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DE LACADÉMIE DE PARIS
ÉLABORER UN ALBUM CODÉ EN MATERNELLE
(Moyenne section)Juliette Pellois
PROFESSEUR DES ÉCOLES
Groupe A
Sous la
2015-2016
Mots-clés
2SOMMAIRE
INTRODUCTION ...................................................................................................................... 3
1. ......................................................................... 6
1.1. Apports théoriques ....................................................................................................... 6
1.1.1. Attendus institutionnels et définition ................................................................... 6
1.1.2. ................................. 7
1.1.3. Enjeux et limites de la littérature de jeunesse comme point de départ à la
............................................................................................................... 9
1.2. .... 10
1.2.1. Écriture de textes explicatifs ou descriptifs ........................................................ 10
1.2.2. Réécriture de textes " littéraires » ...................................................................... 11
2. .................................................................................................................... 16
2.1. Apports théoriques ..................................................................................................... 16
2.1.1. Définition et caractéristiques .............................................................................. 16
2.1.2. Intérêts didactiques ............................................................................................. 17
2.1.3. Limites éventuelles ............................................................................................. 17
2.2. ..................................... 19
2.2.1. ................................................................................ 19
2.2.2. ........................................ 19
3. : description et analyse .. 22
3.1. Conception de la séquence et choix didactiques ....................................................... 22
3.2. La rédaction du texte ................................................................................................. 23
3.2.1. Description de la séance ..................................................................................... 23
3.2.2. Analyse de la restitution du récit ........................................................................ 24
3.2.3. .............................. 25
3.2.4. Travail effectué ultérieurement sur le texte ........................................................ 26
3.3. ........................................................................................ 28
3.4. La composition des images ........................................................................................ 29
3.5. Construction de la couverture .................................................................................... 31
3.6. Activités complémentaires ........................................................................................ 31
3.6.1. Remise en ordre .................................................................................................. 32
3.6.2. Appariement texte/images .................................................................................. 32
CONCLUSION ........................................................................................................................ 33
BIBLIOGRAPHIE ................................................................................................................... 35
ANNEXES ............................................................................................................................... 36
3INTRODUCTION
arrondissement, dans un quartier très privilégié avec une déménagé ; il est donc ensuite définitivement passé à 28 élèves. Pour organiser mes enseignements au sein de cette classe, je me suis ajustée sur assises était de les installer en cinq tables defonctionnement pour parvenir à mener les activités des élèves, par exemple faire travailler deux
nombre impair de groupes, le plus " simple » en une moitié de semaine était de toujours mener
simultanément cinq ateliers différents seul fonctionnement réalisable matériellement si je souhaitais toujours avoir un gdifférentes à trouver chaque semaine : un atelier dirigé, un atelier pouvant être guidé par
TSEM de la classe, présente environ les deux tiers du temps, et trois ateliers pouvant êtreparfaitement autonomes. Et qui dit cinq activités dit aussi cinq temps différents pour que chaque
groupe puisse toucher : un atelier le lundi matin, deux ateliers le lundi après-midi et deux ateliers le mardi matin (cf. annexe 1). Lemardi après-midi est un après-midi court, lors duquel un temps de décloisonnement est organisé
avec la maîtresse des Petite Section, pendant que ses élèves font la sieste au dortoir. De 13h45
à 14h30, nous organisons donc des activités de phonologie en demi-groupe le mardi après-- réinvestir par les élèves 4 sont ainsi liés à la littérature de jeunesse :Carnet de Voyage Littéraire
les trois années de maternelle, de la petite section à la grande section, et regroupant des traces
des albums lus, explorés, travaillés balisé après la lecture de cha favori, puis en mettant cette enveloppe dans une véritable urne. Cette année, les six albums choisi récits en randonnée :Anaïs
Vaugelade,
Guillaume
Michaël
Escoffier et
Matthieu
Maudet,
Bonjour Docteur !
