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  • C'est quoi la chute ?

    Action de tomber, de perdre l'équilibre, d'être entraîné vers le sol : Faire une chute. 2. Action de se détacher de son support naturel : Chute des feuilles. Chute des dents, des cheveux.
  • C'est quoi un risque de chute ?

    Il y a trois principales catégories de facteurs de chute: L'individu (perte de force musculaire au niveau des membres inférieurs, prise de plus de trois médicaments, perte de vision, hypotension artérielle, etc.). L'environnement (escalier dangereux, armoires au-dessus de la cuisinière, tapis non-fixé, etc.).
  • Un bilan pour rechercher une maladie en cause dans un risque de chute. L'examen du médecin comporte en particulier : un examen cardiovasculaire avec prise de tension artérielle ; un examen neurologique avec recherche d'un déficit moteur, de troubles de l'équilibre, de la sensibilité, de troubles cognitifs .
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Le dossier

Bilan des chutes

11

RÉSUMÉ : Les chutes de la personne âgée sont un enjeu de santé publique. Elles sont responsables de

12 000 décès par an en France et peuvent entraîner une perte d"autonomie nécessitant une entrée en institution

qui peut atteindre 40 % des cas. Un séjour prolongé au sol, défini par une durée supérieure à une heure est

un facteur de gravité.

Un syndrome post-chute doit être recherché systématiquement. Il s"agit d"une urgence gériatrique car tout

retard dans son diagnostic et sa prise en charge peut entraîner une cascade pathologique souvent dramatique

pour la personne âgée. L"objectif de cet article est de rappeler les éléments de l"examen clinique à rechercher

chez un patient âgé ayant chuté.Examen clinique d"un sujet âgé chuteur L es chutes de la personne âgée sont un enjeu de santé publique. En effet, leur prévalence chez les sujets de plus de 65 ans est estimée entre 10 et

25 % selon les études. Leurs conséquences

ne sont pas négligeables, elles sont respon- sables de 12 000 décès par an en France et peuvent entraîner une perte d"autonomie avec un pourcentage d"institutionnalisa- tion qui peut atteindre jusqu"à 40 %.

Par définition, la chute correspond au

fait de se retrouver involontairement sur le sol ou dans une position de niveau inférieur par rapport à sa position de départ. On parle de chutes répétées à partir du moment où la personne a fait au moins deux chutes en 12 mois.

L"examen clinique, et notamment l"inter-

rogatoire, doit être le plus précis et le plus exhaustif possible, au mieux réalisé en présence d"un proche et en dehors de la période de confusion entourant la chute. [ Rechercher des signes de gravité dus à la chute

Tout d"abord, il est nécessaire d"appré-

cier les conséquences de la chute et notamment de rechercher des trauma-tismes physiques par l"examen systé-matique de l"appareil locomoteur et du massif crânio-facial. À titre d"exemple,

la fracture de l"extrémité supérieure du col fémoral est un événement aux consé- quences majeures : la mortalité est élevée dans l"année qui suit (12 à 25 % selon les études), la moitié des survivants aura une perte d"autonomie, une proportion importante de ceux qui vivaient à domi- cile entreront en institution (20 à 30 %).

Il est important de savoir si le patient

est traité par anticoagulant et d"évaluer le risque d"hémorragie non extériorisée, en particulier d"hématome sous-dural fréquent dans cette population de sujets fragiles.

L"impossibilité de se relever est égale-

ment un facteur de gravité car un séjour prolongé au sol défini par une durée supérieure à une heure peut se compli- quer entre autres d"une rhabdomyolyse avec insuffisance rénale aiguë, d"une pneumopathie d"inhalation, d"une hypothermie, d"escarres, etc. À un an, il a été montré une perte plus importante dans les activités de la vie quotidienne chez les patients ayant une incapacité ? H. HÉNIQUE, C.E. GEFFROY

Service de Médecine Interne

Gériatrique et Neurologie,

Pôle Autonomie, Neurologie

et Prise en charge du vieillissement

Centre Hospitalier, BLOIS.

réalitésCardiologiques # 295_Septembre 2013_Cahier 1

Le dossier

Bilan des chutes

12 rologiques centrales d"origine vasculaire ou dégénérative, ainsi que des atteintes périphériques comme les polyneuro- pathies ou l"existence d"un canal lom- baire étroit qui peuvent entraîner des troubles de l"équilibre ou de la marche.

