[PDF] Evolution de la température dune couche denrobé bitumineux





Previous PDF Next PDF



Le bilan énergétique terrestre : albédo effet de serre

Une partie de cette puissance est absorbée par l'atmosphère qui elle-même émet un rayonnement infrarouge vers le sol et vers l'espace (effet de serre).



TD 1 - Bilan Radiatif à la surface de la Terre - Correction

Le corps noir est un objet idéal qui absorberait toute l'énergie électromagnétique qu'il reçoit de rayonnement solaire ou de flux de particules.



cartographie du rayonnement solaire détermination de lalbédo des

9 mar 2014 rayonnement solaire à travers l'atmosphère terrestre. Ce sont ces différentes modélisations qui permettent de déterminer l'albédo des sols ...



Introduction aux sciences de latmosphère

On fait référence ici au vent solaire qui est un flux de particules chargées Lorsqu'il traverse l'atmosphère terrestre



Etude de Iatmosphère

L'atmosphère terrestre est une mince couche de gaz Le rayonnement est plus intense sous ... qui n'absorbe pas beaucoup de rayonnement solaire et.



Caractérisation de panneaux solaires photovoltaïques en conditions

17 giu 2015 Chapitre 2 : Rayonnement solaire terrestre. ... La prévision du flux lumineux après traversée de l'atmosphère est en.



Evolution de la température dune couche denrobé bitumineux

rayonnement solaire qui traverse l'atmosphère. En effet le rayonnement direct est d'autant plus faible que la nébulosité est importante.



Télédétection

l'infrarouge (qui est également le type de «lumière» utilisé par la télécommande La partie du champ de rayonnement qui a traversé l'atmosphère sans être ...



Glossaire

Ce qui caractérise aussi la Région c'est sa grande diversité linguistique rayonnement solaire à sa traversée de l'atmosphère terrestre. Elle est causée ...



Chapitre I - Caractérisation spectrale et directionnelle de la lumière

Le rayonnement solaire est une énergie électromagnétique libérée par les En ce qui concerne l'éclairement solaire extraterrestre hors atmosphère ...



Interactions du rayonnement solaire avec latmosphère - Effet de serre

21 oct 2003 · Diffusion du rayonnement solaire L'albédo planétaire qui est de 30 est majoritairement dû à l'atmosphère puisque seuls 4 de l'énergie 





Bilan radiatif de la Terre - Wikipédia

Le rayonnement solaire reçu par les couches les plus élevées de l'atmosphère ou constante solaire est d'environ 340 W/m en moyenne annuelle



[PDF] Le bilan énergétique terrestre : albédo effet de serre - Eduscol

La deuxième partie présente les différentes interactions entre le rayonnement solaire et l'atmosphère avec une définition de l'albédo et de l'effet de serre



[PDF] cartographie du rayonnement solaire détermination de lalbédo des

9 mar 2014 · rayonnement solaire à travers l'atmosphère terrestre Ce sont ces différentes modélisations qui permettent de déterminer l'albédo des sols 



[PDF] TD 1 - Bilan Radiatif à la surface de la Terre - Correction

de rayonnement solaire ou de flux de particules Ces particules sont Quelle est la puissance rayonnée par le soleil par unité de surface tout



Le bilan radiatif terrestre - Assistance scolaire personnalisée

Soit Ps la puissance émise par le Soleil Soit Pt la puissance solaire atteignant la Terre On sait que le rayonnement solaire est émis dans toutes les 



[PDF] Thème 2 : Le Soleil notre source dénergie Le bilan radiatif terrestre

Problème : Quelle est la puissance solaire reçu par la Terre ? 1ES T2 CII I Doc 2 : Le rayonnement incident se projette sur une sphère



[PDF] Impacts de la gestion du rayonnement solaire sur le système Terre

2- Quelle est la réponse du cycle du carbone global `a la SRM? quelles sont les Cette partie de gestion du rayonnement terrestre présentée `a travers

21 oct. 2003 · Diffusion du rayonnement solaire. L'albédo planétaire qui est de 30% est majoritairement dû à l'atmosphère puisque seuls 4% de l'énergie  Termes manquants : effectivement | Doit inclure :effectivement
  • Quel est le pourcentage du rayonnement solaire qui traverse l'atmosphère terrestre ?