Agnès de
Lestrade et
Guillaume
Plantevin,
Christian
Voltz,
ma faute ! Satoe Tone,Une si
jolie TerreEric Carle,
La maison
du bernard- Pendant deux semaines et demie, la titulaire de la classe et moi nous sommes partagé les lectu classe est Bonjour Docteur ! qui a gagné. x de recherche cette année dans le domaine de lafavorisant un travail poussé dans ce domaine : la maternelle est toujours un lieu où la lecture
5précédemment, qui sont liés à la littérature de jeunesse, et la marge de progrès de mes élèves
les amenant parfois à produire des contresens vis-à-vis de la logique du récit.amenée à formuler la problématique suivante : en quoi la littérature de jeunesse peut-elle être
une voie privilégiée en production ou réécriture de textes ? Et, réciproquement, produire de
-il perme ? recher -genre de la littérature de jeunesse : : la réalisation par mes codé pour réécrire un conte connu : Les trois petits cochons. 6 1.1.1. Apports théoriques
1.1.1. Attendus institutionnels et définition
t apparaître parmi les attendus de fin de grande section du premier domaine, " Mobiliser le langage dans toutes ses dimensions », la compétence : " 1 ». Mémoire, langages et apprentissages, Emmanuelle Canut consacre un passage au fait de "2 transformation » est un
processus qui est lent et progressif chez les enfants. Cela renvoie par ailleurs à un second attendu des programmes de 2015 dans le domaine du langage écrit, " pas comme on parle " ulte est un procédé qui permet la transformation -scripteur et non un déchiffreur- copieur.3 »
1 MinistèrBulletin officiel spécial n°2 du 26 mars 2015, p. 9/19 (PDF).
2 Canut, Emmanuelle, " Apprendre à parler pour apprendre à lire et à écrire », in Mémoire, langages et
apprentissages, Paris, Retz, 2011, p.103.3 Ibid.
71.1.2. Conditions nécessaires à la pratique de la dictée à
nt pas être pratiquée à tort et à travers. Canut poursuit en affirmant que " 4 les pr" écrivable » ou non de son énoncé. De plus, le texte ne doit surtout pas être modifié, corrigé
t correct ou plus juste : La difficulté réside donc dans le fait de faire comprendre aux élèves " comme on parle faire faire la différence entre des énoncés " écrivables dispose de variantes -à-dire qui peuvent être écrites sans modification aucune5 » pour pouvoir entamer des activités de dide critères permettant aux élèves de voir si tel ou tel énoncé est " écrivable » ou pas, donc que
écrivabilité capacités des élèves
il demeure difficile pour des élèves de moyenne section de saisir toujours la nuance entre ce : la répétition du sujet et la négation simple (" pas », sans le " neécrivable », là où ça ne serait probablement plus le cas en grande section. En revanche, je
considère dès la moyenne section " non écrivables conjugué ou bien où les mots ne sont pas dans le bon ordre.Mireil,
énonce plusieurs " précautions à prendre
4 Ibid.
5 Ibid.
8 " angage écrit lorsque les trois conditions suivantes sont réunies :1) -à-
comme un sujet qui a quelque chose à dire (il est énonciateur) dans un espace- ;2) Il a un destinataire (pas là et/ou pas maintenant)
3) La production aboutit à un écrit.6 »
En ce sens, certaines pratiques répandues en maternelle ne seraient pas optimales pour critique eégocentriques et le processus de décentration se mettant en place très progressivement, il est
difficile de leur demander de " se mettre à la place de papa ou maman » et de " faire comme si : est complexe il est sujet énonciateur. " ) La valeur de " là référencié dans la photo.7 » -productif par est apprendre8 ». On peut
peut-être néanmoins nuancer ce propos en faisant de cet objectif un des enjeux de la production
pratique de la légende peut avoir du sens dans certains cas comme nous le verrons par la suite.6 Brigaudiot, Mireille, , Paris, Hachette, 2014, pp. 135-
136.7 Op. cit., p.39
8 Ibid.
91.1.3. Enjeux et limites de la littérature de jeunesse comme
du lien entre littérature de tion de son article " maternelle », non sans quelques réserves : plaisir de la littérature et de la lecture en général. Elle est, par ailleurs, dit de la lecture. -il, notamment, que les enfants apprennent comment lire et comprendre des textes littéraires.9 » prod des enfants non lecteurs, non écriveurs. Pourtant, elle est fondatrice deTravail
long, parfois un peu lourd, mais si magique, il reste un repère indélébile10 »
9 Terwagne, Serge, " », in érature de
jeunesse, Issy-les-Moulineaux, ESF éditeur, 2006, p.79.10 Brigaudiot, Mireille, op. cit., p. 35.
