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des coquilles Saint-Jacques dans la baie de Saint-Brieuc par Michel CALLON. * (Version fran?aise d'un article ? para?tre en anglais in John Law (ed.).



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pour les coquilles Saint-Jacques coraillées contraint les ma- Pour une analyse comparable voir M. Callon (1981) et B. Latour (1984). 1 2 3.



Théorie de lacteur-réseau

Nov 7 2017 Bruno Latour



LES NON-HUMAINS PEUVENT-ILS ETRE DES PORTE-PAROLE

Résumé : Dans le cadre de la théorie de l'acteur-réseau de Bruno Latour et. Michel Callon nous proposons et des coquilles Saint-Jacques (Callon





Les objets dans lapproche de Bruno Latour et lANT

traduction au Centre de Sociologie de l'Innovation. (CSI). – M. Callon La domestication des coquilles Saint. Jacques dans la baie de Saint Brieuc





Bibliographie

stication des coquilles Saint-Jacques et des marins pêcheurs en baie de Saint- Callon Michel und Bruno Latour



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DE LA TRADUCTION La domestication des coquilles Saint-Jacques et des marins-pêcheurs dans la baie de Saint-Brieuc* par Michel CALLON INTRODUCTION



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Sociologie des sciences Michel Callon - Les coquilles st Jacques

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Théorie de lacteur-réseau - Presses de lUniversité de Montréal

Bruno Latour Michel Callon et Madeleine Akrich ont voulu mettre en lumière La domestication des coquilles Saint-Jacques et des marins-pêcheurs dans la 



Sociologie des sciences Michel Callon - Les coquilles - Slideshare

24 jan 2012 · La Sociologie des Sciences Michel Callon « Éléments pour une sociologie de la traduction La domestication des coquilles Saint-Jacques et 



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2008: Problématisation intéressement enrôlement La sociologie de

4 déc 2013 · Aramis et les coquilles Saint-Jacques : l'apport de la sociologie des Michel Callon et Bruno Latour ont conçu un cadre d'analyse assez 

:
Frédéric Bouchard, Pierre Doray et Julien Prud'homme (dir.) Sciences, technologies et sociétés de A à Z

Presses de l'Université de Montréal

Théorie de l'acteur-réseau

Aziza Mahil et Diane-Gabrielle Tremblay

DOI : 10.4000/books.pum.4363

Éditeur : Presses de l'Université de Montréal

Lieu d'édition : Montréal

Année d'édition : 2015

Date de mise en ligne : 7 novembre 2017

Collection : Thématique Sciences sociales

EAN électronique : 9782821895621

http://books.openedition.org

Référence électronique

MAHIL, Aziza ; TREMBLAY, Diane-Gabrielle.

Théorie de l'acteur-réseau

In

Sciences, technologies et

sociétés de A à Z [en ligne]. Montréal : Presses de l'Université de Montréal, 2015 (généré le 15 mai

2023). Disponible sur Internet

: . ISBN : 9782821895621. DOI : https://doi.org/10.4000/books.pum.4363. 234
sciences, technologies et sociétés de la production scienti?que des cartes nationales et nationalistes per- met de considérer les modalités de constitution du territoire de l'État- nation par les sciences mobilisées pour en délimiter les contours (voir État, pouvoir et science). À cet e?et, la production de l'État-nation par l'activité scienti?que dépasse la seule cartographie et inclut également les statistiques et les travaux d'inventaire qui fournissent une descrip- tion du territoire et lui assignent des fonctions productives en rapport avec les ressources humaines et naturelles recensées. 1 Anderson, Benedict (1991), Imagined Communities. Reflections on the Origin and Spread of

Nationalism, New York, Verso.

Edney, Matthew H. (1997), Mapping an Empire. The Geographical Construction of British

India 1765-1843, University of Chicago Press.

