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LA DISTANCE PROFESSIONNELLE DANS LA RELATION

Actuellement étudiante en 3e année en soins infirmiers j'effectue mon stage du semestre 5 avec un infirmier libéral



Diplôme dEtat dinfirmier Référentiel dactivités

« Relèvent du rôle propre de l'infirmier les soins liés aux fonctions d'entretien et de continuité de la vie et visant à compenser partiellement ou totalement 



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L'infirmière Libérale. Et. Le patient stomisé. Année 2004-2005 cadre du rôle propre (Article 5) les soins de prévention et d'éducation figurent quand à ...



Bruno Auconte

et la prévention des infections nosocomiales » 1992. Recommandation n°54 :''Le lavage des mains constitue le premier moyen de lutte contre.



1. SCIENCES HUMAINES SOCIALES ET DROIT

Retrouvez le document original dans le Bulletin officiel santé - protection financement des soins infirmiers dans les structures et en secteur libéral .



MODALITES DADMINISTRATION PAR VOIE INTRA VEINEUSE

DETANTE I. infirmière diplômée d'état



Laccompagnement infirmier des personnes en situation de

May 4 2019 en développant des compétences propres et spécifiques pour ... étaient sales et usés



Evaluation de la gestion du risque infectieux lié aux actes infirmiers

exposé) dans le secteur infirmier libéral : ceci nous a semblé d'autant immédiate (avec zone propre et zone sale)



Livret de pratiques en soins infirmiers

Dans le cadre de son rôle propre l'infirmier ou l'infirmière est également responsable des actes qu'il assure avec la collaboration des aides-soignants et des 

" 0RGMOLPpV G·MGPLQLVPUMPLRQ SMU YRLH LQPUM YHLQHXVH GHV Ń\PRPR[LTXHV HP JHVPLRQ GH OHXUV HIIHPV VHŃRQGMLUHV ª 9HUVLRQ YMOLGpe du 14/06/2012

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02G$IH7(6 G·$G0H1H67RATION PAR VOIE INTRA

VEINEUSE DES CYTOTOXIQUES ET GESTION DE LEURS

EFFETS SECONDAIRES

BPA-PEC1206ADMCYTO Ƚ Version validée du 14/06/2012

Table des matières

I. Définition ......................................................................................................... 4

II. Objectifs .......................................................................................................... 4

III. Population concernée ........................................................................................... 4

IV. Pré-requis et Indications ....................................................................................... 4

V. Risques encourus................................................................................................. 5

VI. Préparation ....................................................................................................... 6

VII. Matériel et environnement .................................................................................... 6

VIII. 7HŃOQLTXH G·MGPLQLVPUMPLRQ GHV Ń\PRPR[LTXHV .............................................................. 7

IX. Surveillance ....................................................................................................... 8

X. Bibliographie ..................................................................................................... 9

Annexe I : Education Thérapeutique du patient traité par chimiothérapie ............................... 10

Annexe II FRQGXLPH j PHQLU HQ ŃMV G·H[PUMYMVMPLRQ GH Ń\PRPR[LTXHV ...................................... 14

Annexe III : Fiche conseil pour les soignants .................................................................... 16

" 0RGMOLPpV G·MGPLQLVPUMPLRQ SMU YRLH LQPUM YHLQHXVH GHV Ń\PRPR[LTXHV HP JHVPLRQ GH OHXUV HIIHPV VHŃRQGMLUHV ª 9HUVLRQ YMOLGpe du 14/06/2012

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CIBLE(S)

Médecins et Infirmier(e)s Diplômé(e)s G·Etat (I.D.E.), Aides-soignant(e)s et agents de service

hospitalier (lors de la manipulation des vomissures et des excréta) des Etablissements Membres du

Réseau Espace Santé Cancer Rhône-Alpes.

REDACTEUR(S)

CoordonnateXU G·MŃPLRQ GX JURXSH SOINS :

TALON A., directeur des soins infirmiers, CRLCC Léon Bérard, Lyon. Référent(s) du groupe de travail " Bonnes Pratiques » : LAURENT C., cadre de santé, CRLCC Léon Bérard, Lyon.

