Lenfer est-ce vraiment les autres? Les représentations de laltérité
La didactique des langues offre un panel d'études aussi bien théoriques qu'expé- rimentales
Pour une éducation à laltérité
La vulgarisation sociologique du relativisme culturel qui postule comme équi- valentes a priori toutes les normes culturelles n'est en réalité qu'une dérive et
Les enjeux de laltérité et la littérature
Le terme «ethnique» n'est ainsi qu'une copie frappée de stéréotypie moyennant laquelle l'identité soufflée du sujet venu d'ailleurs trouve un lieu de
Laltérité originaire ou les mirages fondateurs de lidentité
Toute création artistique n'est-elle pas en effet
Légitimité dune formation professionnelle à laltérité
Si ce concept est enseignant il nous semble qu'il vaut théoriquement la peine d'être enseigné. Mais sous quelle forme ? 1.3 Education à
Perspectives pour un enseignement de laltérité
à ce vaste champ qu'est la société. L'enseignement/apprentissage des langues envisagé dans une dynamique évolutive
Quand je est un autre ou lidentité dans laltérité
Selon la définition acceptée l'altérité est un concept philosophique qui croyances d'un individu quant à la conscience qu'il a de son identité. Dans.
La Construction Identitaire du Sujet Lecteur à Lépreuve de Laltérité
Mots clés: Littérature; Lecture Lecteur
Traduire: une altérité en action (traduire laltérité et non lidentité)
20?/04?/2016 Dès lors que le « sens » d'un texte est inachevé parce qu'inachevable toute pensée et toute pratique de la traduction fondées sur la recherche ...
Ségrégation et urbanisation linguistique: laltérité urbaine définie ou
11?/06?/2014 On peut en effet apprécier un modèle dominant de l'altérité qui ... parce qu'il est sollicité sur un rapport aux lieux et d'autre part de.
Les enjeux de laltérité et la littérature
Levinas me semble-t-il est un de ceux qui ont le plus réfléchi sur le sens de l'Autre Il définit cette relation à autrui comme une altérité spécifique de l'
Laltérité originaire ou les mirages fondateurs de lidentité - Érudit
Ainsi le terme d'«altérité» qui a été forgé à partir de ce radical est une catégorie abstraite qui ne désigne pas une chose existante ou un référent empirique
(PDF) Formes et figures de laltérité - ResearchGate
7 août 2018 · PDF On Sep 10 2005 Denise Jodelet published Formes et figures quoi et de qui il est construit pourquoi il l'est quelles figures il
[PDF] LALTERITE
22 fév 2015 · En même temps le visage est ce qui nous interdit de tuer » Emmanuel Levinas Ethique et Infini (1982) Le penseur De sa vie Emmanuel Levinas
Définition : Altérité - La Toupie
En philosophie l'altérité est le caractère la qualité de ce qui est autre C'est aussi la reconnaissance de l'autre dans sa différence qu'elle soit
[PDF] Le rôle attribué à laltérité derrière lacte de gérer son apparence au
5 5 2 Identité et Altérité: L'image de soi et son insertion dans le social vaste domaine qu'est la représentativité et surtout de mieux comprendre
Altérité - Wikipédia
Le mot provient du bas-latin alteritas qui signifie différence ; l'antonyme d' « altérité » est « identité » ou la reconnaissance de l'autre dans sa différence
[PDF] La représentation de laltérité et les discours de la différenciation
20 nov 2012 · 1 4 La dialectique de l'identité et de l'altérité dans la philosophie C?est pour cette raison qu?elle se définit comme une structure de
Laltérité PDF - Scribd
L'altérité vient du latin alter qui signifie « le caractère de ce qui est autre » (https://www cnrtl fr/definition/alt C3 A9rit C3 A9)
[PDF] INTRODUCTION La réflexion sur le statut de l altérité et de la
Il est remarquable que ce soit un personnage appelé l ' Étranger qui va rétablir dans un célèbre dialogue de Platon l ' ' importance ontologique de l '
Quelle est la définition de l'altérité ?
altérité n.f. État, qualité de ce qui est autre, distinct.Pourquoi l'altérité ?