Hannah, Matthew (2000), Governmentality and the Mastery of Territory in Nineteenth- century America, Cambridge University Press. Hannaway, Owen (1986), " Laboratory Design and the Aim of Science : Andreas Libavius versus Tycho Brahe », Isis, vol. 77, no 4, p. 584-610. Harley, J. B. (2001), The New Nature of Maps. Essays in the History of Cartography, Baltimore,

Johns Hopkins University Press.

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University of Chicago Press.

Smith, Crosbie et Jon Agar (dir.) (1998), Making Space for Science : Territorial Themes in the Shaping of Knowledge, New York (NY), St. Martin"s Press.

Théorie de l"acteur-réseau

Aziza Mahil et Diane-Gabrielle Tremblay

La théorie de l'acteur-réseau, aussi appelée " sociologie de la traduc- tion », a été développée par les chercheurs du Centre de sociologie de l'innovation de l'École des mines de Paris au début des années 1980. Bruno Latour, Michel Callon et Madeleine Akrich ont voulu mettre en

235théorie de l

'acteur-réseau lumière les conditions de la production du savoir en s'intéressant à la genèse des objets scienti?ques et techniques et à leur rôle en action (voir Objet technique et Construction sociale des technologies). Michel Callon, dans un article fondateur, a montré que les objets techniques émergent en englobant les intérêts d'un ensemble d'acteurs, humains et non humains, et aussi les composants matériels qui y sont associés (voir Infrastructure sociotechnique). Ainsi, cette théorie redé?nit le social en y insérant des catégories jusqu'ici fortement distinguées par l'épistémolo- gie classique, comme les humains et les non-humains. Tous peuvent être considérés symétriquement comme des " actants » interagissant dans des réseaux hybrides, une symétrie qui s'avère une condition essentielle de la dynamique sociotechnique. En privilégiant une approche ethnographique, les auteurs de la théorie de l'acteur-réseau s'intéressent moins à la vérité des résultats de la science qu'à l'analyse du processus dont découlent ces résultats, en misant sur la symétrie entre les actants (voir Études de cas en STS). Cette symétrie permet de traiter sur un même plan conceptuel : tous les facteurs contextuels ; les causes sociales et les causes techniques ; le discours de tous les acteurs ; les humains et les non-humains ; et les impartialités dans l'enregistrement du contexte. Toutes les compo- santes du réseau sociotechnique s'entremêlent sans hiérarchie ni dis- tinction quant à leur nature. La technique émerge avec la constitution d'un réseau complexe d'actants, échappant à la logique des a priori et se nourrissant amplement des controverses. La formule " acteur-réseau » désigne à la fois un réseau hétérogène d'intérêts alignés entre eux, et le processus qui mène éventuellement à la production d'un artefact sociotechnique. Ce cadre théorique repose sur certaines notions-clés. L'une est justement la distinction entre le concept d'" acteur » central, dont dépendent d'autres éléments dont il traduit la volonté dans son propre langage, et celui d'" actant », dési- gnant à la fois les humains et les non-humains d'un même réseau. Une autre notion-clé est la " controverse », qui est une condition nécessaire à la constitution du réseau et à sa traduction par l'acteur : le terme désigne un débat sur des connaissances scienti?ques ou techniques qui ne sont pas encore assurées, et dont l'apport se trouve donc à com- pliquer plutôt qu'à simpli?er les incertitudes ambiantes (du social, de la politique, de la morale). 236
sciences, technologies et sociétés Le moment central de la production du réseau est celui de la " tra- duction », processus qui comporte trois moments. Le premier est la " construction du problème », alors que l'acteur central dé?nit pour les autres acteurs des identités et des intérêts qui sont cohérents avec ses propres intérêts, tout en déterminant un point de passage obligé, c'est-à-dire une situation qui doit avoir lieu pour que tous les acteurs satisfassent les intérêts qui leur sont attribués. Le deuxième et le troi- sième moments sont l'" intéressement » et l'" adhésion », par lesquels les autres acteurs acceptent la dé?nition de l'acteur central et les intérêts qui leur sont attribués (voir Controverse et Statistisation). Le processus de construction sociotechnique des objets techniques est ainsi marqué par la controverse entre les actants du réseau et des jeux de négociation, qui produit une convergence des intérêts du réseau en vue d'aboutir, ultimement, à un objet technique consensuel. La création de cet artefact consensuel, c'est-à-dire qui assure la protection des intérêts de chaque acteur, est quali?ée d'" inscription ». Elle mène à un seuil d'" irréversibilité » au-delà duquel il devient impossible de faire marche arrière pour revenir à un point où il existait un choix de diverses possibilités. Le cadre théorique met alors l'accent sur le cadre socioculturel qui entoure la production des faits et l'interprétation de l'environnement culturel. La théorie de l'acteur-réseau valorise la ?exibilité interprétative, la controverse et surtout le rôle des réseaux et des groupes sociaux pour analyser l'émergence d'une technique. Celle-ci fait donc partie d'un tout complémentaire, agencé et n'obéissant à aucune hiérarchie : la technique et la société se dé?nissent et se construisent en même temps et la distinction entre les deux est dissoute. D'où la construction simultanée du matériel et du social, et la cohabitation d'humains et de non-humains dans des réseaux complexes, cohérents et égali- taires. 1 Akrich, M., M. Callon et B. Latour (2006), Sociologie de la traduction : textes fondateurs,

