[PDF] Théorie de la littérature - Une introduction by Jean-Louis Dufays





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Chapitre 8 - Perceval et le Chevalier Vermeil

Parmi tous les chevaliers de la Table Ronde Perceval le Gallois fut l'un des plus brillants. Chapitre 11- Perceval et l'Orgueilleux.



Chrétien de Troyes - Perceval ou le Conte du Graal

5. Le chatoiement : l'éclat. Page 8. Vers 69?598. 11.



preparer une sequence de formation en enseignement

Les évaluations formatives et sommatives à prévoir (cf. chapitre 3) En résumé : ... 11. Niveau. Quelques exemples de la taxonomie de Bloom.



dossier pédagogique - la croix des pauvres

résumés à compléter Troisième étape de lecture : du chapitre 11 au chapitre ... courtois Le Conte du Graal



GRAMMAIRE VOCABULAIRE ORTHOGRAPHE CONJUGAISON

Les relations dans la phrase complexe (? CHAPITRE 11) L'idée m'est venue de conter l'histoire d'un ... Chrétien de Troyes Le Conte du Graal



Perceval

Séance 7 › Imaginer la fin de Perceval ou le conte du Graal p. 11. SOMMAIRE. L'intérêt pédagogique rédigez un résumé de ce que vous avez lu et compris :.



Lancelot Dulac

Le Chevalier de la charrette et Perceval ou le Conte du Graal (Chrétien de A. On peut résumer le début du chapitre jusqu'au passage « Il regardait » à.



Perceval ou le Conte du graal

11. Perceval ou le Conte du graal. 1. La rencontre des chevaliers ration et le cadre sont identiques même si ses personnages.



Théorie de la littérature - Une introduction by Jean-Louis Dufays

2 nov. 2009 11 Fr. RUTTEN « Sur les notions de texte et de lecture en critique littéraire »



Fiche Le petit Prince

2 - Fais le résumé des informations que la lecture des chapitres 1 à 7 t'a Chapitre no 11 ... Perceval ou le roman du Graal Folio Junior Éd. Sp. no 668.



Chapitre 11: Mots clés - Mon carnet de lecture

5 avr 2017 · Résumé: Perceval passant par le bois tomba sur une fille qui pleurait et qui se lamentait sur le cadavre d'un chevalier qui avait la tête 



Resumer les chapitre 91011 et 12 et le 16 17 18 et 19 du livre

27 fév 2012 · resumer les chapitre 91011 et 12 et le 16 17 18 et 19 du livre "perceval ou le conte du graal" de Anne Marie Cadot Colin



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La poésie commence là dans ce chapitre vers cette fin du XIIe siècle sur cinquante centi- mètres de neige quatre phrases trois gouttes de sang La poésie 



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15 jui 2017 · Usages : les façons habituelles de se comporter 4 Bayer aux corneilles : rêvasser Page 11 Perceval ou le Conte du Graal



Perceval ou le conte du Graal - Fiche de lecture - Valerie Lf

16 déc 2020 · Perceval fait la rencontre de Gornemant de Goort qui vit dans un château celui-ci lui propose de vivre chez lui pendant un an pour lui 



Livre audio Perceval ou le conte du Graal chap 11 - YouTube

28 mai 2019 · Perceval ou le conte du Graal de Chrétien de Troyes - Résumé et explication Gloria Lauzanne Durée : 10:42Postée : 28 mai 2019





Résumé Perceval ou le conte du Graal chapitres 1 2 3

9 déc 2021 · Perceval chapitres 123 résumé · L'époque: elle ne varie pas dans le récit · Chapitre I: · Les personnage: Perceval dont on ne connaît pas l' 



Terres Gastes - Chapitre 11 Tradition - OpenEdition Books

Il est donc logique que l'analyse mythologique du cycle du Graal sont le pendant des « autres » du Conte personnages que Perceval croise sans les voir 

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Théorie de la liTTéraTure

u ne in T roduc T ion

Jean-Louis Dufays

Michel Lisse

Christophe MeuréeŮŮ

Dans la même collection :

1. Pierre Collart, Les abuseurs sexuels d'enfants et la norme sociale, 2005.
2. Mohamed Nachi et Matthieu de Nanteuil, Éloge du compromis.

Pour une nouvelle pratique démocratique, 2006.

3. Lieven Vandekerckhove, Le tatouage. Sociogenèse des normes esthétiques, 2006. 4. Marco Martiniello, Andrea Rea et Felice Dassetto (eds), Immigration et intégration en Belgique francophone. État des savoirs, 2007. 5. Francis Rousseaux, Classer ou collectionner ? Réconcilier , 2007. 6.