Le principe de l'altérité englobe les différences, il fait passer de la diversité à l'universel. Ainsi on réalise que les revendications des femmes sont partagées par d'autres. Voilà qui pousse à reconsidérer la façon de concevoir les actions de formation et de sensibilisation.Quelle est la différence entre l'identité et l'altérité ?
Selon la définition acceptée, l'altérité est un concept philosophique qui signifie : « le caractère de ce qui est autre ». Elle est liée à la conscience de la relation aux autres considérés dans leur différence. L'autre s'oppose à l'identité, caractère de ce qui est dans l'ordre du même.- Autrement dit, l'altérité du monde réel se manifeste à travers l'expérience d'une résistance lors d'une action qui échoue en raison d'une erreur au niveau prévisionnel, c'est-à-dire quand nous ne pouvons pas porter à terme l'action prévue parce que nous rencontrons, dans notre agir, une résistance qui manifeste la
![Légitimité dune formation professionnelle à laltérité Légitimité dune formation professionnelle à laltérité](https://pdfprof.com/Listes/17/30845-17Legitimite_d_une_formation_professionnelle_a_l_alterite_Briancon_.pdf.pdf.jpg)
Muriel Briançon
A.T.E.R en Sciences de l'Education à Aix-Marseille Université Aix Marseille Université, ENS Lyon, ADEF EA 4671, 13248, Marseille, France Dans cette communication, nous exposons nos travaux de recherche sur les publics de la t, -à-dire unà enseigner
éducation scolaire à la citoyenneté, cette dernière ayant été portée sur le devant de la scène
par les événements de début 2015. altérité montre que demander si, pourquoi et pour qui, une telle formation serait légitime.1. érité
1.1 Constat : des formations universitaires en plein essor
Des formations enseignants
(Matthey & Simon, 2009). L'altérité est maintenant très concrètement et officiellement
, et pas seulement au Département des Sciences de -Marseille Université où nous exerçons. Nous avons déjà recensé par desrecherches internet plusieurs institutions françaises et pas des moindres (Université de
Goù le terme " altérité » apparaît dans le libellé. Cette liste non exhaustive ne cesse de
1.2 Mais q- ?
(Briançon et al., 2013). Une première conceptualisation est proposée.1.2.1 Polysémie et dispersion de cette notion
2 En sciences humaines, ce terme polysémique est brandi et utilisé sans jamais être vraimentdéfini. Son étymologie latine (alter, ce qui est autre, distinct, séparé) et grecque (to heteron,
irréfléchie : partout où il y a des la mode de parler d1rassembler des points de vue parcellaires, très différents parfois inconciliables. Les colloques
2 de 2008 et Altérité et Aliénation3 de 2009 montrent que
(Radford, 2009) puisque, ici comme ailleurs, : la différence linguistique ou culturelle (Groux, 2002 identitaire (Vulbeau, 2006), le corps (Garcia, 2000), la rencontre soignant / malade (Revillot & Eymard, 2010), les phénomènes inconscients (Blanchard-Laville & al., 2005), le grand Autre (Vergnioux, 2006 ; Lamarre, 2006) etc... Présente part conceptualisée de manière à permettre un rapprochement entre toutes ses manifestations.1.2.2 Une première conceptualisation proposée
Pour pallier cette absence de conceptualisation, nous avons proposé de la définir sous trois formes : extérieure, intérieure et épistémologique " extérieure entre conflit et rencontre, pouvant générer ; intérieure » si elle concerne notre rapport à nous-même, nos aliénations, " épistémologique » si elle concerne les apories de la connaissance, -encore- caractéristiques :tridimensionnalité, transgressivité, capacité enseignante et caractère émancipateur (Briançon
& al., 2013). Si ce concept est enseignant, il vaut théoriquement .Mais sous quelle forme ?
1.3 Education à, enseignement de ou formation ?
1.3.1 " Education4 à » ?
