ˆ ces nouvelles attentes. Elle permet dÕŽlargir le champ de recherche des solutions les plus perfor- mantes en considŽrant tous les stades de vie et tous les impacts du b‰timent. Elle assure un meilleur contr™le de lÕacte de b‰tir: la seule phase dÕexploitation, par exemple, est en gŽnŽral ˆ lÕorigine dÕenvi- ron 80 % des impacts environnementaux des b‰timents sur lÕensemble de leur cycle de vie, de la construction ˆ la dŽmolition.5. Généraliser la démarche HQE :lancŽe au dŽbut des annŽes 90,la dŽmarche HQE est aujourdÕhui reconnue gr‰ce au travail effectuŽ par lÕAssociation HQE et ses parte- naires, au premier rang desquels se trouve lÕADEME. Le but maintenant est dÕaller plus loin. De faire en sorte que lÕon passe du stade expŽrimental ˆ une diffusion plus large de la dŽmarche.Les actions de soutien tech- nique et financier de lÕADEME ˆ travers son rŽseau de dŽlŽgations rŽgionales participent de cette volontŽ.

6. Installer la notion de développement

durable dans le bâtiment:rŽussir ce passage, cÕest rŽaliser des b‰timents neufs et amŽliorer des b‰timents existants qui auront dans leur ensemble des impacts limitŽs sur lÕenvironnement, quelles que soient leurs destinations. CÕest aussi instal- ler la notion de dŽveloppement durable dans le secteur du b‰timent. Bref, contri- buer ˆ rŽpondre aux dŽfis du XXI e

B‰timents:

rŽpondre aux dŽfis duXXI e 3

Association HQE:

4, avenue du recteur PoincarŽ

75016 Paris

www.assohqe.orgLa dŽmarche de Haute QualitŽ Environne- mentale, initiŽe au dŽbut des annŽes 90, sÕest dŽveloppŽe sous lÕŽgide du Plan

Construction Architecture (PCA) ˆ la faveur

de la QualitŽ Environnementale) et dÕune douzaine de rŽalisations expŽrimentales dans le domaine de lÕhabitat social (REX HQE).

LÕAssociation HQE Ð dont lÕADEME est

membre fondateur Ð a ensuite capitalisŽ ces expŽriences et mobilisŽ progressivement lÕessen- tiel des acteurs du b‰timent en France. CÕest cette entitŽ, reprŽsentant la quasi-intŽgralitŽ de ceux-ci,qui participe pour la France aux rendez- vous mondiaux des acteurs dÕune construction respectueuse de lÕenvironnement que sont les

SB & GBC (Sustainable Building & Green

Building Challenge - voir page 10).

La rencontre de l'approche environne-

mentale de lÕurbanisme et de la dŽmarche HQE appara"t comme une nŽcessitŽ ˆ beaucoup d'acteurs. La cible N¡1 (cf. page 6) des choix d'implantation d'un b‰timent, en particulier les besoins fonciers liŽs aux voiries et rŽseaux divers ainsi qu'aux transports. A doivent consommer beaucoup de carbu- rant pour s'y rendre ? La question de la maison individuelle en secteur diffus en est une illustration.

Des expŽriences assez nombreuses,ˆ des

Žchelles diverses, ont dŽjˆ ŽtŽ menŽes. Leur gŽnŽralisation n'est cependant pas encore envisageable.

Une approche mŽthodologique et pratique

des lotissements a ŽtŽ mise au point ˆ lÕini- tiative des acteurs publics concernŽs :

ADEME, DGUHC (Direction GŽnŽrale de

l'Urbanisme, de l'Habitat et de la logement) en partenariat avec lÕAssociation

HQE et le SNAL (Syndicat National des

professionnels de l'AmŽnagement et du Lotissement).Elle doit maintenant tre testŽe pour en valider la pertinence et lÕefficacitŽ.

Par ailleurs, une rŽflexion de fond, avec tous

les acteurs intŽressŽs, est conduite par le groupe de travail "amŽnagement" de l'Association HQE.

