21. Sigles et abréviations
Un sigle est une abréviation formée de lettres initiales (PDG) . mot d'un groupe de mots : sigles et acronymes. exemples ex. = exemple M. = monsieur
LE SYMBOLE DE SOMMATION
1 2 3 ?. De manière plus générale l'expression. ? représente la somme de n termes ?. . Exemple 1.
Table des sigles et abréviations _ Glossaire
Courbe de niveau : ligne artificielle qui relie des points de même altitude par exemple pour mettre en évidence la topographie du terrain sur une carte
Table des sigles et des abréviations
peut penser par exemple à établir pour chaque catégorie une série de trois tableaux du même type que ceux établis lors du tri global. Ce deuxième niveau de
Fonctions et vie des sigles et acronymes en contextes de langues
12 nov. 2001 Cet exemple offre un cas de «piggy-backing» acronymique un sigle
Etude terminologique des sigles utilisés en Agriculture Biologique
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QUELQUES RÈGLES TYPOGRAPHIQUES ESSENTIELLES La
[6] Les capitales doivent être accentuées sauf dans les sigles : « École nationale Tous les termes en latin
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Assurances sociales (par exemple l'assurance maladie) par opposition à AT. (accident du travail). AS. Action sociale. ASE. Aide sociale à l'enfance.
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2.8 La liste des abréviations des sigles et des acronymes . Voici l'exemple d'une citation non fusionnée au texte : Une recherche suppose un réel ...
Sigles acronymes abréviations un sigle une abréviation en
• un sigle — initiales (ou groupes de lettres) d’une série de mots Ces initiales se prononcent comme des lettres individuelles (exemple : les CD)! • un acronyme — initiales (ou groupes de lettres) d’une série de mots Ces initiales se prononcent comme un mot (exemple : le sida)!
Règles typographiques de base - Montpellier Research in
sigles qui peuvent se prononcer comme un mot (acronymes) et font plus de trois lettres Exemple : CCFD AUF Unesco Pnud ? en minuscules quand ils sont devenus des noms communs Exemple : laser radar Noms d’organismes ? développé de sigle : majuscule à la 1ère lettre et aux noms propres exemple : Université libre de Bruxelles (ULB)
Les abréviations et les sigles Vocabulaire - La classe de
Notre prof de maths nous a donné des tas d’exos pour préparer l’interro de lundi prochain Vocabulaire Les abréviations et les sigles www laclassedemallory net
Liste d'abreviations et de sigles utilises pour le - WIPO
la documentation en matière de propriété industrielle La liste ne contient ni les noms des bases de données commerciales ni ceux des disques compacts ROM 5 Les abréviations et sigles figurant dans la liste sont présentés sans que soit indiqué s’il s’agit de marques enregistrées
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Un sigle est une suite de lettres qui correspondent aux initiales de plusieurs mots Les JO d’été ont lieu tous les 4 ans Pour prononcer un sigle : on épelle toutes les lettres : un SDF la SNCF l’UE on le lit comme un mot : l’OTAN la NASA Certains sigles sont devenus des noms communs on les
Quand Utiliser La Liste Des Abréviations ?
Si vous utilisez de nombreuses abréviations techniques dans votre document, il est alors conseillé de fournir une liste des abréviations. Certains de vos lecteurs peuvent ne pas être au fait de certaines abréviations, et peuvent rencontrer des difficultés de compréhension. La liste des abréviations facilite donc la lisibilité de votre document.
Abréviations en Français et Anglais, Que Faire ?
Si vous avez des abréviations ou acronymes en anglais et français (ou d’autres langues), il est préférable d’être consistant et d’utiliser la traduction française des abréviations anglaises. Par exemple, si vous parlez des United Nations(UN), vous pouvez remplacer ce terme par l’Organisation des Nations Unies (ONU). Si ce n’est pas possible, il est...
Utilisation Des Abréviations
Il existe de nombreuses règles d’utilisation des abréviations. En résumé, quand vous utilisez une abréviation ou un acronyme plus spécifique pour un terme ou une phrase de votre travail, vous devez d’abord écrire le terme ou la phrase en entier quand vous y faites référence pour la première fois. Vous devez ensuite placer entre parenthèses l’abrévi...