1 Nous avons également relevé des utilisations du terme " altérité » en psychologie, anthropologie, ethnologie, linguistique,
s ité a un sens différent.2 Colloque organisé par Jacques Ardoino (Université Paris VIII) et Georges Bertin (CNAM Pays de la Loire). Voir les
actes : Ardoino, J. & Bertin, G. (2008). . Paris : Téraèdre.3 Colloque organisé par Guillaume Herméneutiques » (Université Paul Verlaine de Metz) et Laurent
Husson (Université de Nancy).
4 Eduquer (1385, emprunt du latin ducere, tirer à soi, au latin educare, élever, instruire) voulait dire autrefois " diriger la
formation de ». Le verbe a changé de sens : début XIXème 3 ? » en laissant la question ouverte (Briançon, 2012, p. 159). éducation depuis longtemps (Abdallah-Pretceille, 1997 ; Groux, 2002). En 2013, dans sa recension de notre ouvrage, le philosophe Jean-Marc Lamarre on » (Lamarre, 2013, p. 4). Nous pensons quant à nous que la réponse, ni , ne sont si simples. R5 se extérieure : il pour un meilleur vivre ensemble. extérieure (socialisation, citoyenneté, rapport à autrui et respect des différences : objectifs prioritaires et transversauxtemps à intégrer des éducations à (à la sexualité, à la citoyenneté, aux NTIC et au
développement durable)véritable éducation à sous ses trois formes apparaisse.1.3.2 " Enseignement6 de ?
Nous enseignante peut--elle enseignante que pour ceux qui la cherchent individuellement, à leur rythme, sans injonction programmatique, poussés par leseul désir et loin de tout carcan institutionnel et évaluateur ? » (Briançon, 2012a, p. 165-166).
Dans sa réponse, le philosophe Jean-Marc Lamarre se contradictoire ? » et "2013, p. 4). -elle alors ? Autrement dit,
est-elle ou a-t-elle un contenu didactique ? Est-elle un objet de savoir didactique ?les didacticiens donnent du savoir des définitions très différentes : le savoir est une partie du
contenu didactique (Reuter & al., 2007, p. 46) ; c ensuite institutionnalisé par l ; pour S. Johsua et J.- J. Dupin (1993), les savoirs peuvent être déclaratifs, procéduraux ou savants mais toujours siècle, il signifiait " ème siècle " ». on peut signifier initiation, apprentissage ou encoredéveloppement méthodique donné à un organe, à une faculté (ex : éducation de la mémoire) (Rey, 2010, p. 715).
5 " Nous avons ensuite annoncé par anticipa-nous, implique que
6 Enseigner (1050, du latin populaire insignare, in faire connaître par un signe » puis par
extension " » (XIIème siècle), " » (XIIIème siècle), ensuite " transmettre des
connaissances à » (XVIIème être enseignant » (fin XVIIIème7 Soi-même comme un autre : "
4 reconnus par une communauté scientifique ; A. Legardez (2004) distingue les savoirs deréférence, les savoirs sociaux et les savoirs scolaires ; Enfin, le savoir selon Y. Chevallard est
un savoir en acte, une pratique sociale, un " supposé savoir », une sorte de " trinité » incluant
" domaine de réalité, pratique, savoir » (Chevallard, 1994, p. 176), un contenu praxéologique
llard, 2010). Il y a donc non pas seulement un mais des savoirs didactiques. D-elle se rapprocher ? itént à questionner voire à développer.1.3.3 " Formation à ?
