[PDF] Note sur les verbes météorologiques





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IMPLICITE PRÉSUPPOSÉ ET SOUS-ENTENDU / IMPLICIT

celui-ci dit « inférence » à ce que Kerbrat-Orecchioni appelle « sous-entendu ». Voir à ce sujet la définition proposé par Ascombre et Ducrot de « l'acte 



Lanalyse logique

17 jui. 2020 2- et écrit en même temps: proposition indépendante coordonnée elliptique dont le sujet sous- entendu est « Sylvie ». Page 4. 2- Tel père tel ...



Coord sub relat - ident+corr

complète écrivez entre parenthèses le pronom relatif sous-entendu



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A. Le verbe sans sujet: verbe impersonnel. § 385. Il n'y a ni sujet exprimé ni sujet sous-entendu. • avec les verbes qui désignent un phénomène 



Verbe au participe présent et GV part.

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Note sur les verbes météorologiques

dent du sujet sous-entendu de geler semble être un froid et non il4. Bolinger aurait aussi pu mentionner (9a) ou (10a) :.



Écrit

le participe ????????????? est apposé au sujet de ??????????? (un sujet indéfini sous-entendu s'accordant au masculin pluriel « les hommes »



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Typologie des contenus implicites - OpenEdition Journals

19 fév 2019 · 5Les contenus implicites de (1) et (2) illustrent en outre la distinction entre présupposés (entailments) et sous-entendus (implicatures)

  • C'est quoi le Sous-entendu dans un texte ?

    Les sous-entendus sont des informations implicites que le locuteur veut faire passer et que le destinataire devine en fonction du contexte.
  • Comment trouver le Sous-entendu dans une phrase ?

    Le sous-entendu est contextuel et on peut en avoir plusieurs pour un même énoncé.

    1Soit la phrase : C'est Paul qui a cassé le vase.2• Paul est maladroit.3• Paul est colérique.4• Ce n'est pas Marie qui est pourtant maladroite.
  • Quel rôle joue le Sous-entendu dans le langage ?

    Comme dit une expression familière, le sous-entendu permet d'avancer quelque chose « sans le dire, tout en le disant ». Malgré certaines analogies, la situation est assez différente en ce qui concerne le présupposé. Celui-ci appartient de plein droit au sens littéral.
  • Pour qu'un énoncé soit vrai, ses présuppositions doivent l'être aussi. La caractéristique la plus saillante des présuppositions est qu'elle résiste à la négation. La définition formelle est donc: « P présuppose Q si et seulement (i) si P est vrai, Q est vrai et (ii) si P est faux, Q est vrai. »
Tous droits r€serv€s Universit€ du Qu€bec ' Montr€al, 1986 (including reproduction) is subject to its terms and conditions, which can be viewed online. Universit€ Laval, and the Universit€ du Qu€bec ' Montr€al. Its mission is to promote and disseminate research.

https://www.erudit.org/en/Document generated on 06/23/2023 10:22 a.m.Revue qu€b€coise de linguistiqueNote sur les verbes m€t€orologiquesNicolas Ruwet

Volume 15, Number 2, 1986Linguistique th€orique. Hommage ' Judith Mc A"NultyURI: https://id.erudit.org/iderudit/602560arDOI: https://doi.org/10.7202/602560arSee table of contentsPublisher(s)Universit€ du Qu€bec ' Montr€alISSN0710-0167 (print)1705-4591 (digital)Explore this journalCite this article

Ruwet, N. (1986). Note sur les verbes m€t€orologiques.