10 Inventer une histoire ex nihilo semble effectivement représenter un travail considérable ceux- comprendre le fonctionnement du récit : il peut du " instrumentaliser ent commeprétexte pour faire écrire les élèves, sinon elle perd de son essence et de son poids artistique.
cohérente afin de toujours trouver un sens pour les élèves, mais également respectueuse envers
1.2.1.2.1. Écriture de textes explicatifs ou descriptifs
les élèves me décrivent leur production et que cette légende reste " figée » dans le temps. À
pendtoujours des exercices riches qui permettent un retour des élèves sur leur travail. De plus, la
élèves plusieurs mois après sa réalisation : leurs souvenirs ne leur permettent plus toujours de
est ici dans la légende décriée par Brigaudiot, le sens donné à cet exercice me semble néanmoins
présent pour les élèvesmémoire de cet instant pour eux et pour leurs parents lorsque ceux-ci liront à voix haute cette
n est claire 11 -même, pas maintenant mais plus tard, le parent illeurs, seulementquelques jours après le vote, deux élèves de ma classe ne se souvenaient déjà plus pour quel
support principal utilisé pour mener cette dict point de départ la littérature de jeunesse.1.2.2. Réécriture de textes " littéraires »
Boucle
usieurs versions du conte de à mes élèves :Byron Barton,
Les trois ours
Rose Celli et
Gerda Müller,
Boucle
trois oursGerda Müller,
Boucles
trois oursRascal,
Boucle & les
trois ours. de nombreuses questions sur le déroulement des événements dans chacune des histoires, et je les également guidés dans la comparaison des trois premières ces hi : dans cet album les ours sont 12 voire des interrogations assez poussées -elle tomber son bouquet de fleurs dans chacune des versions dans les illustrations. La comparaison des récits en eux- Durant deux semaines, de nombreux ateliers de la classe ont été menés autour du thème de afin de motiver les élèves et de faire du lien entre les différentspromènent les trois ours, atelier de discrimination visuelle sur les différentes couvertures de
inhabituel par rapport aux albums que je leur lisais en général : " Est-ce que je pourrais vous
lire celui-ci ? des réponses du type " différences des images avec les images des autres textes. lire cettehistoire. " Il faut rajouter des écritures -ils suggéré : du texte donc. " Nous allons devoir
inventer le texte de cet album, double page après double page. dirigé car cela permettait à chaque élève de pouvoir prendre la parole tour à tour car il est mo la classe, pour les petits parleurs upement. difficultés attendues que ce genre de pratique pouvait amener, notamment le fait que " le poids11 ». Les élèves du groupe le plus en difficultés (groupe
" Il y a des ours »11 Op. cit., p. 40
13 ou " il y a un arbre ». La symbolique était mal perçue, la demande de " raconterabsurde ou dénuée de sens, malgré ces images à surmonter. Ne souhaitant pas baisser les bras
version du groupe orange au groupe jaune en leur précisant quel élève avait écrit quoi (pour
au lendemain midi en(cf. annexes 2 et 3). Le fait de refaire quelque chose déjà produit par les autres perdait peut-
être un peu de son sens pour les élèves
cet écrit, mais cela a quand même donné lieu à des discussions intéressantes quand nous avons
comparé les différentes propositions faites par les élèves : certaines images donnaient lieu à des
récits quasi-En Roule galette, un classique
lecture magistrale suivie de questions visant à vérifier leur compréhension des ressorts du récit,
notamment à mettre au clair ce qui concerne la ruse du renardpasser par la marotte est selon moi très riche pour les élèves, car cela leur permet une
décentration progressive méchant » de l Quelques semaines après ces activités sur Roule galette pécifique dans laRoule galette
14 du texte de de Rascal : un album ayant besoin de texte pour pouvoirêtre
: on peut donc comsuperficiel qui est reproché à cette pratique, notamment par Brigaudiot. Cependant, elle