Paul Ghils, Les théories du langage au XX

e siècle. De la biologie à la dialogique, 2007. 7. Didier Vrancken et Laurence Thomsin (dir.), Le social à l'épreuve des parcours de vie, 2008. 8. Pierre Collart (dir.), Rencontre avec les différences. Entre sexes, sciences et culture, 2009. 9. Jean-Louis Dufays, Michel Lisse et Christophe Meurée, Théorie de la littérature. Une introduction, 2009. 10. public des religions et de la laïcité en Belgique, à paraître.

Théorie de la liTTéraTure

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Jean-Louis Dufays

Michel Lisse

Christophe Meurée

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BruYlanT

acadeMia B d/2009/4910/23 iSBn 13 : 978-2-87209-946-7

BruYlanTfiacadeMia s.a.

Grand'Place 29

B-1348 louvain-la-neuve

Tous droits de reproduction ou d'adaptation par quelque procédé que ce soit, réservés pour tous pays sans l'autorisation de l'éditeur ou de ses ayants droit.

Imprimé en Belgique.

www.academia-bruylant.be

Avertissement

Le présent ouvrage applique les recommandations orthographiques de l'Académie française. Une première version des chapitres 1 et 2 ainsi qu'une partie du chapitre 7 ont été publiées dans le livre de J.-L. Dufays, L. Gemenne et D. Ledur, Pour une lecture littéraire chapitre 7 a été publiée en 1993 dans le n° 96 de la revue Poétique. Le chapitre 4 a été écrit par Christophe Meurée, le chapitre 3 et le point D du chapitre 5 sont dus à Michel Lisse, Jean-Louis Dufays a écrit le

Marlair : qu'il en soit vivement remercié.

- 5 - introduction Au moment d'entamer un ouvrage dédié à la théorie de la littérature, il n'est pas inutile de se demander à quoi cela sert d'étudier la litté- rature au XXI e siècle, époque où le livre et la lecture semblent de plus d'information. La question est posée sans complaisance par Antoine

Compagnon

Le lieu de la littérature s'est amenuisé dans notre société depuis une génération : à l'école, où les textes documentaires mordent sur elle, ou même l'ont dévorée ; dans la presse, où les pages littéraires s'étiolent et qui traverse elle-même une crise peut-être funeste durant les loisirs, où l'accélération numérique morcelle le temps disponible pour les livres. [...] Aujourd'hui, même si chaque automne voit la parution de centaines de premiers romans, l'on peut avoir le sentiment d'une indifférence croissante à la littérature, ou même réaction plus intéressante, car plus passionnée d'une haine de la littérature considérée comme une intimidation et un facteur de "fracture sociale". [...] courante, celle du liseur, de l'honnête homme, mais aussi la lecture savante, celle du lettré, de l'homme ou de la femme de métier. L'Uni- versité connait un moment d'hésitation sur les vertus de l'éducation générale, accusée de conduire au chômage et concurrencée par des formations professionnelles censées mieux préparer à l'emploi, si bien que l'initiation à la langue littéraire et à la culture humaniste, moins rentable à court terme, semble vulnérable dans l'école et la société de demain. 1 Face à ce constat interpelant, ce n'est pas une, mais deux questions qu'il s'agit d'affronter : d'une part, celle de l'utilité de lire la littérature, d'autre part, celle de s'intéresser à la théorie de la li ttérature. 1 A. CO M P A G N O N, La littérature, pour quoi faire ?, Paris, Collège de France/

Fayard, 2007, pp. 29-31.

Théorie de la littérature

- 6 - a . Pourquoi s'intéresser à la littérature d'enjeux. Certains d'entre eux concernent les aspects cognitifs et intel- rationnels ; d'autres concernent ses dimensions émotionnelles et relèvent du psychoaf- de passionnels. Ces deux types d'enjeux correspondent aux deux faces du lecteur, que Michel Picard a appelées le lectant et le lu 2 , et ils sont fondamen- talement complémentaires, car le rapport à la littérature mobilise par sa nature même distanciation et la participation. Posons donc d'emblée, avec Picard, littéraire » est celle qui établit un va-et-vient entre ces deux aspects. Si l'on admet ce postulat, on admettra aussi qu'une tâche importante de la formation littéraire doit être de préserver cet équilibre : négliger l'un des deux termes reviendrait en effet à réduire la richesse poten- tielle de la littérature, ce qui semblerait aussi discutable sur le plan Certes, ces enjeux concernent aussi d'autres activités de réception que la lecture de textes littéraires, à commencer par la réception audiovisuelle. La littérature semble néanmoins les mobiliser d'une lecture, des nombreuses pauses qui en résultent et du travail cognitif plus intense qu'elle requiert. Lire un texte narratif, dramatique ou poétique exige en effet un travail d'imagination, de construction intérieure de " mondes