La dimension urbaine

Les rŽfŽrentiels,qui fondent la dŽmarche

HQE dans le secteur du b‰timent, ont ŽtŽ

ŽlaborŽs dans le consensus par un groupe de

travail de lÕAssociation HQE. Ils ont ŽtŽ rendus

Assises de la DŽmarche HQE

Qu'est-ce que

la HQE

Donner en quelques mots une dŽfinition de la

Haute QualitŽ Environnementale nÕest pas forcŽ- ment simple. Il ne sÕagit pas dÕune nouvelle norme, ni dÕun label supplŽmentaire. La HQE est dÕabord une dŽmarche,celle de Òmanagement de projetÓvisant ˆ limiter les impacts dÕune opŽration de construction ou de rŽhabilitation sur lÕenvironnement tout en assurant ˆ lÕintŽ- rieur du b‰timent des conditions de vie saines et confortables.EsthŽtique,confort,agrŽment de vie,Žcologie,durabilitŽ:la Haute QualitŽ Environ- nementale prend en compte la globalitŽ, joue le dŽveloppement durable et reprŽsente ainsi lÕŽtat le plus avancŽ de lÕart de construire. Un b‰timent conu, rŽalisŽ et gŽrŽ selon une donc toutes les qualitŽs habituelles dÕarchitec- ture, de fonctionnalitŽ,dÕusage, de performance technique et autres que lÕon est en droit dÕattendre. Mais en plus, ses impacts sur lÕenvi- ronnement ont ŽtŽ durablement minimisŽs.

Cela, aussi bien par le choix des matŽriaux de

construction, que par la prise en compte de la maintenance du b‰timent,Žventuellement mme de sa dŽconstruction et, surtout, par les Žconomies dÕŽnergie quÕil permet et qui limi- teront lÕaccroissement de lÕeffet de serre dont 4

La démarche HQE

ronnementale tente dÕapporter une rŽponse ˆ lÕensemble de ces problŽmatiques parfois contradictoires.

Laquestion

ducoût

La HQE

progresse aussi dans le privŽ, plus santŽ, les maisons de retraites, les grandes surfaces commerciales et les bureaux. Ces opŽrateurs privŽs y trouvent leur compte: en effet, si le surcožt immŽdiat ne peut souvent

tre nŽgligŽ notamment du fait du temps

supplŽmentaire nŽcessaire au management de projet, cet inconvŽnient peut tre ŽquilibrŽ par les Žconomies rŽalisŽes et les cožts ŽvitŽs. Cela ral tout au long de la vie du b‰timent, les cožts de fonctionnement tout comme ceux de main- tenance se trouvant minimisŽs. En terme de cožt global, qui tient compte ˆ la fois du cožt dÕinvestissement et du cožt de fonctionnement, lÕapproche HQE est donc avantageuse par rapport ˆ une approche ordinaire.

Cela sans

compter le gain inestimable en terme de protection de la santŽ des occupants et de lÕenvironnement de tousÉ

Les opérations issues de l'appel

à projets consacré aux bâtiments

du tertiaire : une nouvelle étape cours de laquelle la dŽmarche HQE s'est progressivement ŽlaborŽe, a donnŽ suite ˆ de la dŽmarche dans un cadre mieux dŽfini.

LÕappel ˆ projets ÒDŽmarche HQE

et b‰ti-

ments tertiairesÓ, lancŽ par l'ADEME en juin2002, en partenariat avec l'Association HQEet le CSTB, a permis de sŽlectionner une

vingtaine d'opŽrations de bureaux, d'ensei- gnement, de piscines, dÕun immeuble de grande hauteur, dÕun h™pital et de tester le projet de certification ÒNF B‰timents Tertiaires

Ð DŽmarche HQE

Construisez

local, pensez global !

La construction au XXI

e sŽparer le local du global. Plus clairement, il nÕest plus possible dÕignorer lÕinfluence quÕune construction locale peut avoir sur lÕenvironnement ni des exigences que ce dernier impose au projet. Ë lÕŽchelle locale, lÕacte de construire garde ses impŽratifs. Il se doit de prendre en compte la de la biodiversitŽ. Il doit prŽserver les paysages, le patrimoine historique et culturel, etc.