reproche aussi à cette pratique autre chose qui peut être également reproché à ma séance (mais
" Un autre obstacle [est] celui de la connaissance de toute de légendes qui mentionnent des éléments déterminés (ayant déjà une : on va écrirRoule galette. Cette
efforts de destinataire.12 » Toutefois, le propos peut de nouveau être nuancé vis-à-vis de ma séance : certes, le destinataire de la version codée de Roule galette le clarifier est possible lecteurs potentiels de livre, pouvant être ajouté dans la bibliothèque de la classe : moi, la maîtresse, pour une une classe de Grands », oblématique que les élèves parlent de " la galette » en ayant en tête le supposer, incompréhensible pour un destinataire extérieur. te fois divisé la produc annexe 4).12 Ibid.
15 J rem phénoménale des te original de Roule galette : " galette, galette, je vais te manger », " comme tu es ronde, comme tu es blonde Cet aspect est intéressant et on peut remarquer ici que cette mémoire des textes vocabulaire. Cependant, je me suis dit que cette connaissance presque "pouvait être un frein à mon évaluation de la capacité des élèves à produire des énoncés
" écrivables cochons, peu sur le sous-genre choisi pour le projet final réalisé avec mes élèves-il, en quoi est-ce un support pertinent et quel travail préalable à son élaboration ai-je dû
mener en classe ? 16 2.2.1. Apports théoriques
2.1.1. Définition et caractéristiques
Bien q-genre récent de
esquisser une définition de ce genre, je me suis donc en majeure partie appuyée sur des Mathématiques (IREM) de Brest, on trouve cette définition : " C'est un album avec des dessins codés et sans texte qui possède une légende codée des personnages et des lieux principaux de l'histoire. Le codage peut consister en des formes géométriques simples (triangle, disque, etc.) ou bien des formes plus complexes (volutes, etc.).13 » Je rejoins cette définition, exceptée la caractéristique " sans texte » qui est un choix explicite de la part des auteurs de ce travail de recherche : " ce sont les albums avec des dessins ns codés et du texte pas. Je propose donc ici une définition similaire mais englobant tous les albums avec des dessins un " dossier codisciplinaire -Marseille sur le codage au cycle1, qui déterminent tout simplement que " dans un album codé, des symboles représentant des
personnages, lieux ou objets prennent la place des représentations picturales habituelles14 ».13 -Azou, Gwenaëlle, Tréguier,
Claire, " Albums
tâches », HAL Archives ouvertes, 8 octobre 2015, en ligne : https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-
01213432/document (consulté le 20/04/16).
14 Carré, Anne-Mélayne, Pouradier, Estelle, " », Site personnel de Pierre Eyserric,
2006, en ligne : http://peysseri.perso.neuf.fr/PE2005/DC2.pdf (consulté le 20/04/16).
172.1.2. Intérêts didactiques
», Barbara
histoires à structure répétitive. Elle a insisté sur le fait que "travailler sur la structure du récit », ce qui nous intéresse particulièrement ici. Le travail de
" L'album codé s'attache à coder le déroulement d'un récit, alors que les dessins figuratifs illustrent certaines idées du récit choisies par l'illustrateur. En général, pour pouvoir raconter l'histoire, il est nécessaire de connaître le récit, le codage est une aide pour retrouver la chronologie et le sens du récit.15 » La structure du récit, sa construction logique, chronologique, voire littéraire est ainsi mise volontairement minimaliste[s]16 », qui on fine des ressorts du récit peut donc être travaillée avec lesbousculées, ils doivent abstraire les éléments importants du récit en passant par la symbolique
du code,Construire les premiers outils pour structurer sa
pensée compétences intellectuelles et méthodologiques qui trouveront leur place dans de nombreux2.1.3. Limites éventuelles
A aspect très " utilitaire », quitte à en perdre peut-être le côté artistique quencore Warja Lavater qui parviennent à donner un côté poétique à leurs illustrations codées,