Membres du groupe de travail

$5$17(6 1B LQILUPLqUH GLSO{PpH G·pPMP CRLCC Léon Bérard, Lyon ; %$5%287H( .B LQILUPLqUH GLSO{PpH G·pPMP FOLQLTXH 7UpQHO 6MLQPH FRORPNH OHV 9LHQQHV ; BOBINEAU A., cadre de santé, Groupe Hospitalier Mutualiste les Portes du Sud, Vénissieux ; CORNUOT C., Cadre de santé, Hôpital Pierre Wertheimer, Bron ; GHGH(5 HB LQILUPLqUH GLSO{PpH G·pPMP FHQPUH +RVSLPMOLHU 3LHUUH 2XGRP %RXUJRLQ -MLOOHX ; GIAI-F+(F$ GB LQILUPLqUH GLSO{PpH G·pPMP FHQPUH +RVSLPMOLHU GH FOMPNpU\ FOMPNpU\ ; GRAFF E., cadre de santé, Institut Formation Soins Infirmiers Saint Martin, Grenoble ; GRAND L., cadre de santé, Clinique Saint Vincent de Paul, Bourgoin Jailleu ; *8HII(9H1 FB LQILUPLqUH GLSO{PpH G·pPMP F5IFF IpRQ %pUMUG I\RQ ; +$9(77( 0B LQILUPLqUH GLSO{PpH G·pPMP FHQPUH +RVSLPMOLHU GH FOMPNpU\ FOMPNpU\ ; JARLOT P., cadre de santé, Institut Formation Soins Infirmiers, Bourgoin Jailleu ; LAURENT C., cadre de santé, CRLCC Léon Bérard, Lyon ; LEBLOND N., cadre de santé, Institut de Formation Soins Infirmiers, Villefranche Sur Saône ; PAILLARD-BRUNET A.M., cadre de santé, Institut de Formation Soins Infirmiers, Bourgoin Jailleu ;

32IH )B LQILUPLqUH GLSO{PpH G·pPMP FHQPUH +RVSLPMOLHU GH FOMPNpU\ FOMPNpU\ ;

5H9H(5( 0B)B LQILUPLqUH GLSO{PpH G·pPMP FHQPUH +RVSLPMOLHU GH FOMPNpU\ FOMPNpU\ ;

ROUSSEAU K., infirmière dipl{PpH G·pPMP FOLQLTXH FOMUŃRP 6MLQPH )R\ OHV I\RQ ; YILDIZ M.FB LQILUPLqUH GLSO{PpH G·pPMP F5IFF IpRQ %pUMUG I\RQB

" 0RGMOLPpV G·MGPLQLVPUMPLRQ SMU YRLH LQPUM YHLQHXVH GHV Ń\PRPR[LTXHV HP JHVPLRQ GH OHXUV HIIHPV VHŃRQGMLUHV ª 9HUVLRQ YMOLGpe du 14/06/2012

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3/21 CONTRIBUTEUR(S) (membres présents à la plénière et/ou ayant fait des commentaires) : BOURGEOIS-)I$0(17 $B LQILUPLqUH GLSO{PpH G·pPMP Hôpitaux Drome Nord, Romans Sur Isère; BRUBELOIS A., pharmacien assistant, Centre Hospitalier de Voiron, Voiron ; F28G(57 $B LQILUPLqUH GLSO{PpH G·pPMP FHQPUH +RVSLPMOLHU GX 3M\V GX *LHU 6MLQP FOMPRQG ; G$0H$16 6B LQILUPLqUH GLSO{PpH G·pPMP FHQPUH +RVpitalier de Belley, Belley ; G(I$3I$F(77( 6B FMGUH GH 6MQPp FOLQLTXH G·$UJRQM\ 3ULQJ\ ; G(7$17( HB LQILUPLqUH GLSO{PpH G·pPMP ŃMNLQHP OLNpUMO )UMQŃOHYLOOH ; GHGH(5 HB LQILUPLqUH GLSO{PpH G·pPMP FHQPUH +RVSLPMOLHU 3LHUUH 2XGRP %RXUJRLQ -MLOOHX ; DUMONT M., assistante projet, Réseau Espace Santé Cancer, Lyon ; EYRAUD Christine, directeur des soins infirmiers, Clinique Convert, Bourg en Bresse ; FERRE S., cadre de santé, Centre Hospitalier de Voiron, Voiron ; FRANCONY M., cadre de santé, Centre Hospitalier de Chambéry, Chambéry ; GRAFF E., cadre de santé, Institut Formation Soins Infirmiers Saint Martin, Grenoble ; HENRY F., directeur des soins infirmiers, Infirmerie Protestante, Caluire et Cuire ; LAURENT C., cadre de santé, CRLCC Léon Bérard, Lyon ; LEFEVRE M., formation continue, Institut Formation Soins Infirmiers St Joseph St Luc, Lyon ;