Table des sigles et abréviations
_Glossaire
Table des sigles et abréviations
271Table des sigles et abréviations
AML : Arc Macro Langage
BRGM : Bureau de Recherches Géologiques et MinièresCA : Chambre d'Agriculture
CG34 : Conseil Département al de l'Hérault
CHRU : Chemical Response Unit
DBO 5 : Demande Biologique en Oxygène à 5 joursDCO : Demande Chimique en Oxygène
DDAF : Direction Départementale de l'Agriculture et de la ForêtDIREN : DIrection Régionale de l'Environnement
Eh : Equivalent-habitant
EID : Entente Interdépartementale pour la DémousticationETP : EvapoTransPiration
FO : Fonction Objectif
GLUE : Generalised Likehood Uncertainty EstimationHRU : Hydrologic Response Unit
IFREMER : Institut Français de Recherche pour l'Exploitation de la MERIGN : Institut Géographique National
INRA : Institut National de Recherche Agronomique
INSEE : Institut National de la Statistique et des Etudes EconomiquesMES : Matière En Suspension
MNT : Modèle Numérique de Terrain
NDVI : Normalized Difference Vegetation Index
NH 4+ : azote sous forme ammonium NO 2- : azote sous forme nitrites NO 3- : azote sous forme nitratesNOD : azote organique dissout
Table des sigles et abréviations
272NOP : azote organique particulaire
Norg : azote organique
NTK : azote kjeldahl
OPA : Organismes Professionnels Agricoles
PRA : Petite Région Agricole
Pt : phosphore total
REA : Representative Element Area
RGA : Recensement Général Agricole
SATESE : Service d'Assistance Technique aux Exploitants de Stations d'EpurationSIE : Système d'Information pour Environnement
SIG : Système d'Information Géographique
SIRS : Système d'Information à Référence SpatialeSIT : Système d'Information Territorial
TIN : Triangulated Irregular Network
UGB : Unité Gros Bovin
UMR 3S : Unité Mixte de Recherche " Structure et Systèmes Spatiaux »Glossaire
273Glossaire
Aérobie : se dit de micro-organismes qui ne peuvent se développer qu'en présence d'air ou d'oxygène libre. Anaérobie : se dit de micro-organismes qui se développent normalement dans un milieu dépourvu d'air ou d'oxygène. Arc : une ligne complexe composée d'un ensemble de point. Base de données : ensemble de données organisé en vue de son utilisation dans divers programmes correspondant à diverses applications, et de façon à faciliter l'évolution indépendante des données et des programmes. Base de données de Système d'Information Géographique : ensemble structuré de données graphiques et non graphiques permettant de décrire un plan d'information, de définir des relations spatiales et des caractéristiques d'un site donné. Bassin versant (ou bassin hydrographique) : surface drainée par un cours d'eau, en amont d'un point définissant son exutoire. Bief : portion de rivière entre deux singularités (confluences, sources, ouvrages, ...) Carte d'occupation du sol : carte thématique de la couverture physique de la surfaceterrestre mettant en évidence la nature des objets : forêts, cultures, zone urbaine, surfaces en
eau, etc. Cartographie : opération qui consiste à transcrire sous forme d'une carte numérique une information de nature géographique. La cartographie numérique permet donc de représentersous forme de données numériques, la répartition spatiale d'un phénomène ou d'une variable
ou d'attacher une information à un lieu donné. CHRU (Chemical Response Unit) : portion du bassin qui présente une homogénéité en terme de production de flux de polluant (concept qui découle des HRU).Classification : processus qui vise à assigner un attribut unique à un groupe d'éléments en