Revue qu€b€coise de

linguistique 15 (2), 43...55. https://doi.org/10.7202/602560ar

Article abstract

Why is it that atmospheric phenomena are often expressed by sentences without a standard argument-predicate structure ( cf. it's raining )? The answer to this is to be seeked in the way these phenomena are experienced: they are perceived as events in which it is highly artificial to distinguish the event proper from some being or object to which the event happens. Former attemps to reduce this case to standard propositional structures are criticized. It is shown that atmospheric sentences which seem to display a standard propositional structure ( the wind is blowing , German der Wind weht , Japanese ame ga furu ) are in their own way as strange as it's raining

NOTE SUR LES VERBES MÉTÉOROLOGIQUES*

Nicola

s Ruwet

Socrat

e : (...) ovô' l'on Zevç

Strepsiad

e : J( H l eiç oit; 'AÀÀ a

Tic, foi;

Aristophane

, les Nuées, 366sq. (Socr . : "Zeus n'existe pas» - Strep. : "Que racontes-tu là? Mais alors , qui pleut?») Cett e not e doit être prise pour un rapport préliminaire sur une recher ch e e n cours qu e j'espèr e présente r bientô t sous une forme plus élaborée et plu s détaillée . Je m'en tiendrai ici à l'idé e de base, sans m'encombrer de subtilité s et en laissant de côté beaucoup de points importants qui devront ultérieuremen t

êtr

e développés Le s verbe s météorologiques (ilpleut, il neige, il tonne, etc.)1 posent un problèm e qui devrait intriguer les linguistes. Ils forment une classe sémanti -quement homogène, correspondant à un domaine de l'expérience assez bien délimité , qui est d'une importance capitale pour la vie humaine - pas de pluie , pas de vie! - tout en échappant à peu près complètement au contrôle de s hommes Ce s verbe s occupen t un e plac e d e choi x dans le discours de tou s le s jours nou s le s employon s san s arrêt. Or, dans la plupart des langue s occidentale s a u moins il s formen t de s phrase s bizarres, sans sujet d e surfac e (it . piove, lat. pluit, grec VEI) ou avec un sujet explétif (fr. il pleut, angl . it's raining, all. es regnet). Qu'est-ce donc que ces prédicats qui ont l'ai r de ne pas avoir d'arguments, qui semblent violer nos idées reçues sur la structur e intern e de s propositions ? Précisons le problème. Beaucoup de linguistes admettent que (1) est synonyme o u quas i synonyme d e (2a o u d e (2b •Judit h était une amie de longue date. Elle était charmante, discrète, courageuse, bonne ljnguiste J e Pavai s vue l e plu s souven t d e loin , s'épanouir et s'affirmer, prendre aussi ses responsabilité s trè s au sérieux. Et puis... Quelle misère! 1 . Pour une liste, pas tout à fait exhaustive, voir Boons-Guillet-Leclère (1976), p. 304-305; voi r aussi p. 263-266.

44 NICOLAS RUWET

(1 ) Il pleut depuis deux heures. (2 ) a. La pluie tombe depuis deux heures. b . Il tombe de la pluie depuis deux heures. À supposer qu'il en soit ainsi, le problème est le suivant : pourquoi le typ e de rapport illustré par (l)-(2) n'est-il pas plus productif? Pourquoi, par exemple n'a-t-o n pa s de s couple s comm e ceu x d e (3)-(6) (3 ) a. * Il herbe. b . L'herbe pousse. (4 ) a. * Il a pierre. b . Il est tombé une pierre/ des pierres. (5 ) a. * Il navire. b . Le navire flotte. (6 ) a. * Il paulera/julera/jacquera. b . Paul/Jules/Jacques arrivera. Le s linguiste s n e s e son t pa s attaqués à ce problème2. Certains le suppri men t puremen t e t simplement ains i

Chomsk

y (1981 , p. 4), pour qui c'est un "fai t linguistique qu'i l n'existe pas de valeur ou de denotatum possible pou r l e suje t nu l o u expléti f de pleuvoir etc.3 D'autres se sont efforcés de réduir e ce cas récalcitrant au cas général, de montrer que, malgré les ap parences , des phrases comme (1) ont bien la structure interne d'une proposi tio n "normale» , avec un prédicat et au moins un argument. Parmi ces linguistes , les uns (Bolinger 1977, ch. 4) soutiennent que le // "explétif» de it's raining a bien une valeur référentielle, et un sens. Les autres (Postal 1966
, Darden 1973, Talmy 1975, Carter 1976, Jackendoff 1982) admettent l e caractèr e nul ou explétif du sujet de surface, mais, tirant parti des ressource s de la grammaire generative, reconstituent à tel ou tel niveau sous- jacen t d e représentation une structure propositionnelle canonique. Je dirai quelque s mot s d e ce s deu x type s d e propositions 2 . Certains linguistes plus ou moins "traditionnels» l'ont entrevu : Benveniste (1966), p . 230, Damourette et Pichon (1911-1934), IV, p. 466, et surtout Ammann (1929). 3 . Chomsky (1981), Rizzi (1985), etc., discutent de la question de savoir si le sujet explétif o u nu l de s verbe s météorologiques est, syntaxiquement, un non-argument, un quasi-argument, o u u n argument j'abordera i brièvemen t cette question à la fin. Je n'ai rien contre l'idée que l'italie n piove a une catégorie vide ("petit pro») en position sujet (contra Hall (1979)). Je laissera