0251$1G IB LQILUPLqUH GLSO{PpH G·pPMP FMNLQHP ILNpUMO )UMQŃOHYLOOH ;

2%5H1*(5 6B LQILUPLqUH GLSO{PpH G·pPMP +{SLPMX[ GURPH 1RUG 5RPMQV 6XU HVqUH ;

ORFEUVRE H., oncologue Médical, Centre Hospitalier de Bourg en Bresse, Bourg en Bresse ; PAILLARD-BRUNET A.M., cadre de santé, Institut Formation Soins Infirmiers, Bourgoin Jailleu ;

PAINDESTRE C., directeur des soins infirmiers, Clinique Mutualiste de Lyon-site Eugène André, Lyon ;

PERCHE L., LQILUPLqUH GLSO{PpH G·pPMP +{SLPMX[ GURPH 1RUG 5RPMQV 6XU HVqUH ; PERRIER A., directeur des soins infirmiers, Polyclinique de Rillieux, Rillieux La Pape ;

3I$17H(5 9B LQILUPLqUH GLSO{PpH G·pPMP +{SLPMX[ GURPH 1RUG 5RPMQV 6ur Isère ;

32IH )B LQILUPLqUH GLSO{PpH G·pPMP FHQPUH +RVSLPMOLHU GH FOMPNpU\ FOMPNpU\ ;

52%(57 IB ŃMGUH GH VMQPp FHQPUH +RVSLPMOLHU G·$L[ OHV %MLQV $L[ OHV %MLQV ;

TALON A., directeur des soins infirmiers, CRLCC Léon Bérard, Lyon.

" 0RGMOLPpV G·MGPLQLVPUMPLRQ SMU YRLH LQPUM YHLQHXVH GHV Ń\PRPR[LTXHV HP JHVPLRQ GH OHXUV HIIHPV VHŃRQGMLUHV ª 9HUVLRQ YMOLGpe du 14/06/2012

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I. DEFINITION

I·MGPinistration des cytotoxiques comprend deux aspects O·MGPLQLVPUMPLRQ SURSUHPHQP GLPH HP OM

prise en charge des effets secondaires du traitement.

II. OBJECTIFS

¾ *MUMQPLU OM TXMOLPp HP OM VpŃXULPp GH O·MGPLQLVPUMPLRQ GHV Ń\PRPR[LTXHVB ¾ Mettre en place la surveillance spécifique de ces traitements (gestion des risques et des effets secondaires). ¾ Eduquer le patient sur les effets secondaires du traitement HP OHV PR\HQV G·\ IMLUH IMŃH (cf. annexe I : Education du patient traité par chimiothérapie p.9)

III. POPULATION CONCERNEE

¾ Population cible : le patient.

¾ Professionnels responsables : PpGHŃLQV HP HQILUPLHUHV GLSO{PpHV G·(PMP HBGB(B Aides-soignants et agents de service hospitalier (lors de la manipulation des vomissures et des excréta).

IV. PRE-REQUIS ET INDICATIONS

8QH ŃRQVXOPMPLRQ SUpMOMNOH HVP UpMOLVpH SMU OH PpGHŃLQ MILQ GH YMOLGHU O·MGPLQLVPUMPLRQ GH OM

chimiothérapie.

1. I·HG(

¾ 9pULILH O·LGHQtité du patient dans la chambre,

¾ 6·MVVXUH TXH O·pPMP ŃOLQLTXH GX SMPLHQP HVP LQŃOMQJp GHSXLV OM YMOLGMPLRQ GH OM

chimiothérapie par le médecin,

¾ 6·MVVXUH TXH OH SMPLHQP HVP SRUPHXU G·XQH YRLH YHLQHXVH SpULSOpULTXH RX ŃHQPUMOH

répondant aux critères de qualité et de sécurité (cf. bonnes pratiques " Pose et

HQPUHPLHQ G·XQH 9RLH 9HLQHXVH 3pULSOpULTXH », " Techniques de manipulations et

G·HQPUHPLHQ G·XQH ŃOMPNUH LPSOMQPMNOH » et " Techniques GH PMQLSXOMPLRQ HP G·HQPUHPLHQ

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