», de personnages et d'actions plus exigeant

langage, lequel ne donne accès aux représentations mentales qu'in- directement et conserve un cadre matériel toujours disponible à la vision qui empêche le lecteur d'oublier qu'il lit. Examinons maintenant plus avant les enjeux passionnels et les enjeux rationnels qui peuvent être associés à la littérature.

2 M. PI C A R D, La lecture comme jeu, Paris, Minuit, 1986. Nous reviendrons

plus loin sur cette distinction fondamentale.

Introduction

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1. les enjeux passionnels

S'évader, se décentrer. -

Sur le plan passionnel, le rapport à la littérature permet d'abord une expérience de décentrement fondamentale. En effet, le monde du texte est une occasion de diversion, de divertis- sement au sens fort du terme : il permet à l'esprit d'échapper aux contraintes de l'existence individuelle et collective. Cette évasion va de pair avec aux personnages du texte qu'on lit. Cette expérience peut apparaitre comme une sorte de fuite, une manière de vivre par procuration, mais elle n'en est pas moins fondamentale et fondatrice, car il est impossible de se construire une identité sans l'intensité des situations qu'ils traversent et de la possibilité qui nous est donnée de les côtoyer de manière intime des heures durant. En nous permettant ainsi d'accéder à nous-mêmes par le truchement de ses personnages, la littérature exerce une fonction initiatique : elle nous révèle notre propre personnalité.

Se trouver, se centrer.

les personnages de nos lectures peuvent devenir des doubles de nous- mêmes, des frères de papier, dont nous nous plaisons à retrouver des traits dans nos propres vies. La littérature nous permet alors de nous retrouver. En outre, en nous confrontant à des situations existentielles fortes qui rejoignent les interrogations, les désirs et les expériences partagés par beaucoup d'hommes, elle nous amène à la fois à anticiper des épisodes de notre vie et à nous remémorer des évènements passés. Levier actif de la mémoire involontaire, elle agit en nous de la même manière que la madeleine trempée dans du thé, qui, au début de À la recherche du temps perdu, fait ressurgir à la conscience du narrateur proustien tout un pan de son passé. Se perdre. - La littérature peut aussi nous faire éprouver une expérience de déstabilisation. Roland Barthes a appelé " jouissance du texte » 3 la situation où le lecteur est tellement troublé par le texte qu'il en perd ses repères, qu'il ne sait plus comment se situer. Face à des oeuvres très novatrices, comme celle de Joyce par exemple, de nombreux lecteurs sont ainsi confrontés à un sentiment d'altérité radical, où se sentent en quelque sorte subjugués par le texte. Vivre plus intensément. - Une autre expérience passionnelle liée à la littérature est l'expérience éthique, le sentiment que le texte nous 3 R. BA R T H E S, Le plaisir du texte, Paris, Seuil, 1973, pp. 25-26.

Théorie de la littérature

- 8 - nourrit sur le plan des valeurs, de nos attentes morales, mais aussi de nos désirs. En lisant, nous nous posons des questions existentielles, nous construisons et nous exerçons notre rapport éthique au monde. 2. les enjeux rationnels Lire la littérature, c'est aussi une expérience d'apprentissage, qui nous donne accès à une diversité de connaissances. On peut en distinguer au moins trois types Des connaissances d'ordre langagier. - La littérature nous donne l'occasion de nous approprier toutes les ressources de la langue écrite, et en particulier elle enrichit notre stock de structures syntaxiques et de connaissances lexicales, dont elle fait un usage bien plus considé- rable que le langage parlé. Des connaissances génériques et esthétiques. - La littérature nous fournit aussi des codes, des mythes, des scénarios, des stéréotypies relevant des différents genres et courants littéraires et non littéraires. Ainsi, c'est la lecture d'un certain nombre de romans policiers ou de textes romantiques qui nous permet de dégager les tendances, voire les règles, de ces deux systèmes de codes, dont la maitrise pourra être à la fois réinvestie et réinterrogée aussitôt dans la lecture d'autres textes du même genre ou du même courant. Des informations sur le monde. - Un troisième type de savoir offert par la littérature est celui des systèmes de références et des valeurs qui sur le monde, sur ses semblables et sur lui-même. En nous relatant de manière dynamique des évènements sur l'histoire, sur des pays lointains, etc., la littérature véhicule un nombre considérable de connaissances et exerce une fonction " gnoséologique