15 Poisard, Caroline et al., op. cit.
16 Carré, Anne-Mélayne, Pouradier, Estelle, op. cit.
18 mais cela se retrouve dans ceux qui sont créés dans les classesdans la représentation permet certes de mettre en évidence les ressorts et la structure du récit,
substituant dans des albums codés sans texte comme ceux de Warja Lavater. Mais leurtextes/images différents doivent donc également être étudiées avec les élèves. De plus, un
tion figurativeque pour réaliser un album aux illustrations figuratives. Le plus simple réside réellement dans
tion des images. Enrevanche, inventer une histoire de toutes pièces est déjà complexe pour des élèves de maternelle,
arts visuels mais en pratiquant donc le " dessin pour représenter », de manière figurative. Mais
semble extrêmement complexe pour des élèves de maternelle. 19 2.2. ma classe2.2.1.
Dans la cour de
de Christophe Loupy. Hormis un parti-pris assez normé dans la représentation du genre, cet album me paraît intéressant car il permet un : ils doivent écouter le récit lu par elles-mêmes. Nom : le fait que lespersonnages soient représentés dans cet album par des ronds : les enfants de la classe
" héroïne on peut supposer que les ronds bleus comprennent les élèves, mais, finalement, rien ne permet de , les " grands » de différent » estavant le fait que les personnages de cette histoire sont des enfants, et non pas des " ronds » mais
décodant une à une. Ce travail de décodage avant de passer au codage car cela permet de faire émerger la logique, le sens choisi -codeur pour mettre en avant telle ou telle cade ne pas opter à son tour pour un code tout à fait aléatoire et indéchiffrable pour une personne
extérieure.2.2.2.
lbum en changeant de support pu poursuivre en les faisant travailler sur un autre album codé de la littérature de jeunesse, comme Petit-Bleu et Petit-Jaune de Leo Lionni. Mais comme la séance autour de Dans la cour : Roule galette, 20 moi- :1 2 3 4 5 6 7
8 9 10 11 12 13 14
laient voir une nouvelle histoire codée, comme . Nous avons rappelé le principe de cet album et je leur s lesquelles les personnages seraient représentés par des Au premier " visionnage », ils sont restés perplexes ma demande, certains ne regardaient même pas les images qui passaient sous leurs yeux. Quand répondu : endonc montré la première image en leur disant : " le carré bleu est un personnage, le carré rose
vous connaissez bien, essayez de retrouver quelle histoire... » Je les ai fait décrire les images
avec un vocabulaire topologique il y a un rond jaune à côté un triangle gris » pouravec le renard : le rond jaune (la galette) se trouve successivement à côté du triangle orange (le
renard) (image 12), puis sur la pointe du dessus du triangle (image 13, lorsque la galette monte sur le nez du renard), puis le rond jaune devient un demi-disque jaune (image 14, le renard a 21mangé la galette). La reconnaissance de ce passage par un élève de la classe a permis de tout
débloquer (et de " débloquer » tout le monde début en leur demandant de me dire ce qui se passaitsur chaque image, et ça a finalement été très bien compris. On voit donc vraiment ici que le
moment de la révélation (" Roule galette ») a changé la perception des élèves : cela leur a
réellementpour faire revivre le récit. Pour terminer cette séance, nous avons discuté du choix des formes
e nouveau choisiprécédemment pour ajouter le texte manquant à chaque illustration (cf. 1.2.2.) Outre les
permis de voir que tous les élèves, sans exception, interprétaient correctement les images,quotesdbs_dbs26.pdfusesText_32[PDF] inventer une histoire en maternelle ? partir dimages
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