La Fée carabine : apprivoiser lécriture de Pennac
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4Cette analyse est connue de Daniel Pennac puisque c'est une citation de René Girard qui sert d'exergue au premier roman Au Bonheur des Ogres : "[
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MÉMOIRE PRÉSENTÉ
L'UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À TROIS-RIVIÈRESCOMME EXIGENCE PARTIELLE
DE LA MAÎTRISE EN ÉTUDES LITTÉRAIRES
PARGENEVIÈVE PRONOVOST
"ANALYSE DES NIVEAUX DE COOPÉRATION TEXTUELLEDANS LA PETITE
MARCHANDE
DE PROSE DE DANIEL PENNAC»
SEPTEMBRE 2003
Université du Québec à Trois-Rivières
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À Renaud, mon amour "désamorceur» de bombes, avec qui la légèreté de l'être est particulièrement agréable à soutenir.À Gaëtane et Jean-Noël, pour leur communicatif amour des mots et pour les petits cailloux qu'ils
ont semés tout au long du parcours.Merci à
Françoise
"oeil de faucon» et Alain Legoux pour leur générosité, leur enthousiasme et pour les encouragements des derniers instants.Hélène Marcotte
pour son professionnalisme et sa disponibilité toujours appréciés. Nicolas Doré, notre sauveur informatique amical, ami remarquable sur lequel on peut compter à n'importe quelle heure dujour. IIITABLE DES MATIÈRES
REMERCIEMENTS ........................................................................ ................................................ ii TABLE DES MATIÈRES ........................................................................ ...................................... iii INTRODUcrION ........................................................................ .................................................... 1CHAPITRE
1: PRÉSENTATION DE LA THÉORIE DES NIVEAUX DE
COOPÉRATION TEXTUELLE ........................................................................ ................ 101. GÉNÉRALITÉS AlITOUR DES NIVEAUX DE COOPÉRATION ................................ 11
II. LE TABLEAU DES NIVEAUX DE COOPÉRATION TEXTUELLE:HISTORIQUE Er FONCfIONNEMENT ........................................................................ 12
A) us structures discursives ........................................................................ ............... 201-L'explication sémantique ........................................................................
... 202-Les topics ........................................................................
............................ 213-us isotopies ........................................................................
....................... 22B) Les structures naITatives ........................................................................
................. 241-Du sujet à la fabula ........................................................................
............. 242-Les macropropositions ........................................................................
....... 25C) Prévisions et promenades inférentielles ................................................................. 26
1-Les disjonctions de probabilités ................................................................. 26
2-Les prévisions comme préfiguration de mondes possibles ........................ 27
3-Les promenades inférentielles .................................................................... 28
4-Fabulae ouvertes, fabulae fermées ............................................................. 30
D) Les structures de mondes ........................................................................ ............... 321-Définitions préliminaires ........................................................................
.... 322-Les mondes possibles comme constructions culturelles ............................ 34
3-La construction du monde de référence ..................................................... 35
4-Le problème des propriétés nécessaires ..................................................... 35
5-Comment déterminer les propriétés essentielles ........................................ 38
E) us structures actancielles et idéologiques ............................................................. 39
CHAPITRE II: BENJAMIN MALAUSSÈNE: L'HOMME Er LE SACRIFICE, UN TOPIC BIEN Éf ABLI ........................................................................ ............................... 43I. LES
STRUCfURES INTENSIONNELLES (première séquence naITative : parties 1 à 3) ........................................................................ 44II. LES STRUcrURES EXTENSIONNELLES (parties 1 à 3) ............................................. 56
IV CHAPITRE III: DE LA MEURTRIÈRE À L'ENQUÊfEUSE, DE L'ÉCRIVAIN AU JUSTICIER ........................................................................ 601. LES STRUCTURES INTENSIONNELLES (deuxième séquence narrative:
parties4 à 7) ........................................................................
............................................... 60II. LES STRUCTURES EXTENSIONNELLES (parties 4 à 7) ............................................. 72
CHAPITRE IV: DELA MEURTRIÈRE À L'ENQUËfEUSE, DE L'ÉCRIVAIN AUJUSTICIER : ANALYSE SCHÉMATIQUE
DE LA FABULA ....................................... 83 CHAPITRE V: QUAND LE BOUC ÉMISSAIRE Er LE JUSTICIER NE FONT QU'UN ........................................................................ ..................................................... 1011. LES STRUCTURES INTENSIONNELLES (troisième séquence narrative: parties
8 et 9) ........................................................................