fonction de leur propre attribut. Couche d'information : version numérique d'une feuille cartographique décrivant un type d'éléments spatiaux (occupation du sol, réseau hydrographique). Courbe de niveau : ligne artificielle qui relie des points de même altitude, par exemple pour mettre en évidence la topographie du terrain sur une carte topographique. Crue : montée, nettement au-dessus des valeurs habituelles, du niveau d'un cours d'eau ou d'une retenue, attribuable aux précipitations ou à la fonte des neiges. Débit : volume d'eau par unité de temps qui coule en un point donné de la rivière.Digitalisation (ou numérisation) : encodage numérique d'éléments graphiques par saisie des
coordonnées spatiales. Cette opération peut se faire de façon manuelle, à l'aide d'une table à
digitaliser, ou de façon automatique, grâce à un scanner numérique.Glossaire
274Echelle : notion intimement liée à la résolution puisqu'il y a une limite physique au dessin
d'un objet sur une carte, cette limite étant jugée en général à 0.5 mm (ce qui correspond par
exemple à 12.5 m pour une carte au 1/25 000 ième Ecosystème : ensemble d'un milieu naturel et des organismes qui y vivent. L'écosystème estl'unité fonctionnelle de base en écologie, puisqu'elle inclut à la fois les êtres vivants et le
milieu dans lequel ils vivent, avec toutes les interactions entre le milieu et les organismes. Elément topographique : objet ou élément concret, fixe et durable, existant à un moment donné à la surface du sol, éventuellement dans le sous-sol. Equifinalité : existence de multiples jeux de paramètres acceptables pour une série de données expérimentales. Equivalent-habitant : quantité de pollution engendrée quotidiennement par un habitant (enterme de matières en suspension, de matière organique, de matière azotée et de matière
phosphorée). Eutrophisation : phénomène correspondant à un enrichissement en sels nutritifs (azote etphosphore) des baies, lagunes, lacs et rivières dû aux rejets générés par les activités
anthropiques. Exactitude : relation entre une mesure et la réalité qu'elle se propose de représenter.Exutoire : point à partir duquel on définit du bassin versant amont et par où s'écoule l'eau
interceptée par le bassin correspondant. Facteur : ensemble regroupant les variables d'entrée, les variables d'état et les caractéristiques physiques du bassin qui conditionne la variabilité spatio-temporelle des processus, leur importance et leurs interactions.Flux : masse d'un élément par unité de temps qui transite en un point donné de la rivière.
Fonction de production : en hydrologie, passage de la pluie précipitée à la lame ruisselée qui
génère la crue. Fonction de transfert : opérateur hydrologique permettant le passage de la lame ruisselée au débit à l'exutoire. Géomatique : ensemble de techniques de traitement informatique des données géographiques dont certaines peuvent provenir de la télédétection. Géomorphologie : science qui a pour but d'expliquer les formes du relief, leurs genèses, leur évolution dans le temps et leurs relations dans l'espace. HRU (Hydrologic Response Unit) : portion du bassin qui présente une homogénéité en terme de fonctionnement hydrologique. Hydrogramme : courbe continue de variation du débit d'un cours d'eau (obtenue par exempleà l'aide d'un appareil hydrographique).
