Diapositive 1
L'ORGANISATION FORDISTE DU TRAVAIL Les limites de l'organisation scientifique du travail ... Selon Frederick Taylor la direction scientifique du.
dr_organisation du travail
Taylorisme = un type d'organisation du travail mis au point par Frédéric Taylor (1856-1915) C. Les limites de l'Organisation Scientifique du Travail.
La motivation des salariés et la performance dans les entreprises
3 déc. 2010 A. L'organisation scientifique du travail de Taylor. ... Cette motivation a pour avantage de donner très rapidement lieu à de bons résultats ...
LE TAYLORISME 1. Premier principe : la division verticale du travail.
Une acception plus large finissant par désigner toute forme de rationalisation ou d'organisation scientifique du travail au XXe siècle. Le terme.
Module M222 : Organisation des Processus de Production
3.4) Les limites de l'organisation scientifique du travail. 3.5) Les nouvelles formes d'OST. 4) Comparaison des principaux modes de production.
Avantages et limites des approches méthodologiques utilisées pour
Dans les écrits scientifiques consultés aucune définition prectse du terme «approche méthodologique» n'était proposée. Cependant
plan Organisation du travail et croissance
limites du fordisme ? Quels sont les avantages et inconvénients du toyotisme ? ... A) Les dysfonctionnements de l'organisation scientifique du travail.
TRAVAIL DE GROUPE 1: Définition–Organisation
L'espace de liberté du groupe est alors limité. Pour aider les groupes à structurer leur tra- vail le nombre de consignes doit être réduit au strict minimum.
Sans titre
Les multiples rationalisations de cette division du travail notamment par Taylor ont conduit à ce qu'il est convenu d'appeler : l'organisation scientifique du
Sans titre
l'organisation scientifique du travail (OST). Les avantages procurés Principaux avantages et inconvénients de la spécialisation horizontale.
Chapitre 1
LES CHOIX FONDAMENTAUX
L"entreprise recherche en permanence rentabilité, compétitivité. Dans cette quête, nombre de théoriciens ont cherché à savoir si le succès d"une entreprise était attaché à sa structure. En effet, la structuration d"une entité consiste entre autres, à distribuer des rôles, à répartir des services, à organiser les relations hiérarchiques et relationnelles. De ce fait la structure conditionne les processus décisionnels et par là même la pertinence des choix stratégiques et opérationnels. S"intéresser aux liens entre structure et performance, aux secrets des structures compétitives semble légitime. Dans la pratique, la configuration d"une structure est dépendante de la réponse apportée à cinq questions fondamentales :Figure 1. Structures : Les choix fondamentaux
Quel équilibre
différenciation/intégration ?Structure
Comment coordonner
les actions ? Quelle décentralisation des décisions ?Où situer lautorité ?
Comment spécialiser
le travail ?8__________________________Les structures d"entreprise__________________________
I. La spécialisation du travail
En visitant une fabrique d"épingles, A. Smith avait découvert les vertus économiques de la spécialisation du travail. Celle-ci s"opère entre les individus au sein des services mais également entre les services. Elle peut s"effectuer par produit, par tâche, par zone géo- graphique... Il n"existe pas cependant de modèle de spécialisation transférable à toutes les entreprises. Une réponse unique et nor- mative serait utopique. En général la spécialisation des tâches peut prendre deux orien- tations : Figure 2. Les orientations de la spécialisationA. La spécialisation horizontale
À la recherche de gains de productivité, les grandes entreprises ont adopté dès le XIX e siècle des formes de spécialisation du travail. Les multiples rationalisations de cette division du travail, notamment par Taylor ont conduit à ce qu"il est convenu d"appeler : l"organisation scientifique du travail (OST). Les avantages procurés ont été nombreux et évidents. La spécialisation apportait la réponse à l"emploi d"une main-d"uvre d"origine rurale peu qualifiée pour le travail industriel. À l"inverse, les générations suivantes, mieux formées, furent plus sensibles aux inconvénients de l"OST.Orientation
de la spécialisation des tâchesHorizontale
Spécialisation fonctionnelle
Verticale
Ligne hiérarchique
____________________________Les choix fondamentaux __________________________ 9 Figure 3. Principaux avantages et inconvénients de la spécialisation horizontale Ces avantages et ces inconvénients sont cependant relatifs : - une spécialisation qui conduit à des tâches élémentaires répétitives devient démotivante ; - alors qu"une spécialisation par famille de produits, par type de clientèle, ou zone de marché va galvaniser des com- merciaux ; - et qu"une par projet, à l"instar du lancement d"un nouveau produit va stimuler l"ensemble des parties prenantes.B. La spécialisation verticale
Résulte du principe relatif à la séparation des tâches de con- ception et d"exécution. Cette spécialisation verticale est plus ou moins forte selon les entreprises. L"organigramme, arbre renversé qui représente le découpage des responsabilités légitimes et la hiérarchie du commandement, en donne une bonne image : - Gains de productivité par répétition des tâches - Facilite l"apprentissage et la formation - Identification aisée des responsablesAvantages
- Tâches monotones - Faible implication du personnel - Flexibilité interne faible en raison de la monovalence des salariés - Difficile perception de la globalité des problèmesInconvénients
Spécialisation
horizontale10_________________________Les structures d"entreprise__________________________
Figure 4. Image de la spécialisation verticale
Le nombre de niveaux hiérarchiques dépend :