Cela tout en assurant une qualitŽ de vie pour

les occupants et usagers du b‰timent et Ð le cas emblŽmatique de lÕamiante en est lÕillustration Ð, apporter toutes les garanties dÕinnocuitŽ des locaux en terme de santŽ. Mais cet acte de construire,mme sÕil se rŽalise localement, ne peut plus oublier les enjeux globaux de protection de lÕenvironnement: Žviter notamment lÕeffet de serre, la destruc- tion de la couche dÕozone et le gaspillage des ressources en Žnergie et matŽriaux. La dŽmarche dÕamŽlioration de la qualitŽ envi-

Des"référentiels"

pour définir la démarche

Deux documents, rendus publics fin 2001 lors

constituent le fondement de la dŽmarche HQE environnemental et du ÒDEQEÓ,dŽfinition explicite de la qualitŽ environnementale. Ces documents gŽnŽraux,millŽsimŽs,sont appelŽs ˆ

Žvoluer pour tenir compte de l'expŽrience

accumulŽe. Documents de rŽfŽrence pour la certification,ils sont plus prŽcisŽment des ÒmŽta-rŽfŽrentielsÓˆ dŽcliner pour chacun des secteurs de la construction.

Le référenciel SME (Système de

Management Environnemental) :il sÕagit

de lÕensemble de lÕorganisation, des procŽdures

et des pratiques spŽcifiques ˆ une opŽration deconstruction ou dÕadaptation dÕun b‰timent. Le

SME est ŽlaborŽ, mis en place et gŽrŽ par le vŽrifier lÕexigentiel ainsi que lÕŽtat final de lÕopŽration du point de vue de lÕenvironnement. Le référentiel DEQE (Définition Explicite de la Qualité Environnementale) :

Il dŽfinit,

comme son nom l'indique, ce que sont dans la pratique les qualitŽs environnementales des b‰timents. Il formalise le contenu des quatorze "cibles" de la HQE (cf. pages 6 et 7) pour lesquelles un certain nombre d'exigences et d'indicateurs, qualitatifs ou quantitatifs, sont proposŽs.

La certification de la démarche HQE

:La certification,dŽcrite page 9,est encadrŽe dans son principe par une note de lÕAssociation HQE de

2001.Elle formalise,lorsquÕun ma"tre dÕouvrage le

demande, lÕaccomplissement dÕune dŽmarche HQE .Les opŽrations de logement social,dont la certification est portŽe par QUALITEL et

CERQUAL, peuvent ainsi bŽnŽficier d'une

Niveau "très performant"

Niveau "performant"

Niveau "réglementaire ou de pratique courante"

Niveau "initial" (pour mŽmoire, en rŽhabilitation) 5

LÕune des phases importantes de la dŽmarche

HQE , est celle de la hiŽrarchisation des Òexi- gencesÓenvironnementales. Pour une construc- tion neuve, tout nÕest pas possible en mme temps. Le ma"tre dÕouvrage doit donc Žtablir une liste de prioritŽs en choisissant parmi les quatorze Òcibles de constructionÓ, les trois ou quatre qui lui semblent les plus importantes, dont lÕŽnergie, sur lesquelles un maximum dÕef-

fort sera concentrŽ.De mme,dans cette hiŽrar-chisation, quatre ou cinq autres cibles serontretenues pour un traitement particulier. Lescibles restantes se devant dՐtre traitŽes dÕune

conformes ˆ la rŽglementation ou aux bonnes pratiques.

Ces choix se font en fonction du terrain sur

lequel sera installŽe la construction, de la desti- nation du b‰timent et de toutes les caractŽ- ristiques propres au projet.

Hiérarchiser ses"exigences"

4 cibles

au moins autres cibles

3 cibles

au moins 6 •Famille F1

Les cibles d'écoconstruction:

Cible n¡01 ÒRelation harmonieuse des b‰ti- ments avec leur environnement immŽdiatÓ: Ðutilisation des opportunitŽs offertes par le voisinage et le site; Ðgestion des avantages et dŽsavantages de la parcelle;

Ðorganisation de la parcelle pour crŽer un

cadre de vie agrŽable; ÐrŽduction des risques de nuisances entre le b‰timent, son voisinage et son site. Cible n¡02 ÒChoix intŽgrŽ des procŽdŽs et produits de constructionÓ: ÐadaptabilitŽ et durabilitŽ des b‰timents;

Ðchoix des procŽdŽs de construction;

Ðchoix des produits de construction.