    L'atmosphère terrestre absorbe une faible proportion du rayonnement solaire incident, environ 20 %. Ainsi, au final, environ 50 % du rayonnement solaire incident en haut de l'atmosphère parviennent jusqu'à la surface terrestre et sont absorbés par le sol.
  • Quelle est la puissance du rayonnement solaire reçue par la Terre ?

    La surface de la Terre reçoit : le rayonnement solaire incident, environ 160 W·m2 (341 W.m-2 moins ce qui est réfléchi ou diffusé par l'atmosphère) ; ce que l'atmosphère envoie sous forme de rayonnement infrarouge du fait de l'effet de serre (environ 330 W·m2).
  • Quelle est la proportion de l'énergie sur Terre qui vient du Soleil ?

    L'apport d'énergie provient principalement du Soleil, celle produite à l'intérieur de la Terre représentant à peine 0,01 % de l'énergie totale reçue par la surface de la Terre. On parle ainsi de bilan radiatif car l'énergie thermique provient principalement du rayonnement solaire.
  • Cependant la température moyenne sur Terre est de +15°C et celle sur la Lune est de -20°C. Cette différence s'explique par la présence sur Terre de l'effet de serre. Sur la totalité du flux solaire incident, seuls 51 % sont absorbés par la surface terrestre (atmosphère, océans et continents).
Evolution de la température dune couche denrobé bitumineux

CR 42/06

Evolution de la température

d'une couche d'enrobé bitumineux nouvellement posée

Olivier Pilate

Centre de recherches routières

Etablissement reconnu par application de l"Arrêté-loi du 30 janvier 1947 boulevard de la Woluwe 42

1200 Bruxelles

Tél. : 02 775 82 20 - fax : 02 772 33 74

www.crr.be CRR

Centre de recherches routières

Evolution de la température d'une couche d'enrobé bitumineux nouvellement posée

Compte rendu de recherche

Evolution de la température

d"une couche d"enrobé bitumineux nouvellement posée

EditÈ par le Centre de recherches routiËres

Etablissement reconnu par application de l'ArrÍtÈ-loi du 30 janvier 1947

Boulevard de la Woluwe 42 - 1200 Bruxelles

CR 42/06

par

Olivier PILATE

Tous droits de reproduction rÈservÈs

2

Remerciements

Líauteur remercie C.Van Rooten,directeur gÈnÈral du Centre de recherches routiËres (CRR) et C.Moraux,

directeur et chef de la division Sécurité et gestion routièrepour lui avoir permis de rÈaliser cette recherche.

Líauteur remercie en particulier D.Grillet et Y.Gobert (Institut supÈrieur industriel ECAM) pour la

modÈlisation des diffÈrentes formes de rayonnement,la mise au point du logiciel díÈvolution de la

tempÈrature basÈ sur le modËle de calcul final et leur aide pour la validation de ce dernier.

ll remercie Ègalement chaleureusement D.LÈonard pour son aide prÈcieuse dans líÈlaboration de la

premiËre approche du modËle,J.Feremans pour sa disponibilitÈ et le temps passÈ sur chantier ‡ valider

le modËle de calcul et B.BerlÈmont pour l'implÈmentation du logiciel EvalTREB LE.

Enfin,que soient remerciÈs ses collËgues du service Information,M.Van Bogaert et F.Verhoeven,pour la

traduction et la mise en forme de ce compte rendu de recherche. i ii

Table des matières

Remerciements

Introduction1

Partie A - Modèles de calcul3

A.1 Elaboration d"un premier modèle de calcul restreint5

A.1.1 Evolution des tempÈratures dans une couche díenrobÈ bitumineux nouvellement posÈe 5

A.1.1.1 Transfert de chaleur par conduction 6

A.1.1.2 Transfert de chaleur par convection 6

A.1.1.3 Evolution des tempÈratures dans la structure 7 A.1.2 ImplÈmentation du modËle de calcul restreint 10 A.1.3 DÈtermination des paramËtres nÈcessaires au modËle de calcul restreint 10