Sur le plan ostéo-articulaire, il convient

de mettre en évidence des problèmes de coxarthrose ou de gonarthrose qui sont

à l"origine de limitation des amplitudes

articulaires ainsi que des pathologies rachidiennes responsables de douleurs pouvant s"exacerber lors de changements de position. Concernant l"étude des fonc- tions supérieures, il convient d"évaluer l"état dépressif par la réalisation d"une mini-GDS (Geriatric Depression Scale)

à la recherche d"un syndrome dépressif

et un MMSE afin de dépister un déclin cognitif. [ Préciser les facteurs de risque de chute

On distingue des facteurs de risque :

Intrinsèques, qui reflètent l"état de

santé de la personne et qui sont les prin- cipaux facteurs de risque de chute de la personne âgée ;

Comportementaux, qui dépendent

de l"activité physique de la personne au moment de la chute et qui sont le plus souvent des activités de la vie quotidienne au cours desquelles la per- sonne âgée se déplace. Deux activités de déplacement ont été identifiées comme à risque de chute chez la personne âgée : la marche et les transferts de position du corps de type passage assis-debout (AD) et debout-assis (DA) ;

Environnementaux ou extrinsèques,

qui correspondent aux caractéristiques du lieu de chute.

Les facteurs intrinsèques sont ceux qui

peuvent être à l"origine d"un malaise ou d"une perte de connaissance. Ils sont

souvent associés.d"âge : 85,8 ± 5,5 ans) en unité de court séjour gériatrique, a montré que l"étio-logie de la chute était dans 68 % des cas une pathologie médicale aiguë. Parmi ces pathologies, on retrouvait au premier rang les affections neuropsychiatriques (38 %), puis cardiovasculaires (20 %), infectieuses (12 %), rhumatologiques (5 %) et iatrogéniques (5 %).

Au sein des étiologies neuropsychia-

triques, les syndromes confusionnels et les accidents vasculaires cérébraux ischémiques représentaient respecti- vement 47 % et 36 % des cas. Quant aux étiologies cardiovasculaires, elles correspondaient à des insuffisances cardiaques droites ou gauches décom- pensées dans 33 % des cas, à une hypo- tension orthostatique dans 28 % des cas et à des troubles du rythme dans 17 % des cas.

Il faut également rechercher des élé-

ments qui feront toute la gravité de la situation s"il y a récidive : existe- t-il une ostéoporose définie par un

T-score inférieur à 2,5 sur l"ostéo-

densitométrie ou des antécédents de fracture ostéoporotique ? La recherche de prise d"anticoagulant doit être systématique. Enfin, il est important de faire préciser les conditions de vie du patient, l"existence ou non d"un isolement social et/ou familial. L"âge est lui-même un facteur important. Un tiers des personnes de plus de 65 ans tombe au moins une fois dans l"année.

Après 80 ans, 50 % font au moins une

chute dans l"année. Sur le plan général, il faut dépister une dénutrition avec le calcul systématique de l"indice de masse corporel (IMC), rechercher une amyotrophie, recher- cher des signes de pathologies endo- criniennes comme une hyperthyroïdie ou une myopathie cortisonique... Les troubles sensoriels notamment la dimi- nution de l"acuité visuelle, sont souvent impliqués et intriqués. L"examen neuro-

logique recherche des pathologies neu-à se relever du sol comparativement à ceux qui étaient capables de le faire (RR = 1,7).

Enfin, un syndrome post-chute doit

être recherché. Il s"agit d"une désadap-

tation psychomotrice à l"origine d"une incapacité motrice, psychologique et/ou cognitive, caractérisée par une hypertonie extrapyramidale ou oppo- sitionnelle le plus souvent axiale, une abolition voire une absence des réflexes de posture, entraînant une rétropulsion et une phobie de la station debout et de la marche et enfin un syndrome dysexé- cutif. Il s"agit d"une urgence gériatrique car tout retard dans son diagnostic et sa prise en charge peut entraîner une cas- cade pathologique souvent dramatique pour la personne âgée. [ Préciser les circonstances de la chute

S"agit-il d"une chute mécanique par

"maladresse" ou bien existe-t-il des

éléments en faveur d"une pathologie

organique ? Dans quel contexte médico- social survient-elle ? Il est essentiel de dépister les facteurs de risques de chute par l"interrogatoire, notamment les anté- cédents médico-chirurgicaux du patient, et par l"examen clinique.

La chute peut être le symptôme d"une

pathologie médicale aiguë qui peut mettre en jeu le pronostic vital. Les troubles du rythme ou de conduction peuvent provoquer un bas débit céré- bral à l"origine d"une chute. D"autres affections telles que les accidents vas- culaires cérébraux (AVC), l"insuffisance cardiaque et les pathologies infectieuses peuvent être à l"origine d"une chute met- tant en jeu le pronostic vital.