Hydrographie : partie de la topographie constituée par l'ensemble des eaux réparties à la surface de la terre, sous forme liquide ou solide, éventuellement dans le sous-sol, de façon permanente ou temporaire. Hydrologie : discipline scientifique portant sur l'étude du cycle de l'eau : précipitations, écoulements ou infiltrations, évolution des réserves en eau et évaporation.Glossaire
275 Image satellitale : image issue de données enregistrées par un capteur non photographique à
bord d'un satellite.Limnimètre : dans sa forme la plus simple, règle graduée plantée dans le lit du cours d'eau. Il
existe aussi des limnimètres enregistreurs ou le niveau est indiqué périodiquement par l'intermédiaire d'un flotteur; si le mouvement en est constamment enregistré sur un graphique, c'est un limnigraphe. MNT (Modèle Numérique de Terrain) : représentation numérique d'une surfacegéographique avec des cordonnées (x,y,z) qui peuvent être ordonnées de différentes façons
selon la méthode de modélisation employée (raster, TIN, etc.).Modèle : représentation simplifiée d'un système ou chaque processus est représenté par une
relation mathématique. Paramètre : grandeur mesurable (humidité, pente) ou grandeur abstraite (capacité d'un réservoir conceptuel). Parcimonie : qualité d'un modèle liée au faible nombre de paramètres utilisés. Pixel : contraction de "picture element", la plus petite unité d'une information contenue dans une représentation maillée de l'espace . Pluviographe : pluviomètre qui enregistre automatiquement la hauteur des précipitations cumulées en fonction du temps.Pluviomètre : instrument qui sert à mesurer la hauteur de pluie précipitée en un lieu et à un
moment donné. Pollutogramme : courbe continue de variation de la concentration d'un polluant chimique dans un cours d'eau. Polygone : figure graphique élémentaire représentant une surface sur une carte. Précision : sens premier de degré d'exactitude entre la mesure et la réalité qui estreprésentée ; par exemple, qualité de la mesure du positionnement géographique d'un point au
sol (précision planimétrique) et de son altitude (précision altimétrique) ; dans un second sens,
degré de détail dans le stockage ou la manipulation d'une information. A noter que l'on peutdéfinir une valeur précisément mais de manière inexacte : par exemple, une valeur d'altitude
donnée en cm pour une incertitude sur la valeur de quelques mètres. Processus : changement dans le temps de matière, d'énergie ou d'informations. Raster : format de données géographiques représentées sous forme de matrice de pixels.Rasterisation : opération qui consiste à passer de la représentation vecteur d'une information
à une représentation sous forme de matrice de pixels. Opération inverse de la vectorisation.
REA (Representative Element Area) : unité élémentaire du bassin dont la taille permet unevariabilité intra-élément négligeable par rapport à la variabilité inter-élément en terme de
caractéristiques physiques (occupation du sol, pédologie, ...).Relation : équation mathématique utilisée dans un modèle pour représenter un processus du
système (relation de conservation de la masse , de la quantité de mouvement). Réseau de drainage : chemin suivi par l'eau pour atteindre l'exutoire.Glossaire
276Réseau hydrographique : ensemble des canaux de drainage naturels où s'écoulent les eaux provenant du ruissellement ou restituées par les nappes souterraines soit sous forme de sources, soit par restitution continue le long du lit du cours d'eau [Roche 1963]. Résolution : plus petite distance entre deux éléments dans une image qui puissent être
distingués ; équivalent à la taille du plus petit élément visible dans une image. Ce terme est
utilisé par extension et de manière abusive pour un MNT, sans aucune garantie de pouvoirséparateur : on distingue la résolution planimétrique ou spatiale, relative à la position
planimétrique des points, et la résolution altimétrique relative à l'unité de mesure de l'altitude
des points.RGA : recensement général agricole qui vise à déterminer les caractéristiques sociales et
techniques de la profession agricole.Satellite d'observation de la Terre (ou de télédétection) : type de satellite développé à des
fins civiles ou militaires, munis d'un ou de plusieurs capteurs permettant de photographier la Terre ou de mesurer des paramètres physiques et biologiques de la planète. SIG (Système d'Information Géographique) : ensemble d'outils pour collecter, stocker,récupérer, modifier et représenter des données spatiales de notre environnement au sens large.