A.1.3.1 Coefficient de convection 10

A.1.3.2 CaractÈristiques thermiques des matÈriaux 11 A.1.3.3 TempÈrature de pose de líenrobÈ bitumineux 11

A.1.3.4 TempÈrature moyenne du massif 11

A.1.3.5 TempÈrature de la couche díenrobÈ bitumineux aprËs refroidissement 11 A.1.4 Validation et limitations du modËle de calcul restreint 14

A.1.4.1 MÈthodologie 14

A.1.4.2 CaractÈristiques des chantiers de validation 16 A.1.4.3 Comparaison entre le modËle de calcul restreint et les rÈsultats de mesure 16

A.1.4.3.1 Chantier n∞ 316

A.1.4.3.2 Chantier n∞ 418

A.1.4.4 Limitations du modËle de calcul restreint 19

A.2 Transfert de chaleur par rayonnement21

A.2.1 Les diffÈrentes formes de rayonnement solaire 21 A.2.1.1 Facteurs influenÁant líintensitÈ du rayonnement solaire 21

A.2.1.1.1 Grandeurs temporelles 21

A.2.1.1.2 Trajectoire elliptique de la rÈvolution de la terre autour du soleil 23

A.2.1.1.3 CoordonnÈes du soleil 23

A.2.1.1.4 NÈbulositÈ25

A.2.1.1.5 Facteurs de site 25

A.2.1.1.6 Extinction du rayonnement solaire 26

A.2.1.2 Calcul du rayonnement solaire direct sur une surface horizontale 28 A.2.1.2.1 Rayonnement direct sur une surface horizontale par ciel serein 28 A.2.1.2.2 Rayonnement direct sur une surface horizontale par ciel couvert 29 A.2.1.2.3 Rayonnement direct sur une surface horizontale par ciel partiellement couvert 29 A.2.1.3 Calcul du rayonnement solaire diffus sur une surface horizontale 29 A.2.1.3.1 Rayonnement diffus sur une surface horizontale par ciel serein 29 iii A.2.1.3.2 Rayonnement diffus sur une surface horizontale par ciel couvert 30 A.2.1.3.3 Rayonnement diffus sur une surface horizontale par ciel partiellement couvert 30 A.2.1.4 Calcul du rayonnement solaire global sur une surface horizontale 31

A.2.1.5 AlbÈdo31

A.2.2 Rayonnements terrestre et atmosphÈrique 32

A.3 Elaboration du modèle de calcul final33

A.3.1 HypothËses prises en compte dans le modËle final 33 A.3.2 ParamÈtrisation de la variation de la tempÈrature de líair 34 A.3.3 ModÈlisation de líÈvolution des tempÈratures dans la structure 35

A.3.3.1 Equations du champ thermique 35

A.3.3.2 Conditions aux limites 35

A.3.3.2.1 Interface air ñ enrobÈ bitumineux 35

A.3.3.2.2 Interface entre deux couches 36

A.3.3.2.3 Condition ‡ une profondeur díun mËtre 37 A.3.3.3 Distribution initiale des tempÈratures dans la structure 37

A.3.3.4 SystËme díÈquations 37

A.3.4 ImplÈmentation du modËle de calcul final 38

A.3.5 Validation du modËle de calcul final 38

A.3.5.1 MÈthodologie 38

A.3.5.2 CaractÈristiques des chantiers 38

A.3.5.3 Comparaison entre le modËle de calcul final et les rÈsultats de mesure 39

A.3.5.3.1 Chantier n∞ 439

A.3.5.3.2 Nouveaux chantiers 40

A.3.5.4 Commentaires 43

A.3.6 Etude de la variation des paramËtres du modËle de calcul final 43

A.3.6.1 Choix des paramËtres 43

A.3.6.2 Evolution de la tempÈrature au sein de la structure 45 A.3.6.3 Influence de la vitesse du vent sur le refroidissement 45

A.3.6.4 Influence de la tempÈrature de líair et des formes de rayonnement sur le refroidissement 46