........................................................ 102 II. LES STRUCTURES EXTENSIONNELLES (parties 8 et 9) .......................................... 106 CONCLUSION ........................................................................ .................................................... 113ANNEXE 1 : NIVEAUX
DE COOPÉRATION TEXTUELLE .................................................. 123 ANNEXE 2 : PRÉSENTATION DES SYMBOLES NÉCESSAIRES À L'ANALYSE DE LA FABULA ........................................................................ .............. 1 24BIBLIOGRAPHIE ....................................................................................................................... 126
INTRODUCTION
Daniel Pennac, professeur de français dans un lycée de la région panslenne, sait communiquer le plaisir du texte. En fait, comme le dirait Roland Barthes t, il sait créer uneimprévision de la jouissance du texte, c'est-à-dire faire croire au lecteur que les jeux ne sont pas
faits et qu'il peut participer lui aussi à la construction du texte. Tout en recourant aux structures
traditionnelles du drame, Pennac provoque la coopération du lecteur en établissant, parfois à
l'improviste, des rapports complémentaires et/ou multidirectionnels entre les événements choisis
et racontés. Par conséquent, il crée l'intérêt (la jouissance des mots), la curiosité et l'affection (brûlure) du lecteur. Cette démarche, il l'applique autant dans ses ouvrages pour adultes (la série des Malaussène, La débauche, Le dictateur et le hamac, etc.) que dans ses livres pour enfants (la série des Kamo, les biographies romancées). D'ailleurs, dans son essai intitulé Comme un roman,il traite de la reconquête du plaisir de lire, plaisir qui va à l'encontre de certains préjugés envers
l'acte de lecture. Toutefois, il faut prendre conscience que, sans la coopération du lecteur qui se laisse délibérément happer par l'auteur, les romans de Pennac n'exerceraient pas le même 2 pouvoir d'attraction. Ces diverses considérations nous ont conduite à nous intéresser aux stratégies mises en place pour propulser le lecteur dans l'oeuvre afin que ce dernier participepersonnellement au travail de l'écrivain. Ces stratégies ont été étudiées et expliquées, entre
autres, par Umberto Eco et les théoriciens de la réception.Depuis l'arrivée, dans les années 1960, des théoriciens de la réception dans le monde de la
théorie littéraire, les rapports au texte se sont grandement diversifiés.Comme nous le confirme
Robert Barsky dans son ouvrage intitulé
Introduction à la théorie littéraire: "Ils [les théoriciens de la réception] sont d'avis qu'il n'existe pas une seule et unique manière adéquate de lire une oeuvre et de l'interpréter». Le sémioticien Umberto Eco, par le biais d'études et de réflexions portant sur l' oeuvre ouverte et l' oeuvre en mouvement, a joué un rôle important dans la promotiondes théories de la réception. En effet, selon lui, puisque l'oeuvre ouverte manifeste une grande
variété d'aspects et de résonances, elle place le lecteur devant une multitude de possibilités delectures et d'interprétations. D'une certaine façon, il responsabilise le lecteur, lui donne le droit
de participer à l'oeuvre, de la faire sienne et de plonger dans son imagination afin de construire des mondes possibles pour lui attribuer un sens. C'est ce que Pennac, cette fois-ci en tant que pédagogue, véhicule dans son essaiComme un roman
J•
II propose, entre autres, une liste des
droits du lecteur 4, acceptant, par le fait même, une certaine manipulation du texte en dehors du contrôle de l'auteur et prône le partage du plaisir de lire avec ses élèves versus l'effort et l'obligation qui tuent, selon lui, l'amour de la lecture et la gratuité du geste. Bref, comme le dit t BARTHES, Roland, Le plaisir du leXie, Paris, bd. du Seuil, 1973, p. Il.2 BARSKY, Robert, 1ll1rodllction à la théorie liuéraire, Sainte-Foy, Presses de l'Université du Québec, 1997, p. 137.
3 PENNAC, Daniel, Comme lin roman, Paris, Ed. Gallimard (coll. NRF), 1992, 175 p.
4 Droits imprescriptibles du lecteur selon Daniel Pennac : droit de ne pas lire, droit de sauter des pages, droit de ne
pas finir un liHe, droit de relire, droit de lire n'importe quoi, droit au bovarysme (maladie textuellement transmissible), droit de lire n'importe où, droit de grappiller, droit de lire à haute voix, droit de nous taire.PENNAC, Daniel,
op. dt. p. 145. 3Michael Riffaterre: "le phénomène littéraire n'est pas seulement le texte, mais aussi le lecteur et
l'ensemble des réactions possibles du lecteur au texte, énoncé et énonciationS». Toutefois, pour
favoriser la coopération du lecteur, le texte doit respecter certaines règles. Cette réflexion nous
ramèneà l'ouvrage pré-cité de Barthes: "Écrire dans le plaisir m'assure-t-il -moi, écrivain-du
plaisir de mon lecteur? Nullement. Ce lecteur, il faut que je le cherche, (que je le drague) sans savoir où il est 6 ». En effet, pour que le lecteur s'approprie le texte, l'auteur doit donner la preuve, par la façon dont il est écrit, qu'il désire le lecteur et qu'il suscite l'ouverture de ses interprétations. Eco explique que, pour comprendre ce qu'est une oeuvre ouverte, il faut étudier leconcept de poétique qui lui donne naissance. Les formalistes et les structuralistes entendaient par
poétique un système de règles rigoureuses visant l'étude d'une oeuvre. Comme le précise DidierCoste:
Pour les héritiers du Formalisme, de Jakobson, àTe/ Quel et à Ricardou, la
fiction, confondue avec la littérature, la fonction poétique ou l'écriture, consiste en l'auto-référence du texte. La fonction référentielle du langage, par laquelle celui-ci pointe des objets dotés d'une existence autonome dans son ailleurs, est compromise, diminuée, mutilée, voire abolie. Le signifiant règne. Le texte désigne son propre jeu, sa composition, tout au plus le travail d'écriture qu'il inscrit, le travail et la jouissance de lecture qu' il modèle 7.Eco, lui, voit plutôt dans le texte "un projet de message doté d'un large éventail de possibilités
interprétatives 8 ». Soulignons qu'une oeuvre est ouverte, comme le précise Eco, quand elleprésente au lecteur plusieurs occasions d'interpréter le texte sans toutefois cesser d'être elle-