- du degré de qualification des individus ; - de la nature des tâches (répétitives ou non) ; - des procédures existantes : précises elles rendent le contrôle direct superflu ; - de l"autonomie laissée aux salariés ; - les spécialisations horizontale et verticale constituent des modalités indépendantes de division du travail.II. La répartition de l"autorité
Deux principes sous-tendent cette répartition : Figure 5. Antagonisme de principes lors de la répartition de l"autoritéRépartition de l"autorité
Unité de commandement
Autorité dans la spécialité
____________________________Les choix fondamentaux _________________________ 11 Pour Fayol, chaque subordonné ne doit dépendre que d"un seul chef, condition nécessaire de l"efficacité de l"action. À cette préci- sion de direction et de responsabilité s"ajoute la facilité de contrôle. Mais toutes les informations et les décisions remontent au supé- rieur commun. La lourdeur du procédé, ajouté à l"incompétence du chef dans certaines situations justifie les aménagements de passe- relles entre les lignes hiérarchiques proposées par Fayol. Pour F. W. Taylor, chaque tâche, qu"elle soit accomplie par les ouvriers ou les membres de la direction est autonome et spécialisée. C"est ce qu"il appelle le " système de management fonctionnel ». Au niveau d"un atelier, il propose un schéma illustratif dans lequel les opérationnels dépendent de l"un des huit contremaîtres selon le problème posé. Chaque contremaître a une autorité dans sa spécia- lité. Sa compétence est accrue, car il se consacre uniquement à une tâche qu"il maîtrise :Figure 6. L"autorité fonctionnelle
Cependant il est rare qu"un problème ne relève que d"une com- pétence. La qualité, par exemple dépend des réglages, de l"entretien des machines, des temps alloués... La coordination ne peut s"opérer qu"au niveau du chef d"atelier. À cela s"ajoutent un risque de conflit du fait de la pluralité de chefs pour une même tâche, ainsi qu"une possible dilution des responsabilités. Chef d"atelier PaieCalcul
des temps Discipline Lancements Réglage Entretien QualitéFiches
dinstructionOuvriers
12_________________________Les structures d"entreprise__________________________
Aujourd"hui encore ce problème est d"actualité. La recherche d"une flexibilité généralisée et d"une bonne réactivité incite à don- ner le pouvoir à l"acteur le plus compétent pour un problème, à un moment et en un lieu précis. Il est difficile d"imaginer ce principe d"efficience à tous les niveaux de la ligne hiérarchique. Aussi la répartition de l"autorité va chercher à minimiser les inconvénients de ces deux principes tout en en conservant les avantages.A. L"autorité hiérarchico-fonctionnelle
Le principe est celui de la double ligne : hiérarchique et fonctionnelle (staff and line) : - une ligne dispose de l"autorité générale (le commandement : line) ; - l"autre dispose de l"autorité dans la spécialité (pouvoir de conseil : staff) ; Ces lignes ne sont pas antinomiques si à la seconde on accorde le sens d"influence. Exemple de cette forme d"autorité partagée : l"Éducation nationale qui combine une ligne fonctionnelle pédago- gique (inspecteur) avec une ligne d"autorité hiérarchique (chef d"établissement). Figure 7. Autorité hiérarchico-fonctionnelle L"avantage du procédé semble très net. Lorsqu"une organisation dépasse une certaine taille et un certain degré de complexité, une seule unité de " commandement » ne permettrait pas de multiplier Line Staff ____________________________Les choix fondamentaux _________________________ 13 les spécialisations indispensables à une bonne connaissance des problèmes. Des spécialistes sont donc mis en place, mais leur pou- voir est restreint à un pouvoir de conseil. Bien sûr le danger du système réside dans les potentiels conflits entre les opérationnels (line) et les fonctionnels (staff).B. L"autorité diffusée
Les nouvelles conditions de la compétitivité imposent aux entreprises : - d"être éclatées en divers centres de responsabilité et d"action opérant sur des zones économiques différentes ; - de diminuer le nombre de niveaux hiérarchiques afin d"être plus réactives ; - de mieux prendre en compte les aspirations de leurs salariés. La direction et l"animation des hommes s"organisent alors autour de nouveaux fondements : des hiérarchies multiples remplacent la hiérarchie unitaire ; l"adhésion se substitue à la discipline ; la persuasion à la punition...Figure 8. Autorité et formes de management
Organisation traditionnelle
Organisation nouvelle à centres
de responsabilités et d"actions multiples Contrôle directPunition Discipline
Unitaire Hiérarchie
Adhésion Multiple
Autocontrôle
Persuasion
14_________________________Les structures d"entreprise__________________________
III. La décentralisation
Dès l"instant où il devient impossible de confier tous les pou- voirs à un seul individu, il est nécessaire de décentraliser. Ce choix ainsi que son amplitude reviennent à la direction générale. La décentralisation doit être entendue comme une division du travail de direction et ne pas être confondue avec la déconcentration ou la délégation que l"on peut également rencontrer dans une configu- ration centralisée. Figure 9. Centralisation versus décentralisation D"entreprises à entreprises, la décentralisation n"est pas la même. Celle-ci est même variable d"un service à l"autre ; d"une époque à une autre pour une même entité. Les raisons en sont diverses :DécentralisationCentralisation
Culture nationale
Pertinence des décisions
Réactivité
Motivation des salariésContrôle simple
Confidentialité
Meilleure cohérence
Figure 10. Principaux avantages liés à la décentralisation ou à la centralisationDélégation
(confier à un subordonné un objectif précis et les moyens d"y parvenir)Déconcentration
(dispersion des moyens)Centralisation Décentralisation
Pertinence des décisions
Réactivité
Motivation des salariés
Contrôle simple
Confidentialité
Meilleure cohérence
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