Avec M. Fabre (1994), revenons sur " ce que former veut dire » au plan pédagogique (p. 20) :le cursus et son résultat (la qualification), le système (le plan de formation), le processus (la
La formation comprendrait quatre pôles
sémantiques : le pôle " éduquer » (développement intellectuel, moral, physique), le pôle
" enseigner " former sur les savoirs, savoir-faire et savoir-être). Très loin rait à la fois éducation, se caractérisant par une triple orientation : 1/ transmettre desconnaissances (instruction), 2/ modeler la personnalité entière (éducation) et 3/ intégrer le
savoir à la pratique, à la vie (p. 21-23). Allant des mots aux choses et aux concepts, M. Fabre
propose un triangle de la formation, intégrant les formations " à » (contenu logique
didactique), " de »/" par » (formé/discipline logique psychologique) et " pour » (objectif
institutionnel ou social logique socio-économique). Si la formation comme processus est toujours " » (p. 25), elle présente plusieurs logiques et visages et se décline donc au pluriel. Dans ce modèle (Fabre, 1994), la formation professionnelle parer au métier (Apprentissage) que de développer la personne (Education) ou de construire le savoir (Instruction). Elle se situe entre la logique didactique (contenus et méthodes) et lalogique sociale (situation professionnelle). La problématique spécifique de la formation
socio-économique : " comment la formation peut- valable et socioprofessionnellement utile ? » (p. 103-104). Cela pose le problème des rapports entre Savoir et Sociétéprocessus de rationalisation de la société occidentale exploré par Max Weber, avec
" ir utile de type techno-scientifique, professions enfin quotidienne » (Fabre, 1994, p. 209).1.4 Problématique
Face à ce constat de terrain (existence de formations et à laproblématique spécifique de la formation professionnelle (articulation des contenus/méthodes
-économique), nous nous demandons si la formation professionnelle à légitime : doit-on proposer des formations professionnelles8 Cette problématique est issue des deux logiques privilégiées (logiques didactique et sociale) au détriment de la 3ème (logique
complication et comme aide (Fabre,1994, p. 113).
5 que les savoirs proposés en formation professionnelle doivent être à la fois épistémologiquement valables et socio-professionnellement utiles ? Dans cette contribution, notre réponse à cette problématique se fera en deux temps, sur un -professionnel ensuite. Nous examinerons les deux : dans quel cadre altérité est-elle épistémologiquement valable ? Puis, pour quelles catégories socio--elle utile ?2. Examen des conditions de l
est-elle épistémologiquement valable ?2.1 Un savoir épistémologiquement valable en dehors de la pensée parménidienne
Lphilosophique paradoxal.
formes et en soulignant sa capacité enseignante (Briançon, 2012), en retrouvant ses originesphilosophiques et son histoire (Briançon et al., 2013), nous lui avons donné un certain
contenu les origines phgrecque (Vème siècle avant notre ère) et de la controverse qui opposa Platon aux Sophistes au
sujet du Non-Etre, ce Non-Etre que Parménide voulait exclure de la seule voie qui compte, incommunicable) dans son Poème sur la Nature (Beaufret, 1955) ; la découverte " accidentelle de résoudre le problème de la réalité du non-être » (Cordero, 2005, p. 175) et de créer une cinquième Forme, " que », " le
différent de » (to heteron-à-dire une altérité relative et non plus absolue (Idem, p. 185).
Nous avons montré que cette altérité platonicienne avait par la suite et au fil du temps pris la
place du Non-Etre et était devenue son avatar (Briançon et al., 2013). Nous avons donc défini
comme une aporie de la connaissance, le Non-Etre, le (Briançon, 2012). ? Y a-t-il un savoir du Non-Etre ? Y a-t-il un savoir du non-existant ? qui dure depuis 2500 ans et que nous ne saurions trancher dans cette contribution : nous savons que la réponse dominante en Occident des : on ne peut pas penser ce qui n ou ce qui est irrationnel. Au contraire, la réponse de quelques rares philosophes occidentaux, comme par exemple le philosophe autrichien du XXème siècle Meinong, est positive ou ce qui échappe à la logique. cadres épistémologiques opposés à la pensée parménidienne dominante que Nous proposons par exemple le cadre théorique meinongien (Meinong, 1904). Pour ce philosophe méconnu, p 6 moins sur le mode du " il y a connaissance sous un nouvel -être (Briançon & Mallet, 2012). Sa théorie de donne un statut au non-être existants et impossibles (impossibilia) du Hors-être (Aussersein). La pensée meinongienne nous autorise à penser le non- , ces deux contenus impossibles carcontradictoires. Oui, " il existe un savoir de la non-réalité » (Meinong, 1904, p. 101). Oui, le
Non-Etre pensables, donc épistémologiquement valables.2.2 Un savoir professionnellement utile pour les professionnels de la relation
Pour quelles catégories socio--elle utile ?