5 RIFFA TERRE, Michael, La produclion du texte, Paris, Éd. du Seuil, 1979, p. 9.
6 BARTHES, Roland, op. cit., p. Il.
7 COSTE, Didier, in figura; Fictionnalité et rhétorique générale», Lectures, systèmes de Lectures, Paris,
P.u.F., 1984, p. Il.
8 ECO, Umberto, L'oeuvre ouverte, Paris, Éditions du Seuil, 1965, p. Il.
4même, c'est-à-dire le produit d'un artiste. La structure appartient donc à l'écrivain pour qui
l'ambiguïté devient une fin. Le lecteur se sert de cette structure miseà sa disposition par l'auteur,
se l'approprie et la réinvente en collaboration avec l'auteur qui le guide. L'oeuvre est dite en mouvement quand sa forme est inachevée et que l'interprétant contribue à sa création9•
Elle devient alors une source d'imagination, un devoir à accomplir, une énigme à résoudre.Le travail
d'évocation de l'auteur vise directement le monde intérieur du lecteur pour en faire surgir des
réponses neuves basées sur ses gofits, ses préjugés, ses tendances, sa culture. En fait, ce concept
rejoint le principe du rhizome mis de l'avant par Gilles Deleuze et Félix Guattari. Dans le langage
botanique, le rhizome est une: "tige souterraine des plantes vivaces qui porte des racines adventives et des tiges feuillées aériennes lO ». Les théoriciens Deleuze et Guattari ont adaptémétaphoriquement ce terme à la littérature en comparant le principe d'interprétation d'un lecteur
au rhizome: "Dans un rhizome, chaque trait linguistique ne renvoie pas nécessairement à un trait linguistique: des chaînons sémiotiques de toutes natures y sont connectés à des modes d'encodage très divers, chaînons biologiques, politiques, économiques [ ... ] mettant en jeu non seulement des régimes de signes différents, mais aussi des statuts d'états de choses ll». Un
rhizome établirait donc des liens entre les arts, les sciences, les luttes sociales, etc. Plus on augmente les connexions, plus les interprétations possibles sont multipliées. Afin de mieux stimuler son lecteur, l'auteur utilise, selon Eco, le principe du LecteurModèle qui lui permet de tester l'efficacité des stimuli suggérés dans son oeuvre. Ce dernier
s'avère le fruit de l'imagination de l'auteur qui bâtit sa fabula en même temps qu'un ou plusieurs
modèles de lecteurs qu'il juge compétents et aptes à interpréter son oeuvre. En fait, l'auteur essaie9 Cette ouverture, cette mouvance de l'oeuvre sera mieux explicitée dans la partie portant sur la fabula ouverte et
fermée.10 Dictionnaire de la langue française. Le nouveau petit robert, Paris, Éditions Le Robert, 1995, p. 1982.
5de se faire une image idéale de son lecteur afin de l'anticiper. L'auteur s'amuse alors à déjouer
ces Lecteurs Modèles en envisageant différentes hypothèses: si je fais tel mouvement, mesLecteurs Modèles devraient réagir de telle façon. "Il y a des signes qui nous font éviter les pièges,
maisil en est qui en sont. Le Lecteur Modèle les connaît à l'avance, le lecteur réel les découvre
au fur età mesure qu'il avance dans le texte
12». L'auteur met donc en place pour le Lecteur
Modèle, non seulement des "séries de passages coopératifs» lieux d'évasions et d'ouverturesqu'il jugera efficaces, mais aussi toute une encyclopédie spécifique (un dictionnaire personnel,
une compétence encyclopédique) qui déterminera la nature de sa coopération.À mesure que les
scénarios sont installés, le Lecteur Modèle est raffiné, est complexifié au gré de la volonté de
l'auteur qui met en place les outils pour fignoler sa construction. De cette façon, guidé par l'auteur, le Lecteur Modèle s'approprie une partie des sens possibles du texte et participe àquelques scénarios que son auteur met en scène. Il est en constante évolution et Eco le voit
comme un "rapport de connaissance au cours duquel se réalisent les ouvertures suscitées et dirigées par les stimuli, eux-mêmes organisés selon l'intention esthétique 13». Cette conception du
Lecteur Modèle se trouve
à mi-chemin entre la conception du lecteur virtuel et celle du lecteurquotesdbs_dbs12.pdfusesText_18[PDF] la fée carabine fiche de lecture
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