SIRS (Système d'Information à référence spatiale) : système d'information qui intègre à la
fois un SIG au sens d'outil mais aussi les moyens et les ressources humaines nécessaires à l'utilisation de la base d'information. Surface drainée : surface du bassin située en amont d'un point du cours d'eau. Système : structure organisée en plusieurs composants distincts mais interdépendants qui associe à toute cause un effet. Talweg (ou thalweg): ligne qui relie les points les plus bas d'une vallée. Correspond donc au fond de vallée mais qui n'est pas nécessairement occupé par un cours d'eau.Télédétection : ensemble de techniques utilisées pour déterminer des caractéristiques
physiques et biologiques d'objets par des mesures effectuées à distance, sans contact matériel
avec ceux-ci. TIN : en anglais " Triangulated Irregular Network ». Système de représentation du terrain sous forme de facettes triangulaires reliant des points d'altitude connue. Variable : grandeur mesurable du système qui évolue au cours du temps. On différencie lesvariables d'état qui caractérisent l'état du système (température du sol, teneur en oxygène
dissous dans la rivière, ...), les variables d'entrée qui comprennent à la fois les variables
atmosphériques et les apports de matière (azote, pesticides, ...), les variables de sortie quicaractérisent les sorties du système (de matière : eaux, nutriments, ... ou d'énergie). Le terme
de variable de forçage est préféré au terme de variable d'entrée pour les variables atmosphériques.Vecteur : type de format où les données spatiales sont définies par des points, des lignes et
des polygones.Vectorisation : opération qui consiste à passer des données numériques du format raster au
format vecteur (ensembles de points, lignes et polygones). L'opération inverse est nommée rasterisation.Titre : Modélisation distribuée des flux d'azote sur des petits bassins versants méditerranéens
Résumé
Un modèle d'exportation d'azote a été développé pour fournir un outil opérationnel d'estimation
des masses produite en contexte méditerranéen. Le modèle, dénommé POL, est de type conceptuel
distribué. Il repose sur un découpage du bassin en unités de production (les sous-bassins versants)
dont le flux est contrôlé par un paramètre F et en unités de transport (les biefs de rivières) qui
véhiculent les flux produits sur les sous-bassins. La dynamique des flux d'azote dans les biefs est
contrôlée par un paramètre T. Les 2 paramètres F et T du modèle POL sont définis globalement sur
le bassin. Les flux générés sur les sous-bassins versants dépendent également du stock d'azote
potentiellement mobilisable lors d'un épisode de pluie. On suppose que cette grandeur conceptuelle
est liée à l'occupation du sol et aux pratiques culturales. Le modèle peut être utilisé en mode
événementiel ou en mode continu.
La sensibilité des réponses du modèle événementiel aux valeurs des paramètres est tout d'abord
analysée sur un bassin élémentaire. Le modèle POL est ensuite appliqué sur 4 bassins versants
d'une cinquantaine de km² situés dans l'Hérault (France).Les résultats obtenus après la phase de calage et de vérification montrent la capacité du modèle
événementiel à reproduire les flux d'azote générés lors des épisodes de crue. Le modèle utilisé en
continu fournit une estimation des exportations d'azote avec un degré d'incertitude acceptable pour
un premier diagnostic des apports annuels des bassins.Mots clés
Modèle conceptuel, Flux d'azote, Contexte méditerranéen, Analyse de sensibilité, Calage,Vérification, Outil opérationnel.
Title : Distributed modelling of nitrogen loads on small Mediterranean catchmentsAbstract
The POL model was developed to determinate the nitrogen loads produced at the outlet of a catchment in Mediterranean climate. The model is based on a conceptual and distributed approach. The catchment is divided into subactchments and river reaches. This delineation allows the distinction between nitrogen production function on subcatchment surfaces and nitrogen transport along the river reaches. The two parameters of POL model are defined for the whole catchment. The nitrogen storage defined for each subcatchment is function of land use and agricultural inputs. The model can be used for event- based or continuous simulations. First of all, a elementary catchment is considered to run a sensitivity analysis on the event-based model. Then, the event-based model is applied on four catchments (43 km² to 67 km²) located inSouth of France.
The results obtained after calibration and verification of the event-based model show good agreement with nitrogen loads monitored during flood events. For continuous simulations, theuncertainty degree of model results is acceptable for a first step of annual nitrogen load diagnosis.
Key-word
Conceptual model, Nitrogen loads, Mediterranean climate, Sensitivity analysis, Calibration,Verification, Operational tool
Spécialité : Sciences de l'eau
Ecole doctorale : Sciences de la Terre et de l'EauIntitulé et adresse du laboratoire : Unité Mixte de Recherche " Structures et Systèmes Spatiaux »
Cemagref-ENGREF, 500, rue J. F. Breton 34093 Montpellier Cedex 5quotesdbs_dbs22.pdfusesText_28[PDF] les abréviations des mots
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