Cible n¡03 ÒChantier ˆ faibles nuisancesÓ: Ðgestion diffŽrenciŽe des dŽchets de chantier,

ÐrŽduction du bruit de chantier;

ÐrŽduction des pollutions de la parcelle et du voisinage; Ðma"trise des autres nuisances de chantier.• Famille F2

Les cibles d'écogestion:

Cible n¡04 ÒGestion de lÕŽnergieÓ:

Ðrenforcement de la rŽduction de la demande

et des besoins ŽnergŽtiques;

Ðrenforcement du recours aux Žnergies

environnementalement satisfaisantes; Ðrenforcement de lÕefficacitŽ des Žquipements

ŽnergŽtiques;

Ðutilisation de gŽnŽrateurs propres lorsquÕon ˆ recours ˆ des gŽnŽrateurs ˆ combustion.

Cible n¡05 ÒGestion de lÕeauÓ:

Ðgestion de lÕeau potable;

Ðrecours ˆ des eaux non potables;

Ðassurance de lÕassainissement des eaux usŽes;

Ðaide ˆ la gestion des eaux pluviales.

Cible n¡06 ÒGestion des dŽchets dÕactivitŽsÓ: Ðconception des dŽp™ts de dŽchets dÕactivitŽs adaptŽe aux modes de collecte actuel et futur probable; Ðgestion diffŽrenciŽe des dŽchets dÕactivitŽs, adaptŽe au mode de collecte actuel.

Cible n¡07 ÒEntretien et maintenanceÓ:

Ðoptimisation des besoins de maintenance;

Ðmise en place de procŽdŽs efficaces de

gestion technique et de maintenance;

Ðma"trise des effets environnementaux des

procŽdŽs de maintenance. Cette liste comprend actuellement 14 cibles. Chaque cible se dŽcompose en cibles ŽlŽmentaires. On en distingue actuellement 52. Il sÕagit de la dŽfinition exigentielle de la dŽmarche HQE . La liste qui peut tre consultŽe sur le site de lÕassociation (www.assohqe.org), permet de savoir avec une bonne prŽcision sur quoi vont porter

Domaine D1

Les cibles de maîtrise des impacts

sur l'environnement extérieur

Les quatorze "cibles"de la

L'ensemble des 14 cibles est organisé

7 •Famille F4

Les cibles de santé:

Cible n¡12 ÒConditions sanitairesÓ:

ÐcrŽation de caractŽristiques non aŽriennes des ambiances intŽrieures satisfaisantes; Ðfacilitation du nettoyage et de lÕŽvacuation des dŽchets dÕactivitŽs;

Ðfacilitation des soins de santŽ;

ÐcrŽation de commoditŽs pour les personnes

ˆ capacitŽs rŽduites.

Cible n¡13 ÒQualitŽ de lÕairÓ:

Ðgestion des risques de pollution par les

produits de construction; Ðgestion des risques de pollution par les Žqui- pements; Ðgestion des risques de pollution par lÕentre- tien ou lÕamŽlioration; Ðgestion des risques de pollution par le radon;

Ðgestion des risques dÕair neuf polluŽ;

Ðventilation pour la qualitŽ de lÕair.

Cible n¡14 ÒQualitŽ de lÕeauÓ :

Ðprotection du rŽseau de distribution

collective dÕeau potable; Ðmaintien de la qualitŽ de lÕeau potable dans les b‰timents; ÐamŽlioration Žventuelle de la qualitŽ de lÕeau potable;

Ðtraitement Žventuel des eaux non potables

utilisŽes; Ðgestion des risques liŽs aux rŽseaux dÕeaux non potables.• Famille F3

Les cibles de confort:

Cible n¡08 ÒConfort hygrothermiqueÓ:

Ðpermanence des conditions de confort

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