A.3.6.5 Influence de la nÈbulositÈ sur le refroidissement 48 A.3.6.6 Influence de líheure de pose sur le refroidissement 49

Partie B - Abaques et logiciel51

B.1 Utilisation des abaques53

B.1.1 Limitations53

B.1.2 Utilisation des abaques 54

B.2 Utilisation du logiciel55

B.3 Abaques57

Conclusions et perspectives65

Liste des figures67

Liste des tableaux69

Liste des photos70

Liste des symboles et abréviations71

Références bibliographiques73

iv 1

La rÈouverture díune voirie,trop rapidement aprËs la pose díune couche díenrobÈ bitumineux,est susceptible

de provoquer des dÈgradations prÈmaturÈes et notamment de líorniÈrage (par postcompactage et/ou fluage

de líenrobÈ nouvellement posÈ),du plumage,etc.

A la demande des administrations et des entrepreneurs,le CRR a menÈ ce projet de recherche dans le but

díÈvaluer le temps nÈcessaire au refroidissement de la couche díenrobÈ bitumineux nouvellement posÈe afin

díadapter le dÈlai entre la mise en úuvre de cette couche et la rÈouverture de la chaussÈe au trafic.

Pour ce faire,un premier modËle prÈvisionnel de la tempÈrature dans la nouvelle couche díenrobÈ bitumineux,

intÈgrant les phÈnomËnes de conduction et de convection,a ÈtÈ mis au point et a fait líobjet díune validation

par des mesures in situ.Cette validation a montrÈ quíil existait une bonne corrÈlation entre le modËle et la

rÈalitÈ du chantier dans la plupart des cas.Il est nÈanmoins apparu que dans certaines conditions extrÍmes

(degrÈ díensoleillement ÈlevÈ),le rayonnement influenÁait significativement le refroidissement de líenrobÈ.De

plus,la tempÈrature de líair prise en compte Ètait considÈrÈe comme constante tout au long du refroidissement

de la couche díenrobÈ bitumineux.

Il a donc ÈtÈ nÈcessaire de tenir compte de líintÈgralitÈ des phÈnomËnes conditionnant le refroidissement de la

couche díenrobÈ bitumineux.Le transfert de chaleur par rayonnement a ÈtÈ intÈgrÈ au modËle prÈvisionnel

initial et une paramÈtrisation de la variation de la tempÈrature de líair a ÈtÈ proposÈe.Ce modËle prÈvisionnel a

ÈtÈ implÈmentÈ et validÈ.Cette phase du projet a fait líobjet díun travail de fin díÈtude ‡ líInstitut SupÈrieur

Industriel ECAM.

Enfin,líÈtude a abouti au dÈveloppement díun systËme díabaques donnant le temps díattente minimum entre

la fin de la mise en úuvre et líouverture au trafic,en fonction de la tempÈrature de líair,de la vitesse du vent,de

líimportance du rayonnement et de líÈpaisseur du recouvrement bitumineux et ce,pour les cas extrÍmes.Pour

tous les autres cas,un logiciel convivial permet de dÈterminer líheure de remise en circulation sur base des

diffÈrents paramËtres.

Introduction

Introduction

P P OZ Pë N E W

Partie A

Modèles de calcul

5

Dans un premier temps,nous nous sommes attelÈs ‡ modÈliser líÈvolution de la tempÈrature díune

couche díenrobÈ bitumineux nouvellement posÈe en ne tenant pas compte du phÈnomËne de

rayonnement.Nous avions pris comme hypothËse que ce dernier Ètait nÈgligeable par rapport ‡ la

conduction entre la couche et le massif et la convection entre la couche et líair ambiant. Ce chapitre dÈtaille cette premiËre approche et en expose les limites. A.1.1 Evolution des températures dans la couche d"enrobé bitumineuxnouvellement posée

Dans cette premiËre approche,líÈvolution de la tempÈrature dans la nouvelle couche díenrobÈ

bitumineux est obtenue en modÈlisant la structure routiËre de la maniËre suivante:

La tempÈrature de la nouvelle couche díenrobÈ bitumineux,juste aprËs mise en úuvre,est,par dÈfinition,

Ègale ‡ la tempÈrature de pose (T

pose ).A cet instant,la structure reprÈsentÈe ‡ la figure A.1.1,se trouve

dans un Ètat de dÈsÈquilibre thermique.Afin de rÈtablir cet Èquilibre,deux types díÈchange de chaleur se

produisent (le rayonnement níest pas pris en compte dans ce dÈveloppement):

- un flux de chaleur de conductionqui se dÈroule au sein de la matiËre (dans le nouvel enrobÈ

bitumineux et dans le corps de la chaussÈe);

un flux de convectionau droit de líinterface entre líair et la couche díenrobÈ bitumineux nouvellement

posÈe. Le caractËre de dÈsÈquilibre peut Ítre classÈ en quatre rÈgimes:

- le régime permanentpour lequel la tempÈrature en tout point du milieu est indÈpendante du temps,

le dÈsÈquilibre est entretenu par les sources de chaleur;

- le régime périodique établipour lequel la tempÈrature,en tout point du milieu,effectue des

oscillations pÈriodiques indÈpendantes du champ de tempÈrature initial;

- le régime transitoirequi correspond ‡ líÈvolution díun systËme díun Ètat initial (permanent ou en

Èquilibre) vers un Ètat final (permanent ou en Èquilibre) provoquÈe par un changement ‡ líinstant

Chapitre 1Elaboration d'un premier modèle de calcul restreint Elaboration d"un premier modèle de calcul restreint A.1

Chapitre A.1

X++

Figure A.1.1Modélisation de la structure

Nouvelle couche díenrobÈ bitumineux

initial des sources.Le champ de tempÈrature 1 dÈpend du champ de tempÈrature initial mais líinfluence de celui-ci síestompe avec le temps;

- le régime variablepour lequel les sources Èvoluent constamment,le champ de tempÈrature dÈpend des

valeurs instantanÈes des sources et des Èvolutions antÈrieures. Le rÈgime considÈrÈ dans cette Ètude est le rÈgime transitoire.

A.1.1.1 Transfert de chaleur par conduction

La conduction de la chaleur est dÈcrite par la loi phÈnomÈnologique de Fourier.Dans le cas particulier díun

milieu isotrope,celle-ci síÈcrit:

Cette loi dÈcrit la maniËre dont les flux de chaleur síÈtablissent et Èvoluent dans la matiËre.La figure A.1.2

schÈmatise líÈvolution de la densitÈ du flux de chaleur dans un solide.

A.1.1.2 Transfert de chaleur par convection

La convection est le transfert de chaleur entre la paroi díun solide et un fluide,dans notre cas,líair.La densitÈ de

flux de chaleur ÈchangÈ par convection síÈcrit:

La figure A.1.3 schÈmatise líÈvolution de la tempÈrature aux abords de la paroi díun solide.

6 q. T n =ñ(1) q. densitÈ de flux de chaleur (W/m 2 ) dans la direction n;

Tchamp de tempÈrature (∞C);

conductivitÈ thermique du milieu (W/(m.∞C)). 1 On appelle champ de température,la fonction †(n,t)telle que T = †(n,t)quotesdbs_dbs30.pdfusesText_36
[PDF] l'air qui nous entoure 4ème

[PDF] comment appelle t on la couche dans laquelle nous vivons

[PDF] qu'est ce que l'atmosphère terrestre

[PDF] qu'est ce qui mesure la quantité de vapeur d'eau

[PDF] synthese d'un anesthesique la benzocaine correction

[PDF] synthèse du 4-nitrobenzoate d'éthyle

[PDF] synthèse de la benzocaine exercice seconde

[PDF] synthèse de la benzocaine sujet

[PDF] synthèse de la benzocaine terminale s

[PDF] cours de chimie therapeutique 3eme année pharmacie

[PDF] qcm chimie thérapeutique

[PDF] la chimie thérapeutique

[PDF] chimie thérapeutique cours pharmacie

[PDF] chimie tout en un pcsi pdf

[PDF] chimie tout en un mp pdf