Paris, Les Presses des mines.

Callon, M. (1986), " Éléments pour une sociologie de la traduction. La domestication des coquilles Saint-Jacques et des marins-pêcheurs dans la baie de Saint-Brieuc », L"année sociologique, vol. 36, p. 169-208.

237théorie scientifique

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R. Boyer, B. Chavanche et O. Godard (dir.), Les figures de l"irréversibilité en économie,

Paris, Éditions de l"EHESS.

Latour, B. (1991), Nous n"avons jamais été modernes. Essai d"anthropologie symétrique, Paris,

La Découverte.

— (1996), Petites leçons de sociologie des sciences, Paris, La Découverte. Latour, B et S. Woolgar (1996 [1979]), La vie de laboratoire. La production des faits scienti- fiques, Paris, La Découverte. Latour, B. (2005 [1989]), La science en action. Introduction à la sociologie des sciences,

Paris, La Découverte.

Théorie scientifique

Luc Faucher

La notion de théorie est centrale à la compréhension de l'activité scien- ti?que. En e?et, une bonne partie de l'activité scienti?que consiste dans l'élaboration, la mise à l'épreuve, la défense ou la révision des théories. Les théories sont employées pour décrire, contrôler, prédire, expliquer et/ou comprendre les phénomènes appartenant à un domaine particu- lier. Comprendre ce que sont les théories, c'est donc éclairer une bonne partie de l'activité scienti?que. Les philosophes se sont intéressés aux théories scienti?ques pour plusieurs raisons. D'abord, ils ont cherché à décrire de façon abstraite leur structure commune et la façon dont elles participent à l'expli- cation et à la compréhension scienti?ques. Ensuite, ils ont tenté de comprendre comment s'opéraient les révisions et les changements théo- riques : comment on modi?e une théorie pour la rendre plus conforme aux faits et/ou comment et dans quelles conditions on passe d'une théorie à une autre (voir Paradigme). Ils ont ?nalement tenté de préciser les types de rapports pouvant exister entre les théories appartenant à des domaines di?érents, c'est-à-dire les modalités du pluralisme théo- rique (voir Discipline et Migration conceptuelle). Dans ce qui suit, on ne s'intéressera qu'à la première question, soit celle de la structure des théories et de leur contribution à l'explication et à la compréhension scienti?ques. Je présenterai deux façons de concevoir ces structures, l'une ayant eu cours jusqu'à tout récemment (le modèle syntaxique)quotesdbs_dbs15.pdfusesText_21
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