Une étude de cohorte réalisée en France,

comparant des personnes âgées hospita- lisées pour chute (moyenne d"âge : 85,1

± 5,5 ans) et des personnes âgées hospi-

talisées pour un autre motif (moyenne réalitésCardiologiques # 295_Septembre 2013_Cahier 1 13 >>> L"arrêt de la marche lorsqu"il est demandé au patient de parler en même temps est également un bon test prédictif de la survenue des chutes. >>> La poussée sternale recherche, quant à elle, des adaptations posturales et l"existence de réactions parachutes. [ Conclusion La chute de la personne âgée est un évé- nement fréquent, potentiellement grave du fait du sur-risque de morbi-mortalité qu"il entraîne dans une population déjà polypathologique et donc fragilisée.

Cela représente également un coût pour

la société compte tenu du taux élevé d"institutionnalisation et d"hospitalisa- tion qui l"accompagne.

Il est donc nécessaire de savoir dépis-

ter ces patients par un examen clinique exhaustif et par des tests simples, faciles

à reproduire par tous en pratique quoti-

dienne.

Bibliographie

• Évaluation et prise en charge des person- nes âgées faisant des chutes répétées.

Recommandations HAS avril 2009.

• Prévention des chutes accidentelles.

Recommandations HAS novembre 2005.

• Prévention des chutes accidentelles chez la personne âgée. Recommandations 2005 Société française de documentation et de recherche en médecine générale HAS. L"auteur a déclaré ne pas avoir de conflits d"intérêts concernant les données publiées dans cet article. >>> De même, les antidiabétiques, parmi lesquels les sulfamides hypoglycémiants peuvent entraîner une chute en raison de l"hypoglycémie qu"ils peuvent induire. >>> L"interrogatoire recherche les fac- teurs précipitants extrinsèques, par exemple l"habillage, le mauvais chaus- sage, l"existence d"obstacles dans le lieu de vie : tapis, animaux, ou environne- ment inadapté : escalier, siège de toilette trop bas, revêtement de sol glissant, etc. [ Évaluer le risque de récidive des chutes

Il faut lister les chutes antérieures car il

est prouvé qu"une chute dans les 3 mois précédents indique un risque élevé de récidive.

Des tests simples à réaliser en routine

peuvent contribuer à cette évaluation. >>> Le timed get up and go test implique que le patient se lève d"une chaise à accoudoirs, marche 3 mètres, fasse demi- tour et retourne s"asseoir après avoir fait le tour de sa chaise. Il est pathologique si la durée d"exécution dépasse 20 secondes. >>> Le test de Tinetti, quant à lui, étudie la marche et l"équilibre, avec 9 items por- tant sur l"équilibre cotés sur 16 et 7 items sur la marche cotés sur 12. Un résul- tat inférieur à 20 sur 28 est considéré comme pathologique correspondant à un risque élevé de chutes. >>> On peut également réaliser facile- ment le test en appui monopodal qui n"est pas normal si l"appui est maintenu moins de 5 secondes. >>> Les causes cardiaques sont impli- quées dans plus de la moitié des cas.

L"ECG est par conséquent un examen

essentiel, à la recherche de troubles du rythme et de la conduction, mais aussi de pathologies coronariennes ou d"embolie pulmonaire. Il peut être réa- lisé un massage sino-carotidien à la recherche d"une hypersensibilité du sinus carotidien. L"auscultation caroti- dienne recherche un souffle en faveur d"une sténose. La mesure de la pression artérielle est systématique avec le dépis- tage de l"hypotension orthostatique qui peut être à l"origine de 10 à 15 % des chutes. >>> Sur le plan neurologique, il faut rechercher des signes de localisation en faveur d"un AVC. L"interrogatoire, notamment des proches, doit également rechercher des signes en faveur d"une comitialité. Enfin, des causes métabo- liques doivent être également éliminées comme l"hypoglycémie ou la déshydra- tation, etc. >>> Une part importante du diagnos- tic étiologique est l"analyse critique de l"ordonnance du patient. En effet, ces patients sont souvent polypathologiques et donc polymédiqués. >>> Les psychotropes sont les premiers mis en cause, notamment les benzodia- zépines et les neuroleptiques qui entraî- nent des troubles de la vigilance et de la marche. >>> Les médicaments cardiotropes, par les troubles du rythme et l"hypotension en particulier orthostatique qu"ils peu- vent induire, sont aussi fréquemment impliqués.quotesdbs_dbs29.pdfusesText_35
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