2.2.1 Méthodologie
Nous avons mené une enquête par questionnaire sur trois ans, entre 2011 et 2014, auprès de121 étudiants de quatre Masters 2ème
et trois Masters professionnels9)Nom du
cursus MP2CMP2B en
ligne MP2 B1 MR2 MR2 MP2B1 MP2B2 MP2 B1MP2 C TOTAL
Intitulé du
cursus Cadre dans le milieu sanitaire et socialFormateur
et responsable de formationFormateur
et responsable de formationMaster
Recher-
cheMaster
Recher-
cheFormateur
et responsable de formationConsul-
tant et coachForma-
teur et respon- sable de forma- tion Cadre dans le milieu sanitaire et social Date 27/032012
24/01
2013
15/04 2013
17/04 2013
24/10
2013
17/02 2014
14/04 2014
20/11 2014
01/12 2014
Nombre de
réponses 18 16 12 9 9 23 7 234 121 Dans le questionnaire, nous leur avons demandé :
1) A quoi vous fait penser le mot " Altérité »
2) Comment expliqueriez-vou ?
3) Quelle serait votre définition " savante ?
4) -elle utile ? Pourquoi ?
6) Peut- ? Pourquoi ?
7) Quels savoirs ?
8) Vous pouvez rajouter ce que vous voulez.
aux questions 4 et 5. Nous utilisons une approche qualitative, interprétative, des réponses à ces questions ouvertes.2.2.2 Résultats
Notre enquête : 84% des personnes
interrogées affirment en effet professionnellement utile et, parmi eux, 18% déclarent spontanément que non seulement9 Trois Masters Professionnels : " Formateur et responsable de formation », " Consultant et coach » et " Cadre dans le milieu
sanitaire et social ». 7 importante », " incontournable », " indispensable » voire " essentielle une base » et " un fondementMasters confondus.
153 citations invoquent 51 types de raisons différentes.
Grâce à notre conceptualisation tridimensionnelle, nous pouvons maintenant catégoriser et évaluer leur importance : 60% des citations concernent sans surprise le rapport à autrui, 22%des citations font référence au rapport du sujet à lui-même, 18% des citations sont à relier à la
connaissance (Annexe 1). Même si cette enquête montre bien sûr la suprématie attendue deépistémologique.
formateurs, consultants, coachs et cadres de santé : 83% des personnes interrogées répondent
en effet ; 17% sont sansopinion, ne répondent pas à la question ou ont une opinion nuancée ; 1% seulement se
prononce contre. Il semble tout à fait logique à la plupart des qui leur est utile doit leur être enseignée. Sur les 142 enseignement de cet objet, 42% des citations concernent % des citations intérieure, 38% des citations ).La synthèse suivante est éclairante :
Utilité Attentes de formation
altérité extérieure 60% 42% altérité intérieure 22% 20% altérité épistémologique 18% 38%2.2.3 Discussion
Bien sûr, des biais sont inhérents à cette enquête qui reste exploratoire : Le questionnaire a été distribué et en notre présence Les taux de réponses positives quasiment identiques entre la question 4 (84%) et la question 5(83%), ainsi que la similitude des réponses, montrent que les deux questions ont été traitées
lement rien de vraiment nouveaugique sous-jacente : tout ce qui est utile doit être enseigné directions : ne doit-on enseigner que ce qui est utile ? Doit-on répondre aux attentes exprimée aient a priori pas utile ?L -t- ? Les sciences de
nt-elles aux formés ? 8Enfin, dans le cadre qui
constitue bien sûr une perspective de recherche pour nous, les attentes de formationquotesdbs_dbs29.pdfusesText_35[PDF] tp chromatographie sur couche mince des colorants alimentaires
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