i aussi largement de côté les différences syntaxiques entre le français, l'anglais, l'italien.

NOTE SUR LES VERBES MÉTÉOROLOGIQUES 45

Bolinge

r tient que "tout mot auquel une langue permet de survivre doit apporte r une contribution sémantique» (1977, p. ix). Pour lui, le it "am biant d e it's raining, it's late, it's hot in here se réfère à un "état englobant (all-encompassing state, notion empruntée à Chafe 1970). Je me bornera i ici à une ou deux remarques. D'abord, Bolinger ne parle pas du cas illustr pa r l'italie n piove. S'il voulait être logique avec lui-même, ne devrait-i l pa s trouve r une différence, en termes de sens ou de référence, en tr e piove et it's raining ou il pleut? Et que dirait-il du contraste entre //pleut e t je (*le) regarde pleuvoir (cf. angl. / heard it raining)! Quant à moi, je n'arriv e à percevoir aucune différence de sens ou de référence entre it's rain ing, il pleut ou piove. En second lieu, qu'une référence implicite à un con text e "ambiant» soit suggérée dans // pleut, je le veux bien, mais je ne vois pa s e n quo i elle appartiendrait à //; ne retrouve-t-on pas le même effet dans la pluie tombe - ou d'ailleurs dans Pierre a été surpris par la pluie ou, pourquo i pas, dans Napoléon a vaincu les Russes à Austerlitz? Un contexte spatio-tempore l est implicitement présent dans tout énoncé; en particulier, u n contexte "atmosphérique» est implicite dans tout énoncé qui décrit un

événemen

t s e passant dans le monde extérieur. À l'appui de sa thèse, Bolinger cite notamment les exemples suivants (1977 , p. 79, ex. (142)-(143)) : (7 It' s s o ho t that it's giving me a headache. / fait si chaud que ça/*il me donne mal à la tête.) (8 It' s col d enough to freeze the balls on a brass monkey. (I l fait un froid à geler les couilles d'un singe de cuivre.) "I l es t présumer, di t Bolinger (ibid.) "que dans [ces] deux phrases le it qu i s e réfèr e a u temps [qu'il fait] est le même it qui donne le mal de tête et qu i gèl e le s couille s du singe de cuivre.» Comme le suggère la traduction française l e second it de (7) renvoie à l'ensemble de la première proposition (it/ça = "le fait qu'il fait si chaud»). Le cas de (8) est plus délicat; notons toutefoi s que, dans la traduction française la plus naturelle de (8), l'antécé den t du sujet sous-entendu de geler semble être un froid, et non il4. Bolinger aurai t aussi pu mentionner (9a) ou (10a) : 4

/ fait un froid à geler... me paraît légèrement plus naturel que il fait froid à geler... Dans

cett e construction, le sujet subordonné sous-entendu peut ne pas avoir d'antécédent dans la principal e (cf. // fait (un) froid à en crever/ à ne pas mettre un chat dehors). Il ne me paraît pas

46 NICOLAS RUWET

(9 ) a. It snowed but didn't stick. b . Il a neigé mais *(ça) n'a pas tenu. (10 ) a. It thundered and scared hell out of me. b . Il a tonné et *(ça) m'a fait mourir de peur. Le s exemple s (9a e tquotesdbs_dbs12.pdfusesText_18
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