» (elle se fait

médiatrice d'autres savoirs). écoutons à ce propos Roland Barthes : La littérature prend en charge beaucoup de savoirs. Dans un roman comme Robinson Crusoé, il y a un savoir historique, géographique, social (colonial), technique, botanique, anthropologique (Robinson passe de la nature à la culture). Si, par je ne sais quel excès de socia- lisme ou de barbarie, toutes nos disciplines devaient être expulsées de l'enseignement sauf une, c'est la discipline littéraire qui devrait être sauvée, car toutes les sciences sont présentes dans le monument littéraire. C'est en cela que l'on peut dire que la littérature, quelles que soient les écoles au nom desquelles elle se déclare, est absolument,

Introduction

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catégoriquement réaliste : elle est la réalité, c'est-à-dire la lueur même du réel. 4 Plus précisément, la lecture de la littérature est un moyen d'accès privilégié au témoignage des hommes qui nous ont précédés. C'est donc un outil pour mieux comprendre le monde en nous ouvrant à d'autres points de vue, d'autres cultures, d'autres époques. C'est aussi une caisse de résonance qui donne sens et valeur à la vie ordinaire, comme le dit joliment Danièle Sallenave dans son essai Le don des morts :

Sans les livres, nous n'héritons de rien

: nous ne faisons que naitre. Avec les livres ce n'est pas un monde, c'est le monde qui vous est offert : don que font les morts à ceux qui viennent après eux. Sans doute tout est-il déjà là, à notre naissance. Encore faut-il le prendre. Offert, proposé, mais non donné. La terre, et le ciel, ce qu'on en voit et ce qui s'y cache ; les choses de l'histoire, les replis du temps. Mais, sans les livres, il se pourrait bien cependant que tout nous échappe : le monde physique, même si je le parcours, parce que je n'aurai rien appris ; le monde humain, l'histoire, parce que je n'en saurai rien ; les langues y compris celle de ma naissance, parce que je ne les parlerai pas, ou les parlerai mal ; les oeuvres, les paysages, la douceur des soirs sur des bords étrangers, parce que je n'en aurai pas retraversé l'expérience dans le miroir des livres. 5 La fréquentation de la littérature apparait ainsi à la fois comme une occasion d'acquérir une meilleure prise sur le monde et un " renfor- cement d'être » (Péguy). Pour autant, les connaissances qu'elle nous

Barthes, elle "

fait tourner les savoirs En cela véritablement encyclopédique, la littérature fait tourner les place indirecte, et cet indirect est précieux. D'une part, il permet de désigner des savoirs possibles - insoupçonnés, inaccomplis : la littérature travaille dans les interstices de la science : elle est toujours en retard ou en avance sur elle [...]. D'autre part, le savoir qu'elle mobilise n'est jamais ni entier ni dernier ; la littérature ne dit pas qu'elle sait quelque chose, mais qu'elle sait de quelque chose ; ou mieux : qu'elle en sait quelque chose - qu'elle en sait long sur les hommes. [...] Parce qu'elle met en scène le langage, au lieu, simplement, de l'utiliser, elle engrène le savoir dans le rouage de la 4 R. BA R T H E S, Leçon, Paris, Seuil, 1978, p. 18. 5 D. SA L L E NAV E, Le don des morts. Sur la littérature, Paris, Gallimard, 1991, p. 65.

Théorie de la littérature

- 10 - sur le savoir, selon un discours qui n'est plus épistémologique, mais dramatique. 6 Autrement dit, les textes littéraires nous amènent à remettre en cause les représentations sociales, à briser les idées reçues, et à " probléma- tiser » le monde d'une manière toujours renouvelée. Ceci explique pourquoi, dans les dictatures, la littérature est une activité étroitement surveillée : empêcher les citoyens d'écrire et de lire ce qu'ils veulent leur liberté et de contester le pouvoir. En dernière analyse, la littérature apparait comme une occasion formidable d'ouverture à d'autres expériences humaines. En cela, elle présente un enjeu existentiel et philosophique fondamental, d'autant plus que, tout en ouvrant ses lecteurs à une diversité d'expériences, elle développe souvent chez eux le sens de l'altérité et la compassion.quotesdbs_dbs44.pdfusesText_44
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